Ymare
Ymare | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Rouen | ||||
Intercommunalité | Métropole Rouen Normandie | ||||
Maire Mandat |
Ingrid Bona 2020-2026 |
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Code postal | 76520 | ||||
Code commune | 76753 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ymarois | ||||
Population municipale |
1 212 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 301 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 20′ 59″ nord, 1° 10′ 35″ est | ||||
Altitude | Min. 47 m Max. 153 m |
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Superficie | 4,03 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Ymare (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Darnétal | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-ymare.fr | ||||
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Ymare est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Géographie
Ymare fait partie du canton de Darnétal et se situe à 18 km de Rouen.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968[7] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[9] à 10,5 °C pour 1981-2010[10], puis à 11 °C pour 1991-2020[11].
Urbanisme
Typologie
Ymare est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ymare, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[15] et 2 146 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[16],[17].
Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,4 %), zones urbanisées (18,8 %), forêts (17,8 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Wimara vers 1240; [Iglise d']Ymare en 1291 (Archives départementales de la Seine-Maritime, 14 H. 17, 97); Ymare en 1319 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G. 3267); Vimara en 1337; Imare en 1431; [Saint Aubin d']Ymare en 1462 et 1464 (Archives départementales de la Seine-Maritime, tab. Rouen); [Ecclesie Sancti Albini de] Imare en 1638; [d']Imare en 1707; d'Ymare en 1772 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G.); Ymard en 1648; Imare entre 1704 et 1738 (Pouillé); Imares en 1715 (Frémont), en 1757 (Cassini); [d']Ymare en 1787 (Archives départementales de la Seine-Maritime, B Parl.); Imares et Ymares en 1788; Ymare en 1879[22].
Il s'agit d'une formation médiévale en -mare, appellatif toponymique attesté dès le Xe siècle (Longuemare, Langomarra Xe siècle, sur vieil anglais lang / vieux norrois langr « long ») et comme nom commun seulement au XIe siècle et au XIIe siècle, dans des textes normands[23],[24].
Mare est issu du vieux norrois marr (masculin)[24], peut-être croisé avec le terme anglo-saxon mere (féminin)[25],[23] de sens proche, généralement « mer, lac ». L'ancien scandinave existait dans le norn des Shetlands mar « mer, zone de pêche en eau profonde » et se perpétue dans le norvégien mar « mer » et le féroïen marrur « vase, bourbe »[24].
Histoire
L'existence d'Ymare est mentionnée pour la première fois en 1240. Situé sur le Mont aux Cailloux, le village aurait été un pôle d'habitat, probablement un refuge pour les habitants des villages alentour. Au XIIIe siècle, le village compte 200 habitants. Le fief d'Ymare appartient à l'abbaye de Saint-Ouen. À cette époque, la taxe par maison vaut 5 sous ou une bête, généralement choisie parmi les plus belles.
Visite du premier ministre François Fillon le .
Politique et administration
Démographie
Les habitants sont nommés les Ymarois[30].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2021, la commune comptait 1 212 habitants[Note 7], en évolution de +4,3 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
L'entreprise Thales possède un site à Ymare depuis novembre 1984, dédié aux radars et à la surveillance côtière[35].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Aubin
L'église Saint-Aubin (XVIIe siècle, rue de l'Église, allée du 8-Mai) fait partie d'un domaine qui appartenait au seigneur de Rouville. Le château a été détruit. Il reste de ce domaine, outre l'église et l'allée qui y mène, les dépendances du château, une bergerie, actuellement transformée en logement, un colombier, une grange, un four à pain et un fromager.
- Jubé
1621, bois polychrome. Il est surmonté d'un christ en croix entouré de la Vierge et de saint Jean. Sculptée dans le style de la Renaissance italienne, cette Crucifixion est peinte, mais certaines couleurs ont disparu comme le bleu de la robe de la Vierge. Le groupe est encadré de panneaux sur lesquels sont peints des rideaux de théâtre.
- Maître-autel
XVIIIe siècle, bois et plâtre polychromes. De chaque côté du maître-autel sont disposés dans les niches, saint Aubin, le patron de l'église, tenant sa crosse d'évêque et saint Marc reconnaissable à son lion.
- Saint Nicolas
Plâtre polychrome. Saint Nicolas, évêque de Myre en Lycie au IVe siècle et patron des petits enfants, est ici représenté avec trois enfants dans un baquet. C'est l'illustration du plus célèbre épisode de la vie du saint. D'après la légende dorée de Jacques de Voragine, il s'agit en fait de deux écoliers de famille noble se rendant à Athènes pour étudier la philosophie. L'aubergiste chez qui ils se sont rendus les tue, les dépèce et met leurs chairs à saler dans un saloir. Saint Nicolas, prévenu par un ange, rapporte la scène à l'aubergiste et rend la vie aux jeunes gens.
- Cloche
- Le clocher abrite une cloche CAPLAIN de 1846.
- Son diamètre est de 78,5 cm ; son poids est estimé à environ 300 kg.
- Elle porte l'inscription suivante (relevé OM-) : « La bénédiction de cette cloche nommée Clarise Hortense a eu lieu en cette commune en 1846 par M. Halboult desservant M. Philippe Delabarre Prop. notaire honoraire à Gouy la maraine Mme Clarisse Ballicorne épouse Edouard le Hardelay Prop. À Ymare sous admi municipale de M Delamare Maire de la commune d'Ymare. Caplain fondeur à Rouen m'a faite. »
Four à pain
XIXe siècle, Brique et silex. Clos de la Ferme, Grande-rue.
Le double four à pain et à pâtisserie est de nouveau en service une fois l'an, le jour de la fête du village. Le four, « réchauffé » plusieurs jours avant, doit atteindre une température de 250 °C pour cuire le pain fait par le boulanger. Il sert à faire une fournée lors de chaque fête du pays chaque dernier week-end d'avril.
Colombier
XIXe siècle, Brique. Clos de la Ferme, Grande-Rue.
Le colombier conserve encore son organisation intérieure[36]. Dans la partie supérieure de l'édifice, sous la charpente, des alvéoles en terre soutenues par des lattis de chêne s'alignent le long des parois. Ce sont les « bûlins » ou « boulins », où se logeaient et pondaient les pigeons. On y accède par une échelle en bois.
Croix
XVIe-XXe siècles, pierre et fonte. Cimetière.
Posée sur un emmarchement moderne, la croix présente un fût monolithe du XVIe siècle, de forme octogonale. Le Christ en croix, figuré au sommet, est de facture récente.
Tombe du Druide
Située à la limite d'Ymare et Alizay, cette pierre en forme de dolmen d'origine préhistorique a des vertus, soi-disant, thérapeutiques contre les rhumatismes lorsque l'on passe dessous. Avis aux amateurs.
Personnalités liées à la commune
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Ymare sur le site de l'Institut géographique national
- Ymare sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Rouen-Boos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ymare et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Ymare », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Charles de Robillard de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, tome 1, réédition 1982 - 1984, Paris, p. 1080 (lire en ligne sur DicoTopo) [1]
- Site du CNRTL : étymologie de mare
- Elisabeth Ridel, Les Vikings et les mots; l'apport de l'ancien scandinave à la langue française, éditions Errance, 2009, p. 243.
- Walther von Wartburg, Französisches Etymologisches Wörterbuch. Eine darstellung des galloromanischen sprachschatzes (Dictionnaire étymologique du français. Une représentation du trésor lexical galloroman), 25 vol. Bonn/Berlin/Bâle : Fritz Klopp/B. G. Teubner/Zbin, t. 16, p. 533 - 534.
- « Après six mandats, le maire d’Ymare, Philippe Guilliot, ne se représente pas : Philippe Guilliot, maire depuis 1987, a décidé de ne pas se représenter. Il espère que de nouvelles vocations apparaîtront », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « C’est par une lettre ouverte à ses administrés que Philippe Guilliot a annoncé sa décision de ne pas se représenter aux municipales de mars 2020, après six mandats de maire et trente-sept ans de vie publique (...) « En 1983, le maire de l’époque, Christian Picard, est venu me chercher pour mes compétences dans les finances. J’ai été surpris, car je n’avais que 27 ans. J’ai accepté d’abord comme quatrième adjoint, puis à la suite de démissions comme premier adjoint. En 1986, le maire a eu un accident cardiaque. J’ai fait l’intérim et en 1987, il a démissionné et le conseil municipal m’a élu maire. C’était un 1er avril ».
- « Philippe Guillot », Célébrités, sur https://seine76.fr (consulté le ).
- « Municipales 2020 : Ingrid Bona, tête d’une liste sans étiquette à Ymare : Le maire ne se représentant pas, une liste intitulée « Ymare Démocratie » se propose aux voix des villageois », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « C’est pour toutes ces raisons que collectivement et sans étiquette politique, Ingrid Bona a accepté de prendre la tête de la liste ».
- « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
- Le village D'Ymare, consulté sur site www.annuaire-mairie.fr le 12 mai 2012
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- THALES : Le site Thales Rouen – Ymare fête ses 30 ans
- Serge Rouverand (préf. Philippe Manneville), Colombiers en Seine-Maritime, Darnétal, Petit à petit, , 130 p. (ISBN 2-914401-54-X), p. 39.