Èze

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Èze
Èze
Village perché d'Èze-Village.
Blason de Èze
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur
Maire
Mandat
Stéphane Cherki
2020-2026
Code postal 06360
Code commune 06059
Démographie
Gentilé Ézasques
Population
municipale
2 189 hab. (2021 en diminution de 6,57 % par rapport à 2015)
Densité 231 hab./km2
Population
agglomération
69 134 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 43° 43′ 43″ nord, 7° 21′ 42″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 700 m
Superficie 9,47 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Monaco - Menton (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beausoleil
Législatives 4e circonscription des Alpes-Maritimes
Localisation
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Èze
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Èze
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Èze
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Èze

Èze (Esa en niçois, Eza en italien) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Ézasques.

Èze est une des rares communes françaises à porter un nom palindrome avec Callac, Laval, Noyon, Sarras, Savas, Senones, Serres et Sées.

Géographie[modifier | modifier le code]

Vue sur la plage de Èze.
Èze-sur-Mer

Localisation[modifier | modifier le code]

Située à 4 km de La Turbie, 8 km de Monaco et 12 km de Nice.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune s'étend sur un territoire escarpé, allant du bord de mer Méditerranée où un hameau forme Èze-sur-Mer (appellation reprenant le nom de la gare d'Èze-sur-Mer tandis que le panneau routier indique Èze-Bord-de-Mer), jusqu'au piton escarpé où de vieilles maisons pittoresques et médiévales forment Èze-Village à 429 mètres d'altitude.

La commune d'Èze, située sur le Parc de la Grande Corniche, est classée en loi littoral[1].

Le col d'Èze est situé à proximité de la commune.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Eaux souterraines sur la commune[2] :

  • 7 forages,
  • 1 puits,
  • 1 source.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 906 mm, avec 5,9 jours de précipitations en janvier et 1,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nice », sur la commune de Nice à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 16,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 791,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −7,2 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

La commune est intégrée dans le plan local d'urbanisme métropolitain approuvé le 25 octobre 2019[10].

Typologie[modifier | modifier le code]

Èze est une commune rurale[Note 2],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Menton-Monaco (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 9 communes[14] et 69 134 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Monaco - Menton (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (53 %), zones urbanisées (25,4 %), forêts (10,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), eaux maritimes (1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[22].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lotissements[modifier | modifier le code]

Lotissement concerté dit Lotissement de la Mer [23].

Quartiers[modifier | modifier le code]

Le quartier Saint-Laurent-d'Èze relie le bord de mer au village. À Saint-Laurent-d'Èze, après les feux volontaires et terribles des années 1980, beaucoup d'habitants locaux y firent construire leurs villas.

Planification de l'aménagement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[24].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

L'accès à Èze est possible par les routes des trois corniches M 6007, M 6098, M 45[25].

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Parmi les transports en Provence-Alpes-Côte d'Azur, la commune est desservie par le réseau Lignes d'Azur.

La ville dispose de la gare d'Èze-sur-Mer sur la ligne de Marseille-Saint-Charles à Vintimille (frontière), desservie par des trains TER PACA qui effectuent des missions entre les gares de Grasse et Vintimille. La gare de Nice-Ville, plus importante, est mieux desservie

L'aéroport le plus proche est l'Aéroport de Nice-Côte d'Azur et les ports les plus proches sont :

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Le , de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende…) sont fortement impactés par un « épisode méditerranéen » de grande ampleur[26]. Certains hameaux sont restés inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le 20 octobre. L'Arrêté du 7 octobre 2020 portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Èze, au titre des « Inondations et coulées de boue du 2 au 3 octobre 2020 »[27]. La commune est située dans une zone de sismicité moyenne[28].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La première mention écrite dont nous disposons date du IVe siècle sous la forme ab Avisione (dans la section maritime de l'Itinéraire d'Antonin). Les formes suivantes, du XIe siècle jusqu'au Moyen Âge, sont du type Esa, Eza, Isia, Isie, etc. La première mention de Ese date de 1241 mais ne durera pas : on retrouve ensuite de nouveau Isia, Isie, Ysia, Esia, etc. Le nom semble enfin se fixer sous la forme Esa après son passage à la Maison de Savoie en 1388, nom qui sera repris en provençal Ezo par Mistral et traduit en français Èze.

Èze remonte donc à Avisione avec aphérèse de l'initiale av sentie comme la préposition occitane ab, « chez », et chute du suffixe, ce qui a conduit à Isia, conservé par les formes du Moyen Âge. Le même phénomène s'est produit non loin de là à La Bollène-Vésubie qui s'appelait Abolena en 1146 (du nom d'homme germanique Abbolenus) : le A initial, pris pour la préposition est tombé puis l'article « la » a complété le nom, sans doute l'analogie avec le niçois boulina, « éboulement », y est-elle pour quelque chose. La vauclusienne Bollène s'appelait aussi Abolena en 640. Les exemples de ce type sont nombreux en toponymie. Reste à connaître la signification de cet Avisione. Il s'agit sans doute du nom de personne gaulois Aviso correspondant au romain Avitius. Ce dernier est à l'origine de quelques toponymes dont un Avèze (Puy-de-Dôme), une ancienne Avitia villa, qui a conservé son - av- initial. Très probablement, ce nom devait à l'origine s'appliquer à la petite anse que les premiers marins avaient dû apprécier comme lieu de mouillage puis qui est devenu un petit port que l'on a nommé d'après son fondateur. Il s'agit de l'endroit qu'on appelle aujourd’hui Èze-Bord-de-Mer[29].

Histoire[modifier | modifier le code]

Comme le reste du littoral des Alpes-Maritimes, le territoire de la commune d'Èze est occupé depuis des temps anciens.

Le monument le plus remarquable est celui du Mont-Bastide qui surplombe Beaulieu-sur-Mer et la baie de Saint-Jean, sur un éperon rocheux bordant la grande corniche.

La tradition locale, fondée sur les élucubrations des érudits du XIXe siècle et du début du XXe siècle, en fit une fondation phénicienne, un palais mycénien ou un oppidum ligure remontant au premier âge du fer.

Les recherches récentes ont permis de mettre au jour un gros bourg agricole protégé par une solide enceinte. L'organisation urbaine est très serrée. De grandes habitations en pierre sèche supportant un étage s'organisent autour d'une grande rue qui traverse le village de part en part. Le rez-de-chaussée de chaque habitation abrite des structures de pressage destinées à la fabrication du vin ou de l'huile.

Les traces d'occupation les plus anciennes remontent au IIe siècle av. J.-C., mais la plus forte période d'activité se situe entre l'époque d'Auguste et l'époque des Flaviens[30].

Le Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Bruno Riquerii, chevalier, originaire de Nice, viguier d'Hyères (1328), fut coseigneur d'Èze. Comme pour les Badat, la famille Riquerii, ancienne famille consulaire niçoise, aurait été anoblie au XIIIe siècle grâce à leur richesse et à la faveur des Génois que cette famille soutenait[31]. Familier du roi Robert, Bruno était le fils de Jean Riquier, coseigneur d'Èze, et de Béatrice Badat[32]. En 1333, avec son frère Marin, il possédait une part de la seigneurie d'Èze tandis que quelques années plus tard, la part de Marin semblait être passée dans les mains de Bruno[33]. Selon A. Venturini, il aurait eu pour successeur son fils, Honoré, coseigneur d'Èze. Le 24 juillet 1316, le roi Robert demanda au sénéchal de remettre, s'il y a lieu Boniface Riquier, dit Brunoz, et ses frères, fils de feu Jean Riquier, d'Èze, en possession des châteaux de Menton et de Peypin et de faire cesser le trouble qui leur était apporté par Balianus Ventus et consortes sui[34]. Le 27 mai 1348, le frère du sous-viguier d'Aix (1325) et du viguier de Grasse (1340-41), Jean, Louis Rebuffelli fut nommé châtelain d'Èze[35]. Honorat Riquerii, viguier d'Hyères (1376), succéda à Bruno et devint coseigneur d'Èze[36].

La période contemporaine[modifier | modifier le code]

Jusqu'au début du XIXe siècle, Èze englobait La Trinité, qui en a été détachée en 1818[37].

Èze était desservie, de 1900 à 1929, par une des lignes du Tramway de Nice et du Littoral.

Une stèle a été inaugurée en 1960 pour célébrer le centenaire du rattachement d'Èze à la France[38].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis l'Annexion du comté de Nice à la France de l'arrondissement de Nice du département des Alpes-Maritimes.

Elle faisait partie du canton de Villefranche-sur-Mer[37]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Beausoleil

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription des Alpes-Maritimes.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Èze était membre de la communauté urbaine Nice Côte d'Azur, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2002 sous le statut de communauté d'agglomération et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a fusionné avec plusieurs petites intercommunalités voisines pour former, le , la métropole Nice Côte d'Azur dont est désormais membre la commune.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors des élections municipales de 2014 dans les Alpes-Maritimes, la liste DVD menée par le maire sortant Stéphane Cherki est la seule candidate, et obtient donc la totalité des 1 059 suffrages exprimés et est élue en totalité. Lors de ce scrutin, 43,21 % des électeurs se sont abstenus et 18,54 % des votants ont placé un bulletin blanc ou nul dans l'urne[39]

Lors des élections municipales de 2020 dans les Alpes-Maritimes, la liste menée par le maire sortant Stéphane Cherki est la seule candidate, et obtient donc la totalité des 591 suffrages exprimés, lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 69,75 % des électeurs se sont abstenus et 11,40 % des votants ont placé un bulletin blanc ou nul dans l'urne[40].

Le 23 février 2022, le maire Stéphane Cherki a apporté son parrainage au candidat Eric Zemmour. Il a expliqué son choix par "l'urgence démocratique" mais a affirmé ne pas partager les idées du candidat[41].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[42],[43]
Période Identité Étiquette Qualité
1860 1861 Louis Figuiera    
1862 1881 César-Marie Figuiera   Avoué à Nice, propriétaire
1881 1883 Barthélemy Fighiera   Entrepreneur de travaux publics
1883 1896 César-Marie Figuiera   Avoué à Nice, propriétaire
1896 1903 Charles Gilletta de Saint-Joseph    
1903 1920 Albert Figuiera   Avoué à Nice
1920 1923 Charles Figuiera    
1923 1935 Laurent Gianton    
1935 1941 Émilien Contesso    
1941 1944 Claude Dumazedier   Président de la délégation spéciale
1944 1947 Jean-Baptiste Millo[44] RI Retraité
1947 1989 André Gianton    
1989 juin 1995 Charles Benaglia    
juin 1995 mars 2008 Noël Sapia UMP  
mars 2008[45] En cours
(au 22 septembre 2021)
Stéphane Cherki UMP
puis UDI[46]
Chef d'entreprise
Réélu pour le mandat 2020-2026[47],[48],[49]

Budget et fiscalité 2019[modifier | modifier le code]

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[50] :

  • total des produits de fonctionnement : 5 899 000 , soit 2 553  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 5 707 000 , soit 2 471  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 415 000 , soit 179  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 4 262 000 , soit 1 845  par habitant ;
  • endettement : 13 000 , soit 5  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 12,40 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,95 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 19,95 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 27 780 [51].

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

Les eaux usées d'Èze sont traitées par la station d'épuration intercommunale de Nice Haliotis d'une capacité de 650 000 équivalent-habitants[52].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Èze dispose des établissements d'enseignements suivants[Quand ?] [53] :

  • Écoles maternelles et primaires[54].

Les enfants poursuivent leur scolarité aux collèges de Beaulieu-sur-Mer, La Trinité, Beausoleil, et aux lycées de Drap, Monaco et Nice.

Santé[modifier | modifier le code]

Les professionnels et établissements de santé peuvent être consultés à[Quand ?] [55],[56]:

  • Médecins à Èze, Cap-d'Ail, Beaulieu-sur-Mer,
  • Pharmacies à Èze, Cap-d'Ail, Beaulieu-sur-Mer,
  • Hôpitaux à Cap-d'Ail, Beaulieu-sur-Mer, Nice.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[58].

En 2021, la commune comptait 2 189 habitants[Note 4], en diminution de 6,57 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
7241 1271 212463487566589570594
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
521680764558728674640710797
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
6337289111 0387101 4401 4941 7921 860
1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - -
2 0632 4462 5092 9322 5502 2522 189--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[59].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,6 % la même année, alors qu'il est de 30,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 081 hommes pour 1 144 femmes, soit un taux de 51,42 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,72 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[60]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,5 
8,6 
75-89 ans
8,6 
18,0 
60-74 ans
18,1 
26,9 
45-59 ans
26,8 
17,2 
30-44 ans
17,7 
12,7 
15-29 ans
14,6 
16,2 
0-14 ans
12,7 
Pyramide des âges du département des Alpes-Maritimes en 2020 en pourcentage[61]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,5 
9,3 
75-89 ans
12,1 
17,5 
60-74 ans
18,7 
20,4 
45-59 ans
19,9 
18,2 
30-44 ans
17,5 
16,5 
15-29 ans
14,7 
17 
0-14 ans
14,5 

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Agriculteurs, horticulteurs[63].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Le tourisme est la principale ressource de la commune.

  • Hôtels :
    • Hôtel de voyageurs dit La Chèvre d'Or[64].
    • Hôtel Cap Estel[65].
    • Hôtel de voyageurs dit Hôtel Réserve Césaric, puis Hôtel Cap [66].
    • Hôtel de voyageurs dit Au Rendez-Vous des Amis[67].
  • Hôtels et restaurants[68].

Commerces et artisanat[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité[69].
  • Artistes, Galeries, Artisans[70].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Vue depuis la citadelle.

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Le village propose au sein de ses ruelles labyrinthiques, de nombreuses boutiques d'artisanat d'art.
  • Le chemin de Nietzsche partant du bord de mer, serpente sur une pente raide jusqu'au village perché. On dit que Nietzsche, logeant à la fin de sa vie à Nice, malade, fréquenta ce chemin, et s'en inspira pour écrire la troisième partie d'Ainsi parlait Zarathoustra.

Patrimoine militaire :

  • Un château en ruines abrite maintenant un jardin exotique[73] à la vue extraordinaire, et surplombe un cimetière où reposent quelques personnalités.
  • Fort Anselme, puis Fort de la Revère[74], de la place de Nice[75].
  • Série de 4 blockhaus dits casemates de la place de Nice[76].

Maisons-châteaux :

  • Maison dite Château de l'Aiguetta[77].
  • Château Lou Seuil ou Château Balsan[78],[79],[80],[81].
  • Maison dite Château Eza[82].

Patrimoine rural :

  • Moulin à eau : ancien moulin à farine des Pissarelles[83].

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

Musées[modifier | modifier le code]

  • Maison de la Nature
  • Musée de Parfums Galimard Èze-Village

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Clorine Malausséna

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Èze Blason
D’azur à l’os de jambe en pal sommé d’un phénix sur son immortalité et accosté de deux pampres fruités, chacun de deux pièces le tout d’argent[99].
Devise
Isia Moriendo Renascor.
Son emblème est un phénix perché sur un os.
Elle a pour signification : En mourant, je renais.
Détails
Les armes de la cité sont en réalité celles des Fighiera, famille notable de la commune ; elles ont été arbitrairement attribuées à Èze par Charles-Alexandre Fighiera dans les années 1960 au moment de l'anniversaire du rattachement du comté à la France.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Zonage : Aires urbaines Menton - Monaco (partie française)
  2. L'eau dans la commune
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Èze et Nice », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Nice », sur la commune de Nice - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Nice », sur la commune de Nice - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  10. Plan local d'urbanisme métropolitain (PLUm)
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  25. Accès et liaisons
  26. Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
  27. Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor
  28. Didacticiel de la règlementation parasismique
  29. Vous voyez le topo
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  50. Les comptes de la commune
  51. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  52. Description de la station NICE-HALIOTIS
  53. Établissements d'enseignements
  54. École maternelle et élémentaire
  55. Professionnels et établissements de santé
  56. Corps médical et Urgences
  57. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  58. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  60. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Èze (06059) », (consulté le ).
  61. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Alpes-Maritimes (06) », (consulté le ).
  62. Paroisse Notre-Dame de l'Espérance
  63. Agriculteurs, horticulteurs
  64. « hôtel de voyageurs dit La Chèvre d'Or », notice no IA06000902, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture recensement du patrimoine balnéaire
  65. « parc et jardin d'agrément de l'Hôtel Cap Estel », notice no IA06000889, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  66. « hôtel de voyageurs dit Hôtel Réserve Césaric, puis Hôtel Cap Estel », notice no IA06000888, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  67. « hôtel de voyageurs dit Au Rendez-Vous des Amis », notice no IA06000878, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  68. Hôtels et restaurants
  69. Commerces et services
  70. Artistes, Galeries, Artisans
  71. « Oppidum du Castellar », notice no PA06000002, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  72. : Gibets, Pilotis, Potences
  73. Jardin Exotique d’Èze
  74. Fort de la Revère, sur patrimages.culture.gouv.fr/
  75. « Fort Anselme, puis Fort de la Revère, de la place de Nice », notice no IA06000011, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  76. « série de 4 blockhaus dits casemates de la place de Nice », notice no IA06000010, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  77. « maison dite Château de l'Aiguetta », notice no IA06000898, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  78. « fontaine du parc du Château Lou Seuil ou Château Balsan », notice no IA06001004, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  79. « jardin d'agrément dit Jardin Romain du Château Lou Seuil », notice no IA06001003, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  80. « parc du Château Lou Seuil ou Château Balsan », notice no IA06000971, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  81. « maison de villégiature dite Château Lou Seuil ou Château Balsan », notice no IA06000968, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  82. « maison dite Château Eza », notice no IA06000897, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  83. Ancien moulin à farine des Pissarelles
  84. Église Notre-Dame-de-l'Assomption, sur patrimages.culture.gouv.fr/
  85. Église Notre-Dame de l'Assomption
  86. « Eglise Notre-Dame de l'Assomption », notice no PA00080720, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  87. « église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption », notice no IA06001023, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  88. Église Notre-Dame de l'Assomption, Observatoire du patrimoine religieux
  89. Restauration de l'église : Soutien de la Fondation du patrimoine
  90. Orgue du Col de Villefranche
  91. « chapelle de pénitents blancs Sainte-Croix », notice no IA06001024, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  92. Chapelle de la Sainte Croix dite des Pénitents blancs
  93. « chapelle Saint-Laurent », notice no IA06001025, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  94. Èze : le divin chantier de la nouvelle chapelle, Nice-Matin, 19 novembre 2009.
  95. La chapelle Saint-Joseph d'Èze sur le site Paris SkyScrapers.
  96. Monument aux morts, Conflits commémorés : 1914-1918
  97. Plaque commémorative
  98. Place Francis Blanche
  99. Dominique Cureau, « Nice Côte d'Azur. 3 : Èze », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine d'Èze sur le site Patrimages
  • Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Roquebillière à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)
    Canton de Villefranche-sur-Mer : pp. 1020 à 1024 : Èze
  • Eze sur archeo-alpi-maritimi.com/ : arraisonnement de 1761, bénédictins de Saint Laurent d'Èze, bossages erratiques, chapelle de Saint Laurent d'Èze, chapelle Sainte Brigitte, château de Saint Laurent d'Èze, chemins anciens autour de la Turbie, chemin Èze St Laurent en 1788, Dom Félix Vaggioli, fontaines et sexualité, gibets piloris potences, généalogie Renaud de Falicon, grotte de saint Laurent, le Comté de Nice en 1850, histoire de Saint Laurent, meurtrieres à redans, moulins, murs et linteaux, sites militaires, souvenirs champêtres 1842, tours à signaux, voie nikaia monoikos
  • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
    Èze-village, p. 464
  • Èze, sur departement06.fr/patrimoine-par-commune/
  • Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)
    Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Èze, p. 65
  • Commune d'Èze, sur provence7.com/
  • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
  • Cavités souterraines naturelles

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]