Frémontiers

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Frémontiers
Frémontiers
La mairie de Frémontiers, et, derrière, l'école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Alain Domart
2020-2026
Code postal 80160
Code commune 80352
Démographie
Gentilé Frémontois
Population
municipale
161 hab. (2021 en augmentation de 5,23 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 45′ 35″ nord, 2° 04′ 31″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 165 m
Superficie 12,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Frémontiers
Liens
Site web https://www.fremontiers.fr/

Frémontiers est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Frémontiers est un village rural de la vallée des Évoissons, au sud de la Somme, situé à 23 kilomètres au sud-ouest d'Amiens, à 37 km au nord de Beauvais et à 76 km au nord-est de Rouen..

Sur l'ancienne route nationale 320 (actuelle RD 320) reliant Poix-de-Picardie à Conty, il est accessible par la sortie Sortie 17 de l'autoroute A16.

En 2019, la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France[1].

La commune compte un larri (pelouse calcicole) au lieu-dit de la montagne d’Uzenneville, classé Natura 2000 pour la biodiversité remarquable qu’il abrite[2].

Localisation[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Frémontiers est drainée par le ruisseau des Évoissons, un affluent de la Selle, qui se jette elle-même dans le fleuve côtier la Somme.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 749 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 23 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Frémontiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,1 %), forêts (37 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), eaux continentales[Note 3] (3 %), zones urbanisées (2,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village était orthographié Fremoutiers en 1793, Fresmontier en 1801. Il ne prendra sa graphie actuelle qu'ultérieurement[15].

Le nom de Frémontiers viendrait d'un toponyme romain signifiant monastère entouré de frênes.

Le « suffixe » -montiers est présent également dans le patronyme Forest-Montiers qui fait référence à un monastère.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'église est datée du XIVe siècle[16].

Deux châteaux sont mentionnés du IXe siècle au XVIe siècle :
- au nord celui du mont Pertuy. À proximité, le lieudit la Justice évoque la présence probable d'une potence[16] ;
- à l'ouest, le château de Lamotte, qui sera réuni à la seigneurie de Famechon.

Ces deux constructions ne sont plus que des ruines en 1899[16].

Les traces d'un couvent témoignent de l'établissement d'un lieu de culte ancien[16].

La seigneurie dépendait de la châtellenie de Conty et de la seigneurie de Wailly (château de mont Perthuy).

Une construction massive, édifiée au chef-lieu avant la Révolution, est désignée par le nom de château en 1899. Elle est un pied-à-terre pour la comtesse de la Rochefoucault, descendante des de Morgan[16].

Durant la guerre franco-allemande de 1870, les troupes allemandes ont séjourné dans le village en 1870-1871. Deux jeunes ont trouvé la mort pendant les combats dus à cette guerre.

Il existait encore en 1899 le hameau de Uzenneville, situé à un kilomètre du chef-lieu et qui comptait alors comptait 68 habitants[16].

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Durant la Seconde Guerre mondiale, le village fut le lieu de combats le , lors de la bataille de France, pour tenter de freiner l'ennemi à partir de la position surplombante que constituait le plateau. Lors de la bataille de Frémontiers, 33 soldats du troisième bataillon du 21e régiment d’infanterie sont tués par l'envahisseur allemand.

Ils avaient tenté de s’opposer à l’ennemi qui franchissait la rivière de Poix. Un monument en mémoire de cet événement se trouve sur la route de Brassy[17].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Conty[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton d'Ailly-sur-Noye.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du canton de Conty, créée par un arrêté préfectoral du 23 décembre 1996, et qui s’est substituée aux syndicats préexistants tels que le SIVOM et le SIVU de la coulée verte. Cette intercommunalité est renommée communauté de communes du Contynois en 2015, à la suite de la disparition du canton.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d’Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[18],[19]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[20], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[21].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest, dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [22].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1933   Joseph Debeauvais    
1936   Gédéon Harger    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Geneviève Culot    
mars 2008[23] 2009 Philippe Harger    
2009 En cours
(au 8 octobre 2020)
Alain Domart   Réélu pour le mandat 2020-2026[24],[25]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 161 habitants[Note 4], en augmentation de 5,23 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
248265270271341343347345338
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
348340391303281269244262218
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
233223185173188168189186180
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
164163165141146180180172151
2014 2019 2021 - - - - - -
155157161------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Une randonnée mycologique est organisée par la communauté de communes et la Société linnéenne de Picardie à l'automne dans le Bois de Frémontiers. La 9e édition a eu lieu le 15 octobre 2016[29].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Chapelle funéraire, près de l'église. Ce fut la sépulture du dernier seigneur local, Paul François Roussel, et de sa fille[33].
  • Moulin à eau de 1797, sur la rive gauche du ruisseau des Évoissons, mitoyen de l'église et face à l'ancien manoir seigneurial dont il dépendait.
Le moulin a été reconstruit vers 1797 sur un site où des moulins sont attestés de longue date, puisque la première mention d'un moulin hydraulique à Frémontiers apparaît dans une cession de 1296 par, notamment, messire Raoul de Sens et messire Enguerrand de Lœuilly à l'abbaye Saint-Germer-de-Fly Logo monument historique Inscrit MH (1990)[34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Un enfant de la commune, le sergent Choffin, a perdu la vie pendant la conquête de Madagascar[16].

Le sergent-chef Maurice Vitrey, tué pendant la Bataille de France au début de la Seconde Guerre mondiale. Une stèle commémorative particulière a été édifiée dans la forêt de la vallée du Talon, au bord d‘un chemin, là où il est tombé[36].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • J.F. Leblond, « Le moulin de Frémontiers sur les Évoissons », Terre picarde,‎

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. Thierry Griois, « Le larris de la montagne d’Uzenneville renaît à Frémontiers : Depuis janvier 2021, un demi-hectare du larris communal, qui bénéficie du label Natura 2000 pour la biodiversité remarquable qu’il abrite, est l’objet d’un chantier de débroussaillage pour restaurer ses pelouses sèches d’intérêt européen. Il sera ensuite entretenu par des moutons et des chèvres », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Frémontiers et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. a b c d e f et g Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur de Frémontiers, Achille Carbonnier, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens
  17. « Un livre d'histoire sur la commune », Le Courrier picard,‎ , p. 19.
  18. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  19. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  20. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  21. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  22. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  23. Source : Hebdomadaire Le bonhomme picard du 26 mars 2008
  24. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires en place : Alain Domart, maire sortant, a été reconduit dans ses fonctions lors de la première réunion du nouveau conseil municipa », Le Bonhomme Picard, édition de Grandvilliers, no 3285,‎ , p. 25.
  25. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Sylvie Godin, « Le bois de Frémontiers, un trésor à champignons : Le 15 octobre, une randonnée mycologique est organisée par la communauté de communes et la Société linnéenne de Picardie », Le Courrier picard, édition de Grandvilliers, no 3414,‎ , p. 27.
  30. Roger Agache, La Somme pré-romaine et romaine d'après les prospections aériennes à basse altitude, Société des antiquaires de Picardie, Musée de Picardie, Amiens, 1978, pp. 326 et 355.
  31. « L'église Saint-Pierre », notice no PA00116161, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Le Courrier picard, région d'Amiens, 23 juin 2013, p. 11.
  33. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 154 (ASIN B000WR15W8).
  34. Notice du moulin de Frémontiers sur le site Des machines et des hommes en Picardie
  35. Picardie Nature
  36. « La stèle du soldat Maurice Vitrey rénovée », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).