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Arash Derambarsh

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Arash Derambarsh
Arash Derambarsh en 2017.
Fonctions
conseiller municipal de Courbevoie
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (45 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Père
Kioumars Derambakhsh (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Partis politiques
Directeur de thèse
Site web
Distinctions

Arash Derambarsh, né le à Paris, est un éditeur, un militant politique français et un ancien avocat, radié de la profession à la suite de l’annulation de son doctorat pour plagiat.

Engagé successivement auprès de différents partis politiques, il est surtout connu pour les polémiques qu'il a suscitées, tant dans le domaine de la lutte contre le gaspillage alimentaire, qu'en raison de sa recherche de notoriété médiatique. Le parcours universitaire d'Arash Derambarsh fait également l'objet de controverses — son doctorat ayant été retiré par l'université Panthéon-Sorbonne pour cause de plagiat.

Fils de Kioumars Derambarsh, réalisateur franco-iranien[1], Arash Derambarsh naît le dans le 13e arrondissement de Paris après que ses parents[2] ont fui l'Iran au début des troubles de la révolution islamique de 1979[réf. nécessaire]. Sa famille retourne ensuite vivre en Iran en , puis s'exile de nouveau et revient en France en pour s'établir à Courbevoie en 1986[3].

Il connaît un parcours scolaire chaotique, ne réussissant pas à obtenir son brevet des collèges, ratant son baccalauréat la première fois, échouant deux fois aux trois tentatives possibles à l'examen d'entrée à l'École du Barreau et en redoublant en tout neuf fois[4]. Par la suite, il met dix-sept ans à soutenir une thèse de doctorat en droit, en s’inscrivant successivement à l’université Paris II Panthéon-Assas puis à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Ce diplôme est annulé en 2020 pour cause de plagiat, cette annulation étant assortie d'une exclusion définitive de tout établissement public d'enseignement supérieur[5],[6]. Saisi par l'Université Paris-1, le procureur de Paris ouvre en octobre 2020 une enquête sur les faits[7]. En appel, le CNESER confirme l'annulation de la thèse mais réduit la sanction à une exclusion de tout établissement d'enseignement supérieur pour une durée de cinq ans[8]. Par arrêt en date du 14 décembre 2023, la cour d'appel de Paris a confirmé sa radiation du barreau. Arash Derambarsh annonce son intention de se pourvoir en cassation, mais un tel pourvoi n'est pas suspensif[9].

Engagement politique

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Arash Derambarsh : célébration d'un mariage à la mairie de Courbevoie en date du 5 juillet 2014.

Directeur de collection depuis 2004 aux éditions Ramsay[10][source insuffisante], il est également directeur de collection en 2011 aux éditions Le Cherche midi[11],[12],[13],[16],[17],[18] chargé du service politique et personnalités publiques[12],[19],[20].

Il est membre du conseil national de l'UDF[13],[21],[12],[22],[23],[18] jusqu'à 2007, date à laquelle il est exclu du parti de François Bayrou pour avoir maintenu sa candidature contre un candidat investi par le parti[24]. Après son exclusion, il rejoint en Alternative libérale[25],[23],[18].

En 2007, il est candidat aux élections législatives sous l'étiquette d'Alternative libérale[25] face au député sortant UMP Jacques Kossowski dans la 3e circonscription des Hauts-de-Seine[26],[27]. Sa campagne bénéficie du soutien de la fille de cœur de Jacques Chirac : Anh Đào Traxel[24],[27]. Il récolte 1,49 % des suffrages[28] soit 735 voix dans la 3e circonscription des Hauts-de-Seine dont 1,84 % (538 voix) à Courbevoie.

Aux élections municipales de Courbevoie en 2008, il est reproché à Arash Derambarsh d'avoir inscrit des candidats sur sa liste à leur insu[29]. L'affaire est portée devant le Tribunal administratif de Versailles[30]. En 2014, tête de liste divers droite, il est élu conseiller municipal d’opposition de Courbevoie[14],[15]. En 2020, il devient adjoint au Maire chargé du développement durable[31].

Controverses

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« Président de Facebook »

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Début , il connaît une notoriété soudaine en affirmant avoir été élu président de Facebook[18],[32],[12],[33],[34],[35], via une application non officielle[18],[23],[37], pour un mandat de quatre mois, de janvier à [38],[36]. Cette « élection » supposée est critiquée par des médias spécialistes de l'Internet et des réseaux sociaux[34],[39],[25],[40]. En effet, l'élection ayant été organisée par le biais d'une application tierce à Facebook, les déclarations d'Arash Derambarsh sur le pouvoir que lui confère son élection — « Personne sur Internet ne peut toucher autant de monde que moi ! » — sont infondées, de même que la légitimité de ce statut du fait du faible nombre de votants (il a recueilli 9 148 voix sur un nombre d'utilisateurs total de Facebook supérieur à 50 millions)[réf. nécessaire].

Arash Derambarsh reconnait d'ailleurs avoir exploité a posteriori la confusion créée par cette application tierce, « l'enjeu était bien d'avoir accès aux médias pour faire passer des messages ». Il affirme d'autre part que si c'était à refaire, il le referait, expliquant que « en 2007, je fais 1,5 % aux législatives. En 2008, je fais 4 % (municipales). J'avais besoin de passer un palier, une étape de notoriété pour affirmer et faire connaître mes convictions[17]. »

Sur sa profession d'avocat

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Passerelle pour les juristes d'entreprise

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Arash Derambarsh ayant échoué aux trois tentatives possibles à l'examen d'entrée à l'école d'avocat[41], il tente d'emprunter la passerelle ouverte aux juristes d'entreprise. En 2013, il allègue devant le Conseil de l'Ordre des Avocats avoir été, pendant au moins huit ans, juriste d'entreprise aux éditions Laffont, puis au Cherche midi. Sur le refus du Conseil de l'Ordre, qui souligne « le peu de pertinence des témoignages produits », il saisit la juridiction judiciaire. La cour d'appel, dans un arrêt de 2014, estime que « M. Derambarsh ne rapporte pas avec suffisamment de certitude la preuve que les fonctions qu'il a exercées et exerce toujours au sein des deux maisons d'édition dont il se prévaut puissent être analysées comme étant celles de juriste d'entreprise ». Il relance alors sa préparation d'une thèse de doctorat afin de pouvoir aspirer au titre d'avocat par une autre passerelle[41].

Thèse en droit

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Inscrit en doctorat depuis 17 ans[2], Arash Derambarsh soutient le à l'université Paris-I Panthéon-Sorbonne, sous la direction du professeur de droit privé Bruno Dondero et dans un premier temps avec succès, une thèse intitulée Fichiers de police, un encadrement légal et sociétal dans un contexte controversé devant un jury présidé par le député et avocat Frédéric Lefebvre[42],[43]. Les autres membres du jury sont Francis Szpiner, avocat, Anne-Dominique Merville, maîtresse de conférences en droit privé, et Oleg Curbatov, maître de conférences en sciences de gestion[44]. Grâce au « décret passerelle », cette thèse lui permet d'intégrer sans examen l'école de formation du barreau en vue de devenir avocat au barreau de Paris le .

Début 2020, un compte Twitter sous pseudonyme l'accuse d'avoir plagié de nombreuses parties de sa thèse[45]. Après la publication d'articles dans la presse, l'université annonce en qu'une enquête sur la thèse d'Arash Derambarsh est en cours en son sein, depuis plusieurs semaines[41].

L'université Paris I Panthéon-Sorbonne n'a pas testé la thèse avant la soutenance avec le logiciel de détection de plagiat auquel elle souscrit depuis 2012. Elle en a également bloqué la lecture jusqu'en 2047 sous des arguments de confidentialité de sources, lesquels sont extrêmement inhabituels pour une thèse de droit[non neutre].

Le , la section disciplinaire du conseil académique de l’université de Paris I établit la réalité du plagiat et l'utilisation indue du statut d'informations confidentielles pour dissimuler celui-ci. Elle ajoute que « les faits reprochés sont également aggravés par la production de versions falsifiées de la thèse devant la Section Disciplinaire du Conseil Académique », retire le diplôme de docteur en droit de M. Derambarsh et prononce son exclusion définitive de tout établissement public d’enseignement supérieur[46],[47]. Cette dernière sanction est la plus sévère qu'une section disciplinaire peut prononcer à l'encontre d'un étudiant[48]. Arash Derambarsh fait appel de cette décision devant le Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche (CNESER)[49], alléguant n'avoir commis que des erreurs méthodologiques[50].

En , Thomas Clay, nommé administrateur provisoire de l’université Paris 1 après le départ en retraite de son président Georges Haddad, notifie la décision du conseil de discipline à l’ordre des avocats de Paris et au conseil national des barreaux. Il écrit à Arash Derambarsh pour lui faire défense de continuer à se prévaloir du titre de docteur en droit, saisit le ministère public de faits qui pourraient donner lieu à une qualification pénale et engage une enquête interne pour identifier l’ensemble des dysfonctionnements ayant concouru à la fraude. L'université précise que l'appel auprès du CNESER contre sa décision n'a pas de caractère suspensif[51]. Le CNESER rejette en décembre 2020 une requête de suspension des effets de la décision d'annulation de son doctorat dans l'attente de l'examen sur le fond de son appel[52].

À l'audience publique du 9 mars 2022, la section disciplinaire du CNESER confirme la culpabilité mais réduit la sanction infligée par la section disciplinaire du conseil académique de l'université Paris I Panthéon-Sorbonne (exclusion définitive de tout établissement public d'enseignement supérieur assortie de l'annulation de l'épreuve de soutenance de thèse et le retrait du diplôme de doctorat en droit) pour y substituer une exclusion de tout établissement d'enseignement supérieur pour une durée de cinq ans et l'annulation de la thèse (qui entraine le retrait du diplôme de docteur en droit)[53]. Les défauts invoqués par le CNESER sont relatifs à la régularité de la décision de la section disciplinaire, entre autres, la confidentialité de la thèse, la médiatisation de l'affaire, l'égarement de la thèse par l'université. Sur le plagiat, la section disciplinaire du CNESER relève que M. Derambarsh ne conteste pas les « copier-coller » mais n'invoque que des problèmes méthodologiques. En sus, elle identifie bien une faute imputable à M. Derambarsh qui doit être sanctionnée[8]. M. Derambarsh forme d'abord un pourvoi devant le Conseil d'État, compétent en cassation en matière disciplinaire des établissements publics d'enseignement supérieur, avant de se désister de ce pourvoi en avril 2023 en annonçant qu'il va saisir la Cour européenne des droits de l'homme. Ce désistement rend définitive l'annulation de son doctorat[54].

Radiation du barreau

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Le , l'ordre des avocats de Paris prononce, en formation disciplinaire, la radiation d'Arash Derambarsh du barreau. Il lui est reproché des manquements aux devoirs de dignité, de conscience, de probité, d'humanité, d'honneur, de loyauté et de courtoisie en ayant « frauduleusement dissimulé, lors de la procédure d'inscription au barreau de Paris, que son certificat d'aptitude à la profession d'avocat n'avait pu être obtenu que sur le fondement d'une thèse obtenue par fraude »[55]. Arash Derambarsh se pourvoit en appel, ce qui suspend sa radiation. En juin 2022, la cour d’appel décide de surseoir à statuer au fond, sur la réalité des manquements reprochés et sur leur éventuelle sanction, jusqu’à l’issue définitive de la procédure alors en cours devant le conseil d’État à la suite du pourvoi formé par Arash Derambarsh à l’encontre de la décision rendue le 14 mars 2022 par la section disciplinaire du Conseil académique de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne concernant la réalité ou non du plagiat de sa thèse. Ceci permet à Arash Derambarsh de demeurer avocat pendant le sursis à statuer[56],[57].

Le 14 décembre 2023, la Cour d'appel de Paris confirme sa radiation de l’ordre des avocats de Paris. Il annonce se pourvoir en cassation ; le pourvoi n'étant pas suspensif, la décision de la Cour d'appel s'applique sans délai[9].

Lutte « anti-gaspillage alimentaire »

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Diversement apprécié par les médias — « roi de la gonflette » pour les uns[23], « héros ordinaire » pour d'autres[58], prompt à se plaindre avec virulence de ceux qui n'apprécient pas ses méthodes[2] — Arash Derambarsh s'en sert néanmoins pour promouvoir ses idées[59]. Ambitieux, il part « en croisade contre le gaspillage alimentaire[60],[61] » en [63],[2]. À partir du et pendant les deux mois qui suivent, il organise à cet effet une vingtaine d'opérations de collecte et de distribution de nourriture aux démunis[64] dont il assure la visibilité médiatique grâce à des reportages de l’AFP[65],[66],[67], 20 Minutes, France Inter[64],[68], Le Parisien et Ouest-France[2]. Avec Mathieu Kassovitz, il signe deux pétitions pour mettre fin au gaspillage alimentaire, l'une pour la France[69], l'autre pour l'Europe[66].

Enquête des Inrockuptibles

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Si les efforts d'Arash Derambarsh pour éviter le gaspillage alimentaire font l'objet de commentaires positifs de plusieurs médias[64],[70], Les Inrockuptibles, dans une longue enquête reprise par Libération[71], livrent une autre version, mentionnant le « besoin de reconnaissance médiatique insatiable » de l'intéressé souligné par l’ancien ministre Guillaume Garot[2] et les fortes réticences de certaines associations luttant contre le gaspillage (parmi lesquelles Disco Soupe), qui craignent les effets pervers de la mise en œuvre sans précaution d'une législation dans ce domaine et déplorent l'absence de toute concertation préalable de la part d'Arash Derambarsh[72].

Le , Arash Derambarsh porte plainte contre le directeur de la rédaction de Libération — Laurent Joffrin — pour diffamation notamment après que le quotidien précité a relayé sur son site internet une enquête du journal Les Inrockuptibles qualifiant l'élu politique « d’imposture[73] ».

Par jugement de la 17e chambre correctionnelle du tribunal de grande Instance de Paris en date du , Laurent Joffrin est relaxé en raison de la nullité de la plainte avec constitution de partie civile qui avait été déposée en son temps à l’instigation d'Arash Derambarsh.

Polémique sur la paternité

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La polémique sur la paternité de la loi contre le gaspillage alimentaire[62] attire aussi l'attention des médias. Ségolène Royal conteste la paternité du texte revendiquée par Arash Derambarsh à la suite de sa pétition de [74],[75]. De fait, dès le mois de , Guillaume Garot, à l'époque ministre de l’agro-alimentaire, lance un « Pacte national de lutte contre le gaspillage[76],[77] ». En septembre et , Jean-Pierre Decool (LR) fait étudier une proposition de loi sur le sujet[78],[79]. Malgré tout, le site d'Arash Derambarsh affirme — dans une « enquête » publiée sur un blog, et « co-écrit[e] » par Charles Dos Santos[80] et lui-même[2] — qu'il « est bien à l’origine de la loi sur le gaspillage alimentaire[80],[81] » grâce à « [s]a persévérance et [s]a force de frappe inouïe[80] », et que les tweets de Ségolène Royal qui contestent cette paternité l'ont mis « en colère[80],[82] ».

Le , la loi no 2016-138 relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire est finalement avalisée par le Parlement français[83].

En , il décide de déposer plainte contre une enseigne des magasins E.Leclerc au titre de non-respect de la loi Garot[84],[85].

Accrochage avec Yann Moix

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Le [86], lors d'un enregistrement de l'émission On n'est pas couché, Yann Moix compare Arash Derambarsh à Mickaël Vendetta, l’ex participant de téléréalité notoire pour son narcissisme, et à Christophe Rocancourt, surnommé « l'escroc des stars », en mettant en doute « la sincérité d’Arash Derambarsh dans son combat contre le gaspillage alimentaire[87] ».

Yann Moix déclare par ailleurs avoir reçu auparavant des SMS envoyés par des proches d’Arash Derambarsh qui lui demandaient d'être « sympa » avec l’invité[86] ; s'insurgeant contre ce type de « pressions », le chroniqueur qualifie Arash Derambarsh de « narcisse obsessionnel » qui « n’existe que par la publicité[2] ». Arash Derambarsh cherche en vain à faire pression sur Laurent Ruquier et Catherine Barma pour les empêcher de diffuser cette séquence télévisuelle inédite au cours du best of ultérieur de fin d’année[86]. En effet, l'émission originelle, préenregistrée puis initialement programmée pour le samedi , avait finalement dû être reportée in extremis et sine die en raison des attentats parisiens survenus la veille[87],[2]. Le segment litigieux en question est néanmoins ultérieurement télédiffusé dans le cadre des best of de l'émission en date du samedi [88]. Le , Le Figaro se fait l'écho de l'intention d'Arash Derambarsh de déposer plainte contre Yann Moix pour « diffamation à caractère aggravant[87],[88] ». Cependant, le , l'enquête des Inrockuptibles indique que, « à ce jour pourtant, l’écrivain n’a toujours pas reçu de plainte[2] ».

Pressions alléguées

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Sur Twitter, l'article des Inrockuptibles[89] est à nouveau communiqué par le compte Twitter @Ganette. Le , la titulaire de ce compte indique qu'Arash Derambarsh aurait appelé son cabinet et ses supérieurs hiérarchiques pour se plaindre et qu'il aurait menacé de poursuites en diffamation.

Derambarsh nie les faits[90], évoquant n'avoir voulu contacter @Ganette que pour « discuter ».

Liens allégués avec la rédaction de Charlie Hebdo

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Après l'attentat contre Charlie Hebdo, Arash Derambarsh se présente comme éditeur de Cabu, Charb et Wolinski, alors qu'il n’a participé à la publication d'aucun ouvrage de ces dessinateurs.

Il affirme en outre être un ami du dessinateur Tignous, lui aussi mort lors de cet attentat. En preuve de cette amitié, Arash Derambarsh montre, lors d'une interview par la BBC, un dessin enregistré sur son téléphone. En réalité, ce dessin de Tignous a été réalisé lors d'une émission de M6, Tignous se trouvant dans un studio à part et croquant les invités en direct. Le dessin présenté par Arash Derambarsh n'est qu'une capture d'écran de la vidéo de l'émission T’empêches tout le monde de dormir. La mention « en direct » est d'ailleurs incrustée sur le dessin[91],[92].

Menaces envers un élu

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Le , un conseiller municipal de Courbevoie, Alban Thomas, dépose plainte au commissariat local contre Arash Derambarsh pour menaces. La plainte est classée sans suite pour « infraction insuffisamment caractérisée »[2].

Rixe dans un bar

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En , Arash Derambarsh et deux élus Les Républicains sont impliqués dans une rixe avec trois individus à la sortie d'un bar parisien. Une patrouille de police sépare les individus et place l'un de ces derniers en garde à vue. Les élus Shervin Janani, Zartoshte Bakhtiari et Arash Derambarsh portent plainte[93],[94].

Distinctions

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  • Finaliste (plusieurs finalistes) pour la campagne « Mettons fin au gaspillage alimentaire en Europe » - Innovation in Politics Institute Awards 2023 [95]
  • Prix spécial du jury des Gastronomades pour son ouvrage Manifeste contre le gaspillage[96].
  • Lauréat 2015 du prix de littérature politique Edgar-Faure pour son ouvrage Manifeste contre le gaspillage[67].
  • Classé parmi les 100 personnalités mondiales de l'année 2016 par le magazine Foreign Policy[97].
  • Le , Arash Derambarsh se voit décerner le WIN WIN Gothenburg Sustainability Award, « doté d'un million de couronnes suédoises (93.570 euros) ». Cette récompense lui sera remise le de la même année, « en présence du lauréat », au titre de reconnaissance envers « son travail constant et son engagement sans faille » au profit de la cause alimentaire[98],[99],[100].

Notes et références

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  1. « Arash Derambarsh : L'affaire qui a fait dysfonctionner la Sorbonne », sur lecourrierdelatlas, (consulté le ) : « Son père est le réalisateur et photographe franco-iranien, Kioumars Derambarsh décédé le 31 mars 2020, ».
  2. a b c d e f g h i j et k Marie Turcan et François-Luc Doyez, « Les mille et une vies d’Arash Derambarsh », Les Inrockuptibles,‎ (lire en ligne)
  3. Derambarsh 2019.
  4. « Après neuf redoublements, Arash Derambarsh est devenu (enfin) avocat », (consulté le ).
  5. « Formation de jugement du 10 juillet 2020 - Poursuites engagées contre Arash DERAMBARSH - Section disciplinaire de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne », (consulté le ).
  6. « Thèse plagiée : l’université Panthéon-Sorbonne saisit la justice », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. David Livois, « Enquête ouverte sur la thèse plagiée d’Arash Derambarsh », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  8. a et b MESRI, « Cneser - Sanctions disciplinaires - Décisions du 9 mars 2022 » Accès libre, sur enseignementsup-recherche.gouv.fr (consulté le ).
  9. a et b L’avocat Arash Derambarsh radié en appel de l’ordre, site lemonde.fr, 14 décembre 2023.
  10. Le Parisien, le 7 février 2006
  11. Documents le Cherche midi (périodiques et collections), Paris, le Cherche midi, 1989 - ..., collection dirigée par Pierre Drachline. En 2011, directeur de collection, Arash Derambarsh. En 2014, directeur de collection, Jean-Jacques Jelot-Blanc (ISSN 1158-8942, BNF 34270955)
  12. a b c et d Delphine de Mallevoüe, « Un Français, « président du monde » sur Facebook », Le Figaro,‎ 1er et 2 janvier 2008 (lire en ligne)
    « Le monde numérique en bruisse encore : l'élection du président international du célèbre site Internet de réseaux sociaux Facebook vient, contre toute attente, de consacrer un Français. Élu dans la nuit du 31 décembre par quelque 150 000 internautes, Arash Derambarsh, étudiant de 28 ans, l'a emporté sur son adversaire libanais et sera en poste pour les quatre premiers mois de 2008. [...] Arash Derambarsh est également directeur de collection aux éditions le Cherche midi, chargé du service politique et personnalités publiques. [...] Mais ce touche-à-tout a surtout été membre du conseil national de l'UDF de 2005 à 2007, « conseiller de François Bayrou pendant cinq ans », s'enorgueillit-il, a travaillé au ministère des Affaires étrangères mais aussi de l'Intérieur, sous Nicolas Sarkozy, en 2006. »
  13. a et b Gaël Vaillant (ill. Cyrus Atory), « Le "président" de Facebook candidat à Courbevoie », Le Journal du dimanche, Europe 1 « Arash Derambarsh, ancien membre du RPR puis de l'UDF, a déjà tenté de briguer la mairie de Courbevoie en 2008 »,‎ (lire en ligne)
    « Interview : Arash Derambarsh, 34 ans, annonce au JDD.fr sa candidature à l'élection municipale à Courbevoie (Hauts-de-Seine) contre le député-maire UMP sortant Jacques Kossowski[14]. Ce juriste qui dirige une collection aux éditions du Cherche midi prédit une quadrangulaire entre les deux candidats de droite, ceux du PS et du FN au second tour. »
  14. a b c d et e « Résultats des élections municipales 2014 », L'Express, Courbevoie [92400 – Hauts-de-Seine],‎ (lire en ligne)
    « Résultats du 1er tour — tous les sièges ont été pourvus dès le premier tour :
    • liste d'Union de la droite (UD) conduite par Jacques Kossowski
      → 55,95% (14 965 voix) : 42 sièges attribués ;
    • liste d'Union de la gauche (UG) conduite par Jean-André Lasserre
      → 26,21% (7 011 voix) : 7 sièges attribués ;
    • liste du Front national (FN) conduite par Floriane Deniau
      → 7,37% (1 972 voix) : 2 sièges attribués ;
    • liste Divers droite (DVD) conduite par Arach Derambarsh
      → 7,06% (1 888 voix) : 2 sièges attribués ;
    • liste du Front de gauche (FG) conduite par Khalid Ait Hamou
      → 3,41% (912 voix) : aucun siège attribué. »
  15. a et b « Résultats élections municipales 2014 Courbevoie (92400) », Le Parisien « Résultats du 1er tour »,‎ (lire en ligne)
  16. Yohan Blavignat, « Arash Derambarsh, l’« hyperactiviste » contre le gaspillage alimentaire », Le Monde « Le jeune élu de Courbevoie sera reçu à l’Elysée, mardi. Mais la solution qu’il propose et son sens aigu de la communication ne suscitent pas l’unanimité. »,‎ (lire en ligne)
    « Après avoir mis en pratique son idée pour lutter contre le gaspillage alimentaire sur le terrain de Courbevoie, Arash Derambarsh décide de faire du bruit. Il lance une pétition en janvier avec son « ami », l’acteur et réalisateur Mathieu Kassovitz. [...] L’élu municipal[14],[15] a lancé une vidéo avec de nombreuses personnalités, dont le présentateur Antoine de Caunes et le footballeur Youri Djorkaeff. L’association lancée par le chanteur Bono, ONE, lui a également assuré son aide et présentera des propositions devant les Nations unies en septembre. [...] Arash Derambarsh se targue du soutien d’une quarantaine d’élus, dont les députés Xavier Bertrand (UMP, Aisne), Jean-Christophe Lagarde (UDI, Seine-Saint-Denis) ou Guillaume Garot (PS, Mayenne). »
  17. a et b David Réguer, « Interview d'Arash Derambarsh, Président de Facebook : "Plus c'est gros, plus ça marche !" », Le Post, Le Huffington Post,‎ (lire en ligne)
    « Souvenez-vous, c'était en 2007... La France s'enorgueillissait de cette élection venue de nulle part : un français était élu à la tête de Facebook monde! Arash Derambarsh revient sur ce coup de force médiatique pour Tout Sauf Anonyme. Je l'ai interviewé dans un café à côté des éditions du Cherche midi où il est aujourd'hui directeur de collection. »
  18. a b c d et e Charlotte Pons, « Un Français à la présidence de Facebook », Le Point,‎ (lire en ligne)
    « Étudiant en droit, membre du parti Alternative libérale, ex-membre du conseil national de l'UDF, directeur de collections aux éditions du Cherche midi et... président de Facebook : à vingt-huit ans, Arash Derambarsh est du genre influent. Une influence qui, depuis le 31 décembre, s’étend aux 60 millions de membres du très populaire site de réseaux sociaux dont il a pris la tête au terme d’étranges élections initiées non pas par Facebook mais par un mystérieux ClutterMe Inc. »
  19. Le Nouvel Observateur, le 7 juin 2007
  20. Bruno Solo, Petites et grandes histoires du cinéma, le Cherche midi, coll. « Le sens de l’humour », (lire en ligne), p. 2
    « Direction éditoriale de l’ouvrage : Frédéric Dieudonné ; directeur de collection : Arash Derambarsh ; coordination éditoriale : Marie Misandeau ; couverture : Séverine Coquelin. »
  21. Le Grand Journal de Canal+, le 7 novembre 2005
  22. a et b « Un jeune UDF brise les tabous dans un livre », Le Parisien,‎ (lire en ligne)
    « Le titre est volontairement provocateur, Comment peut-on être de droite aujourd'hui ? et donne le ton. D'ici à quelques jours sortira en librairie un ouvrage politique insolent, insolent comme on peut l'être à 27 ans et qu'on a déjà quelques années de militantisme politique derrière soi. L'auteur, Arash Derambarsh, qui a commencé simple adhérent à Courbevoie, est aujourd'hui membre du conseil national de l'UDF. Il ne mâche pas ses mots envers une classe politique, qui selon lui, « se ringardise » et dénonce des discours caricaturaux qui feront « le lit de tous les extrémismes ». En quelque deux cents pages, il ne se contente pas de critiquer, mais présente ses propositions : un nouveau « contrat social » en six points et quelques solutions... Le jeune homme est bien décidé à faire parler de lui, quitte à risquer de froisser les anciens, bousculés dans ses pages. Si la politique ne fait pas de place aux jeunes, ils vont la prendre eux-mêmes ! »
  23. a b c et d Pierre de Gasquet, « À quoi sert le président de Facebook ? », Les Échos,‎ (lire en ligne)
    « L'information a déjà filtré dans la « grande presse ". Dans la nuit du 31 décembre 2007, un jeune français d'origine iranienne, Arash Derambarsh, vingt-huit ans, a été élu président du réseau social Facebook. Inconnu du grand public, cet ancien membre du conseil national de l'UDF, chargé des questions de droits de l'homme, qui s'est rallié à la bannière d'Alternative libérale aux législatives de 2007, a déjà réussi un exploit. Obtenir une couverture médiatique sans précédent — Le Figaro, Le Parisien, France Info... — en organisant sa propre élection sur le réseau social le plus en vogue du moment grâce à une application particulière : le système Clutter Me. »
  24. a et b « Arash Derambarsh exclu du Mouvement démocrate », Le Parisien,‎ (lire en ligne)
    « Arash Derambarsh, qui a maintenu sa candidature dans la 3e circonscription (Courbevoie - Bois-Colombes - La Garenne-Colombes) sous l'étiquette UDF-Alternative libérale malgré celle de Jean-Louis Ragot investi par l'UDF-Mouvement démocrate, le parti de François Bayrou, a été exclu de ce dernier. « Nous l'avions prévenu à plusieurs reprises », assure-t-on au MoDem 92, qualifiant le jeune homme, âgé de 27 ans, d'« impatient ». Mais il en faudrait plus pour dissuader Arash Derambarsh de faire campagne. Ce dernier organise un meeting mercredi, auquel sont annoncés Anh Đào Traxel Chirac, la « fille de coeur » de Jacques Chirac ou encore Olivier Audéoud, président de l'université de Nanterre. Il signera le même jour avec sa présidente, Séverine Tessier, la charte de l'association Anticor. Meeting mercredi à 19 heures au stade municipal de Courbevoie. »
  25. a b et c Jérôme Bouteiller, « Le 'Président' de Facebook déjà contesté », Clubic,‎ (lire en ligne)
    « C'est un garçon très sympathique, un tantinet trop « people » à mon goût, mais très agréable nuance Sabine Herold, cofondatrice du mouvement Alternative libérale dont Arash Derambarsh reste militant pour Courbevoie. »
  26. Le Parisien, le 19 mai 2007
  27. a et b Premier grand meeting d’un jeune candidat, Stade municipal de Courbevoie, France 3 Paris Île-de-France, (lire en ligne [vidéo])
    Cf. minutage à 00:15 à 00:41 : commentaire de Jean-Louis Ragot, candidat MoDem 3e circonscription des Hauts-de-Seine ; cf. minutage 01:34 à 01:41 : au premier rang, Anh Đào Traxel, la fille de cœur de Jacques Chirac, est l’invitée d’honneur du meeting.
  28. « Résultats des élections législatives 2007 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  29. Marie Turcan et François-Luc Doyez, « Les mille et une vies d'Arash Derambarsh », Les Inrockuptibles,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Plainte pour les élections municipales », sur Tous pour Courbevoie (consulté le ).
  31. « L’annulation d’une thèse pour plagiat déstabilise l’université Paris-I - Panthéon-Sorbonne », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  32. Anne-Laure Pham, « Arash Derambarsh, premier président de Facebook », L'Express,‎ (lire en ligne)
  33. a et b (en) Matthew Fraser (en), Soumitra Dutta (en), Throwing sheep in the boardroom : how online social networking will transform your life, work and world [« Un pavé dans la mare quant à la manière avec laquelle les réseaux sociaux en ligne vont réussir à transformer votre vie, votre travail et votre perception du monde »], John Wiley & Sons, , 344 p. (lire en ligne), chap. 6 (« Social capital : monkeysphere to cyberspace »), p. 111 [« Capital social : de la monosphère au cyberespace »]
    « The victor in cyberspace′s first democratic vote was a sharply dressed 28 years old Frenchman named Arash Derambarsh. Facebook′s new president, who resembled a stockmarket golden boy in his expensive pinstriped suit and hip designer glasses, was the first elected politician on the Web 2.0 era[trad 1]. »
  34. a et b Géraldine Enjelvin, Savoir faire plus : le français à l’université, Routledge, , 208 p. (lire en ligne), Section 3 Cyber-réseaux sociaux, p. 100
    « Un soir en juin, il vous apprend que le 1er janvier 2007, un Français, Arash Derambarsh, a été élu premier président de Facebook — « Enfin, à vrai dire, Arash s’était autoproclamé président l », précise votre ami. »
  35. Tony Le Pennec, « Quand Derambarsh se disait "président de Facebook monde" », arrêt sur images,‎ (lire en ligne) :

    « Arash Derambarsh, successivement encarté à l'UDF, à Alternative libérale et aux Républicains est un habitué du mensonge et de l'appropriation des idées d'autrui »

  36. a et b (en) Who will be the next facebook president?, (présentation en ligne)
    Cf. site web → facebokpresident.com : à noter que cette url n'est plus accessible, sauf en mode archive en recourant par exemple à un moteur dédié de type Wikiwix
    « 'I will promise to rule with an iron fist.' — Current Presidential Candidate
    Election Ends: December 31st, 2007
     »
  37. Jean-Baptiste Soufron, « Le président fantoche de Facebook a-t-il vraiment le droit d'utiliser la marque Facebook ? », ZDNet,‎ (lire en ligne)
    « Avec quelques milliers d'autres usagers de facebook, Arash Derambarsh a installé une application tierce développée par ClutterMe et dénommée "facebook president"[36] et qui propose à ses membres de voter pour l'un d'entre eux. Après quelques semaines, il a été choisi comme facebook president parmi les autres gens qui avaient installé la même application. »
  38. Gilles Fontaine, « Président du monde ? Ce n’est qu’un début ! – La rencontre avec Arash Derambarsh, le 3 janvier, à Paris », Challenges,‎ (lire en ligne)
  39. Gilles Klein, « Comment l'imposteur de Facebook a trompé toute la presse : retour sur deux ans de séduction », Arrêts sur image, direction éditoriale : Daniel Schneidermann,‎ (lire en ligne)
    « Si vous parcourez la presse en ligne, s'il vous arrive de regarder la télévision, vous n'avez pas pu échapper à l'immense nouvelle : le président de Facebook est français ! »
  40. Christophe Beaugrand, « Héros ou zéro », I-net, I-Télé « Arash Derambarsh : “Virtual President” »,‎ (lire en ligne [vidéo])
  41. a b et c Marc Leplongeon, « Paris-1-Panthéon-Sorbonne accusée de couvrir une thèse de complaisance », Le Point,‎ (lire en ligne)
  42. Arash Derambarsh (doctorant) et Bruno Dondero (directeur de thèse), Avis de soutenance (thèse de doctorat en droit), Salle 57 du centre Panthéon, université Paris-I-Panthéon-Sorbonne, (SUDOC 199698473, présentation en ligne), « Fichiers de police, un encadrement légal et sociétal dans un contexte controversé »
  43. Site theses.fr de l'Agence bibliographique de l'enseignement supérieur : http://theses.fr/117991392 .
  44. « La thèse de l’avocat Arash Derambarsh annulée par l’université Paris 1 », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  45. « Courbevoie : Arash Derambarsh accusé de plagiat sur Twitter », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  46. Valérie Mahaut, « Plagiat : la Sorbonne annule le diplôme d’Arash Derambarsh, élu de Courbevoie et avocat », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  47. Yann Bouchez et Camille Stromboni, « L’annulation d’une thèse pour plagiat déstabilise l’université Paris I-Panthéon-Sorbonne », Le Monde, 27 juillet 2020.
  48. Article R.811-36 du code de l'éducation.
  49. « La Sorbonne annule pour plagiat le doctorat d'Arash Derambarsh, élu de Courbevoie et avocat », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
  50. Valérie Mahaut, « Arash Derambarsh voit sa thèse de droit annulée pour plagiat », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  51. Yann Bouchez et Camille Stromboni, « Thèse plagiée : l’université Panthéon-Sorbonne saisit la justice », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  52. Marc Leplongeon, « Arash Derambarsh perd une bataille devant le Conseil national de l'enseignement supérieur » Accès payant, sur lepoint.fr, (consulté le ).
  53. « Thèse plagiée : la décision disciplinaire de l’université Paris-I « entachée d’illégalité » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  54. Rémi Dupré et Soazig Le Nevé, « Affaire de la thèse plagiée : l’avocat Arash Derambarsh se désiste devant le Conseil d’Etat et annonce saisir la Cour européenne des droits de l’homme », sur Lemonde.fr (consulté le ).
  55. Marc Leplongeon, « Thèse plagiée : pourquoi Arash Derambarsh a été radié du barreau », sur Le Point, (consulté le ).
  56. « Soupçons de plagiat : Arash Derambarsh remporte une victoire et reste avocat », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  57. « La cour d’appel de Paris annule le rapport d’instruction disciplinaire visant Me Arash Derambarsh », Valeurs actuelles,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  58. Séverin Husson, « Ces héros ordinaires qui nous font du bien. Arash Derambarsh, 36 ans, élu municipal : en finir avec le gaspillage alimentaire », La Croix,‎ (lire en ligne)
    « Fierté, émotion et soulagement. Arash Derambarsh ne cache pas les sentiments qui l'ont étreint, le 9 décembre, lorsque depuis les balcons de l'Assemblée nationale, il a vu les députés voter, à une rare unanimité, une série de mesures contre le gaspillage alimentaire. « J'ai retourné ciel et terre pour en arriver là, explique-t-il. Par deux fois, nous avions échoué au début de l'année à faire passer ces mesures. Cette fois, il ne fallait pas se rater. » »
  59. Éric de La Chesnais, « Arash Derambarsh, l'acharné antigaspillage », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
    « Portrait : à force de ténacité, ce conseiller municipal a obtenu qu'une proposition de loi, obligeant les grandes surfaces à distribuer leurs invendus alimentaires, passe devant l'Assemblée nationale ce 25 novembre. »
  60. Charlotte Boitiaux, « Arash Derambarsh, l’élu français qui veut éradiquer la faim dans le monde », France 24 « Le conseiller municipal de Courbevoie Arash Derambarsh, est devenu en quelques mois "la" figure internationale de l’anti-gaspillage alimentaire. Retour sur le parcours de ce militant populaire et ambitieux, reçu jeudi à l’Élysée »,‎ (lire en ligne)
    « Arash Derambarsh fait partie de ces hommes politiques que l’on devine tout de suite ambitieux, persévérant – voire impatient – mais indéniablement courageux. Du haut de ses 35 ans, ce conseiller municipal Divers droite de Courbevoie, dans les Hauts-de-Seine[14], peut se vanter d’avoir défié le puissant lobby agroalimentaire français et d’avoir réussi à le faire plier. »
  61. Émilie Blachère, « Arash Derambarsh en guerre contre le gaspillage », Paris Match,‎ (lire en ligne)
  62. a b et c Lutter contre le gaspillage alimentaire, Sénat français, (lire en ligne), « Jeudi 11 février 2016, le président de la République a promulgué la loi n° 2016-138 relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire »
    « Cette proposition de loi, signée par plus de 300 députés, a pour objet de poursuivre le travail engagé en matière de lutte contre le gaspillage alimentaire, après la remise au premier ministre français Manuel Valls du rapport du député Guillaume Garot : Lutte contre le gaspillage alimentaire : propositions pour une politique publique. Le 17 août 2015, Nathalie Goulet (UDI-UC - Orne) et plusieurs de ses collègues avaient également déposé une proposition de loi visant à lutter contre le gaspillage alimentaire. »
  63. Elisa Lewis et Romain Slitine, Le coup d’État citoyen : ces initiatives qui réinventent la démocratie, La Découverte, coll. « Cahiers libres », , 143 p. (lire en ligne), p. 68
    « … en France, une pétition lancée par Arash Derambarsh a permis de faire pression et d’aboutir en février 2016 à une loi contre le gaspillage alimentaire[62], un sujet sur lequel les parlementaires avaient jusque-là échoué sous l’influence des lobbys de l’agroalimentaire. »
  64. a b et c Sandrine Oudin, « Distribuer au lieu de jeter », France Inter, Courbevoie,‎ (écouter en ligne) [audio]
    « Alors que des millions de personnes n'ont pas de quoi manger à leur faim, le secteur de l'agroalimentaire jette tous les jours des tonnes de marchandises invendues. Beaucoup de supermarchés rendent même ces produits inconsommables en les arrosant de javel. Une situation absurde qu'Arash Derambarsh, un élu divers droite de Courbevoie dans les Hauts de Seine, a décidé de contester à sa manière. Trois fois par semaine, avec des bénévoles, Arash Darambarsh récupère les invendus d'un supermarché de la commune pour les redistribuer à ceux qui en ont besoin. »
  65. AFP TV, « Arash Derambarsh : le Robin des Bois du gâchis alimentaire », Agence France-Presse,‎ (lire en ligne [vidéo])
    « Obliger les supermarchés à redistribuer leurs invendus, c’est le combat mené par un jeune élu de Courbevoie, en banlieue parisienne. Arash Derambarsh, débordant d’enthousiasme, a bien l’intention que cette lutte aboutisse à une loi, ce qui serait une première en France. Ambitieux et décidé, il projette même de l’étendre par la suite au continent africain. Un défi de longue haleine que le jeune élu entend mener jusqu’au bout. Des rues de Courbevoie aux portes du Sénat: portrait d’un jeune élu municipal, devenu maître en communication. Durée: 03:27 »
    Document vidéo contenant en outre trois témoignages émanant respectivement de (selon minutage) :
    — 01:30 : Silvana Bergonzi, chargée de communication aux éditions J'ai lu
    — 01:35 : Nicola Watrin, directeur marketing littérature chez Flammarion
    — 02:44 : Nathalie Goulet, sénatrice de l’Orne, membre du groupe Union des démocrates et indépendants – UC au Sénat (UDI)
  66. a et b David Cantiniaux, Lilaafa Amouzou, « Gaspillage : Arash Derambarsh obtient l’amendement au Parlement européen », AFP TV, Agence France-Presse « Gaspillage : vote de l’amendement au Parlement européen »,‎ (lire en ligne)
    « Le porte-drapeau de la lutte contre le gaspillage alimentaire, Arash Derambarsh, appelle « Jean-Claude Juncker, les chefs d’États de l’Union européenne » ainsi qu’à « François Hollande à Nicolas Sarkozy et à Angela Merkel » de « faire valider cet amendement qui est vital aujourd’hui ». Cet appel a lieu au moment même où le Parlement européen vient de voter une résolution invitant la Commission européenne à encourager la création, dans les 28 États membres de l’Union européenne, des conventions prévoyant que les supermarchés distribuent les produits non vendus consommables à toutes les associations. Cet amendement fait partie de la loi sur l’économie circulaire. »
    Document vidéo s'initiant par un témoignage d’Angélique Delahaye, maire de Saint-Martin-le-Beau et députée européenne (Parti populaire européen.)
  67. a et b AFP, « Arash Derambarsh lauréat du prix Edgar Faure du meilleur livre politique », L'Express « Actualité Politique »,‎ (lire en ligne)
  68. Joseph Carabalona (réalisateur), Thierry Dupin (programmateur musical, Sophie Hoffmann (attachée de production), Daniel Morin (producteur), « À rebrousse-poil », France Inter,‎ (résumé, écouter en ligne) [audio]
    « Les invités : Pio Marmaï, comédien ; Arash Derambarsh, conseiller municipal dans la ville de Courbevoie nous parlera de la loi anti-gaspillage. »
  69. Stop au gaspillage alimentaire en France !, sur change.org (consulté le 4 janvier 2017).
  70. Romain Lescurieux, « Courbevoie : « Nous récupérons chaque soir 10 kilos de nourriture pour les plus démunis » », 20 Minutes,‎ (lire en ligne)
    « Depuis le 5 janvier, les lundis, mercredis et vendredis soir des bénévoles distribuent de la nourriture aux familles modestes et aux SDF... »
  71. « L'imposture Arash Derambarsh décryptée par « Les Inrocks » », Libération,‎ (lire en ligne)
    « Les Inrocks publient ce vendredi une longue enquête sur Arash Derambarsh, conseiller municipal Les Républicains de Courbevoie dans les Hauts-de-Seine[14], un illustre inconnu en soif de reconnaissance qui multiplie les campagnes d'auto-promo dans les médias depuis plus d'une décennie, et n'hésite pas à menacer ceux qui remettent en cause sa sincérité. »
  72. Pourquoi nous ne signerons pas la pétition de M. Arash Derambarsh
  73. « Laurent Joffrin renvoyé en correctionnelle pour diffamation envers Arash Derambarsh », Valeurs actuelles,‎ (lire en ligne)
  74. Marina Torre, « Gaspillage alimentaire : Mme Royal a voulu faire un coup avant la COP21 », La Tribune,‎ (lire en ligne)
    « Arash Derambarsh rejette avec force l'accord "volontaire" proposé par la ministre de l'Écologie aux distributeurs sur le gaspillage alimentaire et signé le 27 août. L'élu de Courbevoie, qui milite pour un "droit opposable" des associations à récupérer les invendus des distributeurs, espère le vote d'une nouvelle loi d'ici à six mois. »
  75. Qui sont les parents de la loi contre le gaspillage alimentaire ?[62], sur blogs.lexpress.fr du 12 juillet 2015 (consulté le 3 janvier 2017).
  76. Marie Nicot, « Polémique autour de la loi anti-gaspillage alimentaire », Le Journal du dimanche, Europe 1,‎ (lire en ligne)
    « Ces initiatives devancent le rapport sur le gaspillage alimentaire du député PS Guillaume Garot. L'ex-ministre délégué à l'Agroalimentaire a rendez-vous le 14 avril avec Stéphane Le Foll (Agriculture) et Ségolène Royal (Écologie). Il avait déjà lancé en 2013 un pacte national pour diminuer de moitié les déchets alimentaires d'ici à 2025. « Je ne crois pas à l'obligation de don, qui générera un afflux de marchandises difficile à gérer par les associations », estime Guillaume Garot. »
  77. Présentation du Pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire, sur agriculture.gouv.fr du 14 juin 2013 (consulté le 3 janvier 2017).
  78. Économie : lutte contre le gaspillage alimentaire — Proposition de loi de M. Jean-Pierre DECOOL et plusieurs de ses collègues déposée le 19 décembre 2014, sur assemblee-nationale.fr (consulté le 3 janvier 2017)
  79. « N° 2213 - Proposition de loi de M. Jean-Pierre Decool astreignant les grandes surfaces à proposer leurs invendus alimentaires à des associations caritatives », sur www.assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  80. a b c et d Charles dos Santos (ill. Joël Saget), « Gaspillage alimentaire : Arash Derambarsh est bien à l’origine de la loi », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  81. Isabelle de Foucaud, « Un grand plan de lutte contre le gaspillage alimentaire lancé en Île-de-France en 2017 », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
    « «Je viens officiellement d'être nommé M. Anti-gaspillage d'Île-de-France.» Arash Derambarsh, l'élu de la ville de Courbevoie dans les Hauts-de-Seine, savoure ce qu'il vit comme une consécration, «après un an et demi d'expérience de la lutte contre le gaspillage alimentaire» dans sa commune tout d'abord, puis à l'international. Il vient en effet de se voir confier par Valérie Pécresse une « mission d'exploration et de définition d'un futur ‘plan régional anti-gaspillage alimentaire ». Concrètement, le conseiller municipal devra rendre un rapport incluant des propositions et un calendrier d'actions pour le 30 novembre prochain, en vue d'une mise en oeuvre concrète du plan régional dès 2017. »
  82. Gaspillage alimentaire : Arash Derambarsh est bien à l’origine de la loi, sur arashderambarsh.net consulté le 3 janvier 2017).
  83. Yohan Blavignat, « Gaspillage alimentaire : Arash Derambarsh dénonce les « pressions d'un système » », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
    « Un an jour pour jour après le vote de la loi contre le gaspillage alimentaire, l'élu de Courbevoie, qui en est à l'origine, dénonce des « actes de malveillance ». Entre pressions politiques et poids des lobbies, il raconte les dessous d'un vote sensible. »
  84. « Gaspillage alimentaire : action judiciaire contre un supermarché des Landes », France 3 Nouvelle-Aquitaine,‎ (lire en ligne [vidéo])
    « [...] reportage dans lequel interviennent Michel Schwob (président de la banque alimentaire des Landes) et Me Arash Derambarsh. »
  85. Marc-Olivier Fogiel, « Une plainte déposée contre un supermarché accusé de jeter des invendus alimentaires », RTLLandes, RTL Group,‎ (lire en ligne [vidéo])
  86. a b c d et e Catherine Barma, Laurent Ruquier, « Yann Moix / Mathieu Kassovitz, Léa Salamé et Arash Derambarsh », On n'est pas couché, studio Gabriel, France 2,‎ (lire en ligne [[vidéo]])
  87. a b c et d Sarah Lecoeuvre, « Un invité d’On n’est pas couché va porter plainte contre Yann Moix pour diffamation », Le Figaro,‎ 4 janvier 2016 avec mise à jour le 3 mai 2016 (lire en ligne)
  88. a et b Amélie de Menou, « Yann Moix : payé pour être détesté ! Le chroniqueur d’On n’est pas couché assume son arrogance », Gala & La Voix du Nord,‎ (résumé, lire en ligne)
    « S’il est bien acquis que l’on ne peut pas plaire à tout le monde, lui ne plaît décidément pas à grand monde ! Chahuté, samedi dernier 2 janvier par l’acteur Mathieu Kassovitz et le conseiller municipal de Courbevoie Arash Derambarsh (auteur d’un Manifeste contre le gaspillage préfacé par le réalisateur de La Haine), Yann Moix est, depuis, l’objet d’une plainte de l’homme politique pour diffamation à caractère aggravant. Ce qui lui est reproché ? Avoir comparé Arash Derambarsh à l’escroc Christophe Rocancourt. Je ne peux pas accepter d'être comparé de près ou de loin à un homme condamné pour abus de faiblesse (…) Je suis un élu de la République (…) je m'apprête à intégrer l'école de formation du barreau de Paris. Cette comparaison peut me porter préjudice, a expliqué l’élu au Figaro[87]. »
  89. Inrockuptibles, « Les mille et une vies d'Arash Derambarsh », Les Inrocks,‎ (lire en ligne, consulté le )
  90. « L'avocat Arash Derambarsh accusé d'avoir menacé et intimidé une consœur », FranceSoir,‎ (lire en ligne, consulté le )
  91. Marie Turcan et François-Luc Doyez, « Les mille et une vies d'Arash Derambarsh », Les Inrockuptibles,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  92. « L'imposture Arash Derambarsh décryptée par «Les Inrocks» », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  93. Céline Carez, « Paris : des élus LR impliqués dans une bagarre à la sortie d'un bar », leparisien.fr, (consulté le ).
  94. « Une rixe impliquant des élus LR à la sortie d’un bar », sur Europe 1, .
  95. « La lutte contre le gaspillage alimentaire en Europe saluée pour son rôle dans la protection du climat », Valeurs Actuelles, .
  96. Clément Verstraete, « Gastronomades : les lauréats mis à l’honneur au Sénat », Charente libre, Angoulème,‎ (lire en ligne)
    « Pour Arash Derambarsh, prix spécial du jury pour son Manifeste contre le gaspillage, c’est l’envie de faire bouger les lignes avec des convictions qui lui a servi de moteur. À la fin du mois, l’Assemblée votera une loi pour éviter que les supermarchés ne jettent les denrées invendues. Un projet qu’il porte depuis un an et qui a été soutenu avec une pétition signée par plus de 700 000 personnes. Il s’agit de faire cesser un scandale, a-t-il souligné ».
  97. (en) The leading of global thinkers 2016 (ill. Mauricio Alejo), « Arash Derambarsh, councilman, Courbevoie, France: for wasting no bread or cheese », Foreign Policy, Global Thinkers 2016 « the stewards »,‎ (résumé, lire en ligne) [[ présentation]]
    « Notable facts: Derambarsh received his Ph.D. in law from the Sorbonne in Paris. »
  98. AFP, « Gaspillage alimentaire : Arash Derambarsh récompensé pour son combat », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  99. (en) Catharina Jerkbrant, French food waste hero is the winner of WIN WIN : Gothenburg Sustainability Award [« Le héros français qui lutte contre le gaspillage des denrées alimentaires est couronné lauréat du prix WIN WIN Gothenburg Sustainability Award »], Université de Göteborg, (lire en ligne)
  100. (en) Tara Biglari, « World’s Leading Sustainability Award Is Won by Arash Derambarsh », Kayhan,‎ (lire en ligne)
  101. VSD, le 29 novembre 2006
  102. Florence Méréo, « L'indigné du gaspillage », Le Parisien « Consommation »,‎ (lire en ligne)
    « Arash Derambarsh publie demain un livre bourré d'astuces antigaspi, que nous vous dévoilons. Un manifeste qui égratigne aussi les pouvoirs publics ou les grandes associations. »
  103. André Bercoff, Arash Derembasch, « Tomber neuf fois et se relever 10 », Bercoff dans tous ses états, Sud Radio,‎ (résumé, lire en ligne [audio]), à partir du minutage 20:14.

Traductions

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  1. (fr) « Le premier vote démocratique du cyberespace a finalement désigné comme vainqueur un français nommé Arash Derambarsh. Celui-ci, mis sur son trente et un — costume impeccable à rayures, lunettes dernier cri —, évoquerait carrément l'image d'un golden boy boursier alors qu'en réalité il incarne désormais le nouveau président de Facebook, devenant ainsi le premier politicien virtuellement élu à l'ère du Web 2.0[33]. »

Liens externes

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