Bosquel

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bosquel
Bosquel
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Gérard Glorieux
2020-2026
Code postal 80160
Code commune 80114
Démographie
Population
municipale
341 hab. (2021 en augmentation de 5,57 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 23″ nord, 2° 13′ 09″ est
Altitude Min. 74 m
Max. 157 m
Superficie 9,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Noye
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bosquel
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bosquel
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Bosquel
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Bosquel

Bosquel est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Bosquel est un village rural du plateau picard, situé entre Beauvais et Amiens, sur un petit promontoire formé par les vallées de la Selle et de la Noye, situé sur l'ancienne route nationale 320 (actuelle RD 920) de Dieppe à Moreuil.

La commune est desservie par la sortie Sortie 17 de l'autoroute A16.

Localisation[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 728 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 14 km à vol d'oiseau[3], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bosquel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,4 %), zones urbanisées (4,5 %), forêts (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Bosculus ; Boskeel (1248.) ; Bosquel (1248.) ; Boskellum (1257.) ; Bosquellum (1295.) ; Bosquet (1648.) ; Bocquel (1657.) ; Bosquet (1673.) ; Bosquel (1692.) ; Boquet (1710.) ; Boquet (1761.) ; Bosquets (1778.)[14].

Bosquel dérive de Bosc et signifie petit bois.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Les traces d'une villa gallo-romaine ont été retrouvées près du Mont Martin (en direction de Rogy).

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Vers le VIe siècle, un prieuré s’installe au Bosquel, défriche la forêt de la Selle et crée un domaine agricole.

Du XIe au XIIIe siècle, les défrichements se poursuivent, menés par des nobles dépendant des seigneurs de Conty. Une paroisse regroupe les habitants autour du prieuré.

Epoque contemporaine[modifier | modifier le code]

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

À partir de 1820, le village s'industrialise autour de l'activité textile à domicile, entraînant une forte croissance démographique, puisque le Bosquel passe de 250 habitants en 1800 à 1178 en 1850. L'évolution économique de l'industrie textile amène à une baisse d'activité, qui réduit l'effectif de la commune à 716 habitants en 1867.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Au début de la Seconde Guerre mondiale, pendant la bataille de France, du 5 au , l'armée française essaie de résister à l'avancée de l'armée allemande, et le village est défendu par le 50e régiment d'infanterie. Le village fut bombardé par les avions allemands Stuka[15]. À l'issue des combats, 95 % du village est détruit[16] : sur 117 maisons, 85 sont anéanties, 21 sont très sinistrées et 4 demandent des travaux de consolidation[17]. Les habitants, évacués le 6 juin, rentrent entre la deuxième quinzaine de juin et septembre 1940. Pour se loger, ils aménagent des caves restées intactes et construisent des baraques avec des planches, des tôles ondulées et des matériaux découverts dans un dépôt voisin. Ils remettent leurs terres en culture, non sans danger en raison des grenades et des obus non explosés[18]

Dès 1941[19], le village a été concerné par un plan de reconstruction conçu par l'architecte Paul Dufournet[20],[21], assisté de Jean Bossu[22],[23], destiné à permettre de réinstaller les habitants, mais également à permettre le développement agricole du pays, tel que prôné par le gouvernement de Vichy. Ce projet, dont la mise en œuvre a été permise par un remembrement achevé en 1944, s'est poursuivi après la Libération[17].

Après guerre[modifier | modifier le code]

Le projet de reconstruction est men" à bien après 1945 sous l'impulsion de Raoul Dautry, ministre de la Reconstruction[15]. Dans ce cadre, ont été réalisés les bâtiments publics (église Saint-Blaise et mairie-école) ainsi que la plupart des fermes. Diverses expériences de constructions éco nomiques ont alors été menées, telles que la réalisation de deux habitations, dont la Ferme Quesnel, une étable et un bâtiment agricole en béton de terre stabilisée[24]. Le résultat de certains essais n'étant pas satisfaisant, la reconstruction se poursuit de manière plus traditionnelle en ciment, béton armé et briques ou parpaings de terre (pour les dépendances).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Conty[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton d'Ailly-sur-Noye.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du canton de Conty, créée par un arrêté préfectoral du 23 décembre 1996, et qui s’est substituée aux syndicats préexistants tels que le SIVOM et le SIVU de la coulée verte. Cette intercommunalité est renommée communauté de communes du Contynois en 2015, à la suite de la disparition du canton.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d’Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[26],[27]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[28], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[29].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest, dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [30].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 30 mai 2020)
Gérard Glorieux[31]  
Réélu pour le mandat 2020-2026[32]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 341 habitants[Note 3], en augmentation de 5,57 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
540530615704688742739769796
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
786789716689671587556515468
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
394399361299257249244365276
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
250296254280303293290297298
2014 2019 2021 - - - - - -
324336341------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les communes du Bosquel et Flers-sur-Noye sont organisées en regroupement pédagogique et relèvent du secteur du collège Jules Ferry de Conty[36].

L'école primaire Les 20 000 Pierres compte 90 élèves à la rentrée 2019. Elle est située en zone B, dans l'académie d'Amiens[37].

Économie[modifier | modifier le code]

Le village a essentiellement une activité agricole, mais on note également la présence des Constructions Métalliques Bosquelloises.

L'ex-communauté de communes du Contynois a commencé à aménager une zone d'aménagement concerté (ZAC) à vocation économique près de la sortie d'autoroute, mais n'a pas les moyens d'achever ce projet. Il devrait être mis en œuvre par la nouvelle communauté de communes Somme Sud-Ouest, dont la taille et les moyens sont supérieurs[38].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Par suite de la destruction de la commune en 1940, il n'y subsiste pas de constructions anciennes. De nombreux bâtiments datent de la reconstruction.

  • Église Saint-Blaise, toute en brique, reconstruite après la Seconde Guerre mondiale.
  • Vierge de Lourdes dans le bois de la Rayoire[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Aux Armes (no 19 - juin 1946) - Revue du peuple français et de son armée : l'expérience du Bosquel (Somme) - 6 pages illustrées (article sur la reconstruction à la suite de la Seconde Guerre mondiale).
  • Louis Miquel, Paul Dufournet, Jean Boussu, Maurice Grandjean, Christian Trudon et Robert Le Ricolais, MRU, Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, Le village du Bosquel, Liège, Institut francais d'architecture & Mardaga, , 271, 283-284.
  • Film réalisé par Paul Dufournet (1941-1946) : [vidéo] Le Bosquel, un village renaît sur Dailymotion.
  • Marie-Christine Zelem, 1991, « Reconstruction ou modernisation ? Un village après la tempête : le Bosquel en Picardie ». Paris, Mission du Patrimoine ethnologique, 93 p [lire en ligne].
  • Xavier Dousson, « La reconstruction du village témoin du Bosquel dans la Somme après 1940. Récit, ambitions et paradoxes d’une opération singulière », In Situ, revue des patrimoines, no 21 « De l'art de bâtir aux champs à la ferme moderne »,‎ (lire en ligne).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Bosquel et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Trans80, Abbeville »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur trans80.hautsdefrance.fr.
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 140 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. a et b Le Courrier picard, 14 octobre 2021
  16. (en) « Resurrection », Time,‎ (lire en ligne).
  17. a et b Source : panneaux touristiques du Pays Somme Sud Ouest implantés dans le village.
  18. « Le Bosquel : un projet rural urbaniste d'après guerre » [vidéo], sur ina.fr, France 3, (consulté le ).
  19. « La reconstruction du Bosquel », Le progrès de la Somme,‎ .
  20. « Fonds Dufournet, Paul (1905-1994). 293 AA »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la Cité de l'Architecture et du patrimoine (consulté le ).
  21. [PDF] Dimitri Claudéon, Jean-Yves Kind, Ludovic Klawinski, « Archives départementales de la Somme : Plans de reconstruction et d'urbanisme (Inventaire de la sous série 70W_CP) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), (consulté le ).
  22. « Fonds Bossu, Jean (1912-1983). 368 AA »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la Cité de l'Architecture et du patrimoine (consulté le ).
  23. « Village de Bosquel (Somme) : reconstruction. 1941-1953 », Fonds Bossu, Jean (1912-1983). 192 Ifa, Archiwebture, Cité de l'architecture et du patrimoine (consulté le ).
  24. « Construction en pisé », sur le site d'écotopie (consulté le ).
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  27. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  28. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  29. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  30. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  31. https://reader.cafeyn.co/fr/1926696/21599649
  32. « Gérard Glorieux élu sans souci au poste de maire », Le Courrier picard, édition de l'Oise, no 22190,‎ , p. 17.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Monique Biéri, « Plus d'enfants en 6è à la rentrée », Courrier picard,‎ , p. 22.
  37. « L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale » (consulté le ).
  38. « Le Bosquel : Plus de 600 000 € dépensés pour une ZAC désespérément vide : Le néant de la zone d’aménagement concerté du Contynois alimente la discorde entre un administré et les élus, qui eux, défendent le projet bec et ongles », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  39. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 160 (ASIN B000WR15W8).