Chirac (Charente)

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Chirac
Chirac (Charente)
L'église de Chirac en arrivant d'Exideuil.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Virginie Lebraud
2020-2026
Code postal 16150
Code commune 16100
Démographie
Gentilé Chiracois
Population
municipale
775 hab. (2021 en augmentation de 3,75 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 54′ 53″ nord, 0° 39′ 21″ est
Altitude Min. 133 m
Max. 263 m
Superficie 34,33 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Vienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Chirac
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Chirac
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Chirac
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Chirac
Liens
Site web www.mairie-chirac.com

Chirac (Chirac en dialecte limousin de l’occitan) est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Chiracois et les Chiracoises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Chirac est une commune de la Charente limousine située à 6,5 km au nord-ouest de Chabanais, le chef-lieu de son canton.

Le bourg de Chirac est aussi à 11 km au sud de Confolens, la sous-préfecture, 7 km de Roumazières-Loubert[Note 1] et de Saint-Maurice-des-Lions, 49 km d'Angoulême[2].

Située à l'intérieur d'une grande boucle de la Vienne, Chirac est à l'écart des grandes routes. Le pont de Manot au nord et d'Exideuil au sud traversent la rivière. La commune est desservie par la D 59 qui va au sud-est à Chabanais et au nord à Confolens en longeant la Vienne sur sa rive droite et passe au bourg. La D 165 passe aussi au bourg et va d'Exideuil à Chabrac[3].

La gare la plus proche est celle d'Exideuil, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune assez étendue comporte de nombreux hameaux. Du nord au sud, on peut citer Flayat, les Barussies, la Pécoulie, l'Age (à l'ouest du bourg, dominant la vallée de la Vienne), la Martine et Pré Cadillac près du bourg, à l'est : le Bourdeau, la Grelière, la Guéranchie, l'Aumônerie, Tisseuil, la Sechère, le Theil, la Salmonie, et au sud Peyras, Foulounoux, le Courtieux. La commune compte aussi des lieux-dits et fermes. Elle arrive aussi jusqu'aux faubourgs de Chabanais (quartier du Mas et des Rivauds)[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Soubassement de maison en granite rose, dans le village.

Comme toute cette partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune de se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.

Le granite occupe la quasi-totalité de la commune de Chirac. Dans le nord (entre Fromenteau et Flayat) on trouve de la diorite[4],[5],[6].

La commune occupe un vaste plateau ondulé entaillé par la vallée de la Vienne au sud et à l'ouest. Le territoire culmine à 263 m (borne IGN, au sud de la Grelière). Le point le plus bas, 133 m, est situé le long de la Vienne à la sortie de la commune en face du bourg de Manot. Le bourg de Chirac, situé dans un vallon, est à environ 175 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Chirac.

La commune est située dans la région hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie du Bassin de la Loire, au sein du Bassin Loire-Bretagne[7]. Elle est drainée par la Vienne, le Chambon l'Etang Bouchaud et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 33 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La commune est sur la rive droite de la Vienne, où celle-ci venant de l'est infléchit son cours vers le nord. D'une longueur totale de 363,3 km, ce cours d'eau prend sa source en Corrèze, sur le plateau de Millevaches, dans la commune de Volx et se jette dans la Loire dans la Corrèze, à Saint-Setiers, après avoir traversé 99 communes[9]. De petits ruisseaux affluents parcourent la commune, comme celui de Flayat au nord, celui du bourg qui passe aussi au pied de l'Age, ou le ruisseau du Grand Pré en limite orientale qui se dirige vers le Goire[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vienne ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin du bassin de la Vienne, d'une superficie de 7 060 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Vienne[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Loire-Bretagne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chirac est une commune rurale[Note 2],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (55,7 %), zones agricoles hétérogènes (17,4 %), forêts (15,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,8 %), terres arables (4,1 %), zones urbanisées (1,9 %), eaux continentales[Note 3] (1,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Chirac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1995 et 1999[20],[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chirac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 9,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 483 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 43 sont en aléa moyen ou fort, soit 9 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].

La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade et Vassivière, des ouvrages de classes A[Note 4]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[25].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Chirac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Cariaco, Chiraco (non datés)[27].

L'origine du nom de Chirac remonterait à un personnage gallo-romain Carius dérivé de Carus (caro- terme gaulois[Note 5]) auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine de Carius »[28],[29].

Langues[modifier | modifier le code]

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[30]. Elle conserve la graphie Chirac de l’occitan[31].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, la forêt du Chambon dépendait de la terre du même nom, située dans la paroisse voisine de Saint-Maurice, elle-même dépendant de la commanderie du Grand-Madieu.

Le domaine de l'Age (autrefois orthographié de Laage), dont le château remonte avant le XVIe siècle, a été le berceau de la famille de Laage de Chirac, puis a longtemps appartenu à la famille de La Boissière. Au XIXe siècle, le comte de la Boissière y construit des forges qui ont produit jusqu'à 400 t de fonte par an[32], et qui ont dû cesser leur activité vers 1860. Le baron de Freycinet, propriétaire au début du XXe siècle, est un descendant de cette famille, dont un représentant, le général comte de Laboissière, avait fait les campagnes napoléoniennes[33].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
octobre 1947 mars 1965 René Saint-Clair PCF Conseiller général du Canton de Chabanais (1945-1951)
mars 1965 ?     Retraité
juin 1995 mars 2001 Bernard Germaneau PCF  
mars 2001 mars 2014 Jean Saint-Clair PCF Retraité Éducation nationale
mars 2014 mai 2020
(décès)
Christian Massias[34] PCF Retraité de la SNCF
2020 En cours Virginie Lebraud PP Professeure
Conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine (depuis 2021)

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

En 2021, la commune comptait 775 habitants[Note 6], en augmentation de 3,75 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
9651 2091 0611 1541 0421 2201 3271 4331 394
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 2051 2621 1571 1791 2111 2381 2501 1811 141
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 1331 023943899841803708706691
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
697692730767732701696739747
2020 2021 - - - - - - -
775775-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, Chirac comptait 706 habitants (soit une diminution de -3,7 % par rapport à 1999). La commune occupait le 12 652e rang au niveau national, alors qu'elle était au 11 275e en 1999, et le 106e au niveau départemental sur 404 communes.

Le maximum de la population a été atteint en 1851 avec 1 433 habitants.

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 384 hommes pour 375 femmes, soit un taux de 50,59 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
6,4 
75-89 ans
8,9 
25,3 
60-74 ans
26,1 
21,7 
45-59 ans
21,1 
17,6 
30-44 ans
17,8 
11,2 
15-29 ans
11,0 
17,3 
0-14 ans
13,8 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Le chirac.

Le chirac, un fromage de chèvre au lait cru, est fabriqué à Chirac.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Chirac possède une école élémentaire, le Pré Cadillac, comprenant deux classes. Le secteur du collège est Chabanais[41].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église vue de la rue de Chabanais.
  • L'église paroissiale Saint-Pierre. Un retable en bois sculpté datant du XVIIe siècle montre la délivrance de Saint-Pierre; il est classé monument historique au titre objet depuis 1941[42].
  • La chapelle du cimetière date du XIVe siècle et contient de belles peintures murales. Elle est classée monument historique depuis 1977[43].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Le château de l'Âge date du XVIe siècle avec deux tours rondes supposées du XVe siècle. Il a été agrandi et restauré au XVIIIe siècle; ses douves ont été comblées et remplacées par une terrasse. Les restes du vieux donjon, situés près du château, semblent plus anciens encore. Le château est entouré d'un parc[32],[33]. L'un de ses propriétaires a été le général comte de la Boissière qui s'illustra sous le Premier Empire, puis son fils Jean-Frédéric qui y installa des forges. Le baron de Freycinet, propriétaire actuel, est un descendant[44].
  • Le pont sur la Vienne, au pied de Manot.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Par la route, Roumazières est à 12 km.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
  5. Voir aussi Charmant#Toponymie.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Chirac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Carte et liste des communes du Bassin Loire-Bretagne », sur agence.eau-loire-bretagne.frr, (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Chirac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. Sandre, « la Vienne »
  10. « SAGE Vienne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Loire-Bretagne 2022-2027 », sur sdage-sage.eau-loire-bretagne.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Chirac », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chirac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  24. Article R214-112 du code de l’environnement
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  27. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 19
  28. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 131.
  30. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  31. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  32. a et b « Château de l'Âge », notice no IA00066187, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  33. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 129
  34. « Charente Libre : l'actualité de la Charente en direct », sur CharenteLibre.fr (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chirac (16100) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  41. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  42. « Retable de Saint-Pierre », notice no PM16000126, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  43. « Chapelle du cimetière », notice no PA00104304, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  44. Robert Dexant, Châteaux de Charente, Paris, Nouvelles Éditions latines, , 30 p., p. 3

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]