Karl Lagerfeld

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Karl Lagerfeld
Description de cette image, également commentée ci-après
Karl Lagerfeld au 60e festival de Cannes en 2007.
Nom de naissance Karl Otto Lagerfeldt
Alias
Le Kaiser (« L'empereur »)
Naissance (90 ans)
Hambourg (Allemagne)
Nationalité Allemand
Pays de résidence France
Profession
Conjoint
Jacques de Bascher (1951-1989)
Signature de Karl Lagerfeld

Karl Otto Lagerfeldt, plus connu sous le nom de Karl Lagerfeld, né à Hambourg en Allemagne, le (date figurant sur un faire-part de naissance et sur le registre des baptêmes de Hambourg, confirmée par des témoignages[1]) ou le (affirmation du couturier[2]), est un grand couturier, designer, photographe, réalisateur et éditeur allemand.

Il est le directeur artistique de la maison de haute couture Chanel à Paris depuis 1983, de la maison italienne Fendi à Rome depuis 1965 et de sa propre ligne depuis 1984. En plus de ces occupations, il édite des livres en Allemagne, possède une librairie et réalise des photos publicitaires.

Biographie

Une jeunesse dorée

Karl Otto Lagerfeld a refusé de dévoiler sa date de naissance jusqu'à récemment en avançant qu'il ne la connaissait pas lui-même[3]. La presse affirme qu'il serait né en 1933[4] ou en 1938[5], mais il a apporté un démenti à ces deux affirmations[6],[7]. Il a pourtant affirmé être né en 1938 lors d'une émission présentée par Thierry Ardisson et diffusée le 24 mars 1990. Il a laissé toutefois fêter officiellement ses 70 ans le 10 septembre 2008[Note 1].

Karl Lagerfeld[8] est le fils d'Otto Lagerfeldt[9], représentant de commerce d'origine suédoise du producteur de lait concentré Glücksklee-Milch Gmbh (de), et de son épouse d'origine prussienne, Elisabeth. De son propre aveu, ses relations avec sa mère restèrent distantes au cours de sa vie, mais étaient plus légères que celle qu'il avait avec son père, et empreintes d'un profond respect. Lagerfeld dit avoir beaucoup appris de sa mère, en particulier : « savoir donner des réponses exactes. » Il déclara un jour « qu'il avait trouvé ses parents chouettes. »

Domaine de Bissenmoor en 1908.

En 1934, Otto et Elisabeth Lagerfeldt achètent un domaine près de Bad Bramstedt dans le Schleswig-Holstein. Le domaine de Bissenmoor fait alors plus de 500 hectares. La famille y réside jusqu'en 1939, puis elle retourne à Hambourg. Alors que les bombardements alliés détruisent à 80 % la ville de Hambourg en 1944, les Lagerfeldt regagnent le domaine de Bad Bramstedt avec leurs enfants. Le jeune Lagerfeld y suivra pendant quelques années des cours à l'école privée Jürgen Fuhlendorf. Quand sa famille retourne de nouveau à Hambourg en 1949, il poursuit ses études à l'école Bismarck pendant deux ans.

En 1952[10], Karl et sa mère quittent l'Allemagne et gagnent Paris, alors la capitale de la mode. Il est élève dans une école privée, puis au lycée Montaigne. Enfin, il travaille en tant qu'illustrateur de mode.

En 1954, il s'installe à Paris, notamment au 7 quai Voltaire dans un hôtel particulier. Il remporte le premier prix du concours du « Secrétariat international de la laine », organisé par la marque Woolmark, ex-æquo avec Yves Saint-Laurent[Note 2]. Le couturier Pierre Balmain, qui fait partie du jury, le remarque et le recrute comme assistant de 1955 à 1962. C'est le début d'une brillante carrière professionnelle.

De Pierre Balmain à Fendi

En 1959, Karl Lagerfeld est nommé directeur artistique chez le couturier Jean Patou. Peu de temps après, il choisit de mener une carrière de styliste indépendant contractuel et de créer des collections de mode, successivement pour la France, l'Italie, l'Allemagne et le Japon. En 1963, il innove en instaurant le prêt-à-porter et crée les accessoires de la marque de mode Chloé, durant vingt années, jusqu'en 1983. Depuis 1965, il travaille également pour la maison italienne Fendi à Rome[13], dont il crée le logo.

Chanel

En 1983, Lagerfeld est nommé directeur artistique pour l'ensemble des « collections Haute couture, prêt-à-porter et accessoires » de la maison Chanel qui à l'époque frôle la fermeture complète, et dont il doit relancer l'activité. Dans les années 1980, il choisit le mannequin Inès de La Fressange[14] pour représenter l'image de Chanel. Elle est le premier mannequin à signer un contrat d'exclusivité avec une maison de haute couture et la première à devenir autant médiatisée dans l'histoire de la mode. L'esthétique de Lagerfeld est basée sur des contrastes noir/blanc, qui étaient également les couleurs à la base du style de Coco Chanel. N'étant pas intéressé au chiffre d'affaires, ne mettant jamais son « nez dans les comptes », il est soutenu par Alain Wertheimer propriétaire avec son frère de la maison de couture et dispose d'« une liberté totale » selon ses dires[15].

Il choisit la chanteuse et actrice Vanessa Paradis comme principale représentante de la maison Chanel. Il la photographie à de nombreuses reprises pour des revues de mode prestigieuses et plusieurs campagnes de publicité (parfum, sacs, cosmétiques). En 2013, il réalise le court-métrage Once Upon a Time à la Cité du Cinéma de Luc Besson à Saint-Denis avec Keira Knightley dans le rôle de Coco Chanel et Clotilde Hesme dans celui de sa tante Adrienne Chanel[16].

De Chloé à H&M

En 1984, Lagerfeld ouvre, avec un succès relatif, sa propre maison de prêt-à-porter, la marque « Karl Lagerfeld », qui est ensuite rachetée par le groupe Cora-Revillon. En 1991, il est à nouveau nommé directeur artistique chez Chloé[14] pour redorer la marque en plein déclin.

En 1998, il ouvre la Lagerfeld Gallery, consacrée à la photographie et aux livres[17] avec, en sous-sol, une collection de prêt à porter féminin de luxe portant le même nom, dessinée par lui et fabriquée en Allemagne. La marque sera renommée Lagerfeld Collection sept ans après[18].

Pendant quinze ans, Lagerfeld ne paie pas d'impôts en France et se voit réclamer, en 1999, un redressement fiscal de 87 millions de francs. Son avocat Alain Belot contacte directement le ministre de l'Économie et des Finances, Dominique Strauss-Kahn, pour avoir une « remise » sur ce montant. Une démarche qui permettra à Lagerfeld de ne payer que 46 millions de francs, créant une polémique[19] à l'origine de l'affaire de la cassette Méry. En effet, Dominique Strauss-Kahn est notamment accusé d'avoir octroyé, en tant que ministre, une ristourne fiscale de 160 millions de francs à Lagerfeld, en échange de la remise par l'avocat de ce dernier d'une cassette contenant des aveux de Jean-Claude Méry, financier occulte du RPR[20].

En conséquence, Lagerfeld est contraint en avril 2000 de vendre la collection de tableaux, de meubles et d'objets d'art du XVIIIe siècle français qu'il possède dans son hôtel particulier. La maison de vente Christie's proposera à Monaco l'ensemble de la collection dans des ventes qui feront date parmi les plus célèbres ventes aux enchères du XXe siècle de mobilier et d'objets d'art français du XVIIIe siècle, à l'égal des collections du couturier et mécène Jacques Doucet à Paris en 1912. Sa collection, estimée à 180 millions de francs, est dispersée pour un montant de 139 millions[21].

En 2004, le couturier lance une « collection capsule » de prêt-à-porter de trente vêtements pour H&M. Dans certaines boutiques, la collection est vendue en quelques minutes[17]. Irrité par le peu de vêtements mis en vente dans les magasins de la chaîne, et devant la déception des clients repartis bredouilles, Lagerfeld déclare : « Je trouve pénible que H&M ait contrarié tant de gens. C'est du snobisme dans l'antisnobisme[22]. »

Au cours de sa carrière, Lagerfeld a dessiné plusieurs costumes pour le monde du spectacle : opéra de la Scala de Milan, opéra de Florence, ballets de Monte-Carlo. Au cinéma, il a conçu les tenues extravagantes du film Talons aiguilles de Pedro Almodóvar et celles de Callas Forever de Franco Zeffirelli. Il a aussi dessiné les tenues des tournées de Kylie Minogue et Madonna.

En 2007, deux ans après avoir revendu toutes ses marques (la Lagerfeld Gallery, une collection sous licence pour hommes et femmes et des accessoires, la boutique parisienne de la Rive Gauche et la boutique de Monaco) à Tommy Hilfiger[23] pour 30 millions de dollars[18], Karl Lagerfeld lance une nouvelle ligne, K par Karl.

Début 2012, il choisit un bijou en calcédoine de la joaillière Suzanne Belperron comme symbole de la collection printemps-été 2012 de la maison Chanel[24],[25]. La même année, il crée une nouvelle marque en vente exclusivement sur le site internet Net-a-Porter, nommée KARL[26],[27]. En novembre, il est élu « styliste le plus influent des 25 dernières années »[28].

Activité annexes

Karl avec Albert II de Monaco et Charlene Wittstock, en 2011.

Parfums

En 1989, Karl Lagerfeld commence sa collaboration avec la marque de parfums Fabergé Unilever.

En 2008, il travaille pour Coty sur une nouvelle ligne de parfums, société qu'il quitte en octobre 2012 avant de travailler pour Interparfums.

Le Lagerfeld lance deux parfums (pour hommes et femmes) avec son nouveau commanditaire Interparfums[29].

Autres

En 2000, voulant retrouver une taille fine pour entrer dans les vêtements très cintrés que Hedi Slimane crée alors pour Dior Homme, il entreprend sous la direction du Dr Jean-Claude Houdret un régime draconien, qui lui fera perdre 43 kilos en treize mois[30]. Ils en tireront un livre à succès, Le Meilleur des régimes[31].

En 2004, il dessine pour la maison Chanel les deux timbres de la Saint-Valentin émis par La Poste française[32],[33].

Karl Lagerfeld en 2005 avec Monica Moss à Monaco.

En 2006, Lagerfeld joue son propre rôle dans le film La Doublure de Francis Veber et sort une compilation Les musiques que j'aime[34]. En 2007, il est le protagoniste principal d’un documentaire, Lagerfeld Confidential de Rodolphe Marconi. Il prête sa voix également à Fabu, le méchant de Totally Spies ! Le film, et il crée une bûche de Noël pour le traiteur Lenôtre[35].

En 2008, il accepte d'être l'animateur de la station de radio « K109 The Studio » sous le nom de DJ Karl sur la bande son du jeu vidéo Grand Theft Auto IV[36],[37]. Il pose pour une publicité de la Sécurité routière, portant un gilet réfléchissant sur son costume, au bord d'une route, avec pour slogan : « C'est jaune, c'est moche, ça ne va avec rien, mais ça peut vous sauver la vie. »[38] Il s'occupe de l'architecture d'intérieur de la Isla Moda, îlot dédié à la mode à Dubaï[39].

En 2009, Lagerfeld prête sa voix dans le morceau Rondo Parisiano du groupe de musique électronique SomethingALaMode, qui avait composé la musique de son défilé « Chanel Croisière » en [40]. Il habille l'édition « coffret de Noël » du Petit Larousse illustré.

Lagerfeld, qui se dit « dilettante professionnel »[41], a également une activité de photographe. Il publie de nombreux livres de photographie édités chez l'éditeur allemand Gerhard Steidl. L'architecture, le corps humain et l'univers du luxe sont ses thèmes principaux. Il est par ailleurs propriétaire de la librairie 7L et d'une maison d'édition du même nom, rue de Lille dans le 7e arrondissement.

En 2010, il photographie six silhouettes pour le catalogue automne-hiver 2010-2011 des 3 Suisses. Il rhabille une bouteille Coca-Cola Light à son effigie[42] et « relooke » le journal Libération du 22 juin 2010[43]. Il s'associe avec Optic 2000 pour créer 55 modèles de paires de lunettes[44].

En 2011, Lagerfeld dessine le nouveau maillot de l'équipe de France de football. Il rhabille trois nouvelles bouteilles Coca-Cola Light. Il devient égérie de la publicité Volkswagen et réalise une série de publicités Magnum. En avril de la même année, il commente pour une chaîne de télévision le mariage de Catherine Middleton et du prince William, ainsi que le jubilé de la reine Élisabeth II avec Stéphane Bern et Marie Drucker. Il illustre le calendrier Pirelli de cette année, et réalise une quatrième collection de quinze pièces pour la marque Hogan[45].

En 2012, Lagerfeld devient le rédacteur en chef du journal Metro pour l'édition du 6 février 2012[46] et apparaît dans le clip de Jean-Roch auprès de Snoop Dogg, jouant le rôle de Dieu. Il signe le numéro de mai d'Architectural Digest, dans lequel il expose son appartement parisien, ses derniers projets et sa collection de bijoux de la joaillière Suzanne Belperron[47]. En mai, il est chargé de la scénographie de la 26e Biennale des antiquaires.

Distinctions

Décoration

Dans la culture populaire

  • En 1997, Karl Lagerfeld devient la première personnalité de la mode à avoir sa marionnette aux Guignols de l'info.
  • Il est un personnage secondaire du livre La Possibilité d'une île (2005) de Michel Houellebecq.
  • Karl Lagerfeld apparaît aussi dans les romans Tibère et Marjorie (2010) de Régis Jauffret et Photo-Photo (2010) de Marie Nimier.
  • En 2008, un ours en peluche Steiff est créé à son effigie.
  • Son alter ego apparaît dans le dessin-animé Moot-Moot[48].
  • Karl Lagerfeld est caricaturé dans Les Psy - Tome 12 sous le nom de T. Delucca[49].
  • Un poney porte ses traits dans un épisode de My Little Pony[50].
  • Karl Lagerfeld est cité à de nombreuses reprises dans Le Diable s'habille en Prada.
  • Il est caricaturé dans Karl LagerFlow de Disiz[51].
  • Il apparaît dans le jeu vidéo Grand Theft Auto IV en 2008, sous le pseudo de DJ Karl en tant que DJ pour la station de radio K109 The Studio.
  • En 2008 toujours, la Sécurite Routière française lance une campagne pour promouvoir l'usage ou la possession d'un gilet jaune fluo obligatoire à vélo ou pour les automobilistes, "C'est jaune, c'est moche, ça ne va avec rien mais ça peut vous sauver la vie" illustrée par une photo où Lagerfeld apparaît en smoking revêtu d'un gilet jaune[52].
  • Il apparaît dans Oggy et les Cafards (saison 4, épisode 223, Oggy et l'oeuf de Pâques).
  • Il est interprété par Nikolai Kinski dans le film Yves Saint Laurent de Jalil Lespert sorti le 8 janvier 2014.

Filmographie

Apparitions/Acteur :

Il a également été collaborateur artistique et costumier de nombreux films mais aussi réalisateur de plusieurs courts-métrages.

Bibliographie[réf. nécessaire]

  • Photographies (1991), Paris, Contrejour
  • Mes plus belles photos (1994)
  • Off the record (1995)
  • Visionen (1999)
  • Casa malaparte (1998)
  • Tadao Vitra House (1999)
  • Escape from Circumstances (2000)
  • Akstrakt (2001)
  • Alan Seeger, the complete works (2001)
  • Villa Noailles (2001)
  • Portfolio (2002)
  • Waterdance bodywave (2002)
  • Les Vases de Ciboure (2004)
  • Back stage and front row (2005)
  • 7 fantasmes of a woman (2006)
  • Konkret Abstrakt Gesehen (2007)
  • Metamorphoses of a American (2008)
  • Trait par Trait (2008)
  • Abstract Architecture (2008)
  • You can leave your hat on (2008)
  • Modern Italian Architecture (2008)
  • Come Back of Aymeric Brias (2010)

Notes et références

Notes

  1. Le journal allemand Bild am Sonntag publia en 2003 des extraits de baptêmes du registre religieux de la ville de Hambourg, ainsi qu'un commentaire de son institutrice et de l'un de ses camarades qui confirment l'année 1933. Suite à une interview accordée à Ici Paris, Lagerfeld « révèle » qu'il est né en 1935 et que c'est sa mère qui à changé la date, mais qu'il ne sait pas pourquoi.
  2. La photo de 1954 marquant la remise de ce prix sera exploitée pour de la publicité durant les années 2010, entre autres dans la presse anglo-saxonne[11], par la marque Woolmark. Par ailleurs, le prix a été décerné à trois ex-æquo, puisque Colette Bracchi[12] est citée sur la photo : « […] Karl Lagerfeld, Yves Saint Laurent, and Colette Bracchi (pictured left to right) were all winners of the international Woolmark Award in 1954. »

Références

  1. Der große Karl wird doch schon 80, Welt am Sonntag, 7. Juli 2013
  2. « Journalistes et pseudo-biographes cavalent encore après votre date de naissance. Aidez-nous, 1933 ou 1938 ? Au milieu : 1935 » in Paris Match e 28 avril 2013 Interview Anne-Cécile Beaudoin et Elisabeth Lazaroo [1]
  3. Fashion-Forum
  4. Karl Lagerfeld - Biographie
  5. Quid 2006, éditions Robert Laffont.
  6. [audio] Karl Lagerfeld sur rtl.fr
  7. Jordan Grevet, « Karl Lagerfeld révèle son âge pour la première fois », News Stars, sur closermag.fr, Mondadori France, (consulté le ) : « Interrogé dans Paris Match, à qui il accorde cette semaine une longue interview, Karl Lagerfeld lève enfin le voile sur son année de naissance. Et il s'agit de… 1935. »
  8. Il a simplifié son nom, qui ne porte plus le « t » final de Lagerfeldt.
  9. Paul Sahner: Karl, mvg verlag, Munich, 2009 (p. 15) en ligne
  10. Karl Largerfel cité dans : Sabine Syfuss-Arnaud, « Heureux comme un Allemand en France », Challenges, no 351,‎ , p. 55 (ISSN 0751-4417)
    « Le 28 août 1952, je suis arrivé à la gare du Nord à Paris. […] J'étais venu passer deux ans au lycée, mon séjour s'est un rien prolongé. »
  11. (en) Woolmark Prize, « moving fashion forward (publicité) », Vogue,‎ , p. 666 à 667 (ISSN 0042-8000)
  12. « Lire / Beautiful people, d'Alicia Drake », sur lest-eclair.fr, L'Est-Éclair, (consulté le ) : « Au bout du groupe se tient Colette Bracchi,[…]. C'est elle qui disparaîtra des radars de la mode. »
  13. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Vogue2012
  14. a et b « It’s a Karl’s world » Elle.be, 5 novembre 2008.
  15. Thiébault Dromard, « Les Wertheimer aussi riches qu'invisibles », Challenges, no 397,‎ , p. 44 à 48 (ISSN 0751-4417)
  16. (en) Kristiano Ang, « Karl Lagerfeld Debuts Short Film in Singapore », sur wwd.com, WWD, (consulté le )
  17. a et b « Karl Lagerfeld », Mode, sur elle.fr, Elle, (consulté le )
  18. a et b (en) Vanessa Grigoriadis, « Karl Lagerfeld, Boy Prince of Fashion », sur nymag.com, New York Magazine, (consulté le )
  19. « Ces people fâchés avec le fisc. »
  20. « Strauss-Kahn, le rapport accablant », L'Express, 7 juin 2001.
  21. Vincent Noce, « Collection Lagerfeld: vente décousue. Le remarquable mobilier XVIIIe a pâti à Monaco d'une faible mise en scène », in liberation.fr, 2 mai 2000.
  22. Le snobisme d'H&M agace Karl Lagerfeld, L'Expansion, 17 novembre 2004.
  23. AFP, « Tommy Hilfiger rachète les marques de Karl Lagerfeld », sur lalibre.be, La Libre Belgique, (consulté le )
  24. « Rendez-vous dans les ateliers du brodeur Montex avant le défilé Chanel », sur FranceTV.fr,
  25. (en) Cathy Horyn, « Suzanne Belperron : Modern, Before the World Was », New York Times,
  26. Virginie Mouzat, « Karl Lagerfeld, designer AAA », sur madame.lefigaro.fr, Le Figaro Madame, (consulté le )
  27. Marine de la Horie, « Karl Lagerfeld enflamme la Toile », sur lepoint.fr, Le Point, (consulté le )
  28. Voir sur aufeminin.com.
  29. Karl Lagerfeld se remet au parfum, Challenges, 11 mars 2013
  30. « Karl Lagerfeld et les régimes alimentaires », INA sur dailymotion.com [vidéo] (15 min 9 s).
  31. Jean-Claude Houdret, Le Meilleur des régimes, comment j'ai perdu 43 kilos en 13 mois, Robert Laffont, , 207 p. (ISBN 2221098358).
  32. Timbre Saint-Valentin Chanel 0,50  [image]
  33. Timbre Saint-Valentin Chanel 0,75  [image]
  34. « Collaborations » MODEfix
  35. Voir sur marieclaire.fr.
  36. http://www.jeuxvideo.com/news/2008/00025276-la-radio-de-gta-iv-animee-par-karl-lagerfeld.htm
  37. http://www.gameblog.fr/news/4495-karl-lagerfeld-dans-gta-iv
  38. Publicité pour la Sécurité routière
  39. Karl Lagerfeld sur l'Isla Moda, 9 juillet 2008
  40. Clément Ghys, « Karl Lagerfeld, chanteur ? », Libération Next, 26 juin 2009 (page consultée le 22 décembre 2009).
  41. Challenges.fr.
  42. Karl Lagerfeld x Coca-Cola Light, 6 avril 2010
  43. Géraldine Dormoy « Karl Lagerfeld s'empare de Libé » L'Express Styles, 22 juin 2010
  44. Géraldine Dormoy « Karl Lagerfeld, logo vivant » L'Express Styles, 4 avril 2011
  45. Amandine Maziers « Karl Lagerfeld relance sa marque » Le Soir.be, 24 octobre 2011.
  46. Mathilde Laurelli « Karl Lagerfeld rédacteur en chef de Metro » L'Express Styles, 25 novembre 2011
  47. « AD numéro signé Karl Lagerfeld », AD / Architectural Digest, no 180,‎ (ISSN 0990-977X1[à vérifier : ISSN invalide])
  48. Moot-Moot - épisode 1 - "L'Enfer de la Mode"
  49. http://kicswila.over-blog.com/article-karl-lagerfeld-psy-bedu-61890894.html
  50. http://www.youtube.com/watch?v=qXGy0T6Mxkk
  51. Lien du clip de rap sur youtube http://www.youtube.com/watch?v=GQ1B2LLpkok
  52. http://www.champagne-ardenne.developpement-durable.gouv.fr/le-1er-octobre-c-est-jaune-c-est-a515.html Site du gouvernement
  53. Liz Braun, « Une histoire d'amour et de mode - Valentino: The Last Emperor », sur canoe.ca, (consulté le )
  54. http://www.allocine.fr/personne/fichepersonne_gen_cpersonne=38403.html

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes