Colomars

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Colomars
Colomars
L’église Notre-Dame-de-la-Nativité de Colomars sur fond de Mercantour enneigé.
Blason de Colomars
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur
Maire
Mandat
Isabelle Brès
2020-2026
Code postal 06670
Code commune 06046
Démographie
Gentilé Colomarsois(e)
Population
municipale
3 487 hab. (2021 en augmentation de 3,26 % par rapport à 2015)
Densité 519 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 45′ 52″ nord, 7° 13′ 22″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 402 m
Superficie 6,72 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tourrette-Levens
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Colomars
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Colomars
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Colomars
Liens
Site web https://www.colomars.fr/

Colomars (prononcé [kɔlɔmaʁ] ; en niçois : Couloumas) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Colomarsois. Colomars fait partie du Pays niçois. La langue locale de Colomars est le niçois.

Jusqu'en 1860, le nom officiel était en italien : Colomarte.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Colomars fait partie du « moyen pays niçois ». Elle est située entre la vallée du Var à l'ouest et le flanc du Mont-Chauve à l'est. L'habitat est distribué en plusieurs hameaux :

  • la Manda et La Valade, situés géographique sur le bas de la commune, dans la plaine du Var ;
  • le Golfan, occupant une position intermédiaire ;
  • les Cabanes, la Madone, les Vallières Supérieures, la Colle-Germaineles Freghières, plus haut encore ;
  • la Sirole, dominant les autres quartiers, sur les hauteurs de la commune.

Flore[modifier | modifier le code]

La flore locale est typiquement méditerranéenne (à l'exception notable des « vallons obscurs[1] ») et se compose notamment de forêts de pins et de chênes (verts ou pubescents), de genêts, et d'oliveraies dans les zones agricoles.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Parmi ses richesses touristiques, des vallons, dits « vallons obscurs[1] » abritent des réserves géologiques et botaniques[2] agrémentés de cascades et de viaducs ayant alimenté d’anciens moulins à huile.

Catastrophes naturelles - Sismicité[modifier | modifier le code]

Le , de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[3]. Certains hameaux sont restés inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le 20 octobre. L'Arrêté du portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Colomars , au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au "[4].

Commune située dans une zone de sismicité moyenne[5].

Hydrographie et eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :

  • c'est à Colomars que naît la source du Magnan, petit cours d'eau qui vient se jeter dans la Méditerranée au niveau du quartier Magnan, quartier situé dans la ville de Nice ;
  • la commune est bordée par le fleuve Var, sur sa limite ouest.

La commune a effectué des opérations de forage en 1903, pour améliorer le captage du Magnan, lequel restera l'unique source d'eau de la commune jusqu'à ce qu'elle soit reliée au réseau général[7].

Colomars dispose de la station d'épuration (STEP) intercommunale de Nice d'une capacité de 650 000 équivalent-habitants[8]. Depuis , la commune dispose d'une seconde STEP située dans le quartier des Vallières[9].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 893 mm, avec 5,9 jours de précipitations en janvier et 2,8 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nice », sur la commune de Nice à 8 km à vol d'oiseau[12], est de 16,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 791,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −7,2 °C, atteinte le [Note 1],[13],[14].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[15]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Pont de la Manda.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Gare de Colomars La Manda.

Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

Transports ferroviaires[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le 25 octobre 2019[19].

Typologie[modifier | modifier le code]

Colomars est une commune urbaine[Note 2],[20]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[21],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[23] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[24],[25].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[26],[27].

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[28].

Communes limitrophes de Colomars
Carros Castagniers Aspremont
Gattières Colomars Aspremont, Falicon
Nice Nice Nice

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,5 %), zones urbanisées (41,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), eaux continentales[Note 4] (1,5 %)[29].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Colomaris ("...et medietatem de Colomaris...") est mentionné dans une charte datée de 1075[30], son nom viendrait du latin colombarium, c’est-à-dire « pigeonnier ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Colomars a été fondé en 1070 lors de la garantie de biens au monastère de Saint-Pons de Nice par les enfants de Rambaud de Nice et Rostaing Laugier de Gréolières[31], puis il devient une dépendance d’Aspremont.

Le décret daté du 2 juin 1874 et signé par le maréchal Patrice de Mac Mahon, président de la République française, sépare Colomars, Aspremont et Castagniers en trois communes distinctes. La municipalité a célébré avec faste les 125 ans de la commune le 19 septembre 1999.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La commune de Colomars étant devenue indépendante d'Aspremont le , il n'existe pas d'historique des maires avant l'année . Il est à noter que Henri-Paul Girard est décédé dans le courant de son quatrième mandat, juste avant le premier tour des élections municipales[32]. La mandature d'Emmanuel Arthus a fait l'objet d'une délégation spéciale[7].

Liste des maires successifs[33],[34],[7]
Période Identité Étiquette Qualité
1874 1884 Paul Joseph Sigaut   Agriculteur
1884 1907 Étienne Curti   Architecte
1907 1909 François Plesent   Commerçant
1909 1910 Jean Baptiste Augier   Agriculteur
1910 1925 François Castiglia   Agriculteur
1925 1942 Félix Garel   Cadre C.G.E.
1942 1944 Emmanuel Arthus   Militaire
1944 1964 Paul Clermont[35] RI Enseignant retraité
1964 1977 Antoine Léon Laugier   Entrepreneur
1977 1987 Louis Bèque[36]
(1920-2013)
  Colonel en retraite
Officier de la Légion d’honneur Officier de l'Ordre national du Mérite
1987 3 mars 2008[37] Henri-Paul Girard
(1924-2008)
UMP[38] Ancien cadre supérieur chez Gazocéan[32]
16 mars 2008[39] En cours Isabelle Brès[40] UMP-LR Responsable administrative financière
3e vice-présidente de la Métropole Nice Côte d'Azur

Budget et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[41] :

  • total des produits de fonctionnement : 2 880 000 , soit 831  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 2 504 000 , soit 723  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 944 000 , soit 272  par habitant ;
  • total des dépenses d'investissement : 741 000 , soit 214  par habitant ;
  • endettement : 2 242 000 , soit 647  par habitant.

Avec (en 2020 toujours) les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 11,79 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,60 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 89,22 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés issue des statistiques INSEE "Revenus et pauvreté des ménages en 2019"[42] :

  • nombre de ménages fiscaux : 1263 ;
  • nombre de personnes dans les ménages fiscaux : 3176 ;
  • médiane du revenu disponible par unité de consommation : 26 990  ;
  • part des ménages fiscaux imposés : 71%.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

En 2021, la commune comptait 3 487 habitants[Note 5], en augmentation de 3,26 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
572567547586581546567533483
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
5155035144325356799791 2411 714
1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021 -
2 3072 8763 1293 1613 2533 3253 4823 487-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune de Colomars est située dans l'Académie de Nice. Elle dépend de la zone B pour les vacances scolaires.

Les établissements d'enseignements présents sur la commune sont les suivants[47] :

  • école maternelle publique Les Serraires ;
  • école primaire publique H.P. Girard - Les Serraires ;
  • école primaire publique de La Manda ;
  • école primaire publique de La Sirole.

Les autres établissement dont dépendent les administrés de Colomars sont :

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[48] :

  • médecins ;
  • pharmacies à Colomars, Gattières, Aspremont ;
  • hôpitaux à Saint-Jeannet, Nice.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Autrefois, on vivait de la culture de la vigne et de l’olivier, supplantée partiellement par celle de l’œillet au XXe siècle. Les cailletiers produisent encore une huile à la saveur citronnée et anisée[50].

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Hôtel, restaurant[51].

Commerces et services[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité[52].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Ouvrages militaires[modifier | modifier le code]

Plusieurs ouvrages militaires faisant partie du système Séré de Rivières sont présents sur la commune de Colomars:

  • L'ouvrage principal, dit Fort Casal, construit en -, soit postérieurement à la crise de l'obus torpille. Etabli avec sa batterie au lieu-dit Les Cabanes, sa position stratégique lui permettait de défendre la basse Vallée du Var. L'armement d'origine était constitué de pièces de 120 mm[53]. Entre et , le Fort Casal a fait l'objet de travaux d'aménagement pour répondre aux besoins sportifs, culturels et associatif de la commune de Colomars[54],[55].
  • Une batterie ouverte, ouvrage annexe de l'ouvrage principal. Dite batterie de la Bégude, elle est construite en - et située à environ 1 kilomètre au nord-est de l'ouvrage principal[56].

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Saint Pierre de La Manda[57],[58], édifiée à l'aide de préfabriqué, en 1969, au sein d'un parc clôturé.
  • Église Notre-Dame-de-la-Nativité, achevée en (mais réalisée en différentes tranches), sur l'emplacement d'une "capella della Santisssima Virgine" (mentionnée dans les archives dès )[59]. D'un style néo-classique, elle a été rénovée en à l'occasion d'un chantier école, la cérémonie de bénédiction ayant eut lieu le par le Chancelier de l’Evêché, l’Abbé Stéphane DRILLON[60]. Elle possède une nef et deux collatéraux de deux travées avec voûte en berceau, ainsi que deux chapelles latérales, et un chœur à chevet plat. Le maître-autel de marbre blanc installé en , a été détruit. Différentes œuvres y sont visibles: Antoine l'Ermite de Cuggia (tableau, ), la mort de Joseph et les âmes du Purgatoire de Carolus Ichardi (tableau, ), Saint Erige ressuscitant un enfant mort-né (tableau anonyme, non daté) et le chemin de croix, réalisé par des artistes de Colomars d'après l'œuvre de Eugène Kazimirowski[59].
  • Chapelle Saint-Roch[61], située dans le quartier de la Sirole[62] et dont la construction démarre en . L'édifice est béni le . Elle fut érigée à la demande des habitants du quartier, du fait de l'éloignement de ce dernier d'avec l'édifice religieux principal de la commune, Notre-Dame-de-la-Nativité. Elle possède une nef unique de deux travées, prolongée d'un cœur en abside. Elle fut entièrement restaurée en , pour les 125 ans de sa construction[59].

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La mairie de Colomars, installée depuis 1928 au sein d'une ancienne propriété agricole, laquelle fut léguée par l'ancien maire Étienne Curti. Elle fit l'objet d'un réaménagement en 1993[59].
  • La fontaine de la place Plesent.
  • Monument aux morts[63],[64].
  • Le site Natura 2000 des "vallons obscurs"[65]. Les "vallons obscurs" se trouvent être des canyons, sculptés par l'eau dans un terrain particulier appelé poundingue. Ces vallons, du fait de leur profondeur, conservent fraicheur et humidité si bien qu'une végétation particulière (montagnarde et subtropicale) s'y maintien toute l'année, et contraste avec la flore méditerranéenne alentour.
  • Sentier de grande randonnée 52 (Parc du Mercantour).
  • Moulins[66].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Colomars Blason
D’or au mont de gueules sommé d’un coq du même[67].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Galerie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Métropole NCA | Natura 2000 Vallons Obscurs », sur nicecotedazur.org (consulté le ).
  2. Colomars située entre la vallée du Var à l’ouest et le flanc du mont Chauve à l’est.
  3. Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020.
  4. Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor.
  5. Didacticiel de la règlementation parasismique.
  6. L'eau dans la commune
  7. a b et c Pierre Robert Garino, Aspremont Castagniers Colomars, Serre Éditeur, , 319 p. (ISBN 2-86410-170-X).
  8. « Projet Haliotis II », sur haliotis2-concertation.fr (consulté le ).
  9. Préfet des Alpes-Maritimes, « Station d'épuration des Vallières », sur alpes-maritimes.gouv.fr, (consulté le ).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Colomars et Nice », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Nice », sur la commune de Nice - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Station Météo-France « Nice », sur la commune de Nice - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
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  18. Les gares de la ligne Nice – Digne-les-Bains
  19. Plan local d'urbanisme métropolitain (PLUm)
  20. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  30. Colomars
  31. Histoire de la Seigneurie de Nice- Comté de Nice-Evêché de Nice-Abbaye de Saint Pons-Consulat, terre d'empire de 1032 à 1806
  32. a et b « Entre voisins 2008-2014 », (consulté le ).
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  34. « Historique des maires de Colomars », (consulté le ).
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  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Établissements d'enseignements
  48. Professionnels et établissements de santé.
  49. Paroisse Saint-Vincent Diacre
  50. « Portail Métropole Nice Côte d’Azur - Colomars », (consulté le ).
  51. Hôtel-restaurants
  52. Commerces et services de proximité
  53. « Batterie de Colomars, de la place forte de Nice », (consulté le ).
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  62. Colomars au sein de la Métropole Nice Côte d'Azur
  63. Conflits commémorés : 1914-1918 et 1939-1945
  64. Liste des morts pour la France de la commune
  65. site Natura 2000 des "Vallons obscures"
  66. Moulins de Colomars
  67. Dominique Cureau, « Nice Côte d'Azur. 2 : Colomars », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]