Crépy-en-Valois
Crépy-en-Valois | |
La façade principale ouest de l'Hôtel de ville. | |
Héraldique |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Hauts-de-France |
Département | Oise |
Arrondissement | Senlis |
Intercommunalité | Communauté de communes du pays de Valois |
Maire Mandat |
Bruno Fortier (SE) 2014-2020 |
Code postal | 60800 |
Code commune | 60176 |
Démographie | |
Gentilé | Crépynois |
Population municipale |
14 968 hab. (2014) |
Densité | 919 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 14′ 09″ nord, 2° 53′ 24″ est |
Altitude | Min. 62 m Max. 150 m |
Superficie | 16,28 km2 |
Élections | |
Départementales | Crépy-en-Valois (chef-lieu) |
Localisation | |
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Crépy-en-Valois est une commune française située dans le département de l'Oise en région Picardie.
Ses habitants sont appelés les Crépynois.
Géographie
Crépy-en-Valois est située à 60 km au nord est de Paris, au cœur du Valois, région d'openfield, domaine de la grande culture industrielle (céréales, betteraves, oléagineux, légumes de plein champs). La commune est desservie par la gare de Crépy-en-Valois, située sur la ligne de La Plaine à Hirson et Anor (frontière) et desservie par les trains de la ligne K du Transilien (Paris-Nord - Crépy-en-Valois) ainsi que par ceux du TER Picardie (Paris - Laon).
La commune se situe à proximité de la RN 2 et de l'A1. L'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle est accessible en environ 25–30 minutes en voiture.
La ville constitue la limite sud du domaine linguistique picard (contrairement au Nord de la France, le picard n'est plus parlé dans le Valois)[réf. nécessaire].
Crépy-en-Valois est la capitale française du tir à l'arc.
Le 1er décembre 2011, la ville inaugure une ligne d'autobus pour les transports urbains[1].
Toponymie
Pour Crépy : Crispeium in Valesia (IXe siècle), Crispiacus, Crispinacum, Crispeiacum, Crespeium (1504), Crispiacum (1223), Chrispeyum, Crispeium sylvanectum, Crespy, Crépi, Crespi, Crespei[2].
Pour Bouillant[à définir] : Bouillencum, Boullientum, Boilglant (IXe siècle), Boillant (1220), Bollant, Boilgland, Bouilland, Bouillant-Germinal (1794)[3].
Pour Mermont[à définir] : Meromons (1108), Maromont (1162), Merimons (1163), Méremont (1836)[4].
Histoire
Le site de Crépy-en-Valois a été probablement occupé par les Romains.
Périodes médiévale et moderne
À partir du Xe siècle, Crépy-en-Valois devient la résidence des comtes du Valois, puissants vassaux des rois de France jusqu'en 1213, date à laquelle le Valois est intégré au domaine de la Couronne. Donné en apanage, il revient ainsi à Louis d'Orléans qui le transforme en duché.
Crépy-en-Valois connaîtra une prospérité économique aux XIIe et XIIIe siècles avec les foires de Champagne, la ville se trouvant sur l'une des routes entre la Flandre et la Champagne (cf. Louis Carolus-Barré, "Crépy-en-Valois, ville de commune" in Volum n°1, Bulletin de la société d'histoire et d'archéologie du Valois, janvier 2007). Mais, la cité est touchée par la guerre de Cent Ans. Par ailleurs, dès le XVIe siècle, Villers-Cotterêts est préférée par les rois de France. La ville connaît alors un lent déclin jusqu'à la Révolution française.
Période contemporaine
Sous la Révolution française, la société populaire de Crépy est particulièrement active (cf Jacques Bernet, Annales Historiques Compiégnoises, n°31).
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Il faut attendre l'arrivée du chemin de fer en 1861 et de la construction de l'usine d'ameublement Clair en 1873 (cf. Jean-Marie Tomasini, 1987) pour que la ville retrouve une vitalité économique. La ville connaît un essor remarquable sous l'ère du maire Gustave Chopinet (mayorat,1888-1918). En 1902, le conseil municipal se divise sur fond de querelles religieuses au point qu'il est dissous en Conseil des ministres, le 29 juin 1902 (cf. Éric Dancoisne, Annales historiques compiégnoises N°103-104, automne 2006)
Gustave Chopinet est pris en otage avec une dizaine d'autres Crépynois le 2 septembre 1914 au moment de l'invasion allemande. Son acte de bravoure lui vaut d'obtenir la Légion d'honneur en 1917. La ville souffre particulièrement des bombardements allemands en 1918. L'usine Clair est en partie détruite. Les années d'après-guerre sont marquées par la cherté de la vie, une crise de logements sévère. Sous l'action de Jean Vassal (1919-1953) sont réalisées les premières HBM.
Le socialiste SFIO Jean Vassal est maintenu par Vichy sous l'Occupation nazie. En septembre 1944, il est déposé par les FFI locaux. Mais contre toute attente, c'est le préfet gaulliste Yves Pérony qui le maintient. En novembre 1944, Jean Vassal est exclu de la SFIO. Il rejoint le RPF en 1948. cf. Eric Dancoisne, Jean Vassal, député-maire de Crépy-en-Valois, 1870-1953. Du radical socialisme au gaullisme. Société d'histoire moderne et contemporaine de Compiègne, 2008, 253 pages.
Exploitant les divisions de la gauche crépynoise, le docteur Michel Dupuy remporte les élections municipales de 1953. Sous ses différents mandats, la ville passe de 5 000 habitants à 14 000 habitants à son départ en 1995.
Les enfants victimes de la catastrophe autoroutière de Beaune le 31 juillet 1982 habitaient Crépy-en-Valois. L'accident de Beaune fit 53 morts, dont 44 enfants de moins de 15 ans.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Jumelages
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[6],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 14 968 habitants, en augmentation de 8,16 % par rapport à 2009 (Oise : 2,1 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20,2 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois supérieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,9 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 48,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 20 %, 15 à 29 ans = 21,5 %, 30 à 44 ans = 19,1 %, 45 à 59 ans = 22,1 %, plus de 60 ans = 17,3 %) ;
- 51,9 % de femmes (0 à 14 ans = 17 %, 15 à 29 ans = 19,7 %, 30 à 44 ans = 19 %, 45 à 59 ans = 21,4 %, plus de 60 ans = 22,9 %).
Enseignement
La ville de Crépy-En-Valois dispose de six groupes scolaires (maternelles + élémentaires), deux collèges (collège Jean-de-la-Fontaine, collège Nerval) ainsi que deux lycées (lycée Jean-Monnet et lycée Robert-Desnos)
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments historiques
Crépy-en-Valois compte treize monuments historiques sur son territoire, dont deux sont classés et onze inscrits. Un quatorzième monument a été détruit pendant la Seconde Guerre mondiale ; il s'agissait d'une maison du XIIIe siècle au 9 rue Nationale, inscrite par arrêté du 8 mai 1933[11].
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Ruines de la collégiale Saint-Thomas, rue de la Hante ; vue depuis le sud-est.
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Les ruines de l'abbatiale de l'ancienne abbaye Saint-Arnould, place Saint-Simon.
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La façade orientale du château ; à gauche, la chapelle Saint-Aubin.
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Vue d'ensemble de l'église Saint-Denis depuis le nord-ouest.
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La façade occidentale de l'église du hameau de Bouillant.
- Les restes de la collégiale Saint-Thomas de Cantorbéry, classées Monuments historiques par liste de 1875[12], rue de la Hante, à l'ouest du centre-ville. Les éléments les plus anciens de l'église remontent au XIIe siècle.
- Les restes de l'abbaye Saint-Arnoul(d), place Saint-Arnoul et place Saint-Simon, à l'extrémité nord-ouest de la cité fortifiée, inscrites Monuments historiques par arrêté du 24 février 1943 (vestiges de l'abbaye) et par arrêté du 9 mars 1979 (porte d'entrée)[13]. Cette abbaye fut une fondation de 1008, rattachée à l'ordre de Cluny[14].
- Ancien château Saint-Aubin, rue Gustave-Chopinet, inscrit Monument historique par arrêté du 3 avril 1926[15], rue Gustave-Chopinet : Bâtiments des Xe et XIIIe siècles, surplombant le rempart sud. Le complexe architectural comprend la chapelle Saint-Aubin, bâtie vers 1170-1180 par Thibault III de Crépy-Nanteuil. Son fils Philippe Ier édifie, accolée à celle-ci, une noble demeure seigneuriale surplombant les remparts de la ville médiévale, peu après la victoire de Bouvines (1214) qui le vit combattre aux côtés de son suzerain le roi de France Philippe Auguste. Au XVIe siècle, le château devient le siège de l’administration du duché de Valois. Au XVIIIe siècle, les sous-sols se muent en une prison où le poète Gérard de Nerval passe une glaciale nuit d’octobre.
- Église Saint-Denis, rue Saint-Denis, inscrite Monument historique par arrêté du 29 novembre 1977[16].
- Église du hameau de Bouillant, rue de l'Église, inscrite Monument historique par arrêté du 23 février 1951[17]. Le transept et le chœur sont ruinés.
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L'hôtel de la Rose de 1537, au 11 place Gambetta.
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Maison Le Corandon du XVe siècle, chemin de la Poterne, derrière le rempart sud.
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Maison du XVIe siècle, probablement l'ancien grenier à sel, au 18 rue de la Cloche.
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L'hôtel Saint-Joseph de 1649, au 13 rue du Four, à l'angle avec la rue Alphonse-Cardin.
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L'hôtel et le site de Fond-Marin, chemin de la Terrière ; vue depuis le château.
- Hôtel de la Rose de 1537, 11 place Gambetta, inscrit Monument historique par arrêté du 8 février 2001[18].
- Maison « Le Corandon » du XVIe siècle, chemin de la Poterne, inscrit Monument historique par arrêté du 7 novembre 1979[19].
- Maison du XVIe siècle, 18 rue de la Cloche ; portail et vantaux inscrits Monuments historiques par arrêté du 4 août 1978[20]. La maison est probablement issue de la transformation de l'ancien grenier à sel.
- Hôtel Saint-Joseph de 1649, 13 rue du Four ; portail et vantaux inscrits Monuments historiques par arrêté du 8 mai 1933[21].
- Site du Fond-Marin, chemin de la Terrière ; nymphée, lavoir, bassin, installation hydraulique inscrits Monuments historiques par arrêté du 14 mai 2003[22]. Il s'agit du parc d'un hôtel particulier du XVIIe siècle. Ce parc n'est pas visible depuis le domaine public.
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Maison dite des Quatre Saisons, XIVe siècle et 1758, 15 place Gambetta.
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Maison dite ancien hôtel d'Orléans ou maison Jeanne-d'Arc, 17 rue Jeanne-d'Arc.
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Les vestiges de la porte de Paris, dont la construction eut lieu entre 1788 et 1792.
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Rempart sud, rue des Remparts / chemin des remparts ; vue partielle.
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La porte Sainte-Agathe, du nom d'une ancienne paroisse dans ce quartier, rue Goland (remparts sud).
- Maison dite des Quatre Saisons, 15 place Gambetta ; élévation (façade de 1758) inscrite Monument historique par arrêté du 8 mai 1933[23].
- Ancien hôtel d'Orléans ou maison Jeanne d'Arc, 17 rue Jeanne-d'Arc, inscrit Monument historique par arrêté du 30 mars 1978[24] : Maison des XIVe et XVe siècles.
- Porte de Paris de 1788-1792, rue Charles-de-Gaulle, classée Monument historique par arrêté du 26 mai 1951[25].
Autres éléments du patrimoine
- Remparts nord et sud, et la porte Sainte-Agathe, rue Goland.
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L'hôtel de la Belle-Image, au 1 rue Lamartine. Le nom vient de la statue à l'angle.
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Le château de Geresme, façade méridionale, partie la plus ancienne (aile est).
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L'un des étangs du parc à l'anglaise de Geresme, au fond de la vallée.
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Le cimetière, et vue sur la vallée depuis la terrasse devant l'abbaye St-Arnould.
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La fontaine Sainte-Agathe, au bassin en bas de l'escalier, rue Sainte-Agathe.
- Hôtel de la Belle-Image, 1 rue Lamartine : Hôtel particulier construit vers 1610, qui présente à l'angle une statue d'un évêque portant sa tête entre ses mains.
- Château et parc de Geresme, rue Gérard-de-Nerval, à l'ouest de la ville : vaste jardin public, dans le style d'un jardin anglais, situé dans un vallon arboré, avec des fabriques, des étangs, des enclos avec des animaux et des jeux pour enfants.
- Cimetière derrière l'église Saint-Denis, sur plusieurs terrasses sur la pente septentrionale de la butte sur laquelle est bâtie la vieille ville, traversé par un sentier en lacets menant au pied du rempart nord.
- Fontaine Sainte-Agathe, rue Sainte-Agathe.
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Porte et balcon de l'ancien Hôtel de ville, sur la place devant la salle des fêtes, rue Nationale.
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Monument aux morts dans la ruine la collégiale Saint-Thomas, œuvre du sculpteur Albert Bartholomé.
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Détail du tombeau de Mme Bartholomé par son époux, au hameau de Bouillant, devant l'église.
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Calvaire à la fourchette entre les rues Goland et des Fossés, en bas du rempart sud.
- Porte et balcon de l'ancien Hôtel de ville sur la place devant la salle des fêtes municipale, rue Nationale.
- Monument aux morts par le sculpteur Albert Bartholomé, dans l'ancienne nef de la collégiale Saint-Thomas (voir ci-dessus).
- Tombeau de Mme Bartholomé, par son époux Albert Bartholomé, devant l'église de Bouillant (voir ci-dessus).
- Calvaire en bas de la porte Sainte-Agathe, dans la fourchette des rues Goland et des Fossés.
Le musée de l'Archerie et du Valois
Le musée de l’Archerie et du Valois a ouvert en 1949 dans le château Saint-Aubin (voir ci-dessus). La collection sur l'Archerie est unique en France et témoigne de la diversité et de l’évolution des pratiques liées au tir à l'arc. Le musée présente des armes préhistoriques élaborées il y a plus de 10 000 ans, des arcs des champions olympiques ainsi que les dernières innovations des facteurs d'arcs de chasse. Loin de se cantonner à la sphère occidentale, les collections évoquent la présence de l’arc sur tous les continents. Aujourd’hui, les compagnies d’arc du Valois, comme de la Picardie et de lÎle-de-France, entretiennent fidèlement les traditions du « noble jeu d'Arc ». Les collections du musée montrent cet attachement : tir de l’abat l’oiseau dont le vainqueur est désigné roi de la compagnie pour l’année, bouquet provincial qui les rassemble toutes selon un rituel immuable, attachante figure de saint Sébastien, patron des archers depuis le Moyen Âge.
L'autre volet du musée est l'art sacré du Valois. Les salles hautes du musée abritent une riche collection d'art sacré du Moyen Âge au XIXe siècle, dont se détache un bel ensemble de statues médiévales et Renaissance, provenant de plus d’une trentaine d’églises et chapelles du Valois.
Personnalités liées à la commune
- Jean Racine
- Philippe d'Alsace
- Louis d'Orléans
- Henri IV
- Gaston d'Orléans
- Laurent Grimbert
- Charles-Antoine Leclerc de La Bruère
- Laurent Bouchel
- Adolphe de Waru
- Arnouph de Cambronne (en)
Héraldique
Les armes de Crépy-en-Valois se blasonnent ainsi : d'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules. |
Voir aussi
Bibliographie
- Maryse Bideault et Claudine Lautier, Île-de-France Gothique 1 : Les églises de la vallée de l'Oise et du Beauvaisis (Collégiale Saint-Thomas-de-Cantorbéry), Paris, A. Picard, , 412 p. (ISBN 2-7084-0352-4), p. 192-195
- Dr Alfred Bourgeois, Histoire de Crépy et de ses dépendances, de ses seigneurs, de ses châteaux et de ses autres monuments, depuis l’époque la plus réculée jusqu’à nos jours, dans : Comité Archéologique de Senlis, Comptes-rendus et Mémoires, année 1867 : p. 3-66 et 175-248 Lire sur Gallica ; année 1868 : p. 115-156 Lire sur Gallica ; et années 1869-71 : p. 59-82 Lire sur Gallica; Imprimerie de Charles Duriez / d'Ernest Payen, Senlis 1868, 1869 et 1872, 204 p. au total.
- Jean Mesqui, Île-de-France Gothique 2 : Les demeures seigneuriales, Paris, Picard, , 404 p. (ISBN 2-7084-0374-5), p. 160-170
- Jean Mesqui, « Le château de Crépy-en-Valois : palais comtal, palais royal, palais féodal », Bulletin monumental, Paris, Société Française d'Archéologie, vol. 152, no III, , p. 257-312 (ISSN 0007473X[à vérifier : ISSN invalide], lire en ligne [PDF])
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Ligne de bus de la ville.
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Vlois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 78.
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Vlois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 112.
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Vlois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 114.
- « Le président et ses vice-présidents... présentation. », Bonjour Valois, no 8, , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « Évolution et structure de la population à Crépy-en-Valois en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Notice no PA00114664, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Collégiale Saint-Thomas », notice no PA00114659, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Abbaye Saint-Arnould », notice no PA00114655, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Jean-Pierre Trombetta, « L'architecture religieuse dans l'ancien Diocèse de Senlis (1260-1400) », Société d'Histoire et d'Archéologie de Senlis, Comptes-rendus et mémoires, Senlis, Imprimeries Réunies, 1971-72, p. 40-42.
- « Château Saint-Aubin », notice no PA00114656, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Église Saint-Denis », notice no PA00114658, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Église de Bouillant », notice no PA00114657, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel de la Rose », notice no PA60000035, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison « Le Corandon » », notice no PA00114665, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison du XVIe siècle », notice no PA00114660, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Hôtel Saint-Joseph », notice no PA00114661, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Site du Fond-Marin », notice no PA60000052, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite des Quatre Saisons », notice no PA00114662, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Ancien hôtel d'Orléans », notice no PA00114663, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Porte de Paris », notice no PA00114666, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture