Hervé Novelli

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Hervé Novelli
Illustration.
Hervé Novelli en 2009.
Fonctions
Maire de Richelieu

(12 ans, 2 mois et 2 jours)
Élection 9 mars 2008
Réélection 23 mars 2014
Prédécesseur Pierre Gravel
Successeur Étienne Martegoutte
Député français

(1 an, 6 mois et 5 jours)
Élection 17 juin 2007
Circonscription 4e d'Indre-et-Loire
Législature XIIIe (Cinquième République)
Groupe politique UMP
Prédécesseur Michel Lezeau
Successeur Laurent Baumel

(5 ans et 1 mois)
Élection 16 juin 2002
Circonscription 4e d'Indre-et-Loire
Législature XIIe (Cinquième République)
Groupe politique UMP
Prédécesseur Siège vacant
Successeur Michel Lezeau

(4 ans et 19 jours)
Élection 28 mars 1993
Circonscription 4e d'Indre-et-Loire
Législature Xe (Cinquième République)
Groupe politique UDFC
Prédécesseur Jean Proveux
Successeur Yves Dauge
Secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des PME, du Tourisme, des Services et de la Consommation

(2 ans, 7 mois et 26 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Premier ministre François Fillon
Gouvernement Fillon II
Prédécesseur Luc Chatel (Consommation)
Secrétaire d'État chargé des Entreprises et du Commerce extérieur

(9 mois)
Président Nicolas Sarkozy
Premier ministre François Fillon
Gouvernement Fillon II
Prédécesseur Christine Lagarde
Successeur Anne-Marie Idrac
Conseiller régional du Centre-Val de Loire

(5 ans, 4 mois et 23 jours)
Élection 21 mars 2010
Président François Bonneau
Successeur Claude Greff

(3 ans, 3 mois et 8 jours)
Élection 28 mars 2004
Successeur Guillaume Deroubaix
Député européen

(2 ans, 10 mois et 28 jours)
Élection 13 juin 1999
Successeur Jean-Pierre Bébéar
Conseiller général d'Indre-et-Loire

(7 ans et 2 mois)
Circonscription Canton de Richelieu
Prédécesseur Gabriel Cocquerie
Successeur Serge Garot
Biographie
Nom de naissance Hervé Alexandre Novelli
Date de naissance (75 ans)
Lieu de naissance Paris (Seine)
Nationalité Française
Parti politique Occident (1964-1968)
FN
PFN
CNIP
UDF
DL
UMP
LR
Diplômé de Micromécanique
Profession Dirigeant d'entreprises
Chargé de mission

Hervé Novelli, né le à Paris, est un homme politique français.

Diplômé de micromécanique et dirigeant de deux PME, Hervé Novelli milite d'abord à l'extrême droite (Occident, GUD, Front National, PFN), puis au CNIP, à l'UDF et à Démocratie libérale. Député de la 4e circonscription d'Indre-et-Loire de 1993 à 1997, il est député européen de 1999 à 2002.

Réélu à l'Assemblée nationale en 2002 sous l'étiquette UMP, il a été secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes entreprises, du Tourisme, des Services et de la Consommation dans le gouvernement François Fillon II. À ce poste, il a été à l'origine de la mise en place du statut d'auto-entrepreneur.

Il est membre d'honneur de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR), une association multiconfessionnelle qui œuvre à la préservation et au rayonnement du patrimoine culturel français.

Carrière professionnelle[modifier | modifier le code]

Après une scolarité au lycée Michelet de Vanves (Hauts-de-Seine), Hervé Novelli obtient une maîtrise d'économie à l'université Paris-Dauphine et un CAP de micromécanique[1]. Alors qu'il est encore étudiant à Dauphine, Claude Harmel lui confie la gestion de la bibliothèque de l'Institut supérieur du travail (IST), organisme de formation et d'études en relations sociales et syndicales[2].

De 1977 à 1986, Hervé Novelli est chargé de mission pour la Chambre syndicale de la sidérurgie française[2]. Il devient PDG en 1983 des établissements Janton, PME spécialisée dans le secteur paramédical, à la suite du décès de son père en 1982. Il en cède la direction en 1986, date où il rentre comme chef de cabinet du ministre de l'Industrie, des PTT et du Tourisme, Alain Madelin, lors de la première cohabitation, de 1986 à 1988[3].

En 1988, il devient vice-président Europe dans la banque d'affaire américaine Drexel Burnham Lambert, jusqu'à sa faillite en 1990[4].

Depuis , il est membre du conseil d'administration du Centre des professions financières[5], association loi de 1901 qui vise à réunir et promouvoir les professions financières et les associations de place correspondantes.

Il a créé Wiki PME en 2015 qui se présente comme la « première communauté numérique et solidaire » et dont le but est de représenter les entrepreneurs sur les réseaux sociaux[6].

Il est également président de l'API, Association des plateformes d'indépendants[7], organisation créée en 2019, à laquelle adhèrent Uber Eats ou Deliveroo.

Parcours politique[modifier | modifier le code]

Débuts[modifier | modifier le code]

Hervé Novelli commence par militer à l'extrême droite par « anticommunisme » et tradition familiale selon ses propres propos[1] : Fédération des étudiants nationalistes (1962-1964)[8], Occident (1964-1968). Avec certains membres de celui-ci, dont Alain Robert, il crée en Union Droit, qui deviendra le GUD[9], puis Ordre nouveau (1969-1973), le Front national (1973-1974, titulaire de la carte de membre no 2524[10],[11]) et enfin le Parti des forces nouvelles (1974-1981).

Au début des années 1980, avec d'autres cadres du PFN, il rejoint le Centre national des indépendants et paysans, puis l'Union pour la démocratie française (UDF)[12].

Après la défaite de la droite aux élections de 1988, Hervé Novelli et Alain Madelin fondent l'Institut Euro 92, qui a pour vocation de préparer l'entrée des entreprises françaises dans le Marché unique européen, et dont Hervé Novelli deviendra le secrétaire général.

Secrétaire général du Parti républicain en 1990, puis membre du bureau exécutif en 1993[13], il est chargé des relations avec les Assemblées territoriales et les élus.

Parlementaire[modifier | modifier le code]

Élu conseiller municipal de Richelieu en 1989, il remporte le scrutin législatif de 1993 dans la 4e circonscription d'Indre-et-Loire. Son mandat parlementaire est marqué par son action auprès des entreprises : il cofonde ainsi le groupe « Audace pour l'emploi », qui réunit 42 députés issus du milieu entrepreneurial. Auteur d'un rapport sur le développement économique local et l'emploi au sein des petites et moyennes entreprises, il est également rapporteur de la commission d'enquête sur les aides à l'emploi, et rapporteur de la mission d'information sur l'application de la loi quinquennale pour l'emploi. À la demande de Gérard Longuet, il coordonne par ailleurs, de 1993 à 1995, l'action des députés membres du Parti républicain.

Après la dissolution de 1997, il ne retrouve pas son siège de député à l'Assemblée nationale, battu par le socialiste Yves Dauge[1]. La même année, élu conseiller général d'Indre-et-Loire dans le canton de Richelieu, il prend part à la fondation de Démocratie libérale dont il devient délégué général[3]. Il occupe la vice-présidence du conseil général de 1998 à 2001[13].

En 1999, il est élu député européen sur la liste d'union RPR-DL, conduite par Nicolas Sarkozy. Deux ans plus tard, Hervé Novelli devient maire-adjoint de la commune de Richelieu, président du Syndicat mixte du pays du Chinonais et de la communauté de communes du Pays de Richelieu.

Soutien d'Alain Madelin lors de l'élection présidentielle de 2002, il retrouve son mandat de député le 16 juin 2002, en l'emportant avec 53,68 % des suffrages[14]. Durant la XIIe législature, membre du groupe UMP, Hervé Novelli est rapporteur spécial des crédits du budget de l'industrie et président de la commission spéciale chargée d'examiner le projet de loi d'initiative économique[3]. En 2003, il est à l'origine de la commission d’enquête sur les conséquences des 35 heures, dont il devient porte-parole, et qui préconise l'assouplissement de la règlementation liée à cette loi[3].

Aux élections régionales de 2004, la liste UMP à laquelle il appartient, conduite par Serge Vinçon, échoue à reconquérir la région Centre[15]. Hervé Novelli est néanmoins élu conseiller régional d'opposition. À l'arrivée de Nicolas Sarkozy à la présidence de l'UMP, le , Hervé Novelli est nommé secrétaire national chargé des fédérations en tandem avec Christian Estrosi, puis Roger Karoutchi. Le , il officialise à la maison de la Mutualité la création du premier courant de l'UMP, « Les Réformateurs », qui regroupe une centaine de députés libéraux[3].

Hervé Novelli est réélu député de la 4e circonscription d'Indre-et-Loire le 17 juin 2007, avec 52,56 % des voix[16]. Il abandonne son mandat à la suite de sa nomination au gouvernement en 2007, puis retrouve son siège le , un mois après son départ du gouvernement. Il est également à cette occasion devenu secrétaire général adjoint de l'UMP à condition, a-t-il déclaré, de ne pas être « un alibi libéral à l'UMP »[17].

Les militants UMP le désignent tête de liste de la majorité présidentielle en région Centre pour les élections régionales de 2010, avec 72,6 % des voix, contre Serge Lepeltier[18]. Alors que la droite place des espoirs dans cette région, la liste conduite par Hervé Novelli est nettement devancée au second tour, le , par celle du président du conseil régional sortant, François Bonneau, qui recueille 50,0 % des voix dans une triangulaire avec le Front national[19].

Hervé Novelli est battu dans la 4e circonscription d'Indre-et-Loire le 17 juin 2012 par le candidat socialiste Laurent Baumel, maire de Ballan-Miré qui obtient 53,39 % des voix[20]. il déclare mettre désormais fin à sa carrière politique parlementaire mais compte garder ses responsabilités au niveau local[21]. Il est cependant candidat dans la même circonscription aux élections législatives de 2017, où il est battu au second tour avec 41,74 % des voix contre 58,26 % pour Fabienne Colboc, candidate LREM[22]. Il est depuis président du Conseil supérieur de l'œnotourisme[23].

Secrétaire d'État[modifier | modifier le code]

Le , Hervé Novelli est nommé secrétaire d'État chargé des Entreprises et du Commerce extérieur dans le gouvernement François Fillon II. À la suite des élections municipales de mars 2008, qui voient son élection à la mairie de Richelieu[24], il devient secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes entreprises, du Tourisme et des Services (le portefeuille de la Consommation lui est ajouté le ). Il perd son poste lors du remaniement du , remplacé par Frédéric Lefebvre au sein du gouvernement Fillon.

En tant que ministre, Hervé Novelli fait voter la loi de modernisation de l'économie de 2008. Ce texte met notamment en place le statut d'auto-entrepreneur, destiné à faciliter le lancement et l'interruption d'une activité, entré en vigueur le . Le dispositif rencontre un certain succès en pleine crise économique, puisqu'adopté par plus de 145 000 personnes en seulement six mois mais pour un revenu moyen inférieur au RSA [25]. Au , l'INSEE comptabilise 320 019 demandes de création en auto-entrepreneur[26] et l'objectif d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires généré par le « statut Novelli » est atteint[27]. Sur le plan idéologique, ce statut permet, selon ses concepteurs, d'« exalter l'esprit d'entreprise ». Pour Hervé Novelli : « cela abolit, d'une certaine manière, la lutte des classes. Il n'y a plus d'exploiteurs et d'exploités. Seulement des entrepreneurs : Marx doit s'en retourner dans sa tombe »[28].

Hervé Novelli a également mis en place le statut d'EIRL (Entreprise individuelle à responsabilité limitée) qui permet notamment de protéger le patrimoine des artisans ou commerçants en cas de faillite.

Après le gouvernement[modifier | modifier le code]

Hervé Novelli, intervenant en 2019 comme président du Conseil supérieur de l'œnotourisme.

Hervé Novelli ne se représente pas aux élections municipales de 2020[29].

Détail des mandats et fonctions[modifier | modifier le code]

Au gouvernement[modifier | modifier le code]

  • -  : secrétaire d'État chargé des Entreprises et du Commerce extérieur, auprès de la ministre de l'Économie, des Finances et de l'Emploi
  • -  : secrétaire d'État chargé du Commerce, de l'Artisanat, des Petites et Moyennes entreprises, du Tourisme et des Services, auprès de la ministre de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi
  • -  : secrétaire d'État chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et Moyennes entreprises, du Tourisme, des Services et de la Consommation, auprès de la ministre de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi

Au Parlement[modifier | modifier le code]

Au niveau local[modifier | modifier le code]

Au sein de partis politiques[modifier | modifier le code]

  • Secrétaire général du Parti républicain (1990), puis membre du bureau exécutif (1993)
  • 1993 - 2002 : président de la fédération PR puis DL d'Indre-et-Loire
  • 1995 - 1996 : coordinateur des députés PR à l'Assemblée nationale
  • jusqu'en 1997 : vice-président du groupe UDF à l'Assemblée nationale
  • 1996 - 1999 : membre du bureau politique de l'UDF
  • 1997 - 1998 : délégué général de Démocratie libérale
  • 1998 - 2002 : membre du comité exécutif de DL, chargé de mission auprès du président, chargé des réseaux et des cercles professionnels
  • 2004 - 2007 : secrétaire national de l'UMP, chargé des fédérations et de l'animation
  • 2005 - 2007 : vice-président du groupe UMP à l'Assemblée nationale
  • 2009 - 2010 : conseiller politique à l'UMP
  • depuis 2011 : secrétaire général adjoint de l'UMP

Publications[modifier | modifier le code]

  • Aider les PME : défis et réalités, Paris, Les Éditions d'organisation, , 143 p. (ISBN 978-2-7081-1682-5)
  • Avec Arnaud Folch, L'auto-entrepreneur, des clés pour réussir : entretiens, Monaco-Paris, Le Rocher, , 155 p. (ISBN 978-2-268-06856-5)
  • Avec Louis Le Duff, Entreprendre et réussir : 3 guides pratiques : Créateur : Auto-entrepreneur : franchisé, Rennes, Éditions GLD, , 340 p. (ISBN 978-2-9531274-1-6)

Distinctions[modifier | modifier le code]

Décoration[modifier | modifier le code]

Récompense[modifier | modifier le code]

  • Prix Renaissance de l'économie 2017[31].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Hervé Novelli, secrétaire d'État aux PME et candidat virtuel… au conseil régional », Tribune de Tours, 26 novembre 2008.
  2. a et b « Novelli attaque France 3 pour avoir évoqué son passé politique », Rue89, 22 mars 2009.
  3. a b c d et e Biographie d'Hervé Novelli sur son site officiel
  4. (en) Sophie Coignard et Marie-Thérèse Guichard, French Connections: Networks of Influence, Algora Publishing, (ISBN 978-1-892941-16-9, lire en ligne)
  5. « Conseil d'Aministration », sur Centre des Professions Financières, .
  6. Marion Kindermans, « La plate-forme WikiPME d'Hervé Novelli lève 1,4 million d'euros », sur Les Echos, (consulté le ).
  7. « Une association unique des plateformes d’indépendants pour renforcer leur impact positif sur la société. », sur association des plateformes d'indépendants, .
  8. « Hervé Novelli, une veste de coutume », sur Libération.fr, (consulté le ).
  9. Philippe Ridet et Gérard Davet, « Quarante ans après, les anciens d'Occident revisitent leur passé », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  10. Fabrice Arfi, « Novelli et l'extrême droite : les documents qui accusent », sur mediapart.fr, .
  11. Mourad Guichard, « Quand Hervé Novelli militait au Front national », sur orleans.blogs.liberation.fr, .
  12. Hervé Novelli, une veste de coutume, Libération, 17 août 2012 (consulté le 1er août 2017
  13. a et b Sa biographie sur le site du Gouvernement
  14. Élections législatives de 2002 - résultats dans la 4e circonscription d'Indre-et-Loire sur le site du ministère de l'Intérieur
  15. Élections régionales de 2004 - résultats dans la région Centre sur le site du ministère de l'Intérieur
  16. Élections législatives de 2007 - résultats dans la 4e circonscription d'Indre-et-Loire sur le site du ministère de l'Intérieur
  17. Hervé Novelli : « Pour Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal est un vrai cadeau de Noël »
  18. « Hervé Novelli tient sa recette anticrise », Le Figaro, 27 mars 2009.
  19. Élections régionales de 2010 - résultats dans le Centre sur le site du ministère de l'Intérieur.
  20. Élections législatives de 2012 - résultats dans la 4e circonscription d'Indre-et-Loire sur le site du ministère de l'Intérieur
  21. Anne-Laëtitia Béraud, « Quel avenir pour les ténors UMP battus? », 20 minutes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections législatives 2017 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  23. Judith Waintraub, « Le vrai pouvoir des lobbys », Le Figaro Magazine, semaine du 16 novembre 2018, p. 46-54.
  24. « Les ministres candidats s'en sortent bien », Le Point, 10 mars 2008.
  25. « Auto-entrepreneur, un statut qui séduit », Le Monde, 14 mai 2009 ; « Hervé Novelli : "Le cap des 500 000 entreprises nouvellement créées sera atteint à la fin de l’année" », entretien avec Jean-Pierre Thiollet, France-Soir, 6 juillet 2009, http://www.herve-novelli.com/2006_article.php3?id_article=1348
  26. « Révision à la hausse du niveau d'activité enregistré par les auto-entrepreneurs qui se sont déclarés au cours du 1er semestre 2009 », edubourse.com, 26 janvier 2010.
  27. « La création d'entreprise a le vent en poupe en France », Le Nouvel Observateur, 21 janvier 2010.
  28. « Microentreprise, une machine à fabriquer des pauvres », Le Monde diplomatique,‎ (lire en ligne, consulté le )
  29. « Richelieu : Hervé Novelli passe la main et intronise son adjoint Etienne Martegoutte », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  30. https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043788354
  31. « Cercle Renaissance économie », sur cerclerenaissance.info.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]