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Arsène Charles Ernest Wenger
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Wenger en tant qu'entraîneur d'Arsenal
Biographie
Taille 1,91 m (6 3)
Période pro. 1963-1981
Poste Défenseur
Parcours junior
Années Club
1963-1969 FC Duttlenheim
Parcours amateur
Années Club
1969-1973 AS Mutzig
1975-1978 ASVP Strasbourg
Parcours professionnel1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1973-1975 Mulhouse 56 (4)
1978-1981 Strasbourg 13 (0)
1 Compétitions officielles nationales et internationales.
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Arsène Wenger OBE, né le Modèle:Date sport, est un footballeur français qui évolue au poste de défenseur entre les années 1963 à 1981. Après sa retraite de joueur, il occupe les fonctions d'entraîneur, il dirige actuellement le club anglais d'Arsenal.

Sa carrière de joueur professionnel s'étale sur près de vingt années, pendant lesquelles il porte les couleurs de cinq clubs alsaciens. en 1963, il joue avec le FC Duttlenheim, club qu'il quitte six ans plus tard pour l'amateurisme du AS Mutzig, club de CFA puis de National, l'année suivante. Il y reste quatre ans avant de s'engager avec le FC Mulhouse, club où il va jouer en tant que professionnel tout en gardant une licence amateur, à l'âge de 24 ans. Après 56 matchs et 4 buts, en seconde division avec le FCM, il retourne dans sa ville natale par l'intermédiaire de l'ASVP Strasbourg. En 1978, Wenger est transféré au RC Strasbourg, alors en première division, il y termine sa carrière de joueur avec seulement 13 matchs au compteur, en trois ans. Au cours de sa carrière de joueur, Wenger dispute 69 matchs professionnels et remporte cinq compétitions, trois coupe d'alsace, une division d'honneur et un championnat de France.

En 1981, après une carrière inconsistante, il obtient son diplôme d'entraîneur et prend les rênes du centre de formation du RC Strasbourg. Deux ans plus tard, l’AS Cannes l'engage comme entraineur adjoint, au côté de Jean-Marc Guillou. Jusqu'en 1984, où Aldo Platini, l'ancien directeur sportif de l'AS Nancy-Lorraine l'attire vers la Lorraine. Après trois saisons passées avec Les chardons, suite à son licenciement par consentement mutuel après la relégation de l'ASNL, il est intronisé par l’AS Monaco au poste d'entraîneur pour succéder à Ștefan Kovács. Sa vision du jeu fait recette, le club de la Principauté remporte la même année le Championnat de France. Malgré une Coupe de France remportée avec le club monégasque en 1991, Arsène Wenger est remercié par Monaco, en 1994 après une série de mauvais résultats, en début de saison. Il rebondit la même année au Japon via le Nagoya Grampus. Wenger et son équipe permettent au club japonais de gagner ses deux premiers titres, la Coupe de l'Empereur en 1995 suivit quelques mois plus tard de la Supercoupe du Japon en 1996.

Wenger débarque au Arsenal FC, en 1996, à la plus grande surprise des médias britanniques mais deux ans plus tard il réalise le doublé coupe-championnat, en 2001 il hisse les Gunners jusqu'en finale de la Coupe UEFA et de la Coupe d'Angleterre. Puis un ans plus tard, il réedite le doublé coupe-championnat. L'année suivante, les hommes de Wenger conservent leur titre en coupe d'Angleterre, lors de la saison 2002-2003, il remporte pour la deuxième fois la Premier League suite à 38 journées de championnat sans la moindre défaite. Sous les ordres de Wenger, en 2006, Arsenal participe pour la première fois à une finale de ligue des champions et devient en même tant le premier club londonien à disputer cette finale. Durant son mandat d'entraîneur, Arsenal à changer de centre de formation et à déménagé à l'Emirates Stadium, après 93 ans à Highbury.

Le surnom Le Professeur est utilisé par les supporters et les médias britanniques afin de refléter l'attitude studieuse d'Arsène Wenger. Son approche du jeu met est basé sur une mentalité offensive. Les Gunners de Wenger ont souvent été les objet de critiques qui stigmatise leur indiscipline, ses joueurs ayant 80 cartons rouges entre septembre 1996 et octobre 2010, malgré cela l'équipe a remporté des prix de fair-play. À l'AS Monaco, Wenger gagne la réputation de repérer les jeunes talents. Concernant sa politique d'achat, il préfère investir sur des jeunes joueurs à potentiel au lieu d'acheter cher, ce qui sont expérimentés.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et carrière de joueur (1949-1981)[modifier | modifier le code]

Natif de Strasbourg, Wenger passe sa jeunesse dans le village de Duttlenheim.

Arsène Wenger naît d'Alphonse et de Louise Wenger, le Modèle:Date sport[1], à Strasbourg (Bas-Rhin)[2]. Il a un frère et une soeur aînée[3]. Dans son enfance, la famille Wenger habite à Duttlenheim, situé à environ 21 kilomètres de sa ville natale, dans la rue Géneral de Gaulle[3]. Dans cette même rue, on y trouve un bistro intitulé La Croix d'Or que tient ses parents. Son père dirige en même temps un autre commerce qui vend des pièces détachées pour automobile[3].

Arsène Wenger considère son enfance « comme étant élevé dans un kibboutz » car tout le monde prenait soin des enfants dans son village[4]. En 2009, lors de l'association des managers de la ligue anglaise, il déclare :

« Il n'y a pas de meilleure éducation que de grandir dans un bistrot. Quand on a cinq ou six ans, vous rencontrez toutes sortes de personnes et vous entendez combien cruels ils peuvent être les uns avec les autres. Ce n'est pas courant qu'un garçon de cinq ou six ans vive toujours avec des adultes dans un petit village. J'ai appris question tactiques et sélection de ces gens qui venaient dans le bistrot et qui parlaient tout le temps football, de qui devait jouer sur l'aile gauche et de qui devait être dans l'équipe. »

— Arsène Wenger, [5]

Enfant, après l'école, Wenger, étant un féru de football, passe ses journées à joueur au football ou à regarder des matchs dans le bistro de ses parents, qui était le lieu de rendez-vous du FC Duttlenheim, alors coachait par son père[3]. Selon Alphonse, Arsène débute le football vers l'âge de 6 ans[6]. Peu de temps après, il participe à des rencontres en Allemagne, où il occupe une affection en faveur du Borussia Mönchengladbach[7]. Comme l'Alsace était une région très croyante en la religion catholique, Wenger et les autres enfants qui jouaient au football, devait souvent demander la permission du prêtre afin de manquer les vêpres (prière du soir)[8].

Arsène Wenger en 1980, à l'Aéroport de Schiphol avant d'affronter l'Ajax Amsterdam en Coupe des clubs champions.

Étant donné que la population de Duttlenheim était à court de joueurs, il s'avérait dur de former une équipe de tous âges égaux, à cause de cela, Wenger ne put intégrer le club de son enfance pas avant 1963[9]. C'est dans le club de Mutzig, que Wenger entame sa carrière de joueur de football, repéré par Max Hild, alors l'entraîneur, lors d'un match à Obernai face au FC Duttlenheim, comptant pour le Challenge Marcel Laugel (Espoirs)[10]. En quittant son club de toujours, Wenger passe de la D2 départementale au CFA[10]. Au début Wenger a du mal à s'adapter à sa nouvelle situation, lors de son premier match contre l'ASM Belfort, il est tendu est tendu et nerveux, mais après un mois de travail et de matchs, il s'impose en tant que milieu de terrain[10].

En un laps de temps, il intègre l'équipe de France universitaire, où il y côtoie Jean-Luc Arribart[11], grâce à Jean Dufour qui le sélectionne suite à un match de présélection à l'INSEP son premier match à lieu le Modèle:Date sport, à Abidjan, dans la moiteur du Stade Félix-Houphouët-Boigny[12]. Il connaît par la suite quatorze autres sélections, entre 1973 et 1976[12]. En 1973, il rejoint le FC Mulhouse, alors manager par Paul Frantz. Par ce transfert, il entreprend ses premiers matchs professionnels tout en conservant une licence amateur, et fait des études à la Faculté des sciences économiques et de Gestion à l'Université de Strasbourg. En 1974, il obtient son diplôme, en ayant licence en sciences économiques[Note 1]. Dans ses études , Wenger prend conscience de l'importance et de l'utilité de parler l'anglais, il s'inscrit donc à l'université de Cambridge pendant trois semaines[9]. Après deux saisons passé avec le FCM, au cours desquelles, il participe à 56 rencontres, en division 2 pour un total de 4 buts[13], il rejoint l'ASVP Strasbourg, sur la demande de son ancien entraîneur à l'AS Mutzig, Max Hild dans le but de boucher les lacunes qui se trouvaient au milieu de terrain. Ce club se trouvait alors en 5e division, au départ de Wenger, soit trois ans plus tard, les Pierrots ont intégré la 3e division et ont remporté une coupe d'Alsace et une division d'honneur, ces deux titre ont été remporté en 1977.

Son dernier club est le RC Strasbourg, rebelote Max Hild, nouvelle entraîneur du centre de formation et directeur du centre de formation, fait de nouveau appel à lui car selon Hild, il manquait un stabilisateur au milieu de terrain et aussi pour encadrer les stagiaires de l'équipe réserve[10],[2], en étant leur capitaine[14]. Gilbert Gress, alors entraîneur de l'équipe première du Racing, le sélectionne pour la rencontre comptant de la 22e journée contre l'AS Monaco, cette rencontre marque sa première apparition en Division 1[15]. Cinq jours plus tard, il est entreprend son premier match en compétition européenne par l'intermédiaire de la Coupe UEFA, en étant titulaire[15]. il joue quatre jours plus tard, son dernier match de la saison, il est remplacé au cours du match par Joël Tanter[15], à la fin de la saison les strasbourgeois sont sacrés champion de France tandis que l'équipe réserve et Arsène remporte la coupe d'Alsace. Au cours de sa deuxième saison, Wenger ne joue qu'un match, face au Nîmes Olympique[16]. Pour sa troisième et dernière saison comme joueur, il dispute 8 matchs, en division 1, dont 7 comme titulaire, et joue son premier et dernier match en coupe de France[17], c'est par ailleurs son ultime match dans sa carrière de joueur[2].

Carrière d'entraîneur (1981-)[modifier | modifier le code]

Selon Max Hild, Wenger ne voulait pas faire du football son métier, c'est pour cela qu'il a toujours été sous une licence amateur. Arsène devait prendre la succession de La Croix d'Or, mais Hild incite Wenger a passé son diplôme d'entraîneur, après qu'il est trouvé un accord avec son père concernant le restaurant familial. La première équipe qu'il entraîne est le centre de formation du RC Strasbourg, mais il ne faisait que remplacer Hild durant ces déplacements pour le recrutement des professionnel[10]. En 1983, il fait un bref passage avec les cannois de l'AS Cannes en étant l'entraîneur adjoint de Jean-Marc Guillou[18], le club était alors en seconde division dans le groupe A[19]. Il termina à la fin de la saison 6e avec au total 40 points, soit à 16 points du premier, l'Olympique de Marseille[19].

Entraîneur à Nancy et à Monaco (1984-1994)[modifier | modifier le code]

Sa première véritable expérience d'entraîneur est à l'AS Nancy-Lorraine, en 1984, où Aldo Platini (père de Michel Platini[20]) le fait venir, alors directeur sportif des nancéiens[18], suite à la démission d'Hervé Collot, en le faisant signer un contrat de 3 ans[21]. Son premier match officiel sur le banc des Chardons se joue le Modèle:Date sport face au Paris Saint-Germain, cette rencontre est remporté 4 buts à 2 en faveur des hommes de Wenger. À la fin de la saison, l'ASNL occupe la 12e place, soit trois place au dessus que lors de la saison précédente[22]. Parallèlement, en coupe de France, les nancéiens sont éliminés par le Paris Saint-Germain, en huitième de finale, suite à une victoire, 1-0 à l'aller et une défaite, 0-4, au retour[22],[Note 2]. Cependant, pour le compte de sa deuxième saison à la tête de Nancy, Wenger et son équipe termine à la laborieuse 18e place et dispute donc les barrages[23][Note 3], aller-rerour contre le FC Mulhouse, lors du premier match les Chardons remporte ce dernier sur le score de 3-0 tandis qu'au retour le FCM leur inflige une défaite de 2-0, malgré cette déroute, il reste en première division[24]. Concernant la coupe de France, les hommes de Wenger sont éliminés dès leur entrée en lice par le RC Strasbourg[25]. Pour sa troisième saison aux rênes de l'ASNL, il annonce, dès le début de la saison qu'il démissionnera, à la fin de la saison pour rejoindre l'AS Monaco[26], en division 1 les nancéiens obtiennent la calamiteuse 19e place et sont directement relégués en division 2[27], tandis qu'en coupe de France sont de nouveau éliminés par le Paris Saint-Germain, comme en 1986, cette fois en seizième de finale[24]. Suite à ces mauvais résultats, il quitte les Chardons par consentement mutuel[26]. Après son départ, Aldo Platini évoque que ce n'était pas de sa faute que les nancéiens soient relégués mais du manque de renfort due au manque d'argent[26].

Dès son arrivée, au club de la principauté, 8 joueurs quittent le club en revanche il recrute cinq joueurs dont le milieu de terrain anglais, Glenn Hoddle, venu libre en provenance de Tottenham, le défenseur français, Patrick Battiston en fin de contrat avec les Girondins de Bordeaux, Mark Hateley transféré de l'AC Milan, ce dernier fut encouragé à rejoindre le Rocher suite au transfert de son compatriote, en sélection nationale[28], les français Fabrice Mège et Rémy Vogel, tous deux venu du RC Strasbourg. [29]. Sa première rencontre à la tête de l'ASM, se dispute face à l'Olympique de Marseille, le Modèle:Date sport, match remporté 3-1, à domicile[30]. Grâce à leur 4-4-2 en losange, les hommes de Wenger sont sacrés champions d'automne, lors de la deuxième partie de la saison les monégasques vont se contenter de gérer leur avance et d'ainsi remporter la division 1[31], par ce titre Wenger remporte son premier titre en tant qu'entraîneur[2], en devançant de six points leur concurrent direct au titre, les Girondins de Bordeaux[31]. Par contre, en coupe de France, leur parcours s'arrête en seizième de finale après une défaite face à l'OGC Nice[31].

Durant sa deuxième saison, avec les Les rouge et blanc, Wenger est renforcé par quatre arrivées, dont celle l'attaquant libérien George Weah, mais est affaibli par quatre départs[32]. À la trêve hivernale, le club est 5e, mais termine sur la dernière marche du podium à la fin du championnat malgré un meilleur rendement offensif que sur la dernière édition[33], grâce à notamment George Weah et Glenn Hoddle qui cumulent à eux deux 32 réalisations. dans cette saison Wenger joue sa première ligues des champions, les monégasques seront éliminés face au turc de Galatasaray[33]. Leur parcours en coupe de France est un succès puisqu'il atteigne la finale mais la perde malheureusement au profit des marseillais[33]. Au cours de cette saison, L'AS Monaco et l'Olympique de Marseille, vont se tisser une rivalité[34]. De 1990 à 1993, le championnat de France et Monaco vont subir la domination de l'OM qui remporte 4 titres de champion de France (dont un qui lui sera dépossédait)[35]. Les hommes de Wenger vont d'abord finir troisième en 1990 avant d'être le dauphin de l'OM pendant trois saisons jusqu'en 1993 où il termine de nouveau troisième[36],[37],[38],[39]. Durant les saison de 1989 à 1993, l'ASM, mené par Wenger, atteint les demi-finale de la coupe des coupes puis l'année suivante remporte la coupe de France au profit de l'OM[36],[37], un an plus tard il accède, à la finale de la coupe de France, mais la finale n'eu pas lieu en raison de la catastrophe de Furiani, auparavant[40], et accède, l'année suivante, aussi à la finale de la coupe des coupes, rencontre perdu 3-0 face au Werder de Brême[40]. En 1993, Wenger et son équipe sont éliminés en coupe de France en huitième de finale[39], puis à la saison ultérieur ils terminent pour la première fois depuis son arrivé en dehors du podium, à la 9e place[41]. Mais les monégasques sauvent l'honneur en étant évincer de la ligues des champions en demi-finale par le Milan AC[41], futur vainqueur. En 1994, le Bayern Munich tente d'enrôler Arsène Wenger[26], mais Monaco et Wenger refuse cette proposition, mais un début de saison calamiteux, et Wenger est démis de ses fonctions par le président du club, Jean-Louis Campora, suite à un mauvais début de saison [42]. En 2001, il déclare que l'affaire VA-OM l'a incité a quitté la France[26].

Rebond au Japon (1995-1996)[modifier | modifier le code]

En janvier 1995, il rebondit au Nagoya Grampus, un club qui arpente les fins fonds de la J. League.[43],[44]. Dès son arrivée, il engage un nouvelle entraîneur adjoint, Boro Primorac, l'entraîneur du Valenciennes FC avec qui il s'était amitié en 1993[45]. Durant le mercato, il va recruter trois joueurs avec une expérience conséquente, les français Franck Durix et Gérald Passi, venu respectivement en provenance de l'AS Cannes et de l'AS Saint-Étienne, et recrute aussi le japonais Tetsuya Asano, transféré de l'Urawa Red Diamonds. Son premier match à la tête du Nagoya, se joue le Modèle:Date sport à l'occasion du championnat japonais, ce match se clos par une défaite 3-1 face au Gamba Osaka, le championnat du Japon se jouait en deux phases, la Suntory tour et la Nicos tour, à la première phase il termine quatrième tandis qu'a la deuxième phase il termine deuxième mais n'est cependant pas qualifié pour la finale du championnat[Note 4],[46]. Parallèlement, le Nagoya de Wenger remporte la coupe du Japon après une victoire 3-0, face au Sanfrecce Hiroshima[47]. Saison terminé, Wenger est élu meilleur entraîneur de la J. League[48].

Après sa première saison réussi, basé sur un mélange de joueurs d'expérience et de jeunes pousses[44], sa deuxième saison, aux rênes du club japonais, est celle de la confirmation, il remporte la supercoupe du Japon au profit du Yokohama F·Marinos. Il quitte en cours de saison, en septembre le Nagoya Grampus[49], qui terminera vice-champion du japon[50].

Entraîneur à Arsenal (1996-)[modifier | modifier le code]

En août 1996, Bruce Rioch quitte Arsenal. Ce dernier est remplacé par deux entraîneurs intérimaires, respectivement Stewart Houston et Pat Rice[51]. Le Modèle:Date sport, Peter Hill-Wood, président des Gunners nomme Arsène Wenger à la tête du club londonien, poste qui accepte officiellement, le lendemain[52]. Il devient ainsi le 18e entraîneur de l'histoire d'Arsenal (hors intérimaires) et le premier non britannique[53] Étant relativement inconnu du football anglais, à son arrivé, l'Evening Standard publie un article avec comme titre « Arsene Who? » [54].

« Au début, j'ai pensé: Qu'est-ce que ce Français connaît au foot? Il porte des lunettes et ressemble à un instituteur. Il ne peut pas être aussi bon que George Graham. Et parle-t-il seulement l'anglais correctement? »

Tony Adams, le capitaine des Gunners, pendant cette période, à propos de l'arrivé d'Arsène Wenger à la tête d'Arsenal[54].

Son premier match sur le banc des Gunners, est un succès 2-0 face à Blackburn à l'extérieur, le Modèle:Date sport[55]. À la fin de la saison, les hommes de Wenger terminent à la troisième place du championnat anglais derrière Newcastle et manque ainsi une qualification à la Ligue des champions[56]. Pour sa deuxième saison aux rênes d'Arsenal, les Gunners réalisent le doublé coupe-championnat, pour la deuxième fois de leur histoire[57]. Ce succès fut basé sur une défense vigoureuse, monté par l'ancien entraîneur George Graham, composé de Tony Adams, Steve Bould, Nigel Winterburn, Lee Dixon et Martin Keown. Cette défense réalise une série de huit matchs sans encaisser le moindre but, entre janvier et mars 1998[58]. Concernant l'attaque, Dennis Bergkamp est considéré par Wenger comme le « catalyseur » de l'équipe[59].

Les saisons suivantes sont marquées par des échecs malgré un trophée gagné en Community Shield, à l'été 1998. En 1998-1999, le club ne parvient pas à conserver son titre de champions d'Angleterre, malgré une deuxième place derrière Manchester United[60]. Ce dernier élimine l'équipe de Wenger, la même année, en demi-finale de la coupe d'Angleterre[61]. Pour compensé cette saison pauvre en trophée, les Gunners remportent, en août 1999, la Community Shield. Un an plus tard, Arsenal perd en finale de la coupe UEFA au profit de Galatasaray, à la suite d'une séance de tirs au but[62]. En 2001, Wenger et Arsenal perdent en finale de la coupe d'Angleterre, face à Liverpool[63], avant de terminer de nouveau sur la seconde marche du podium en championnat[64]. Pendant la sécheresse trophée des Gunners, des joueurs cadres comme Overmars et Petit rejoignent le FC Barcelone[65]. En cours de saison, Wenger, après avoir refuser une prolongation, va demander une libération de son contrat d'entraîneur dans la perspective d'entrainer le Barça, à la fin de la saison, suite à la demande du président Blaugrana, Joan Gaspart[66]. Au lieu de cela, le Modèle:Date sport, après des fausses annonces, disant qu'il n'allait pas reconduire son contrat, il prolonge son bail avec Arsenal, jusqu'en 2005[67]. De 1998 à 2001, il recrute des joueurs comme Giovanni van Bronckhorst, Fredrik Ljungberg, Thierry Henry, Robert Pirès, et Sol Campbell afin de mettre en place son équipe première[68],[69], Campbell fait l'objet d'une polémique sur son transfert de Tottenham à Arsenal[70],[71],[72],[73],[74].

La saison 2001-2002, est une marque de renouveau car les Gunners réalisent pour la deuxième fois le doublé coupe-championnat, grâce à une attaque de feu composé de Wiltord et Henry qui a eux deux réalisent un total de 34 buts en championnat. En coupe d'Angleterre, les hommes de Wenger battent Chelsea et remportent ainsi leur 5e titre depuis l'arrivée de Wenger. Les Gunners vont pendant ce championnat être les premiers à marquer pendant tous leurs matchs, et aussi les premiers à remporter tous leurs matches à l'extérieur.[75].

Approche et philosophie[modifier | modifier le code]

Wenger est décrit par la BBC Sport comme un entraîneur « avec le désir de divertir et d'attaquer »[76], et par le Daily Mail comme « un puriste, qui se consacre à l'individu et aux techniques collectives »[77]. The Times note que, depuis la saison 2003-2004, Wenger base son jeu sur une mentalité offensive[78]. Pendant un certain nombres d'années Wenger emploie une formation en 4-4-2. Lors de la Ligues des champions 2005-2006, il applique un 4-5-1, avec un attaquant de pointe et un milieu composé de cinq joueurs pour assurer la défense[79]. À partir de la saison 2009-10, Wenger instaure un 4-3-3, qui va faire de Cesc Fàbregas le meneur de jeu et le capitaine aux côté de ses deux ailiers[80]. L'équipe est réprimandé, par le journaliste Jeff Powell qui selon lui, les Gunners manque de « toucher tueur »[81], par le footballeur Michael Ballack pour être unidimensionnel[82].

Wenger est aussi connu pour repérer les talents[83]. À l'AS Monaco, il repère l'attaquant libérien George Weah, qui est récompensé quelques années plus tard par le Ballon d'or africain (3 fois) et par le Ballon d'or, il déniche même les futurs champions du mondes 98, Youri Djorkaeff, Thierry Henry et David Trezeguet. Le nigérian Victor Ikpeba, fait aussi parti de ces joueurs car en 1997, il élu meilleur joueur africain de l'année. De même à Arsenal où il se procure des pépites comme Patrick Vieira, Fabregas, Kolo Touré ou encore Theo Walcott[84],[85]. Le président de l'UEFA Michel Platini a ouvertement critiqué sa politique d'achat, en disant : « En France, en Italie, en Espagne, il est facile d'acheter des joueurs à 14, 15, 16 ans. Je n'aime pas ça. Si tous les grands club font de même, s'en est fini du football en Europe. »[86].

Durant le marché des transfert, Wenger préfère investir sur des joueurs à bas prix au lieu d'acheter cher. Le transfert d'Anelka du Paris Saint-Germain à Arsenal, coûta 5 millions de francs, il fut vendu deux ans plus tard, au Real Madrid, pour la somme astronomique de 220 millions de francs[87]. Ce transfert permis à Arsenal de financer son nouveau centre de formation à Shenley[88]. La défense d'Arsenal, qui a établi un nouveau record en 2006 en réalisant 10 matchs consécutifs sans encaisser le moindre but en Ligue des Champions, a coûté seulement 6 millions de livres[89].

Afflux d'étrangers[modifier | modifier le code]

Depuis son arrivée, plusieurs joueurs anglais ont commencé leur carrière à Arsenal, comme David Bentley, Steve Sidwell, Jermaine Pennant, Matthew Upson, Kieran Gibbs Jack Wilshere, ces deux derniers sont encore au sein du club londonien[90],[91]. Cependant, Wenger est l'objet de critiques qui lui reproche d'aligner de nombreux joueurs étrangers. Par exemple, lors d'un match de championnat contre Crystal Palace, le Modèle:Date sport, Wenger présente une équipe de 16 joueurs étrangers, une première dans l'histoire du club[92]. Cette équipe incite la réaction de Gordon Taylor, président de PFA, qui déclare que c'est afflux d'étrangers est inquiétant pour le football anglais[93]. En mars 2006, Alan Pardew, alors entraîneur de West Ham indique que les succès d'Arsenal en ligue des Champions n'est « pas nécessairement un triomphe pour le football britannique »[94]. Concernant la question de la nationalité, Wenger considère cela comme non pertinent et dit : « Quand vous représentez un club, il s'agit des valeurs et des qualités, et non pas les passeports. »[95].

Comme de nombreuse personnes, Trevor Brooking, directeur du développement du football à la fédération anglaise, défend l'avis de Wenger. Il déclare que le manque de joueurs anglais dans « l'un des clubs les plus titrés d'Angleterre » est due à un talent limité des joueurs anglais[96]. Une opinion partagée, par l'ancien entraîneur de liverpool, Craig Johnston[97].

Équipe de l'indiscipline et du fair-play[modifier | modifier le code]

Les Gunners de Wenger ont souvent été critiqués pour leur indiscipline, entre septembre 1996 et octobre 2010, l'équipe reçoit 80 cartons rouges[98]. Wenger essaye souvent de défendre ses joueurs, impliqués dans des incidents controversés sur le terrain, en disant qu'il n'a pas vu l'incident, ce qui est une option utile dit-il au moment où il n'ya pas d'explication rationnelle pour le défendre[99],[100].

Cependant, en 2004 et en 2005, Arsenal termine premier de la fair-play League table et termine deuxième en 2006[101],[102],[103]. Jusqu'en 2009, il font partie à chaque fois du top 4, avant de remporter une nouvelle fois en 2010 la fair-play League table[104],[105],[106].

Le Modèle:Date sport, en huitième de finale de la FA Cup, le gardien de but de Sheffield United envoie le ballon en touche pour permettre à un de ses coéquipiers de se faire soigner. Ray Parlour, effectue la touche pour rendre la balle à son adversaire, seulement son partenaire Nwankwo Kanu, récupère le ballon, centre pour Marc Overmars qui n’a plus qu’à marquer. Le but est validé mais a le don d’exaspérer les joueurs de Sheffield United, suite à cela Arsenal l’emporte 2-1. Frustré par cette victoire qu’il juge malhonnête Arsène Wenger demande à rejouer le match « Je tente de réparer un accident », se justifie t-il à la fin du match. Dix jours plus tard, le match est rejoué et Arsenal l’emporte de nouveau sur le score 2-1 mais cette fois sans aucune contestation possible. Plus tard, l'UEFA lui remettra le prix du fair-play pour son geste sportif[107].

Relations avec les autres[modifier | modifier le code]

Les relations de Wenger avec les entraîneurs et les arbitres n'ont pas toujours étaient aux beaux fixes. Wenger a une rivalité avec l'entraîneur de Manchester United, Sir Alex Ferguson, depuis de 1997. En octobre 2004, les Reds Devils mettent fin à une série de 49 matchs sans la moindre défaite, en Premier League, des Gunners, en remportant cette rencontre sur le score de 2-0 qui sera surnommée plus tard the battle of the buffet, la bataille du buffet[108]. Après le coup de sifflet final, les deux équipes se battent dans le tunnel menant aux vestiaires. Dans la confusion, Ferguson reçoit une part de pizza en pleine figure[108].Suite à une interview télévisé, il écope d'une amende de 17 325 €, pour avoir insulté Ruud van Nistelrooy de tricheur[109].

Entre octobre et novembre 2005, Wenger est impliqué dans une guerre de mots avec l'entraîneur de Chelsea, José Mourinho. Mourinho accuse Wenger d'avoir une « obsession professionnelle » avec Chelsea et l'étiquète comme un « voyeur »[110],[111]. Mourinho dit même, « Il est inquiet à propos de nous, il parle toujours de nous - c'est Chelsea, Chelsea, Chelsea , Chelsea. »[111] . Wenger répond à Mourinho en lui faisant remarquer qu'il ne faisait que répondre aux questions des journalistes à propos de Chelsea, et décrit l'attitude de Mourinho comme irrespectueuse[112]. Peu de temps après, Mourinho s'excuse en précisant qu'il regrettait de l'avoir traiter de « voyeur », Wenger acceptera par la suite ses excuses[113].

En août 2000, il a été accusé de « comportement menaçant et d'intimidation physique» à l'égard du quatrième arbitre Paul Taylor, après la défaite 1-0 d'Arsenal face Sunderland[114]. Suite à cette événement, il est passible de 12 matchs de suspension de banc de touche et d'une amende équivalant à quatre semaines de salaire. Mais Wenger écope finalement d'une amende de 1 100 €[115]. À l'édition 2007 de la coupe de la ligue, il traite un juge de ligne de menteur[116]. Peu de temps après, il hérite une amende d'environ 4 000 € et d'une mise en garde[117]. En mars 2011, Wenger critique fortement l'arbitrage effectué Massimo Busacca, après la défaite des siens face au FC Barcelone, en ligues des champions[118]. Il reçoit de nouveau une amende, de 10 000 €, et est suspendu d'un match de compétition européenne[119].

Éloges, distinctions et palmarès sportif[modifier | modifier le code]

Éloges et distinctions[modifier | modifier le code]

Wenger est fait chevalier de la Légion d’honneur en 2002.

En 2001, David Dein, alors vice-président de la Fédération anglaise de football décrit Wenger ainsi : « Arsène est un faiseur de miracle. Il a révolutionné le club, il a transformé des joueurs en des joueurs de classe mondiale. Depuis qu'il est ici, nous avons vu le football d'une autre planète. »[120]. D'autres personne travaillant dans le monde du football, ont exprimé le même sentiment, plus particulièrement Alex Ferguson[121], Pep Guardiola[122], Patrick Vieira[123], qui le décrivent comme un « super entraîneur »[124]. Graham Taylor, ancien entraîneur de Watford lui a salué la grande contribution de Wenger dans le football anglais[125].

Arsène Wenger est fait chevalier de la Légion d'honneur, en 2002 à l'occasion des cérémonies du 14 juillet[126]. Un an plus tard, il est promu officier de l'Ordre de l'Empire britannique avec Gérard Houllier, par l'ancien ministre des affaires étrangères, Jack Straw[127]. Le onze d'or, le nomme quatre fois entraîneur de l'année, en 2000, en 2002, en 2003 et en 2004[128]. Au cours de sa carrière d'entraîneur Wenger est élu une fois entraîneur de l'année dans le championnat japonais, et trois fois dans le championnat anglais. En 2008, France Football, le nomme meilleur entraîneur français[129]. Wenger est intronisé au Temple de la renommée du football anglais en 2006[130]. En janvier 2011, il est élu meilleur entraîneur de la décennie 2001-2010, par IFFHS avec un total de 156 points, devant Alex Ferguson et José Mourinho[131].

Wenger possède à l'Emirates Stadium une statue en bronze depuis le Modèle:Date sport[132]. Le Modèle:Date sport, l'astronome, Ian P. Griffin nomme un astéroïde : « 33179 Arsènewenger » en l'hommage de tous les titres que Wenger a apporté à son club de coeur[133].

Palmarès sportif[modifier | modifier le code]

En tant que joueur[modifier | modifier le code]

   

En tant qu'entraîneur[modifier | modifier le code]

   

En dehors des terrains[modifier | modifier le code]

Consultant[modifier | modifier le code]

Arsène Wenger est consultant pour TF1 et commentateur depuis 2004. Il forme actuellement un trio avec Christian Jeanpierre et Bixente Lizarazu, lors des matchs de football se diffusant sur TF1[134]. Il est aussi consultant, pour Al-Jazira[135], et pour Eurosport, où il y tient un blog[136].

Vie privée[modifier | modifier le code]

Wenger est marié à l'ancienne basketteuse, Annie Brosterhous, avec laquelle il a une fille prénommée Léa, en 1997[137]. La famille Wenger vit en ce moment à Totteridge, situé à Londres[3]. En novembre 2010, le journal The Sun lance une rumeur disant que Wenger aurait une relation adultère avec une rappeuse du nom de Sonia Tatar[138]. À la suite de ce scandale, Wenger dit : « Il s'agit d'une affaire très sérieuse. Je n'ai pas l'intention de faire de commentaire dessus. »[139].

Arsène Wenger est le parrain de Castrol[140]. Il est polyglotte, il parle français, anglais, allemand, espagnol, italien ainsi que le japonais[54].

Statistiques de joueur et d'entraîneur[modifier | modifier le code]

Statistiques de joueur[modifier | modifier le code]

Le tableau suivant récapitule les statistiques d'Arsène Wenger durant sa carrière, sous statut professionnel[13],[2].

Statistiques d'Arsène Wenger en club professionnel
Saison Club Championnat Coupe(s) nationale(s) Compétition(s)
continentale(s)
Total
Division M. B. M. B. Comp. M. B. M. B.
1973 - 1974 Drapeau de la France FC Mulhouse D2 25 2 0 0 - - - 25 2
1974 - 1975 Drapeau de la France FC Mulhouse D2 31 2 0 0 - - - 31 2
Sous-total 56 2 0 0 - - - 56 2
1978 - 1979 Drapeau de la France RC Strasbourg D1 2 0 0 0 C3 1 0 3 0
1979 - 1980 Drapeau de la France RC Strasbourg D1 1 0 0 0 C1 0 0 1 0
1980 - 1981 Drapeau de la France RC Strasbourg D1 8 0 1 0 - - - 9 0
Sous-total 11 0 1 0 - 1 0 13 0
Total sur la carrière 67 4 1 0 - 1 0 69 4

Statistiques d'entraineur[modifier | modifier le code]

Le tableau suivant récapitule les statistiques d'Arsène Wenger durant sa carrière d'entraîneur[13].

Saison Club Championnat Coupes nationales Coupes continentales Supercoupe Total
Division Matchs V N[Note 5] D Matchs V N D Type Matchs V N D Matchs V N D Matchs V N D
1984 - 1985 AS Nancy-Lorraine Division 1 38 12 10 16 5 4 0 1 - - - - - - - - - 43 16 10 17
1985 - 1986 AS Nancy-Lorraine Division 1 38 13 7 18 1 0 0 1 - - - - - - - - - 39 13 7 19
1986 - 1987 AS Nancy-Lorraine Division 1 38 8 13 17 1 0 0 1 - - - - - - - - - 39 8 13 18
1987 - 1988 AS Monaco Division 1 38 20 12 6 3 2 0 1 - - - - - - - - - 41 22 12 7
1988 - 1989 AS Monaco Division 1 38 18 14 6 10 4 5 1 C1 6 2 1 3 - - - - 54 24 20 10
1989 - 1990 AS Monaco Division 1 38 15 16 7 1 0 0 1 C2 8 1 6 1 - - - - 47 16 22 9
1990 - 1991 AS Monaco Division 1 38 20 11 7 6 6 0 0 C3 6 3 1 2 - - - - 50 29 12 9
1991 - 1992 AS Monaco Division 1 38 22 8 8 5 3 2 0 C2 9 5 3 1 - - - - 52 30 13 9
1992 - 1993 AS Monaco Division 1 38 21 9 8 3 1 1 1 C1 4 1 2 1 - - - - 45 23 12 10
1993 - 1994 AS Monaco Division 1 38 14 13 11 3 2 1 0 C1 11 5 2 4 - - - - 52 21 16 15
1994 - 1995 AS Monaco Division 1 8 2 1 5 0 0 0 0 - - - - - - - - - 8 2 1 5
1995 Nagoya Grampus J. League 52 32 0 20 5 5 0 0 - - - - - - - - - 57 37 20 -
1996 Nagoya Grampus J. League - - - - - - - - AFC - - - - - - - - - - - -
1996 - 1997 Arsenal Premier League 30 14 9 7 6 2 2 2 C3 0 0 0 0 - - - - 36 16 11 9
1997 - 1998 Arsenal Premier League 38 23 9 6 13 8 4 1 C3 2 0 1 1 - - - - 53 31 14 8
1998 - 1999 Arsenal Premier League 38 22 12 4 8 5 1 2 C1 6 2 2 2 1 1 0 0 53 30 15 8
1999 - 2000 Arsenal Premier League 38 22 7 9 5 2 3 0 C1+C3 15 8 4 3 1 1 0 0 59 33 14 12
2000 - 2001 Arsenal Premier League 38 20 10 8 7 5 0 2 C1 14 7 3 4 - - - - 59 32 13 14
2001 - 2002 Arsenal Premier League 38 26 9 3 10 8 1 1 C1 12 5 1 6 - - - - 60 39 11 10
2002 - 2003 Arsenal Premier League 38 23 9 6 8 6 1 1 C1 12 4 5 3 1 1 0 0 59 34 15 10
2003 - 2004 Arsenal Premier League 38 26 12 0 11 6 1 3 C1 10 5 2 3 1 0 1 0 60 37 16 6
2004 - 2005 Arsenal Premier League 38 25 8 5 9 6 2 1 C1 8 3 4 1 1 1 0 0 56 35 14 7
2005 - 2006 Arsenal Premier League 38 20 7 11 7 4 1 2 C1 13 8 4 1 1 0 0 1 59 32 12 15
2006 - 2007 Arsenal Premier League 38 19 11 8 10 6 2 2 C1 10 5 2 3 - - - - 58 30 15 13
2007 - 2008 Arsenal Premier League 38 24 11 3 8 5 1 2 C1 12 7 3 2 - - - - 58 36 15 7
2008 - 2009 Arsenal Premier League 38 20 12 6 8 6 0 2 C1 14 7 3 4 - - - - 60 33 15 12
2009 - 2010 Arsenal Premier League 38 23 6 9 5 3 0 2 C1 12 7 2 3 - - - - 55 33 8 14
2010 - 2011 Arsenal Premier League 38 19 11 8 12 7 3 2 C1 8 5 0 3 - - - - 58 31 14 13
2011- 2012 Arsenal Premier League 38 21 7 10 6 4 0 2 C1 10 6 2 2 - - - - 54 31 9 14
2012- 2013 Arsenal Premier League 34 18 9 7 7 4 2 1 C1 8 4 1 3 - - - - 49 26 12 11
Total sur la carrière 1074 562 273 239 183 115 33 35 - 210 100 54 56 6 4 1 1 1473 781 361 331

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le diplôme décerné à Wenger est ambigu. Plusieurs publications, telles que The Independent et The Economist ont commenté qu'il possède une maîtrise en sciences économiques. D'autres, comme le magazine FF U Sport dit que Wenger a obtenu une licence.
  2. Entre 1968 à 1989, la coupe de France se jouait en match aller-retour à partir des seizièmes de finale.
  3. À l'époque, lorsqu'un club français, jouant en division 1, terminait à la 18e, il disputait un barrage, aller-retour face à des promus de D2.
  4. Au Japon, en 1995 le vainqueur de la Nicos et Suntory tour était qualifié pour une finale, le vainqueur de cette finale est sacré champion du Japon
  5. Au Japon, en 1995 et 1996, il n'y a pas de matchs nuls, les victoires sont décernées en cas de matchs nuls, soit au but en or dans la prolongation, soit aux tirs au buts.

Références[modifier | modifier le code]

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