Saint-Laurent-de-Céris

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Saint-Laurent-de-Céris
Saint-Laurent-de-Céris
La mairie de Saint-Laurent-de-Céris.
Blason de Saint-Laurent-de-Céris
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Manuel Desvergne
2020-2026
Code postal 16450
Code commune 16329
Démographie
Gentilé Saint-Laurentais
Population
municipale
745 hab. (2021 en diminution de 4,36 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 56′ 32″ nord, 0° 28′ 54″ est
Altitude Min. 128 m
Max. 208 m
Superficie 29,89 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Laurent-de-Céris
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Saint-Laurent-de-Céris
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Saint-Laurent-de-Céris

Saint-Laurent-de-Céris (Sent Laurenç en marchois, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Saint-Laurentais et les Saint-Laurentaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Saint-Laurent-de-Céris est une commune du Nord-Est de la Charente, située à 5 km au nord de Saint-Claud et 41 km au nord-est d'Angoulême. Elle est la plus septentrionale du canton de Saint-Claud.

Le bourg de Saint-Laurent, construit au-dessus du vallon de la Sonnette, est aussi à 8 km au sud-est de Champagne-Mouton, 9 km au nord-ouest de Roumazières-Loubert et 17 km au sud-ouest de Confolens[2].

La D 951, route de Chasseneuil à Bellac et maillon de la route Centre-Europe Atlantique Angoulême-Montluçon par Confolens, traverse le sud-est de la commune et passe à 3,5 km du bourg. La D 15, départementale secondaire de Confolens à Cognac par Saint-Angeau, traverse la commune et le bourg d'est en ouest[3].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

De nombreux hameaux sont disséminés, principalement dans la partie sud de la commune. Parmi les principaux, on trouve : le Mas Rodier, au-dessus de la Sonnette ; le Mas Broussard, près du bourg, sur la route du Grand-Madieu ; la Mardelie, Vilaine et Chez-Rioux, dans le sud-ouest de la commune ; la Prévôtie et le Temple, près de la route d'Ambernac ; Lascoux, Anglade, la Jarnaud, dans l'extrême nord ; Loubignac, près de la route de Confolens ; le Coudert ; la Jaude, sur la route de Saint-Claud ; Peupry ; les Fregnaudies, près de la source de la Sonnette, etc. Le territoire contient aussi de nombreuses fermes et lieux-dits[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme toute la moitié nord du département de la Charente. Plus particulièrement, le Bajocien (Dogger) occupe une partie centrale de la commune et est visible à l'ouest de la commune. On trouve aussi le Jurassique inférieur (ou Lias) à l'extrémité sud-ouest. D'importants épandages d'altérites et dépôts du Tertiaire en provenance du Massif central sous forme d'argile à silex et d'argile marbrée couvrent le plateau sur le restant du territoire communal[4],[5],[6].

Tout le nord de la commune occupe un vaste plateau boisé d'une altitude moyenne de 190 m, compris entre la vallée de la Charente à l'est, et celle de l'Argent, au nord-ouest. La vallée de la Sonnette et ses petits affluents creusent ce plateau.

Le point culminant de la commune est à une altitude de 208 m, situé non loin de la limite sud près de la Chaume. Le point le plus bas est à 128 m, situé le long de la Sonnette sur la limite ouest. Le bourg, sur le flanc nord de la vallée de la Sonnette, est à 155 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Laurent-de-Céris.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Charente, l'Argent-Or, la Sonnette, le ruisseau de Flagnat, le ruisseau de la Combe, le ruisseau du Maslandrie et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 22 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La Charente entre Roumazières et Alloue forme la limite orientale de la commune.

Le sud de la commune, arrosé par la Sonnette et par plusieurs petits affluents de ce cours d'eau est la partie de la commune dans laquelle se trouvent la plupart des agglomérations. La Sonnette, sous-affluent de la Charente par le Son-Sonnette, prend sa source dans la commune au sud-est et passe au pied du bourg, où elle reçoit un petit affluent prenant sa source au nord.

Le ruisseau de la Combe est un petit affluent de la Sonnette qui limite la commune au sud.

L'Argent, autre sous-affluent de la Charente par l'Argentor et qui passe à Champagne-Mouton, arrose la limite nord-ouest de la commune.

La Charente reçoit aussi sur sa rive gauche le ruisseau des Mazes, court ruisseau intermittent près de la Font du Mas, et un autre plus au nord au pied de la Jarnaud.

On trouve aussi plusieurs fontaines, comme la fontaine du Chêne en limite nord, la fontaine Frétannière et la fontaine Barlière en aval du bourg, la fontaine du Verger en limite sud donnant naissance au ruisseau de la Combe. Il y a aussi de nombreuses petites retenues d'eau grâce au sol argileux[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé car la commune se situe aux abords de la Charente limousine.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Laurent-de-Céris est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,1 %), forêts (22,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), terres arables (6,6 %), zones urbanisées (2,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Laurent-de-Céris est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Laurent-de-Céris.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 490 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 490 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

La commune est en outre située en aval du barrage de Mas Chaban, un ouvrage de classe A[Note 2]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Sanctus Laurentius de Cereso, Sanctus Laurencius de Serezo au XIVe siècle[24].

La paroisse de Saint-Laurent s'appelait aussi Saint-Laurent La Chaux avant le XIIIe siècle, par suite des nombreux fours à chaux construits sur son territoire[25].

Saint Laurent (Laurentius) était un martyr chrétien du IIIe siècle, mort à Rome[26]. Le nom de Saint-Laurent-de-Céris lui a été donné au XIIIe siècle parce que l'épouse d'un seigneur de Saint-Laurent (Boson de Céris), aurait voulu que le nom de leur famille soit donné à la localité[25],[27].

En 1793, la commune a été créée Saint-Laurent, puis s'est appelée Saint-Laurent-de-Céris en 1801[28].

Dialecte[modifier | modifier le code]

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte local est marchois (idiome d'influence mixte d'oc et d'oïl)[29],[30]. Elle se nomme Sent Laurenç en occitan[31].

Histoire[modifier | modifier le code]

La voie ancienne supposée romaine d'Angoulême à Argenton par Ambernac et Confolens traverserait la commune au Mas Broussard, près du bourg[32]. Un autre chemin antique est-ouest, mais peut-être médiéval, a été reconnu aux Frégnaudies[33].

Près du bourg de Saint-Laurent, on peut voir les restes d'un ancien château qui a été autrefois le siège d'une seigneurie[25].

En 1280, Boson de Céris, chevalier, était seigneur de Menet (à Montbron) et de Saint-Laurent La Chaux. La légende veut que la comtesse de Céris, l'épouse du comte de Saint-Laurent, fit un vœu à la fontaine du Lait (alias du Coudert) : si elle était mère dans l'année, elle donnerait son nom à la commune et ferait édifier une chapelle, ce qui fut exaucé. En 1308, ou 1364 selon une autre source[34], leur fille Marguerite épousa Arnaud de La Faye, et lui apporta en dot la terre de Menet[27].

La seigneurie de Saint-Laurent appartenait en propre à la maison de La Rochefoucauld dès la fin du XIIIe siècle (1297). D'abord incorporée, au XVIe siècle, à la baronnie de La Rochefoucauld, elle entre plus tard dans la mouvance du château de Champagne-Mouton.

Dans les premières années du XVIIe siècle, le fief de Saint-Laurent-de-Céris était possédé par François Pastoureau, conseiller du roi au parlement de Paris, seigneur de Chassiecq, Vieux-Cérier, etc. Plus tard, vers l'année 1664, il passe entre les mains de la famille de Rocquart. Enfin, vers le milieu du XVIIIe siècle, le mariage de Marie-Françoise de Rocquart avec Joachim Regnauld, chevalier, fait passer la terre aux mains de la famille Regnauld, l'une des plus anciennes du pays.

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la ligne de Ruffec à Roumazières et la gare de Saint-Laurent - Grand-Madieu était sur son territoire, à 1,5 km du bourg.

Au début de ce même siècle, l'industrie était représentée par des fours à chaux et une importante filature de laine, les établissements Rensonnet et Cie, qui datent de la seconde moitié du XIXe siècle[25]. L'usine de pantoufles Rondinaud a pris sa suite, mais elle a cessé son activité vers 1985[35].

Au début du XXe siècle, des foires se tenaient le 14 de chaque mois[25].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Pierre Vergnaud    
2001 2014 Yves Gendry SE Retraité
2020 En cours Manuel Desvergnes   Exploitant forestier

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

En 2021, la commune comptait 745 habitants[Note 3], en diminution de 4,36 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 0599421 0181 0551 1831 2991 3501 4251 380
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 3051 2631 2751 3151 4171 4441 3941 3271 242
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 3111 2171 1141 1191 1571 1041 0711 1101 040
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
1 001883802741746750788775745
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 369 hommes pour 411 femmes, soit un taux de 52,69 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,5 
8,7 
75-89 ans
13,6 
21,2 
60-74 ans
22,4 
23,7 
45-59 ans
20,7 
15,6 
30-44 ans
16,2 
10,7 
15-29 ans
12,3 
19,3 
0-14 ans
13,3 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Industrie[modifier | modifier le code]

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Saint-Laurent possède une école primaire publique comprenant quatre classes (une de maternelle et trois d'élémentaire). Le secteur du collège est Champagne-Mouton[41].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Laurent.
  • L'église Saint-Laurent, de la seconde moitié du XIIe siècle, a été presque entièrement rebâtie de 1861 à 1896[42].
  • Monument du maquis de Lafond à la grange d'Andourchapt. Érigé en mémoire de 33 patriotes faits prisonniers le et fusillés à la Butte de Biard près de Poitiers le [43].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Gardner McKay (1932-2001), acteur américain. Enfant, il a passé avec son frère ses vacances au village chez la famille Mathias demeurant au mas Broussard. Alors qu'il était la vedette de la série Aventures dans les îles, il y revient en 1963 pour leur rendre visite.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Laurent-de-Céris Blason
D'azur à la croix alaisée d'argent[44].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[22].
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Laurent-de-Céris » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Saint-Laurent-de-Céris », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Laurent-de-Céris », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Laurent-de-Céris », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  22. Article R214-112 du code de l’environnement
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  24. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 142,282
  25. a b c d et e Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 337
  26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 610.
  27. a et b Jean-Marie Ouvrard, « Blasons de Charente, famille de Céris », (consulté le ).
  28. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. (Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne)
  30. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  31. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  32. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 165
  33. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 196
  34. Société du Berry, Compte rendu des travaux de la Société du Berry à Paris, Siège de la Société, , 287 p. (lire en ligne), p. 214
  35. « Ancienne usine Rondinaud », notice no IA00066380, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Laurent-de-Céris (16329) », (consulté le ).
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  41. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  42. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p.
  43. Les plaques commémoratives - Sources de mémoire
  44. « De Céris »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur jm.ouvrard.pagesperso-orange.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]