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Léa Salamé

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Léa Salamé
Image illustrative de l’article Léa Salamé
Léa Salamé dans Vivement Dimanche en 2015.

Surnom Léa Salamé
Nom de naissance Hala Lea Salamé
Naissance (44 ans)
Beyrouth (Liban)
Nationalité Française
Libanaise
Profession Animatrice audiovisuelle
Spécialité Politique française
Récompenses « Femme de l'année 2014 » par le magazine GQ
Prix Philippe-Caloni 2015
Médias actuels
Pays Drapeau de la France France
Média Radio et télévision
Fonction principale Présentatrice de Quelle époque ! sur France 2
Animatrice d'Élysée 2022 sur France 2
Coprésentatrice du 7/10 sur France Inter
Coprésentatrice de On est en direct sur France 2
Coprésentatrice de Vous avez la parole sur France 2
Historique
Presse écrite GQ (2015-2016)
Radio France Inter (depuis 2014)
Télévision Public Sénat (2003-2006)
France 24 (2006-2010)
I-Télé (2011-2014)
France 2 (depuis 2014)

Léa Salamé Écouter, née le à Beyrouth, est une animatrice de radio et de télévision franco-libanaise.

Après avoir travaillé sur les chaînes d'information en continu France 24 et I-Télé entre 2006 et 2014, elle se fait connaître du grand public à partir de 2014 grâce à son rôle de chroniqueuse dans l'émission On n'est pas couché, diffusée sur France 2. Sur cette même chaîne, elle présente L'Émission politique puis Vous avez la parole mais aussi le magazine culturel Le Doc Stupéfiant. En , elle rejoint Laurent Ruquier à la présentation de l'émission On est en direct. Elle arrête la présentation de L'émission politique en septembre 2022 afin de se consacrer à son nouveau talk-show Quelle époque !.

À la radio, depuis 2014, Léa Salamé mène des interviews dans Le 7/9 (devenu Le 7/10 depuis septembre 2023) sur France Inter. En 2017, elle devient la co-animatrice de cette tranche d'informations, en compagnie de Nicolas Demorand.

Enfance, formation et débuts

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Hala (dite « Lea ») Salamé naît le à Beyrouth[1],[2]. Son père, Ghassan Salamé, est ancien ministre libanais de la Culture, politologue et professeur à Sciences Po Paris et ancien conseiller spécial du secrétaire général de l’ONU Kofi Annan[3] ; sa mère, Mary Boghossian, d'origine arménienne[4], est la sœur des diamantaires Jean et Albert Boghossian[3]. Hala Salamé quitte le Liban pour Paris avec sa famille à l'âge de 5 ans pour fuir la guerre du Liban[5]. Elle acquiert la nationalité française à 10 ans[6]. Sa sœur cadette Louma Salamé dirige la Fondation Boghossian-Villa Empain à Bruxelles[7].

Après une scolarité secondaire au lycée Saint-Louis-de-Gonzague[8], puis à l'École alsacienne[9] où elle décide de se faire appeler Léa, inversant l'ordre de ses prénoms et ajoutant un accent aigu à son second prénom ainsi rendu usuel[2],[10],[11], elle suit des études de droit à l'université Panthéon-Assas[12], puis entre à Sciences Po Paris[4] (promotion 2002[13]) et effectue également une année à l'université de New York (elle a été blessée superficiellement lors des attentats du 11 septembre 2001)[5],[14]. Sur recommandation de son père, Léa Salamé est reçue par Jean-Pierre Elkabbach et entre comme stagiaire au LCP AN/Public Sénat où elle commencera sa carrière d'animatrice à ses côtés avec l'émission Paroles du monde.

Radio (depuis 2014)

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Du et jusqu'en 2017, elle mène l'interview de h 50 sur France Inter, dans la matinale de Patrick Cohen[15],[16].

À la rentrée 2017, avec Nicolas Demorand, Léa Salamé reprend le 7/9, à la suite de la démission de Patrick Cohen[17].

Le , le ministre de l'Écologie Nicolas Hulot annonce sa démission du gouvernement en direct sur le plateau de la matinale qu'elle présente[18]. Elle est critiquée, ainsi que son confrère Nicolas Demorand, pour avoir diffusé une vidéo d'autocongratulations sur le site web de France Inter quelques minutes après l'annonce de la démission[19]. Elle annonce ensuite regretter d'avoir publié cette vidéo[20].

À l'été 2019, France Inter diffuse le samedi à 12 h, une émission intitulée Femmes puissantes qui est constituée d'entretiens d'une heure chacun réalisés par Léa Salamé avec des femmes comme Delphine Horvilleur, Béatrice Dalle, Leïla Slimani, Bettina Rheims, Carla Bruni-Sarkozy, Amélie Mauresmo ou encore Christiane Taubira[21],[22].

En , France Inter diffuse la saison 2 de son émission Femmes puissantes. Elle mène alors des entretiens avec Anne Hidalgo, Aya Nakamura, Christine Lagarde et la colonel Karine Lejeune[23]. Elle décline cette émission sous la forme de deux livres publiés aux éditions des Arènes en 2020 et 2021[24].

À la rentrée 2023, elle quitte l'interview de 7h50 pour celle de 9h20 dans la Matinale de France Inter. Cela représente une occasion de faire des portraits au long cours de personnalités du monde de la culture, à l'instar de Victoria Beckham ou encore Anna Wintour[25],[26].

Télévision (depuis 2003)

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2006-2010 : France 24
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À partir de , Léa Salamé travaille pour la chaîne d'information internationale française en continu France 24, tout juste créée[5]. En alternance avec Antoine Cormery, elle présente la tranche d'information du soir en direct, appelée La Soirée, de 21 heures à minuit, puis de 20 heures à minuit à partir d'[27].

2010-2014 : I-Télé
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Fin 2010, elle quitte France 24 pour rejoindre I-Télé[28]. En , elle présente l'émission Élysée 2012 avec Michel Dumoret, chef du service politique, dans la perspective de l'élection présidentielle française de 2012, du lundi au vendredi à 21 h 15[29]. En , elle reprend la présentation de la tranche entre 17 h et 20 h avec Marc Fauvelle[30]. À la rentrée 2012, cette tranche est diffusée de 18 h à 22 h en incluant l'émission 20 h Foot[31]. À la rentrée 2012, elle présente l'émission de débat On ne va pas se mentir, du lundi au jeudi de 21 h 15 à 22 h[32]. L'année suivante, elle anime l'émission Ça se dispute sur la même chaîne, où elle arbitre les débats entre Éric Zemmour et Nicolas Domenach.

Depuis 2014 : France Télévisions
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Fin , elle prend la succession de Natacha Polony dans le duo de chroniqueurs formé avec Aymeric Caron pour la saison 2014-2015 puis avec Yann Moix (2015-2016) dans l'émission de Laurent Ruquier, On n'est pas couché, diffusée sur France 2[33]. Le , alors qu'elle interviewe, avec David Pujadas, le président François Hollande dans l'émission Dialogues citoyens sur France 2, la journaliste crée la polémique en rétorquant au président de la République lors d'une remarque sur les réfugiés : « C'est une plaisanterie ? » lui dit-elle[34]. Cette intervention a rapidement été relayée sur les réseaux sociaux[35] et les articles sur le sujet fréquemment visionnés par la suite[36], qualifiant parfois Léa Salamé comme « sèche »[37], « trop agressive » dans ses paroles[38] voire partiale[39][source insuffisante].

Fin , elle quitte On n'est pas couché après deux ans de participation et des prestations globalement appréciées[40]. Elle préfère à l'émission de Laurent Ruquier un magazine politique qui débute à la rentrée 2016. La productrice Catherine Barma comprend sa décision car le fait d'animer une émission politique était « son rêve »[41]. Depuis le , elle présente L'Émission politique sur France 2 ; avec David Pujadas de à , puis seule à partir de avec une formule remaniée. Ce magazine, qui remplace Des paroles et des actes, a lieu deux jeudis soir par mois, en première partie de soirée[42].

À partir du , Léa Salamé est à la tête d'une émission culturelle Stupéfiant ![43], diffusée, sur France 2, trois mercredis par mois, en deuxième partie de soirée. Depuis le , l'émission est diffusée tous les lundis, en deuxième partie de soirée. Désormais diffusée sur France 5 à partir de , elle change de nom et de format et devient Le Doc Stupéfiant[44].

On est en direct avec Laurent Ruquier
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En , Léa Salamé rejoint Laurent Ruquier pour co-présenter avec lui le talk-show du samedi soir en deuxième partie de soirée sur France 2, On est en direct.

Quelle époque !
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À la suite de la décision de Laurent Ruquier d'arrêter On est en direct, c'est Léa Salamé qui prend les commandes du nouveau talk show du samedi soir. Ce talk-show nommé Quelle époque ! s'inscrit dans la lignée des précédents talks du samedi soir. Cette émission permet le grand retour de Christophe Dechavanne en la qualité « d'invité permanent ». Il donne ainsi son avis tout au long de l'émission.

Le , elle anime, avec David Pujadas et Fabien Namias, le troisième débat de la primaire présidentielle de la Belle Alliance populaire, opposant les sept candidats, organisé par France 2, Europe 1 et les partenaires de la presse quotidienne régionale[45].

Le , elle anime avec David Pujadas l'émission 15 minutes pour convaincre sur France 2 qui permet à tous les candidats de l'élection présidentielle de présenter leur projet en quinze minutes face aux questions des deux journalistes[46].

Le , elle anime avec Gilles Bouleau le débat de l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle opposant Emmanuel Macron et Marine Le Pen sur TF1 et France 2.

2019 : retrait temporaire lors des élections européennes

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Le , Léa Salamé annonce se retirer de L'Émission politique de France 2 ainsi que de la matinale de France Inter[47] pour « éviter tout soupçon de conflit d'intérêts » après l'annonce de la candidature de son compagnon Raphaël Glucksmann aux élections européennes en . Elle conserve cependant les commandes du magazine Stupéfiant ! sur France 2. Cette décision, qui se veut dans l'esprit de la jurisprudence Anne Sinclair amorcée par Anne Sinclair en 1997 sur TF1, agace la journaliste Audrey Pulvar, ancienne compagne d'Arnaud Montebourg, qui avait subi le même sort en 2012 lorsque ce dernier avait intégré le gouvernement : « En 2019, en France, on continue de reprocher à une femme les opinions politiques de son compagnon. Nous, pauvres petites choses si influençables, incapables de discernement ? Cette mise à l'écart de Léa Salamé est injuste et injustifiée »[48].

Le , au lendemain des élections européennes qui voient son compagnon élu député, Léa Salamé reprend sa place au sein de la matinale de France Inter aux côtés de Nicolas Demorand[49],[50].

Autres activités

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En octobre 2018, elle participe au spectacle d'Al Pacino sur la scène du théâtre de Paris[51].

En , elle joue son propre rôle dans la websérie Sibyle et Guy[52], créée par Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek, qui parodie Sibyle Veil et Guy Lagache, les patrons de Radio France[53].

Vie privée

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Elle est en couple avec l'essayiste et homme politique Raphaël Glucksmann (Place publique)[54], une relation commencée peu après leur rencontre sur le plateau d'On n'est pas couché en novembre 2015[55]. De cette union naît, en 2017, un garçon, Gabriel[56]. Elle est catholique pratiquante[57],[58].

Résumé de son parcours médiatique

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  • 2014-2023 : meneuse de L'interview de 7 h 50 dans la matinale de France Inter
  • Depuis 2017 : coanimatrice de la matinale Le 7/9 sur France Inter avec Nicolas Demorand puis le 7/10 en 2023 toujours avec Nicolas Demorand
  • 2019-2020 : présentatrice de l'émission hebdomadaire Femmes puissantes sur France Inter.

À la télévision

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Critiques et rappels à l'ordre

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Affaire de l'interview de Carlos Ghosn

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Le , Léa Salamé est envoyée à Beyrouth par France Inter pour s'entretenir avec Carlos Ghosn qui venait de quitter clandestinement le Japon où il était inculpé pour détournement de fonds, dissimulation de revenus et abus de confiance dans le cadre de l'affaire Carlos Ghosn. Cet entretien est rapidement critiqué sur les réseaux sociaux[59],[60] et sur certains médias[61],[62], étant perçu comme une démonstration mise en scène de connivence et de complaisance de la part d'une journaliste du service public envers un multimillionnaire ayant fui la justice. Certains détracteurs dénoncent la différence d'attitude, de ton et des questions de la journaliste entre cet entretien — admiratif et axé sur les ressentis de Carlos Ghosn et le mythe de son évasion — et d'autres entretiens perçus comme des interrogatoires hostiles[63], notamment l'entretien avec Philippe Martinez, la veille dans le cadre des mouvements sociaux contre le projet de réforme des retraites, ou celle de Jean-Luc Mélenchon[64].

Affaire de l'interview de Jean-Luc Mélenchon

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Concernant l'entretien avec Jean-Luc Mélenchon d' dans On est en direct, après avoir été saisi à sept reprises, le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM) l'a « rappelée à l'ordre »[65],[66],[67]. Trois des saisines lui reprochaient « son ton, jugé irrespectueux et agressif » mais le CDJM a rappelé que « les journalistes sont libres du ton et du style qu'ils adoptent, choix qui relève de l'éditorial, même si on peut déplorer qu'il varie en fonction des interlocuteurs »[66],[65]. Il a par contre suivi les saisines lui reprochant d'avoir manqué aux règles de déontologie en affirmant avec insistance « sans la moindre preuve » ni vérification des faits qu'il y a « des quartiers où les islamistes ont pris le pouvoir aujourd'hui en France »[66],[65].

Distinctions

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Notes et références

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  1. Dominique de Saint Pern, « La nouvelle arme de Ruquier », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. a et b « Léa Salamé est l’invitée de Guyonne de Montjou dans «Libre à Vous» », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  3. a et b Clio Weickert, « Impertinente, exigeante et "virevoltante", le style Léa Salamé », sur 20 minutes, (consulté le ).
  4. a et b « Qui es-tu, Léa Salamé ? », sur Les Inrockuptibles, .
  5. a b et c Alain Constant, « Léa Salamé l'intrépide », Le Monde,‎ , p. 7 - supplément Télévision (lire en ligne).
  6. Blaise de Chabalier, « Léa Salamé dans le grand bain », Le Figaro, encart « Le Figaro et vous », samedi 30 / dimanche , page 16.
  7. JV Juliette et Victor Magazine, « Français d'ici: Louma Salamé », sur jvmagazine.be.
  8. Léa Salamé, interviewée par Caroline Rochmann, « Léa Salamé sur un petit nuage », Paris Match, pages 88-91.
  9. Vincent Cocquebert, « Les anti-bimbos de l'info », GQ, no 78,‎ , p. 35.
  10. En raison des moqueries dont elle était l'objet de par son premier prénom Hala, prononcé en français comme Allah.
  11. Marc Fourny, « Léa Salamé explique pourquoi elle a changé de prénom », sur Le Point, (consulté le )
  12. « « On n'est pas couché » : Léa Salamé succède à Natacha Polony », sur Le Parisien, .
  13. « Sciences Po Alumni », sur sciences-po.asso.fr (consulté le ).
  14. « msn.com/fr-fr/divertissement/c… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  15. Aude Dassonville, « A France Inter, les travaux continuent », sur Télérama, .
  16. « #Inter2014 - L'édito de Laurence Bloch », sur France Inter, .
  17. « France Inter : Patrick Cohen remplacé par Nicolas Demorand et Léa Salamé », sur Le Monde, (consulté le ).
  18. « Nicolas Hulot : "Je prends la décision de quitter le gouvernement" », France Inter,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « «Allô la Terre» : Léa Salamé et Nicolas Demorand appelés à la raison après leur interview de Nicolas Hulot », tvmag.lefigaro.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « «Un moment de grâce» : Léa Salamé regrette ses propos après son interview de Nicolas Hulot », tvmag.lefigaro.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. Nathalie Guyon, « France Inter : Léa Salamé est de retour et n'a pas perdu une minute », sur Le Parisien, .
  22. Léa Salamé, « Femmes puissantes », France Inter, .
  23. « Léa Salamé revient pour quatre entretiens avec des « femmes puissantes » », sur 20minutes.fr, (consulté le )
  24. « Léa Salamé », sur Les Arènes (consulté le ).
  25. « Victoria Beckham : "Le plus important n'est pas d'être la plus maline, mais celle qui travaille" », sur France Inter, (consulté le )
  26. « Anna Wintour : "Je ne crois pas aux sondages : le peuple américain va voter pour ce qui est bien et juste" », sur France Inter, (consulté le )
  27. Damien D., « France24 : La nouvelle Soirée avec Léa Salamé et Antoine Cormery dès le 5 octobre », sur telesphere.fr, .
  28. Damien D., « Léa Salamé sur I-Télé ? », sur telesphere.fr, .
  29. « Élysée 2012, le nouveau magazine politique quotidien d'i>TELE », sur Leblogtvnews.com, .
  30. Aude Dassonville, « i-Télé : la rentrée est prête », sur Le Parisien, .
  31. Cécile Paulet, « Rentrée d'I>télé : stratégie et choix éditoriaux pour 2013 », sur L'Express, .
  32. « Premier numéro de l'émission On va pas se mentir sur i>Télé ».
  33. « Léa Salamé, la nouvelle chroniqueuse d’On n'est pas couché qui n'a « peur de rien » », sur L'Express, (consulté le ).
  34. « Quand Léa Salamé lance « C’est une plaisanterie? » à François Hollande », sur BFMTV (consulté le ).
  35. « « C’est une plaisanterie ? » : la réplique choc de Léa Salamé à François Hollande fait polémique », sur La Dépêche du Midi (consulté le ).
  36. « Le "c'est une plaisanterie !?" de Léa Salamé à François Hollande, article le plus lu de la semaine », sur Europe1 (consulté le )
  37. « Face à Hollande, l'attitude de Léa Salamé divise », sur Le Point (consulté le ).
  38. « Léa Salamé à François Hollande : "C'est une plaisanterie ?" », sur L'Express (consulté le )
  39. Wael MEJRISSI, « Léa Salamé sur la sellette », sur Club de Mediapart (consulté le ).
  40. Jérome Béglé, « Pourquoi Léa Salamé a quitté Laurent Ruquier », sur Le Point, (consulté le ).
  41. Philippe Robuchon, « La productrice de “On n’est pas couché” relativise le départ de Léa Salamé », sur RTL, (consulté le ).
  42. « Stupéfiant sur France 2 : la promotion de Léa Salamé », sur Paris Match (consulté le ).
  43. « Léa Salamé animera "Stupéfiant!" sur France 2 », sur The Huffington Post.
  44. « "Stupéfiant" bascule sur France 5 et devient "Le Doc Stupéfiant" ce soir », sur ozap.com, (consulté le )
  45. Benjamin Meffre, « Primaire de la gauche : Bensaid, Bouleau et Pujadas pour le débat d'entre-deux-tours », sur ozap.com, (consulté le ).
  46. Alexandre Desgué, « Présidentielle 2017, 15 minutes pour convaincre : l’heure de passage de chaque candidat face à Léa Salamé et David Pujadas », sur toutelatele.com, (consulté le ).
  47. « Léa Salamé quitte provisoirement France Inter », sur Le Parisien
  48. « Audrey Pulvar : « Cette mise à l’écart de Léa Salamé est injuste et injustifiée » », sur Le Parisien, (consulté le ).
  49. « Léa Salamé de retour sur France Inter », sur Le Figaro, (consulté le ).
  50. « Léa Salamé reprend l’antenne : ce qu’elle a fait pendant son congé forcé - Gala », sur Gala.fr (consulté le ).
  51. Sylvain Merle, « Léa Salamé sur scène avec Al Pacino à Paris », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  52. « Sibyle et Guy EP2 | La première interview de Guy (avec Léa Salamé) » [vidéo] (consulté le ).
  53. « France Inter : Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek se moquent du dirlo », sur Le Parisien, .
  54. Simon Gonzalez, « Interrogée sur son compagnon, Léa Salamé apparait TRÈS gênée sur le plateau de C à vous », sur programme-tv.net, (consulté le ).
  55. Solène Delinger, « «En six mois, j’étais enceinte» : Léa Salamé raconte son coup de foudre avec Raphaël Glucksmann », sur Europe 1, (consulté le )
  56. « Léa Salamé a accouché : découvrez le prénom de son bébé ! ».
  57. « Léa Salamé : « Le Christ est une force qui m’accompagne » », sur Le Pèlerin, (consulté le ).
  58. « Un apéro avec Léa Salamé : « L’ambition, la puissance, l’influence m’intéressent, pas le pouvoir » », sur Le Monde,
  59. « Léa Salamé critiquée sur la toile après son interview de Carlos Ghosn », sur Les Inrocks, (consulté le ).
  60. « « La malle, pas la malle ? » : les internautes raillent l’interview de Carlos Ghosn par Léa Salamé », sur L'Obs (consulté le ).
  61. « Carlos Ghosn et la gênante connivence des journalistes français », sur Télérama (consulté le ).
  62. Vincent Bollenot, « Affaire Carlos Ghosn : le journalisme se fait la malle », sur Acrimed (consulté le ).
  63. Les Mutins de Pangée, « Selon que vous soyez Ghosn ou Martinez… » [vidéo], sur YouTube, .
  64. « Léa Salamé très agressive ? Son comportement avec Jean-Luc Mélenchon scandalise les internautes », sur objeko.com
  65. a b et c Hugo Mallais, « "Des quartiers où les islamistes ont pris le pouvoir" : Léa Salamé rappelée à l'ordre par le Conseil de Déontologie Journalistique », sur programme-television.org,
  66. a b et c "On est en direct : des propos de Léa Salamé épinglés par le Conseil de Déontologie Journalistique" par Marine T. le dans Téléstar [1]
  67. Avis adopté en réunion plénière du par le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM) [2]
  68. « Léa Salamé, femme de l'année 2014 », .
  69. « Léa Salamé désignée meilleure intervieweuse de France », sur GQ, (consulté le ).

Liens externes

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