Mortagne-sur-Sèvre

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Mortagne-sur-Sèvre
Mortagne-sur-Sèvre
Église Saint-Pierre de Mortagne-sur-Sèvre
Blason de Mortagne-sur-Sèvre
Blason
Mortagne-sur-Sèvre
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays-de-Mortagne
Maire
Mandat
Alain Brochoire
2020-2026
Code postal 85290
Code commune 85151
Démographie
Gentilé Mortagnais
Population
municipale
6 064 hab. (2021 en augmentation de 1,68 % par rapport à 2015)
Densité 275 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 59′ 33″ nord, 0° 57′ 09″ ouest
Altitude 124 m
Min. 57 m
Max. 151 m
Superficie 22,06 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Mortagne-sur-Sèvre
(ville isolée)
Aire d'attraction Cholet
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mortagne-sur-Sèvre
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Mortagne-sur-Sèvre
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Liens
Site web Site officiel mortagnesursevre.fr

Mortagne-sur-Sèvre est une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire, chef-lieu du canton de Mortagne-sur-Sèvre. La commune regroupe Mortagne-sur-Sèvre, Évrunes et Saint-Hilaire-de-Mortagne. Elle est jumelée avec Aumühle et Wohltorf (Allemagne) et Volovat-Burla (Roumanie).

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Mortagne-sur-Sèvre est situé sur la Sèvre Nantaise au nord-est du département de la Vendée, dans le « Haut-Bocage » vendéen et proche de « la Gâtine » aux limites des Deux-Sèvres, à 7 km de Cholet, à 15 km du Puy du Fou aux Herbiers, ainsi que de Tiffauges, et 18 km de Mauléon.

Le territoire municipal de Mortagne-sur-Sèvre s’étend sur 2 206 hectares : l’altitude allant de 57 mètres à 151 mètres sur le massif granitique de la commune, l'altitude moyenne est de 124 mètres[1],[2], à :

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 798 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cholet à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 772,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mortagne-sur-Sèvre est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mortagne-sur-Sèvre, une unité urbaine monocommunale[12] de 5 930 habitants en 2017, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33,5 %), zones agricoles hétérogènes (24,7 %), zones urbanisées (13,3 %), terres arables (12,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8 %), forêts (6,8 %), mines, décharges et chantiers (1,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Son nom vient peut-être d'une légion de soldats romains originaires de la Maurétanie chargée d'assurer l'ordre du Bas-Empire. Selon d'autres, il pourrait provenir du mot morte-agne qui signifie « mortes-eaux » en roman[18], mais cette explication n'est pas crédible car il est exclu que le latin aqua puisse évoluer en -agne.

Ernest Nègre préfère voir dans le type toponymique Mortagne, l'anthroponyme latin Mauretanus et du suffixe -ia[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

La région est peuplée par le peuple gaulois des Pictons (Poitou) puis fut conquise par César avec le reste de la Gaule (58-51 av. J.-C.).

Un cimetière mérovingien a été identifié dans la commune. En 2020, les archéologues ont mis au jour des vestiges du haut Moyen Âge, principalement un petit ensemble sépulcral comprenant 99 tombes datées des VIe – VIIe siècles de notre ère[20].

Au Moyen Âge, la ville appartient à la province du Poitou, et plus exactement du Bas-Poitou, ayant des frontières avec les provinces d'Anjou et de Bretagne. C'est durant cette période que sont construits les monuments principaux de la ville : le château, les églises de Mortagne, d'Évrunes et de Saint-Hilaire, le prieuré, la maladrerie et les maisons nobles. Mortagne devient alors un carrefour important de voies de communication et développe, en plus de son agriculture, une activité industrielle notamment dans la tannerie. Le commerce y est possible grâce à la Sèvre Nantaise[21].

Lors de la Renaissance, Mortagne n'échappera pas au renouveau de l'architecture : le château et les maisons nobles sont transformés en fonction de l'époque. L'industrie et l'agriculture sont en grande expansion. Mortagne sera victime de la guerre de Vendée, meurtrière et destructrice puisque la ville sera complètement incendiée. Deux batailles auront lieu durant ce conflit. Des subventions permettront la reconstruction de l'église et des maisons au XIXe siècle[22].

Au XXe siècle, l'industrie va se développer considérablement dans de nouveaux secteurs grâce à l'apparition du chemin de fer et de l'électricité. Des zones industrielles sont créées ainsi que des lotissements pour répondre aux besoins des nouveaux travailleurs. C'est en 1964 que le regroupement de Mortagne-sur-Sèvre, Évrunes et Saint-Hilaire-de-Mortagne a lieu[23].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le Renard

TOUR DU TRÉSOR : La présence de portes montre que cette structure était bien reliée à d’autres bâtiments internes du château.

TOUR À ÉPERON OU TOUR DES ANGLAIS : Sa dénomination provient de son histoire et de sa construction unique en France.

LE MANOIR : Elégant, il s’est blotti, au début du XXe siècle, entre les hauts remparts et la Tour à Eperon.

  • Il subsiste encore de nombreux logis (Maupillier, Grand Garfin, Tirepoint...), les chapelles Saint-Lazare, Saint-Léger et du Pont, l'église Saint-Pierre.
  • L'ancien moulin à eau, le moulin de Gazeau, fait encore lieu de gîte pour accueillir des groupes et des particuliers.
  • La gare de Mortagne est aussi le point de départ du Chemin de fer de la Vendée qui se situe sur l'ancienne ligne Cholet - Les Herbiers et rallie cette commune grâce à un chemin de fer touristique.
  • Mortagne-sur-Sèvre dispose du complexe sportif Stéphane-Traineau qui est composé d'une salle de gymnastique, une salle de tennis (comportant deux terrains intérieurs et deux terrains extérieurs), une salle polyvalente (utilisée notamment pour le basket-ball), d'un ensemble football-athlétisme qui comporte trois terrains de football, et une salle de judo.
  • « Le Triton » est le nom de l'espace aqualudique de la commune.
  • "Les jardins de la cure" offrent un panorama unique sur la vallée de la Sèvre. Les 7 000 m2 de jardins, étalent leurs terrasses entre la ville et la rivière.
  • "Le Musée du Mange Cailloux", musée des minéraux installé dans une ancienne école de la commune (école Saint-Pierre).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1958 Auguste Brosset   Tailleur
1958 1971 Auguste Renou   Entrepreneur en maçonnerie
1971 1973
(démission)
Louis Blouin   Agriculteur
1973 juin 1995 Gérard Brosset DVD puis RPR Tailleur
Conseiller général du canton de Mortagne-sur-Sèvre (1976 → 1988)
Réélu en 1977, 1983 et 1989
juin 1995 mars 2014 Alain Pauvert DVD Agent de maîtrise
Réélu en 2001 et 2008[25]
mars 2014 en cours Alain Brochoire DVD Pharmacien
2e vice-président de la CC du Pays-de-Mortagne (2014 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

En 2021, la commune comptait 6 064 habitants[Note 3], en augmentation de 1,68 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
6377661 1961 4041 5111 6201 9952 0472 238
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
2 2242 1522 1312 0802 1572 1882 0842 1982 235
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
2 3002 2432 1292 0791 9511 9231 9052 2632 594
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
4 2464 6915 3015 7245 9386 1346 0055 9766 064
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,3 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 978 hommes pour 3 022 femmes, soit un taux de 50,37 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,6 
6,8 
75-89 ans
9,8 
15,8 
60-74 ans
15,8 
24,4 
45-59 ans
24,8 
16,9 
30-44 ans
16,9 
15,8 
15-29 ans
14,0 
19,4 
0-14 ans
17,2 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,5 
75-89 ans
11 
20 
60-74 ans
20,8 
20 
45-59 ans
19,4 
17,7 
30-44 ans
16,9 
14,9 
15-29 ans
13,2 
18,1 
0-14 ans
16,4 

Économie et industrie[modifier | modifier le code]

  • le siège de Cogelec est installé à Mortagne-sur-Sèvre ;
  • Dynamic, mixers de cuisine (51 p. en 2020, groupe Nadia).

Environnement[modifier | modifier le code]

Mortagne-sur-Sèvre a obtenu une 3e fleur au Concours des villes et villages fleuris (palmarès 2016).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]


Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Mortagne-sur-Sèvre Blason
D'azur au cerf d'or passant sur une divise du même.
Détails
Ce blason fut créé au XXe siècle par l'héraldiste Robert Louis.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Commune 6399 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « Mortagne-sur-Sèvre », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Mortagne-sur-Sèvre et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Mortagne-sur-Sèvre », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cholet », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Site officiel de Mortagne-sur Sèvre - La préhistoire
  19. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 636.
  20. Un cimetière mérovingien à Mortagne-sur-Sèvre (Vendée), inrap.fr, 1er février 2021
  21. Site officiel de Mortagne-sur Sèvre - Le Moyen Âge
  22. Site officiel de Mortagne-sur Sèvre - Du XVIe au XIXe siècle
  23. Site officiel de Mortagne-sur-Sèvre - Le XXe
  24. Site officiel de Mortagne-sur Sèvre - les maires depuis la Révolution
  25. « Mortagne-sur-Sèvre : Alain Pauvert réélu maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mortagne-sur-Sèvre (85151) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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