Immaculée Conception

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Statue de l'Immaculée Conception en Slovaquie (XVIIIe siècle)
L'Immaculée Conception par Pierre Paul Rubens au musée du Prado.

L'Immaculée Conception ou encore la Conception Immaculée de Marie, est un dogme de la foi catholique énonçant que la conception de la Vierge Marie dans le sein de sa mère, n'a pas été marquée par la tache du péché originel. Après avoir consulté l'ensemble des évêques catholiques qui marquèrent leur agrément à une très large majorité, le pape Pie IX définit ce dogme de manière solennelle le , par la bulle Ineffabilis Deus. Comme fête chrétienne, célébrée depuis le Moyen Âge, l'Immaculée Conception est liturgiquement fixée au 8 décembre.

Définition

Le dogme signifie que Marie, mère de Jésus-Christ, fut conçue exempte du péché originel. La bulle déclare :

« Nous déclarons, prononçons et définissons que la doctrine, qui tient que la bienheureuse Vierge Marie a été, au premier instant de sa conception par une grâce et une faveur singulière du Dieu tout-puissant, en vue des mérites de Jésus-Christ, Sauveur du genre humain, préservée intacte de toute souillure du péché originel, est une doctrine révélée de Dieu, et qu’ainsi elle doit être crue fermement, et constamment par tous les fidèles. »

La constitution dogmatique de Vatican II, Lumen gentium (1964), précise qu'elle a été « rachetée de façon éminente en considération des mérites de son Fils » (LG 53) et que « indemne de toute tache de péché, ayant été pétrie par l'Esprit saint, [elle a été] formée comme une nouvelle créature. »

Il n'est pas directement lié à la conception virginale de Jésus, c'est-à-dire la croyance en le fait qu'il soit né d'une mère vierge par l'action du Saint Esprit.

Fête de l'Immaculée Conception

L'Immaculée Conception se fête le 8 décembre, date « supposée » de la conception de Marie, depuis 1477, par décision de Sixte IV. La fête a été confirmée par Clément XI en 1708. Spécialement marqué dans le diocèse de Lyon depuis 1852 et renommée de manière profane Fête des lumières. Ce jour est férié dans les cantons suisses de culte majoritaire catholique (Argovie, Fribourg, Jura, Lucerne, Nidwald, Obwald, Saint-Gall, Tessin, Uri, Valais, Zoug).

En France, l'origine de la célébration officielle était plus ancienne, et remonte à la fin du XIVe siècle. En effet, depuis 1387 un théologien aragonais Johannes de Montesono, ou Jean de Montson en français, était condamné, car il enseignait que la Vierge Marie était née avec le péché originel[1]. Après avoir établi théologiquement l'Immaculée Conception en 1388, Pierre d'Ailly, aumônier du roi Charles VI, lui conseilla la célébration de la fête. En conséquence, la Chapelle royale commença cette célébration en décembre sous le règne de ce souverain, vraisemblablement en 1389[2].

Historique

Protévangile de Jacques

L'Immaculée Conception n'est mentionnée dans aucun texte jugé canonique par les Églises chrétiennes. Une source indirecte de cette croyance se trouve dans le Protévangile de Jacques, texte apocryphe datable du milieu du IIe siècle : Anne et Joachim, les parents de la Vierge, ne peuvent avoir d'enfant. Mais un ange leur apparaît à tous deux, leur annonçant une naissance miraculeuse. Cependant, cet évangile n'affirme nullement que Marie fut exempte du péché originel. Neuf mois plus tard, Marie vient au monde. Bien que non canoniques, les apocryphes exercent une très grande influence sur la foi populaire.

Pères de l'Église

L'expression de la doctrine de l'Immaculée Conception s'opère progressivement. Sans employer exactement la formulation moderne, de nombreux Pères expriment déjà le contenu de la doctrine catholique. Par exemple:

Éphrem le Syrien (306-373): « Pleine de grâce,… toute pure, toute immaculée, toute sans faute, toute sans souillure, toute sans reproche, toute digne de louange, toute intègre, toute bienheureuse, … vierge d'âme, de corps et d'esprit,… arche sainte… belle par nature, tabernacle sacré que le Verbe... a travaillé de ses mains divines, … complètement étrangère à la toute souillure et à toute tache du péché. »[3]

Ambroise (340-397) : « Marie est sans défaillance, immaculée. »[4]

Augustin (354-430) : « De la sainte Vierge Marie, pour l’honneur du Christ, je ne veux pas qu’il soit question lorsqu’il s’agit de péchés. Nous savons en effet qu’une grâce plus grande lui a été accordée pour vaincre de toutes parts le péché par cela même qu’elle a mérité de concevoir et d’enfanter celui dont il est certain qu’il n’eut aucun péché. »[5]

Dans la Vulgate, Jérôme (347-420) emploie l'expression inmaculata (Ct 5,2; cf. 4,7) et attribue à Marie le rôle d'écraser le serpent (Gn 3,15).

Jacques de Saroug (450-521) : « Sa nature originelle était préservée, avec une volonté pour les choses bonnes. »[6]

Les Églises de langue grecque appellent Marie la Panaghia: Toute sainte[7].

Romain le Mélode (493-565): « [Marie a été] le Temple saint dès sa naissance... Anne a enfanté l'Immaculée. »[8]

Anastase d'Antioche (avant 599): «  Le Verbe est descendu dans un sein virginal exempt de toute corruption. »[9]

Sophrone de Jérusalem (560-638) : « Marie, pure, sainte, sans tache, resplendissante, aux sentiments divins, sanctifiée, libre de toute souillure du corps, de la pensée, de l'âme. »[10]

Par la suite, les Pères grecs rivalisent d'éloges dans l'affirmation en Marie de l'absence de tout péché[11].

Fête byzantine

C'est la fête byzantine de la Conception de la Très Sainte Mère de Dieu par Joachim et Anne (9 décembre) qui est à l'origine du développement d'une dévotion nouvelle en Occident. La célébration de cette fête n'est pas attestée avant le VIIIe s. et est donc postérieure à la fête de la Nativité de Marie le 8 septembre, qui est attestée à une époque plus ancienne.

Elle est déjà connue et commentée par les bénédictins anglais au Xe siècle. Cette fête est surtout introduite en Occident, à l'occasion des croisades, et on la voit apparaître à l'abbaye du Bec puis en Angleterre et à Lyon dès le XIIe siècle.

Mais cette introduction se fait sans les textes ni les commentaires de la tradition byzantine. Et la dévotion prend rapidement en Occident une couleur et une signification bien différentes qui sont à l'origine de la dévotion puis du culte de l'Immaculée Conception dans l'Église d'Occident et d'une divergence supplémentaire entre les deux Églises, puisque l'Église d'Orient rejette ce dogme.

Théologie médiévale

Cette nouvelle fête ne fait toutefois pas l'unanimité en Occident : de même que dans une certaine mesure saint Thomas d'Aquin un siècle plus tard, saint Bernard de Clairvaux, pourtant célèbre pour sa dévotion mariale, s'oppose en 1146 à cette pratique[12].

La croyance ne trouve grâce aux yeux des théologiens qu'à partir du XIVe siècle et de Jean Duns Scot : en tant que Mère de Dieu, Marie ne peut selon lui être entachée comme les autres par le péché originel. Pendant sept siècles, l'Occident débat âprement de cette question. Les franciscains sont pour la dévotion nouvelle, les dominicains contre. Cette bataille théologique entre les deux ordres religieux est illustrée dans des peintures murales découvertes à Saint-Flour et qui sont un hymne à sainte Anne et à la femme de la part des dominicains[13]. La Sorbonne est même paralysée un an par cette querelle. Pendant le schisme du conciliarisme le Concile de Bâle confirme la position des franciscains en 1439.

Concile de Trente et période baroque

La croyance en l'Immaculée Conception est réaffirmée par le concile de Trente, et les représentations artistiques se multiplient au XVIIe siècle, notamment en Espagne. La Vierge y apparaît sur un croissant de lune, drapée dans un manteau flottant dans le ciel, entourée d'une multitude d'angelots. Parfois elle foule aux pieds un serpent qui symbolise le démon.

L'Immaculée Conception par Francisco de Zurbarán, 1661, Magyar Szépmüvészeti Múzeum de Budapest

Patronne de la France, du Portugal, de la Corse et des États-Unis

Si la Vierge Marie a été proclamée sainte patronne principale de la France par Pie XI en 1922, à la suite entre autres du vœu de Louis XIII, c’est sous le vocable de Notre Dame de l’Assomption, fêtée le 15 août et non celui de l’Immaculée Conception.

Le Portugal est placé sous le patronage de la Vierge Marie depuis le Moyen Âge. Le 1er décembre 1640, après 60 ans d’union avec l’Espagne, les Portugais reprennent leur indépendance. Six ans plus tard, le nouveau roi João IV (Jean IV de Portugal) place le pays sous la protection de l’Immaculée Conception : dans l’église de Vila Viçosa où se trouve le palais familial, il dépose la couronne royale sur Notre-Dame de la Conception (Nossa Senhora da Conceição) qui est proclamée Reine et patronne du Portugal. Par la suite, les rois du Portugal ne porteront plus jamais la couronne sur leur tête. Aujourd’hui encore, le 8 décembre est au Portugal le jour férié où les catholiques portugais fêtent celle qui est reine, patronne et protectrice de leur pays.

Les insurgés corses, en 1735, qui venaient de faire sécession d’avec la république de Gênes, placèrent leur jeune nation sous la protection de l’Immaculée Conception, dotant la Corse de son hymne religieux Diu vi Salvi Regina consacré à la Vierge Marie et de son jour de fête nationale, le 8 décembre[14]. Ce jour est toujours considéré par une partie des insulaires comme la fête nationale de la Corse.

En 1846, le VIe concile provincial de Baltimore proclame la « bienheureuse vierge Marie conçue sans péché » patronne des États-Unis d’Amérique[15].

Rue du Bac

Lors des apparitions mariales dont Catherine Labouré se dit favorisée à la rue du Bac à Paris en 1830, la Vierge se présenta comme « conçue sans péché ». La popularité de la médaille miraculeuse qui fut frappée à la suite de ces apparitions popularisa la foi en la conception immaculée de Marie et l'invocation « Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous. »

Assassinat de l’archevêque de Paris

Marie Dominique Auguste Sibour, archevêque de Paris, bien qu’opposé à la promulgation du dogme, se soumet à l’écrasante majorité de ses confrères qui eux la soutiennent et jette même l’interdit sur un prêtre de son diocèse Jean-Louis Verger qui s’y oppose avec virulence. Celui-ci, réduit à la misère, poignarde l'archevêque le 15 janvier 1857 en criant : « À bas la déesse ! »[16], faisant ainsi clairement référence au dogme de 1854. Il est condamné à mort et exécuté le 30 janvier suivant.

Lourdes

Bernadette Soubirous affirme que, le , soit quatre ans après la promulgation du dogme, la dame qui lui est apparue s'est elle-même présentée ainsi, en gascon, dans la grotte de Massabielle, à Lourdes : « Que soy era immaculada councepciou » (« Je suis l'immaculée conception »).

Cœur Immaculé de Marie

Vitrail du Cœur Immaculé de Marie, en l'église d'Étais-la-Sauvin.

La dévotion au Sacré-Cœur de Marie, ou au Cœur Immaculé de Marie (en référence à l'Immaculée Conception), est une dévotion qui a pris son essor au XVIIe siècle et qui a été popularisée par le Normand saint Jean Eudes. Elle permet de contempler le Cœur de Marie uni à celui de son Fils. Pie VII accorda une fête du Cœur Très Pur de Marie à quelques églises, le dimanche dans l'octave de l'Assomption, puis Pie IX fit de même.

La dévotion de la communion du premier samedi du mois et de la récitation du rosaire en son honneur existe depuis le début du XXe siècle, dans le contexte de la dévotion à la Vierge de Fatima. La fête du Sacré-Cœur de Marie est maintenant fixée depuis 1996 le samedi suivant la fête du Sacré-Cœur de Jésus, mais également le 22 août.

Le monde a été consacré au Cœur Immaculé de Marie en 1950 par le Pape Pie XII, puis par le Pape Jean-Paul II et une troisième fois par le Pape François, en 2013, comme l'aurait demandé la Vierge lors des apparitions de Fatima. Cependant, Sœur Lucie, voyante de Fatima, ainsi que d'autres religieux, ont toujours précisé que la demande de la Vierge était expressément la consécration de la Russie (et non du monde) et qu'Elle voulait qu'elle se fasse par le Pape, mais aussi avec les évêques du monde entier[17][18][19][20][21][22].

Une lecture politique du dogme de l'Immaculée Conception

À la suite d'une consultation de l’épiscopat mondial, qui se montra très largement favorable à une telle définition (546 pour et 57 contre) Pie IX définit le dogme de l’Immaculée Conception dans la bulle Ineffabilis Deus (8 décembre 1854).

Si l’on suit l'analyse de Claude Langlois dans « Lire le Syllabus » (Problèmes d’histoire des religions septembre 1998, ULB, Bruxelles), on est amené à replacer la promulgation de ce dogme dans le contexte des textes pontificaux de la même époque :

À première vue, la proclamation d’un dogme marial au milieu d’une série concernant « les erreurs modernes » et les malheurs du temps, en particulier la montée en puissance du rationalisme (et son cortège en -ismes : matérialisme, positivisme, athéisme) ne présente pas une évidente cohérence dans la série, comme dans le contexte de la crise moderniste et de la lutte du Vatican contre le catholicisme libéral. Pourtant, Claude Langlois insiste sur le fait que l’encyclique traite du péché originel dont seule Marie, la mère du Christ, serait exempte dès sa conception. Il s’agit donc de stigmatiser par là tous les courants qui revendiquent l’exercice autonome de la raison, celle-ci étant devenue faillible par une corruption de l’esprit humain conséquente à la faute d’orgueil originel (le « péché originel »). Dans cette perspective, l’encyclique devient cohérente avec la série.

Cette position est à prendre avec précaution, car elle provient des travaux d'une université particulièrement anticléricale[23].

Point de vue des autres confessions chrétiennes

Le point de vue des orthodoxes peut être résumé par cette phrase de Vladimir Lossky : « Si la Sainte Vierge avait été isolée du reste de l’humanité par un privilège de Dieu lui conférant d’avance l’état de l’homme avant le péché, alors son consentement libre à la volonté divine, sa réponse à l’archange Gabriel, perdraient le lien de solidarité historique avec les autres actes qui contribuèrent à préparer, au long des siècles, l’avènement du Messie ».

Les catholiques répliquent à cette objection qu'être libéré du péché originel n'enlève pas le libre arbitre.

Les protestants estiment que certains éléments de la dévotion à Marie peuvent être excessifs, voire tendre à la « mariolâtrie ». Ils sont opposés au dogme de l'absence du péché originel chez Marie. Néanmoins, Martin Luther, dans un sermon de 1516 pour la fête de l'Immaculée Conception, affirme que Marie est la seule goutte soustraite par Dieu à l'océan du péché originel (W 1,107). Il revient souvent sur cette affirmation : « Marie fut libérée du péché originel pour que la chair du Rédempteur ne fût pas non plus effleurée par l'ombre du péché »[réf. nécessaire]. En réalité, le Réformateur expose la notion de la double conception, seminum commixtio, et conceptio naturarum. Dans un sermon de 1527 il écrit que « Le Christ voulut naître d'une vierge par l’opération de l'Esprit Saint, sans homme, pour ne pas être taché par le péché d'origine attaché à chaque naissance humaine de l'homme et de la femme… Et puisque la Vierge Marie naquit aussi de manière naturelle d'un père et d'une mère, nombreux sont ceux qui ont voulu dire qu'elle fut conçue dans le péché originel, et ont fixé la croyance qu'elle fut sanctifiée dans l'utérus maternel [c'est la position de saint Thomas] » (W 17/II,282).

Le Groupe des Dombes (réunissant des protestants et catholiques de langue française et présentant cette vision commune à des chrétiens d'Orient[réf. nécessaire]) écrit : « Dans la mesure où les catholiques admettent que le fiat de Marie lors de l'Annonciation n'était possible que moyennant la grâce de Dieu, ils peuvent justement présenter l'Immaculée Conception comme une expression radicale de cette grâce […]. Inversement, dans la mesure où les protestants reconnaissent que le don de la grâce ne dispense pas Marie de répondre librement et activement à la volonté de Dieu, ils peuvent alors mieux comprendre le sens de la position catholique selon laquelle l'Immaculée Conception n'a pas pour effet d'arracher Marie à la condition humaine, mais plutôt de la préparer à pouvoir un jour, comme toute créature rachetée, apporter sa réponse active à l'initiative de Dieu (no 272)[24]. »

Dans Marie, mère de Jésus Jacques Duquesne doute de fait du libre-arbitre de Marie dans sa réponse à l'ange lui demandant de devenir mère de Jésus, en raison de l'Immaculée Conception[25], Joseph Malègue estimant, comme le groupe des Dombes, que, pour Marie, jamais privée de son libre-arbitre, la possibilité existait de « refuser l'offre de Dieu[26] ».

L'Église vieille-catholique n'accepte pas ce dogme.

Églises portant le nom de l’Immaculée Conception

Église de l’Immaculée-Conception située dans le troisième arrondissement de Lyon
Église de l'Immaculée-Conception (1869) de Holving (Moselle)

Dans l'art

Le thème iconographique de l'Immaculée Conception est issu du chapitre 12 de l'Apocalypse :

« Un signe grandiose apparut au ciel : une Femme ! le soleil l'enveloppe, la lune est sous ses pieds et douze étoiles couronnent sa tête ;
elle est enceinte et crie dans les douleurs et le travail de l'enfantement.
Puis un second signe apparut au ciel : un énorme Dragon rouge feu, à sept têtes et dix cornes, chaque tête surmontée d'un diadème.
Sa queue balaie le tiers des étoiles du ciel et les précipite sur la terre. En arrêt devant la Femme en travail, le Dragon s'apprête à dévorer son enfant aussitôt né. »

L'Immaculée Conception dans la peinture

Notes et références

  1. http://books.google.fr/books?id=pDE-AAAAcAAJ&pg=PA305
  2. http://books.google.fr/books?id=pDE-AAAAcAAY&pg=PA307 Abbé Louis Archon, Histoire de la Chapelle des rois de France, tome II, p. 307 - 308, Paris 1711
  3. Hymnes à la Mère de Dieu.
  4. Lettre à Sirice 42,2.
  5. De natura et gratia 36,42 PL 44,267
  6. Sur la Vierge 24, P125; cf. 26, p. 127.
  7. Par exemple chez Modeste de Jérusalem, avant 634, Homélie sur la Dormition, PG 86,3284.
  8. Analecta Sacra, Paris 1876, 199.
  9. Orat 3, de Inc 6, PG 89.
  10. PG 87,3 3160.
  11. Par exemple André de Crète (660-740), PG 97,1309; Théodore Stoudite (759-826), PG 96, 684C; Germain de Constantinople, Jean Damascène....
  12. Lettre no 174, Aux chanoines de Lyon, sur la conception de la Sainte Vierge, édition de l'Abbé Charpentier, tome I, page 305, Louis Vivès éd. Paris 1865. La Lettre CLXXIV de Saint Bernard est disponible sur Wikisource.
  13. Yves Morvan, Et c'est ainsi qu'Anna est grande... Découverte de peintures murales dans l'église Saint-Vincent de Saint-Flour, Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne, tome XCIX, 1998.
  14. Consulta de Corte 1735
  15. Catholic Encyclopedia, 1913, Provincial councils of Baltimore
  16. Jean Manceau, Monseigneur Marie-Dominique-Auguste Sibour, archevêque de Paris, 1848-1857, Paris, Beauchesne,1987, p. 90.
  17. « SŒUR LUCIE : BIOGRAPHIE “ OFFICIELLE ” »
  18. « Jean-Paul II et Fatima »
  19. « Pie XII et Fatima »
  20. « LA CONSÉCRATION AU CŒUR IMMACULÉ DE MARIE faite ou pas faite ? »
  21. « 12 Questions fréquemment posées sur la Consécration de la RUSSIE au Coeur Immaculé de Marie »
  22. « Chapitre VI. Le point sur la Consécration de la Russie demandée par la sainte Vierge à Fatima »
  23. http://www.ulb.ac.be/cal/laiciteAZ/anticlericalisme.html
  24. Cité dans P. Édouard Cothenet Marie de Jacques Duquesne, consulté le 31/10/2013
  25. Jacques Duquesne, Marie, mère de Jésus, Plon, Paris, 2004, p. 33.
  26. De l'Annonciation à la Nativité,Flammarion, Paris, 1935, p.55.
  27. « Immaculée Conception Adobo Couetcha »

Annexes

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Bibliographie

  • Mgr Thomas Gousset, La croyance générale et constante de l'église touchant l'Immaculée Conception de la bienheureuse Vierge Marie, Paris : Jacques Lecoffre & Cie, 1855 [1]
  • Dom Prosper Guéranger, Mémoire sur l’Immaculée Conception, 1850 & 2004 ; interview.
  • Vladimir Lossky, « En la fête de la Conception de la très Sainte Vierge Marie », Le Messager de l’Exarchat du Patriarcat russe en Europe occidentale no 20, 1954.
  • Karl Rahner, Marie Mère du Seigneur, Éditions de l’Orante, 1964.
  • J. Galot, « L'Immaculée conception », Maria, t. VII, Beauchesne, Paris, 1964.
  • Bertrand de Margerie, s.j., Le Cœur de Marie, cœur de l'Église : Essai de synthèse théologique, Téqui, 2000
  • « Le culte de la vierge Marie, pourquoi ? » par Alain Houziaux

Articles connexes