Albiac (Lot)

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Albiac
Albiac (Lot)
Mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Marie Berthoumieu
2020-2026
Code postal 46500
Code commune 46002
Démographie
Gentilé Albiacois
Population
municipale
80 hab. (2021 en augmentation de 1,27 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 46′ 00″ nord, 1° 48′ 43″ est
Altitude 386 m
Min. 324 m
Max. 430 m
Superficie 3,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gramat
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gramat
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Albiac
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Albiac
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Albiac
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Albiac
Liens
Site web albiac.fr

Albiac est une commune française située dans le nord-est du département du Lot, en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau du Morou et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (« géoparc des causses du Quercy ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Albiac est une commune rurale qui compte 80 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 332 habitants en 1806. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gramat. Ses habitants sont appelés les Albiacois ou Albiacoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Commune du Quercy située dans le Limargue.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes d’Albiac[1]
Saignes
Bio Albiac[1] Aynac
Issendolus Thémines

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 121 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lunegarde à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 828,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].

La commune fait ainsi partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[10]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[11],[12]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy, faisant dès lors partie du Réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[13],[14].

La commune fait également partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[15],[16].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[17] : le « Secteur bocager de bois de Valon, Font Rebonde et pech Mezo » (533 ha), couvrant 5 communes du département[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Albiac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[19],[I 1],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gramat, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (68,6 %), forêts (21,2 %), terres arables (10,2 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Albiac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Albiac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Albiac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain[25].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 43 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 43 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestée sous la forme Albiaco en 967 dans une charte du cartulaire de l'abbaye de Beaulieu, Le Bias en 1835[28].

Le toponyme Albiac est basé sur l'anthroponyme gallo-romain Albinius, qui passe à Albius avec la terminaison -acum. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. C'est le nom du domaine d'Albinius[29].

Histoire[modifier | modifier le code]

D'après Alain Trémoulet, des traces anciennes, au lieu-dit Goudounesque, attesteraient de la présence des Ligures à Albiac. Une villa et une voie romaine aurait aussi contribué au développement du village[30].

Une première chapelle primitive de christianisation aurait été érigée entre les VIIIe et IXe siècles. Elle se situe sous le chœur de l'église actuelle. Quatre piliers préromans ont été découverts lors de travaux d'assainissement en 1994, autour le l'abside de l'église. Les cartulaires de Cahors et de Beaulieu-sur-Dordogne nomme l'église « Sancti Petri de Albiaco »[30].

Cette chapelle a évolué en prieuré carolingien subordonné au monastère Saint-Pierre de Marcilhac-sur-Célé[30]. Au milieu du Xe siècle, le prieuré fut vendu par les moines de Marcilhac à Hugues II, baron de Castelnau-Gramat qui en firent don à l'évêque de Cahors en 986. Le prieuré était rattaché à la vicairie d'Aynac (vicaria Aasnacencis). Il était dirigé par un prieur, secondé par un à trois abbés. Il fut remplacé par un prieuré gothique, régit par la règle de saint Benoît et construit entre 1250 et 1330, à côté de l'église Saint Pierre. L'approvisionnement en eau provenait de la fontaine du Théron et d'un puits de l'ancien château mentionné au Xe siècle. Les activités religieuses cessèrent avant 1370, à la suite des destructions de la guerre de Cent Ans[30].

Saint Pierre d'Albiac devient alors une simple église dépendante de l'archiprêtré de Thégra. La paroisse eut à subir des actes de violences et de destruction lors des guerres de religion. Le château appartenait à la famille de Roquemaurel vers 1670[30].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[31]
Période Identité Étiquette Qualité
1793 1794 Guillaume Brunet    
1794 1797 Pierre Turene    
1797 1798 Guillaume Tartoire    
1798 1799 Guillaume Brunet    
1800 1802 Pierre Andre    
1802 1806 Jean Louis Pradie    
1806 1808 Pierre Turenne    
1808 1813 Pierre Andre    
1813 1817 Jean Baptiste Prouillac(de)    
1817 1823 Jean Louis Pradie    
1823 1848 Jean Louis Laporte    
1848 1856 Ambroise Nastorg    
1856 1871 Arsène Lacarriere    
1871 1896 Géraud Bergougnoux    
1896 1907 Julien Fontanille    
1907 1947 Joseph Lacarriere    
1947 1974 Henri Rougie    
1974 2008 Julien Rougié    
2008 En cours Marie Berthoumieu    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 80 habitants[Note 4], en augmentation de 1,27 % par rapport à 2015 (Lot : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
248330332235222237244242240
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
218210197193193176175142141
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1401351291191091181089793
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
867770726066778973
2021 - - - - - - - -
80--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 4] 6,4 % 1,8 % 4,4 %
Département[I 5] 7,3 % 8,9 % 9,6 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 41 personnes, parmi lesquelles on compte 75,6 % d'actifs (71,1 % ayant un emploi et 4,4 % de chômeurs) et 24,4 % d'inactifs[Note 5],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gramat, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 7]. Elle compte 13 emplois en 2018, contre 19 en 2013 et 23 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 30, soit un indicateur de concentration d'emploi de 43,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,7 %[I 8].

Sur ces 30 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 8 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 84,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 12,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

6 établissements[Note 6] sont implantés à Albiac au [I 11]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 83,3 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 6 entreprises implantées à Albiac), contre 14 % au niveau départemental[I 12].

Agriculture[modifier | modifier le code]

1988 2000 2010 2020
Exploitations 13 15 13 7
SAU[Note 7] (ha) 501 600 707 699

La commune est dans la Limargue », une petite région agricole occupant une bande verticale à l'est du territoire du département du Lot[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 4]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 9] (13 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 699 ha[38],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Albiac » (consulté le ).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Albiac » (consulté le ).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Albiac » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Albiac et Lunegarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lunegarde » (commune de Lunegarde) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Lunegarde » (commune de Lunegarde) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur parc-causses-du-quercy.fr (consulté le ).
  11. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur parc-causses-du-quercy.fr (consulté le ).
  12. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « le géoparc des Causses du Quercy »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le ).
  14. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Réserve de biosphère du bassin de la Dorodgne », sur mab-france.org (consulté le ).
  16. « Bassin de la Dordogne - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Albiac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF le « Secteur bocager de bois de Valon, Font Rebonde et pech Mezo » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Albiac », sur Géorisques (consulté le ).
  23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Albiac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  28. Jean-Maire Cassagne - Villes et Villages en pays lotois.
  29. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 105.
  30. a b c d et e Alain Trémoulet, « L'église Sancti Petri de Albiaco : condensé du document écrit par l'association Albius Villa en juin 2012 », Bulletin de l'Association Racines, no 17,‎ , p. 87-101.
  31. « Les maires d'Albiac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  37. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  38. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Albiac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]