Les Essarts (Vendée)

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Les Essarts
Les Essarts (Vendée)
L'église Saint-Pierre.
Blason de Les Essarts
Blason
Les Essarts (Vendée)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Commune Essarts-en-Bocage
Intercommunalité Communauté de communes du Pays-de-Saint-Fulgent-les-Essarts
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Caroline Gilbert
Depuis 2024
Code postal 85140
Code commune 85084
Démographie
Gentilé Essartais
Population 5 395 hab. (2015)
Densité 95 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 46′ 28″ nord, 1° 13′ 37″ ouest
Altitude 89 m
Min. 55 m
Max. 116 m
Superficie 56,54 km2
Élections
Départementales Chantonnay
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Essarts-en-Bocage
Localisation
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Les Essarts
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Les Essarts
Liens
Site web Site officiel

Les Essarts sont une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.

Au , elle devient l’une des 4 communes déléguées d’Essarts-en-Bocage[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Le territoire municipal des Essarts s’étend sur 5 654 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 89 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 55 et 116 mètres[2],[3].

La commune des Essarts se trouve au croisement des autoroutes A83 et A87, sur la route départementale 160 (ancienne route nationale 720) entre La Roche-sur-Yon et Les Sables, à 55 km des Sables-d’Olonne et à 30 km du Puy du Fou.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune des Essarts est proche de 10 communes :

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le mot essart peut avoir différentes significations. Il désigne aussi bien les terres nouvellement défrichées[4], les défrichements de terrain définitifs ou les temporaires, le simple abattage de bois, l'éclaircissement de la forêt ou même de terrains vagues. L'essart désigne aussi des cultures mobiles, accompagnées de brûlements de végétaux. Le sens le plus généralement accepté aujourd'hui est celui de défrichement dans un but agricole. Mais on essartait aussi pour faire du charbon, élargir les routes ou installer une communauté humaine[5]. L'article Essart détaille les variantes de ses toponymes et leur versions étrangères.

Histoire[modifier | modifier le code]

Pré-révolution, 1789[modifier | modifier le code]

Les premières traces de la ville datent de l’époque romaine. La première mention historique des Essarts est datée de 1099 ou il est fait mention de l'église de Exartis[6]. Au Moyen Âge, on trouvait une seigneurie dans le centre de la ville, d’où l’existence d’un château-fort. Au XVe siècle la seigneurie des Essarts était rattachée à la vicomté de Thouars qui appartenait à la famille d'Amboise.

Post-révolution, 1789[modifier | modifier le code]

Pendant les guerres de Vendée, le , une bataille eut lieu au château des Essarts. Charette avait chargé Louis Pageot, un de ses lieutenants, de surprendre la garnison des Essarts. Plusieurs républicains furent faits prisonniers, puis fusillés lors du massacre de Belleville, en représailles de l’exécution de 748 émigrés et chouans lors de l'expédition de Quiberon.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands occupaient le moulin de l’Ansonnière.

La commune s’est ensuite développée dans le secteur tertiaire.

Dans le cadre du projet de loi Notre, le conseil municipal ainsi que ceux des communes de Boulogne, L’Oie et Sainte-Florence, ont décidé de la création d’une commune nouvelle à compter du [7] ; la nouvelle collectivité prendra le nom d’Essarts-en-Bocage.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Armand Batiot   Notaire
Conseiller d'arrondissement des Essarts (1845 → 1848)
Les données manquantes sont à compléter.
Louis-Armand de Lespinay Bonapartiste Maréchal de camp, baron de Lespinay et de l’Empire
Conseiller général des Essarts[8] (1848 → 1852 et 1855 → 1869)
Vice-président du conseil général de la Vendée (1856)
Armand Batiot Libéral Notaire
Conseiller général des Essarts (1869 → 1877)
Charles de Rougé Droite Propriétaire
Conseiller général des Essarts (1877 → 1883)
Les données manquantes sont à compléter.
Aristide Batiot Républicain
radical
Notaire
Charles de Rougé Droite Propriétaire
Conseiller général des Essarts (1877 → 1883)
Armand de Rougé Droite Propriétaire, rentier
Les données manquantes sont à compléter.

(décès)
Armand de Rougé Droite Propriétaire, rentier
Conseiller général des Essarts (1895 → 1909)

(décès)
Arsène Mignen PRL
puis DVD
Médecin
Conseiller général des Essarts (1909 → 1940 et 1945 → 1951)

(démission)
Marie-Joseph Mignen DVD Médecin
Conseiller général des Essarts (1952 → 1967)
André Poirault   Notaire honoraire
Paul Drouin SE Exploitant agricole
Jean-Maurice Daviet DVD Notaire
Yolande Pineau DVD Employée de mairie[9]
[10] Freddy Riffaud[7] DVD Responsable de systèmes et réseaux

Liste des maires délégués[modifier | modifier le code]

Liste des maires délégués successifs
Période Identité Étiquette Qualité
[1],[11],[12] [13]
(démissionnaire)
Freddy Riffaud   Maire d’Essarts-en-Bocage (depuis 2016)
[13] [a] Nathalie Bodet    
En cours Caroline Gilbert[16]   Maire d’Essarts-en-Bocage (depuis 2024)

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[18],[Note 1].

En 2015, la commune comptait 5 395 habitants, en augmentation de 9,08 % par rapport à 2008 (Vendée : 5,39 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
1 8441 5892 1292 1922 2232 3902 5262 7272 816
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
2 8382 8312 7602 9953 1623 3293 4783 4753 391
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
3 4423 3372 9692 8492 8422 8332 8412 7512 801
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2015 -
3 0713 3593 6313 9074 1864 7305 1235 395-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2010, Les Essarts comptait 5 063 habitants (soit une augmentation de 20 % par rapport à 1999). La commune occupait le 2 030e rang au niveau national, alors qu'elle était au 2 242e en 1999, et le 19e au niveau départemental sur 282 communes.

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (25,1 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,1 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 49,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,8 %, 15 à 29 ans = 18,5 %, 30 à 44 ans = 24,1 %, 45 à 59 ans = 20,7 %, plus de 60 ans = 15,8 %) ;
  • 50,1 % de femmes (0 à 14 ans = 19,3 %, 15 à 29 ans = 18,7 %, 30 à 44 ans = 22 %, 45 à 59 ans = 20,6 %, plus de 60 ans = 19,4 %).
Pyramide des âges aux Essarts en 2007 en pourcentage[21]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ans ou +
1,3 
5,7 
75 à 89 ans
8,0 
9,8 
60 à 74 ans
10,1 
20,7 
45 à 59 ans
20,6 
24,1 
30 à 44 ans
22,0 
18,5 
15 à 29 ans
18,7 
20,8 
0 à 14 ans
19,3 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2007 en pourcentage[22]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ans ou +
1,2 
7,3 
75 à 89 ans
10,6 
14,9 
60 à 74 ans
15,7 
20,9 
45 à 59 ans
20,2 
20,4 
30 à 44 ans
19,3 
17,3 
15 à 29 ans
15,5 
18,9 
0 à 14 ans
17,4 

Enseignement[modifier | modifier le code]

On trouve dans la commune deux écoles maternelles et primaires (école privée Notre-Dame ; école publique Gaston-Chaissac) ainsi qu'un collège privé pour Les Essarts et les communes avoisinantes (collège Saint-Pierre). Le collège public Georges-Clemenceau ouvre à la rentrée 2015[23].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Alimentaire :2 supermarchés (Super U, Lidl,) une boucherie, 2 boulangeries, un marchand de vins
  • Habillement : un cordonnier, un magasin de chaussures, une maroquinerie, un pressing, une mercerie.
  • Autres commerces : 6 cafés-restaurants, 3 cafés, 5 agences immobilières, 3 assureurs, 2 auto-écoles, 5 banques, 6 salons de coiffure + 2 coiffeuses à domicile, 2 fleuristes, 3 magasins d’informatique, 1 opticien, 2 agences notariales, 1 imprimerie, 1 librairie papeterie, 2 stations service, 4 paysagistes-pépiniaires, 1 couturière

Tourisme[modifier | modifier le code]

Environnement[modifier | modifier le code]

Les Essarts a obtenu deux fleurs au Concours des villes et villages fleuris (palmarès 2007).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le Vieux-Château : l'histoire du château remonte à l'époque romaine selon des fouilles menées en 1935 qui ont conclu à la création d'un suovetaurilia : un autel sacrificiel pour l'imploration du dieu Mars. Ensuite, le premier château fort des Essarts (un simple donjon en bois) fut construit sur une butte à l'époque féodale. À partir du XIIIe siècle, les Seigneurs des lieux firent bâtir un château en pierre. Pendant les guerres de Vendée, (1793-1796) le château fut en partie détruit. Les descendants des familles de Lespinay et de Rougé possèdent toujours le château.
  • L'église Saint-Pierre : l'église fut construite au XIXe siècle. On trouvait auparavant au même endroit une église romane, édifiée aux XIe et XIIe siècles. Elle fut incendiée pendant les Guerres de Vendée, par les Colonnes infernales. Le portail de l'ancienne église existe toujours ; il fut transporté pierre par pierre dans le parc du château.
  • La crypte : la crypte, située près de la sacristie, date du XIIe siècle. Elle fut classée monument historique en 1971.
  • Le lavoir : à l'origine, le lavoir était un bac en granit qui servait au lavage des chevaux. Plus tard, le maire Armand de Rougé y fait rajouter un lavoir avec réservoir. Les femmes du quartier s'y retrouvaient pour laver leur linge. En 1990, celui-ci fut restauré et appartient désormais à notre patrimoine.
  • L'ancienne gare : en 1898, une voie ferrée fut installée le long de la route départementale 160, reliant Cholet aux Sables-d'Olonne. À mi-chemin entre La Roche-sur-Yon et Les Herbiers, la gare des Essarts était l'une des sept stations de cette ligne ferroviaire. Le train disparait aux Essarts en 1950 au profit des autres moyens de transport. La gare devient un logement du garde-champêtre où seront construits en 1955 des bains-douches. Ceux-ci ferment en 1976, le bâtiment, aujourd'hui restauré sert d'habitation.
  • Le moulin de l'Ansonnière : le moulin de l'Ansonnière est l'un des derniers vestiges des moulins à vent que l'on trouvait sur la commune autrefois. En 1926, Alcide Gautron, dernier meunier, cesse son activité. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands l'occupent, le fortifient et le transforment en poste d'observation. En 1992, l'ensemble est racheté et réhabilité par la commune.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'hermine au chef de gueules chargé d'une grappe de raisin d'argent, feuillée de sinople, accostée de deux épis de blé d'or mouvant du trait du chef.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Associations[modifier | modifier le code]

La commune des Essarts est dotée d’associations ayant des objectifs variés. Ainsi sont présentes des associations sportives, telles que Les Korrigans Danse, le Football Club essartais, le Basket-ball essartais ou le Pays des Essarts Handball, des associations culturelles et de loisirs, telle qu’un club de musique ou un club de palets… La commune a par exemple accueilli le 13 et le Championnat du monde de Footmania. Certaines associations agissent dans le domaine agricole. D’autres encore dans le domaine social, comme le Téléthon. Enfin, des associations représentent le domaine militaire ou l’enseignement.

La commune des Essarts est également le lieu de siège social de l’équipe cycliste Vendée U, et de l’Équipe cycliste Total Direct Énergie (dont l'ancien leader Thomas Voeckler a terminé 4e à l’issue du Tour de France 2011) gérée par Jean-René Bernaudeau.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Le canton des Essarts est jumelé avec Neunkirchen-Seelscheid, en Allemagne, depuis 1991 et Bicester au Royaume-Uni depuis 1992. Neunkirchen-Seelscheid se situe dans le Land Rhénanie-du-Nord-Westphalie, près de Cologne et Bicester dans la région d'Oxford, celles-ci sont également jumelées entre elles.

Événements[modifier | modifier le code]

La commune des Essarts a été ville étape du Tour de France en 2005 et en 2011.

Tout d’abord, la ville a été l’arrivée de la deuxième étape du Tour de France 2005, reliant Challans aux Essarts.

Le dimanche , la deuxième étape du Tour de France 2011, un contre-la-montre par équipe, avait pour point de départ et d’arrivée la ville des Essarts. Le départ s’est effectué au Vieux-Château, puis les cyclistes sont allés direction Boulogne, Dompierre-sur-Yon et La Merlatière, sont revenus vers le centre-ville des Essarts. L’arrivée s’est effectuée au parc du Manoir.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. À la suite d’arrêtés préfectoraux de rétablissements des communes de L’Oie et de Sainte-Florence à partir du territoire de celle d’Essarts-en-Bocage au , le conseil municipal de cette dernière est dissous au [14],[15].
  1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Essarts en Bocage, un mois avant sa création », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  2. « Commune 21926 », Géofla, version 2.1, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2015 [lire en ligne].
  3. « Les Essarts », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  4. Les défrichements du Moyen Âge et la toponymie - Thierry Sabot - 2004 -
  5. Blache Jules. L'essartage, ancienne pratique culturale dans les Alpes dauphinoises. In: Revue de géographie alpine. 1923, tome 11 no 3. pp. 553-575. doi : 10.3406/rga.1923.5526- Consulté le 26 juin 2012.
  6. Louis Delhommeau : Églises de Vendée, vocables, titulaires et liste des documents relatifs à leur construction et à leurs travaux du XIe siècle à nos jours. 2000-2001.
  7. a et b Jean-Marcel Boudard, « Ce gars du sud qui bouscule le bocage », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  8. « Lespinay, Louis Armand de », Dictionnaire des Vendéens, , sur le site des archives départementales de la Vendée [lire en ligne]
  9. « Yolande Pineau, 44 ans au service de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  10. Loïc Tissot, « Freddy Riffaud élu maire devant deux cents Essartais », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  11. Association des maires et présidents de communautés de la Vendée, Annuaire des maires et présidents de communautés de Vendée : Édition 2020-2026, , 128 p. (lire en ligne [PDF]), p. 35.
  12. « Un deuxième mandat pour Freddy Riffaud », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  13. a et b Claire Haubry, « Freddy Riffaud est le nouveau maire délégué de Boulogne », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  14. Émilien Laquieze-Malmartel, « Le maire d’Essarts-en-Bocage annonce ne pas se représenter aux prochaines élections municipales », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  15. « En Vendée, les communes de L’Oie et de Sainte-Florence officiellement divorcées d’Essarts-en-Bocage », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  16. Patick Guyomard, « Le nouveau conseil municipal est installé à Essarts-en-Bocage », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  17. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  21. « Évolution et structure de la population », sur insee.fr (consulté le )
  22. « Résultats du recensement de la population de la Vendée en 2007 » [archive du ], sur insee.fr (consulté le )
  23. Julie L’Hostis, « Rentrée historique pour les collèges de Vendée », Ouest-France,‎ (lire en ligne)

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Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]