Viviers (Ardèche)
Viviers | |||||
Vue générale du bourg et sa cathédrale depuis la statue de la Vierge. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Ardèche | ||||
Arrondissement | Privas | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Rhône aux Gorges de l'Ardèche | ||||
Maire Mandat |
Martine Mattei 2020-2026 |
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Code postal | 07220 | ||||
Code commune | 07346 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vivarois | ||||
Population municipale |
3 674 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 108 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 29′ 01″ nord, 4° 41′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 55 m Max. 400 m |
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Superficie | 34,15 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Viviers (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Montélimar (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bourg-Saint-Andéol | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | mairie-viviers.fr | ||||
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Viviers ou Viviers-sur-Rhône (Vivièrs en occitan) est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Viviers est l'ancienne capitale de la province du Vivarais, Vivariensis Pagus à qui elle a donné son nom et qui a appartenu à la province royale du Languedoc jusqu'en 1789.
La cité est encore le siège de son propre évêché, également dénommé diocèse du Vivarais, constitué de vingt-quatre paroisses depuis le . Historiquement, les évêques furent les seigneurs temporels les plus puissants de la région durant une grande partie de l'époque médiévale avant de faire allégeance au roi de France en 1307[1],[2].
Siège de son propre canton jusqu'en 2015, année où la ville a été rattachée au canton de Bourg-Saint-Andéol, Viviers est également une des neuf communes adhérentes de la communauté de communes du Rhône aux Gorges de l'Ardèche depuis 2013 et ses habitants sont les Vivarois[3].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le territoire communal se positionne dans la partie centrale du département de l'Ardèche dans l'arrondissement de Privas, au bord du Rhône, non loin de l'agglomération de Montélimar, située à quelques kilomètres en direction du nord-est.
Le centre du village est situé à 160 km de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, à 157 km de Grenoble, siège de l'académie et 624 km de Paris.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Le Teil | Montélimar | |||
Saint-Thomé | N | Châteauneuf-du-Rhône | ||
O Viviers E | ||||
S | ||||
Larnas | Saint-Montan | Donzère |
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le territoire de Viviers se situe en amont d'un rétrécissement du Rhône dénommé « défilé de Donzère ». Ce rétrécissement est facilement observable au niveau du pont du Robinet qui sépare les communes de Viviers et de Donzère, cette dernière étant située dans la Drôme.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Viviers est située sur la rive droite du Rhône, en amont de sa séparation avec le canal de Donzère-Mondragon.
Le territoire communal est traversé par l'Escoutay, un affluent du Rhône[4], lequel prend sa source au pied du plateau du Coiron. La commune compte de nombreux ruisseaux dont notamment le ruisseau du Mas[5], le ruisseau de Valpeyrouse et le ruisseau de Bayne.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 932 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 3,7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Donzère à 3 km à vol d'oiseau[8], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 826,1 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,4 | 2,5 | 5 | 7,4 | 11,1 | 15 | 17,4 | 17,1 | 13,8 | 10,6 | 6,2 | 3,1 | 9,3 |
Température moyenne (°C) | 6 | 6,9 | 10,4 | 13,3 | 17,3 | 21,6 | 24,2 | 23,8 | 19,5 | 15,2 | 9,8 | 6,5 | 14,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,5 | 11,2 | 15,8 | 19,1 | 23,5 | 28,2 | 30,9 | 30,5 | 25,2 | 19,8 | 13,5 | 9,8 | 19,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−9 02.01.02 |
−8,2 05.02.12 |
−7,4 03.03.05 |
−1,2 14.04.1998 |
2,4 08.05.04 |
7,3 10.06.06 |
8,1 12.07.1993 |
8,8 31.08.1998 |
4,8 14.09.1998 |
0,5 29.10.10 |
−5,5 28.11.05 |
−7,9 21.12.09 |
−9 2002 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20,7 10.01.15 |
23,4 24.02.20 |
27,5 18.03.1997 |
30,5 24.04.07 |
34,8 30.05.01 |
41,4 27.06.19 |
40,4 22.07.19 |
41,8 23.08.23 |
36,2 04.09.23 |
31,5 09.10.23 |
24,3 01.11.22 |
19,9 24.12.22 |
41,8 2023 |
Précipitations (mm) | 67,8 | 40,4 | 43 | 65,8 | 74,2 | 52,9 | 41,8 | 56 | 101,5 | 113,1 | 115 | 54,6 | 826,1 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Axes ferroviaires
[modifier | modifier le code]La ligne ferroviaire Givors-Grezan, dite de la rive droite du Rhône, traverse la ville et sa gare mais cette dernière n'assure plus le trafic de voyageurs, seuls les convois de marchandises circulent sur cette rive[12]. Le trafic ferroviaire des voyageurs se reporte donc de l'autre côté du fleuve, à la gare de Montélimar mais il est parfois dévié sur la rive droite, avec un arrêt en gare du Teil, située à une dizaine de kilomètres au nord de Viviers.
Axes routiers
[modifier | modifier le code]La commune est traversée dans l'axe nord-sud par la route départementale 86 (RD86), anciennement route nationale 86, qui permet de relier Lyon à Nîmes par Beaucaire, en longeant la rive droite du Rhône.
À la sortie nord de la commune, la route départementale 107 (RD107) permet de rejoindre la route nationale 102 en direction d'Aubenas.
Depuis Viviers, l'avenue Pierre-Mendès-France (RD86i) permet de traverser le Rhône pour rejoindre le département voisin de la Drôme (RD73), en direction de Châteauneuf-du-Rhône avant de rejoindre Montélimar par jonction avec la route nationale 7 (RN7).
Transports publics
[modifier | modifier le code]La ligne de bus N°19 (Kéolis Drôme-Ardèche) permet de relier le centre-ville de Viviers à la commune du Teil et la gare de Montélimar. Des correspondances vers d'autres ligne de bus, notamment vers Aubenas et Privas sont possibles[13].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Viviers est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Viviers, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[16]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (51,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50 %), zones agricoles hétérogènes (32,7 %), zones urbanisées (6,1 %), eaux continentales[Note 2] (4,4 %), cultures permanentes (2,7 %), mines, décharges et chantiers (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), prairies (0,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[19].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Viviers, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[20].
- Château Lafarge
- Château Verchaüs
- le Chade
- Baynette
- la Grange Roux
- Rocherenard
- Chabert
- Jarcette
- Jargnas
- le Mas
- Paurière
- le Colombier
- Hautes Rives
- Pinette
- le Pal de Fer
- Basse Paurière
- Pommeyras
- Couijanet
- Saint-Alban
- les Hellis
- Eymieux
- Beauregard
- la Lauze
- le Moulin Nègre
- Roche Condrie
- Roumanas
- la Vignasse
- Cité de la Victoire
- la Moutte
- Longeavous
- Pra Coulet
- Pramoulet
- Val Fleury
- les Prés des Mouillères
- les Pignes
- Saint-Martin
- les Sautelles
- la Madeleine
- les Acacias
- la Joannade
- Belieure
- l'île des Perriers
- l'Île Saint-Nicolas
- Escle
- Sarrazin
- les Bretons
- Saint Ostian
- les Genêts
- Olivet
- Couspier
- Fontbonne
- Romarin
- Valmont
- Bellefontaine
- le Chastelaz
- Saint Robert
- Lourse / la Cité du Barrage
La Cité du barrage, située à l'extrême sud du territoire de Viviers, créée par la compagnie nationale du Rhône (CNR) a été construite en partie sur la commune de Viviers et sur la commune voisine de Saint-Montan. Bâtie de façon à ne rester que provisoire, elle devait être rasée à l’issue des travaux de construction du barrage de Donzère-Mondragon, mais elle a cependant accueilli une compagnie de CRS vers 1955, puis, vers 1969, la CNR céda l’ensemble des lots à des propriétaires privés[21].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Risques sismiques
[modifier | modifier le code]L'ensemble du territoire de la commune de Viviers est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées à proximité de la vallée du Rhône, mais en limite orientale de la zone no 2 qui correspond au plateau ardéchois[22].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
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Zone 3 | Sismicité modérée | accélération = 1,1 m/s2 |
Autres risques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestée sous la forme gynaecei Vivarensis en 400, un gynécée est, à l’époque, un atelier où travaillent des femmes.
Du latin vivarium (« vivier, garenne, parc où l’on nourrit les animaux »). Il s’agissait là de pièces d’eau aménagées sur la rive droite du Rhône où l’on nourrissait et conservait le poisson et dont il reste quelques vestiges.
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et Antiquité
[modifier | modifier le code]Les fouilles faites par Yves Esquieu ont permis de découvrir les restes d'une place et de base de colonne d'une villa romaine[24]. Les Romains avaient établi à Viviers le centre d'approvisionnement (« vivarium ») de la cité d'Alba accessible par le pont romain de Viviers sur la voie d'Antonin.
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Entre le IIIe et le Ve siècle les évêques quittent Alba et s'installent à Viviers, qui devient la nouvelle capitale de l'Helvie puis du Vivarais, pour se protéger des agressions des envahisseurs barbares. Les Burgondes conquièrent le Vivarais vers 476 et sa capitale vers 507. Le royaume Burgonde est conquis par les Francs en 534 et le Vivarais est intégré au royaume franc de Bourgogne.
Plusieurs cathédrales sont successivement construites sur le même site. La première est édifiée sur le rocher de Châteauvieux[25].
Résidence des évêques depuis le Ve siècle, le bourg, fortifié, devint alors une puissante cité épiscopale aux privilèges confirmés par Lothaire et Charles le Chauve au IXe siècle. Viviers et le Vivarais passe alors au royaume de Provence puis devint partie intégrante au royaume d'Arles (933-1032), la ville fait partie du Saint-Empire romain germanique de 1032 jusqu'en 1307. Le passage du Saint Empire au royaume de France de Viviers et du Vivarais fut dans l'ensemble progressif (1305-1308). En 1305 est conclu un premier accord finalement rendu caduc par la clause prévoyant l'approbation du pape au rattachement. Ce qui suscita des réserves et la suspension de l'accord. En 1308 l'accord est l'objet de dernières adjonctions contractuelles. Mais l'on retient généralement l'année 1307 qui correspond à l'accord de 1305 revu et approuvé par les deux parties qui entérine l'essentiel des liens vassaliques. Le sud du pays, avec Viviers, reconnut alors la suzeraineté du roi de France et les évêques prirent, au XVe siècle, le titre de comtes de Viviers, princes de Donzère et de Châteauneuf-du-Rhône.
Viviers connaît alors une expansion considérable lui permettant de consolider ses fortifications et se protéger des attaques de la guerre de Cent Ans.
Époque moderne
[modifier | modifier le code]Renaissance, François Ier à Viviers
[modifier | modifier le code]Investi évêque dès l'année 1516, Claude de Tournon, aumônier de la reine Anne de Bretagne permet à la ville de connaitre une nouvelle prospérité. Rénovée, embellie et décorée, la ville reçoit la visite de François Ier en avril 1533. C'est également cet évêque qui prend la décision d'achever les fortifications de Donzère, située de l'autre côté du Rhône[26].
Viviers dévastée par les protestants
[modifier | modifier le code]C'est à la même époque que Noël Albert, un riche marchand de Viviers enrichi par le commerce du sel et le détournement des impôts, fait orner sa maison d'une magnifique façade « à l'antique » qui en fera la « Maison des Chevaliers ».
Ce même Noël Albert, converti au protestantisme pour échapper à la justice royale, devient, lors des guerres de religion, chef militaire du camp huguenot, s'empare une première fois de sa ville natale de Viviers, pillant et détruisant une partie du riche quartier de la cathédrale délaissé par l'évêque et les ecclésiastiques, pour des résidences plus confortables comme à Donzère et au palais de Bourg-Saint-Andéol puis une seconde fois, en 1567, en saccageant la cathédrale elle-même.
Le retour des évêques à Viviers au XVIIIe siècle
[modifier | modifier le code]Les évêques ne reviendront à Viviers qu'au XVIIIe siècle pour s'installer dans le palais épiscopal construit par l'architecte Jean-Baptiste Franque. D'autres hôtels particuliers sont alors construits ou embellis comme l'hôtel de Roqueplane, l'hôtel de Tourville, l'hôtel de Beaulieu mais aussi l'église Notre-Dame-du-Rhône, le séminaire et les faubourgs.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Lors de la Révolution Française, Viviers ne fut pas pillée et détruite par les troupes révolutionnaires, son évêque Charles de La Font de Savine, ayant juré fidélité à la Révolution.
En 1858 Joseph Hippolyte Guibert fait l'acquisition de trois tapisseries des Gobelins et obtient de Napoléon III le don de trois autres. Le XIXe siècle correspond à une période d'innovation industrielle, avec notamment la création de l'usine de chaux et de ciments (Ets Lafarge)[27].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2021, la commune comptait 3 674 habitants[Note 3], en évolution de −1,45 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée à l'académie de Grenoble et compte plusieurs établissements scolaires, dont :
- l'école maternelle publique Lamarque
- l'école primaire publique de La Roubine
- les écoles maternelle et primaire privées mixtes Saint Régis et Notre Dame du Rhône
Santé
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Viviers est une ville sportive avec plusieurs équipements de loisirs : piscine municipale, un gymnase comportant des panneaux photovoltaïque, un port de plaisance, abritant des clubs d'aviron et de voile et des circuits de randonnées.
Médias
[modifier | modifier le code]Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition Drôme-Ardèche-Nord, un ou plusieurs articles à l'actualité de la commune et de la communauté de communes, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local[32].
La commune est située dans la zone de distribution de L'Hebdo de l'Ardèche. Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
Cultes
[modifier | modifier le code]La cathédrale Saint-Vincent de Viviers est le siège du diocèse épiscopal de l'Église catholique en France correspondant au territoire du département de l'Ardèche. La communauté catholique dépend de la paroisse Charles-de-Foucauld - Viviers / Le Teil dont le siège est également situé à Viviers[33].
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Entreprises de l'agglomération
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]Artisanat et industrie
[modifier | modifier le code]Activités de service
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Édifices civils
[modifier | modifier le code]Pont romain
[modifier | modifier le code]Viviers à l'époque romaine : pont romain de 11 arches sur l'Escoutay [34] du IIe ou IIIe siècle.
Monuments médiévaux
[modifier | modifier le code]Viviers au Moyen Âge :
- remparts[35] ;
- ruelles ;
- donjon carolingien ;
- chapelle Saint-Ostian[36] ;
- maison de Lestrade (XIIe – XIIIe siècles), dans la ville basse, fortement remaniée aux XVIe et XVIIIe siècles. Elle a été la mairie de Viviers de 1767 à 1947.
Monuments de la Renaissance
[modifier | modifier le code]- Maison Noël-Albert (dite maison des Chevaliers ou maison des Têtes)[37],[38]
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Maison des Chevaliers (vue générale) -
Maison des Chevaliers (arcade sur la rue) -
Maison des Chevaliers (détail) -
Maison des Chevaliers (détail) -
Maison des Chevaliers (détail) -
Détail de chapiteaux
Monuments du XVIIIe siècle
[modifier | modifier le code]- ancien "Grand-séminaire", devenu "Maison diocésaine Charles de Foucauld" [39]. Riche bibliothèque [40].
- ancien Palais épiscopal : actuel hôtel de ville
- Hôtel de Roqueplane [41] : actuel évêché du diocèse de Viviers
- Hôtel de Tourville
- Hôtel de Mercoyrol de Beaulieu[42].Après avoir acheté plusieurs lots, Pierre de Roqueplane fait bâtir un hôtel à partir de 1734, correspondant à l’aile droite. Jean de Roqueplane et Pierre de Fontanes ayant hérité, chacun pour moitié de l'hôtel de Pierre de Roqueplane, Jean de Fontanes achète la part de Jean de Roqueplane. Pierre de Fontanes entreprend alors de faire continuer les travaux par l'entrepreneur François Lustrou dit Béziers, entre 1760 et 1765. Madame de Fontanes meurt en 1783 et ses filles héritent de l'hôtel. Ce partage de l'hôtel entre les deux familles, Drivet de la Dernade et Mercoyrol de Beaulieu, entraîne des travaux. À partir de 1860 l'hôtel appartient en totalité à la famille Mercoyrol de Beaulieu. La façade est percée de 24 fenêtres ornées d'écussons et de têtes sculptées comportant un élégant balconnet, ainsi qu'une porte cochère en noyer. On peut également admirer l'impressionnante escalier avec sa rampe en fer forgé.
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L'actuelle mairie de Viviers, ancien palais épiscopal construit par Jean-Baptiste Franque -
Hôtel de Beaulieu : balcon -
Hôtel de Beaulieu : décoration -
Hôtel de Roqueplane -
Hôtel de Tourville : décoration
Bâtiments industriels du XIXe siècle
[modifier | modifier le code]- Viviers au XIXe siècle : cimenteries Lafarge[43], Cité Blanche (cité ouvrière de la cimenterie), usines Greffe-Lachave et tonnellerie Lecomte le long de la nationale (la première abrite toujours une activité artisanale, la seconde est transformée en parking)...[réf. nécessaire]
Constructions du XXe siècle
[modifier | modifier le code]- Pont suspendu de Viviers sur le Rhône : le pont suspendu sur le Rhône relie Viviers avec Châteauneuf-du-Rhône, construit au début des années 1950 pour remplacer un ancien pont suspendu édifié en 1845, détruit à la fin de la Seconde Guerre mondiale[44],[45]. L'ouvrage est construit par un groupement d'entreprises comprenant l'entreprise Boussiron, l'entreprise Truchetet-Tanzini, et la Compagnie Fives-Lille. Les travaux de démolition de l'ancien pont ont été entrepris en 1949. Les épreuves du pont ont été réalisées en 1954. Sa longueur totale est de 275 m avec une travée centrale de 165,10 m de portée[46].
Édifices religieux
[modifier | modifier le code]De son passé d’évêché, Viviers a conservé un ensemble de remarquables hôtels particuliers et des bâtiments religieux très intéressants[47].
- Cathédrale Saint-Vincent de Viviers, chemin de Ronde, est la seule de France à avoir conservé intact son quartier canonial.
- Église Notre-Dame-du-Rhône de Viviers, appelée aussi Chapelle des Dominicains de Viviers, place Notre-Dame-du-Rhône [48],[49]
- Église Saint-Laurent, Faubourg la Ciré.
- Église de l'ancienne cité ouvrière Lafarge, appelée aussi Cité Blanche.
- Église Saint-Julien de Viviers.
- Église Saint-Laurent-le-Vieux de Viviers.
- Église Saint-Saturnin de Viviers.
- Église Saint-Victor de Viviers.
- Chapelle Saint-Ostian de Viviers, à saint Ostian.
- Chapelle du couvent Saint-Roch, chemin de Ronde.
- Chapelle au cimetière.
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Ville médiévale, capitale du Vivarais depuis le Ve siècle, classée 3e secteur sauvegardé de la région Auvergne-Rhône-Alpes, offre aux visiteurs un véritable musée d'architecture à ciel ouvert.
La commune dispose d'un théâtre en activité, ou sont organisées plusieurs manifestations[50].
Une statue de Johnny Hallyday a été érigée en 2018 sur la route départementale 86, à quelques kilomètres du centre-ville, la mère de l'artiste étant enterrée dans la commune. Elle constitue depuis un lieu de pèlerinage, notamment à la date anniversaire du chanteur (15 juin), pour les fans frustrés que la sépulture de leur idole soit située hors de la métropole. Sculptée par Georges Daniel, la représentation s'élève à 2,70 m environ du sol dans le parc du restaurant « Le Tennessee » qui organise des concerts de rock où se produisent parfois des sosies du chanteur disparu[51],[52],[53],[54].
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Le territoire communal héberge en partie la « ZNIEFF du Vieux Rhône et Losne de Viviers à Pont-Saint-Esprit », classé de type 1[55].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Saint Venant de Viviers, évêque (VIe siècle)
- Noël Albert ou Albert de Noé, né à Viviers et mort décapité à Toulouse en 1568, était un riche marchand du Vivarais qui fit rebâtir en style Renaissance la façade de son Hôtel particulier appelé aussi la Maison des Chevaliers, monument incontournable de la ville.
- Marie de Romieu, poétesse née à Viviers (XVIe siècle)
- Le cardinal de Richelieu (1585-1642) y passe une nuit, à l'été 1642, peu de temps avant son décès survenu le suivant.
- Charles-Antoine de La Garde de Chambonas, évêque et comte de Viviers, de 1692 à 1713.
- Étienne-Benjamin Deschauffours, né à Viviers vers 1690, étranglé puis brûlé pour sodomie, à Paris, le .
- Charles de La Font de Savine (1742-1814), évêque de Viviers. Il jure fidélité à la Révolution ce qui vaut à la ville de Viviers d'être épargnée de la destruction et du pillage par les troupes révolutionnaires.
- Honoré Flaugergues (1755-1830), astronome amateur qui découvre la grande comète de 1811[56] et les nuages de poussière de Mars.
- Jean-Louis Charrière (1765-1846), général de la Révolution et de l'Empire.
- Eugène Labaume, ingénieur hydrographe et historien, né à Viviers en 1783.
- Joseph Hippolyte Guibert (1802-1886), évêque de Viviers puis archevêque de Tours et de Paris. En 1856, il fait l'acquisition de trois tapisseries des Gobelins et obtient de Napoléon III, le don de trois autres. Cinq d'entre elles sont encore visibles à la cathédrale.
- Napoléon III (1808-1873), s'est arrêté à Viviers le où il fut acclamé par la foule.
- Charles de Foucauld (1858-1916), ancien saint-cyrien puis martyr, y a été ordonné prêtre le . Une statue rappelle son souvenir.
- Paul Signac (1863-1935), peintre paysagiste français, séjourna plusieurs fois à Viviers entre 1926 et 1931.
- Henri de Pavin de Lafarge (1889-1965), sénateur de l'Ardèche de 1930 à 1945.
- Jean Hermil (1917-2006), évêque de Viviers de 1965 à 1992.
- Huguette Galmiche née Clerc (1920-2007), mère de Johnny Hallyday, est enterrée à Viviers, prétexte invoqué pour qu'y soit érigée une statue du chanteur.
- Jean Bonfils (1930-), évêque de Viviers de 1992 à 1998).
- François Blondel (1940-), évêque de Viviers de 1999 à 2015.
- Yves Esquieu (né en 1943) est un archéologue français. Il a notamment conduit des fouilles à Viviers qui ont permis de découvrir les restes d'une place et de base de colonne d'une villa romaine.
- François Félix (né à Viviers en 1949), ancien footballeur professionnel. Il marque 119 buts en 340 matchs de 1re Division, occupant le 42e rang des meilleurs buteurs de l'histoire du championnat de France et dispute la finale de la Coupe UEFA en 1978 avec le SC Bastia face au PSV Eindhoven, ainsi que deux finales de Coupe de France, en 1971 et 1972, toutes deux perdues. Il porta également les couleurs de l'Olympique lyonnais et de l'AJ Auxerre.
- Jean-Louis Balsa (1957-), évêque de Viviers depuis 2015.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'azur aux trois fleurs de lys d'or, au chef d'argent chargé de deux lettres W capitales de gueules[57]. |
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Détails | Conflit héraldique : le blasonnement mentionne trois fleurs de lys ; la représentation n’en montre que deux. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Porte de la Gâche -
Tour de la cathédrale, ancienne porte -
La statue de saint Michel depuis le sentier
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La statue de la Vierge de la Joannade
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La Vierge protégeant le village
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Tour
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La tour de l'Horloge
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Albin Mazon, « Le château de Viviers », Revue du Vivarais, Privas, t. 1, (lire en ligne)
- Joseph Bourg, Viviers, Promenade à travers ses monuments et son histoire, Paris, Éditions Le livre d'histoire et Res Universis, coll. « Monographies des villes et villages de France », Collection dirigée par Michel-Georges Micberth.
- Yves Esquieu, Viviers et son canton, Éditions Alan Sutton, coll. « Mémoire en Images », .
- Marie-Christine Grasse, « La Maison urbaine et son évolution dans la ville basse de Viviers (Ardèche), XIIe – XVe siècles », Bulletin Monumental, t. 146, no 1, , p. 7-27 (DOI 10.3406/bulmo.1988.3051, lire en ligne, consulté le ).
- André Hallays et Jos Jullien, Viviers, Saint-Félicien, Éditions du Pigeonnier, .
- Henri Vergnes, Viviers-sur-Rhône. Notice historique et guide, Paris, Éditions Le livre d'histoire, coll. « Monographies des villes et villages de France », Collection dirigée par Michel-Georges Micberth.
- collectif, Viviers : une petite cathédrale... une longue histoire : Cahier de Mémoire d'Ardèche et Temps Présent n°143, Privas, Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, .
- présenté par Alain Fambon, « 1700 : achat d’offices de maire par l’évêque de Viviers (Charles-Antoine de La Garde de Chambonas) et transaction de 1307 : dans un cahier dédié à : 1308, il y a 700 ans - Quand le Vivarais devint français », Cahier de Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, no 99,
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Philippe Van der Haeghen, Recherches historiques concernant la souveraineté des empereurs d'Allemagne sur le Vivarais du IXe siècle au XIVe, Paris & Bruxelles, Benezech et Carrière, , p. 48.
- Site de la mairie de Viviers
- Site habitants.fr, page sur Viviers, consulté le 19 mai 2021.
- Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Escoutay (V45-0400) » (consulté le )
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Le ruisseau du Mas (V4520500) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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- Site saint-montan.fr, page sur l'historique de la Cité du Barrage, consulté le 18 mai 2021.
- Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
- Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
- « www.cicp-viviers.com »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur cicp-viviers.com (consulté le ) Centre International Construction et Patrimoine : Historique de la ville de Viviers
- Site books.openedition.org Livre Viviers, cité épiscopale, chapitre III "Évolution d’un quartier cathédral au Moyen Âge et dans les temps modernes" d'Yves Esquieu, éditions Alpara 1988.
- Site memoire-ardeche.com, résumé des articles sur Viviers, consulté le 19 mai 2021.
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Site ledauphine.com, page "Info Viviers, météo, faits divers, culture et sport", consulté le 16 mai 2021.
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- Notice no IA00047775, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Remparts
- Notice no IA00048156, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Chapelle Saint-Martin, Saint-Ostian
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- Simone Hartmann-Nussbaum, L'hôtel de Roqueplane à Viviers, pp. 369-374, dans Congrès archéologique de France. 150e session. Moyenne vallée du Rhône. 1992, Société française d'archéologie, Paris, 1995
- Notice no IA00047770, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Hôtel de Fontanes puis de Beaulieu
- « Usine de Chaux, Cimenterie dite Usine de Chaux et Ciments Lafarge », notice no IA00047819, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Inventaire général : Pont dit pont de Viviers », notice no IA00048161, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
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- Notice no IA00047880, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : Église paroissiale Notre-Dame-du-Rhône
- Simone Hartmann-Nussbaum, Viviers. L'église Notre-Dame-du-Rhône, pp. 363-367, dans Congrès archéologique de France. 150e session. Moyenne vallée du Rhône. 1992, Société française d'archéologie, Paris, 1995
- « culture et théâtre à Viviers », sur mairie-viviers.fr (consulté le ).
- Aude Henry, « Ardèche : une statue de Johnny Hallyday trône désormais à Viviers », sur france3-regions.francetvinfo.fr, France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le ).
- Nathalie De Keyzer et Nathalie Rodrigues, « PHOTOS - Viviers : la statue ardéchoise de Johnny Hallyday a changé de "Gueule" », sur francebleu.fr, France Bleu Drôme Ardèche, (consulté le ).
- « La statue hommage à Johnny Hallyday à Viviers », sur rhone-gorges-ardeche.com, Office de tourisme du Rhône aux Gorges de l'Ardèche (consulté le ).
- « À défaut d'aller à Saint-Barth, les fans de Johnny Hallyday ont aussi Viviers en Ardèche, le lieu de naissance de la maman du rockeur », sur gala.fr.
- Site inpn.mnhn.fr, fiche de la zone znieff n°820030254, consulté le 19 mai 2021.
- Marie-Jo Volle, « La comète de 1811 : dans cahier consacré à Quand les éléments se déchaînent », Cahier de Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, no 29,
- « Blason de Viviers »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur labanquedublason2.com.