Le Grand-Madieu

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Le Grand-Madieu
Le Grand-Madieu
Le Grand-Madieu vu de l'Orme.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Jean-Claude Mesnier
2020-2026
Code postal 16450
Code commune 16157
Démographie
Gentilé Madieusains
Population
municipale
156 hab. (2021 en diminution de 9,3 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 56′ 27″ nord, 0° 26′ 44″ est
Altitude Min. 124 m
Max. 191 m
Superficie 8,40 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Le Grand-Madieu
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Le Grand-Madieu

Le Grand-Madieu (Lo Grand Mas Diu en marchois, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés depuis peu les Madieusains et les Madieusaines[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Le Grand-Madieu est une commune du nord-est de la Charente située à 5 km au nord de Saint-Claud, le chef-lieu de son canton, et 39 km au nord-est d'Angoulême.

Elle est aussi à 6 km au sud de Champagne-Mouton, 12 km de Roumazières-Loubert, 13 km de Chasseneuil, 19 km de Confolens sa sous-préfecture, 22 km de Mansle et de Ruffec[2].

Les routes principales desservant la commune et se croisant au bourg sont la D 28, route nord-sud de Saint-Claud à Champagne-Mouton, et la D 15, route de Valence aux Trois-Chênes (sur la D.951 en direction de Confolens), d'est en ouest. La D 951, route d'Angoulême à Confolens et Bellac et route Centre-Europe Atlantique, passe à 5 km au sud-est de la commune[3].

La gare la plus proche est celle de Roumazières-Loubert, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Le bourg du Grand-Madieu renferme la majorité de la population de la commune.

Quelques hameaux : les Mandinaux, sur la route de Saint-Laurent-de-Céris ; la Vergne, Panissaud, dans le sud de la commune ; Chez Vallet et Chez Peyrat, dans l'ouest, etc.[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes du Grand-Madieu
Le Vieux-Cérier
Turgon du Grand-Madieu Saint-Laurent-de-Céris
Parzac Saint-Claud

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme toute la moitié nord du département de la Charente. Plus particulièrement, le Bajocien (Dogger) occupe la partie sud de la commune. On trouve aussi le Jurassique inférieur (ou Lias), qui commence à l'extrémité sud-est. D'importants épandages d'altérites et dépôts du Tertiaire en provenance du Massif central sous forme d'argile à silex et d'argile marbrée couvrent le plateau sur une grande partie du territoire communal[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'un plateau assez élevé légèrement incliné vers le sud, d'une altitude moyenne de 160 m. Le point culminant est à une altitude de 191 m, situé au sud-est près de Panissaud. Le point le plus bas est à 124 m, situé en limite sud de la commune au bord de la Sonnette non loin du viaduc. Le bourg est à 173 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier du Grand-Madieu.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Sonnette et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 2 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La commune est entièrement comprise dans le plateau qui sépare les bassins du Son-Sonnette et de l'Argentor, affluents de la Charente. La Sonnette lui sert de limite méridionale et la sépare de la commune de Saint-Claud[9].

Un ruisseau intermittent, affluent de la Sonnette passant à Parzac, fait la limite nord-ouest et traverse un étang. On trouve aussi quelques fontaines : près du bourg à la Fontaine et au sud, la fontaine Moutard, qui crée un minuscule affluent de la Sonnette[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé car la commune se situe aux abords de la Charente limousine.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Grand-Madieu est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,6 %), forêts (27,2 %), terres arables (24,6 %), zones urbanisées (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune du Grand-Madieu est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Grand-Madieu.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[20]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 113 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 113 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Une forme ancienne est Mansus Dei (sans date), le mas Dieu, signifiant « la maison de Dieu ». Mas vient du latin mansus, signifiant au Moyen Âge « exploitation rurale »[23], passée en occitan « habitation rurale »[24]. Le Grand-Madieu était le siège d'une importante commanderie templière[25].

Langues[modifier | modifier le code]

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est marchois[26]. Elle se nomme Lo Grand Mas Diu en occitan[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au cours du Moyen Âge, Le Grand-Madieu se trouvait, avec Cellefrouin, sur un itinéraire secondaire est-ouest fréquenté par les pèlerins qui allaient au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle et aux reliques de saint Eutrope à Saintes[28].

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la voie ferrée de Ruffec à Roumazières. La gare était située entre le bourg et Saint-Laurent-de-Céris[29].

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Le Grand-Madieu constituait avec le Petit-Madieu, dans la commune de Roumazières-Loubert, et le Chambon, dans la commune de Saint-Maurice-des-Lions, une importante commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, d'origine templière, qui dès le XVIe siècle avait le titre de châtellenie. Au XVIe siècle, le commandeur du Grand-Madieu nommait un sénéchal et un procureur fiscal pour l'exercice de sa justice[30].

De l'ancienne commanderie, il reste l'église Saint-Jean Baptiste. L'ancien logis, au nord-est de l'église, est en ruines. L'église paroissiale Saint-Jean Baptiste, bâtie à la fin du XIIe siècle, était l'ancienne église de la commanderie. Elle a été inscrite aux monuments historiques le [31].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Le Grand Madieu en 1793, puis Masdieu-le-Grand en 1801 la commune est redevenue Le Grand-Madieu.

La mairie, au bourg.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1987 2001 Raymond Duprat    
2001 2008 Michel Noble SE vice-président de la Communauté de Communes
2008 2015 (décès[32]) Jean-Pierre Mathias SE  
nov. 2015 En cours Jean-Claude Mesnier
Réélu pour le mandat 2020-2026 [33]
   

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2021, la commune comptait 156 habitants[Note 2], en diminution de 9,3 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
420420427452432442462461450
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
421426383359390384373406403
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
406364286279254245208250250
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
205208188170149169174156172
2020 2021 - - - - - - -
156156-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 15,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 47,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 92 hommes pour 76 femmes, soit un taux de 54,76 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
4,2 
14,1 
75-89 ans
11,3 
28,2 
60-74 ans
38,0 
18,8 
45-59 ans
26,8 
16,5 
30-44 ans
12,7 
8,2 
15-29 ans
1,4 
14,1 
0-14 ans
5,6 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques[modifier | modifier le code]

La commune qui a perdu entre 1850 et 1950 plus de 65 % de sa population a maintenant réussi à se stabiliser vers 170 habitants.

Économie[modifier | modifier le code]

C'est une commune agricole qui compte quelques artisans, un garagiste, un maçon et un coiffeur.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Tous les équipements et services se trouvent à Saint-Claud.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église et le monument aux morts.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Le viaduc ferroviaire, dit viaduc de la Sonnette n'a plus vu passer de trains depuis les années 1950. Ouvrage construit entre 1902 et 1905 sur l’ancienne ligne SNCF reliant Ruffec à Roumazières sur les communes du Grand-Madieu et de Saint-Claud où il enjambe la vallée de la Sonnette : sa portée est de 195,50 m et sa hauteur est de 26,30 m ; il possède 10 piles et 11 arcades. Il est inscrit monument historique depuis le [40].
  • Le Grand-Madieu a sous ses pieds un vaste réseau de souterrains qui datent de la guerre de Cent Ans.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique du Grand-Madieu » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale du Grand-Madieu », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. Sandre, « la Sonnette »
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune du Grand-Madieu », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Grand-Madieu », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 439.
  24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne), p. 1523.
  25. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  26. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  27. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  28. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
  29. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 193
  30. M. A. Rempnoulx-Duvignaud, « Notes sur la baronnie de Champagne-Mouton en Poitou (Charente) : Fiefs mouvants du château de Champagne », Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente,‎ , p. 72-73, lire en ligne sur Gallica
  31. « L'église paroissiale », notice no PA00104381, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. Le Grand-Madieu: décès du maire Jean-Pierre Mathias sur charentelibre.fr (consulté le 24 septembre).
  33. https://reader.cafeyn.co/fr/1980733/21598706
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Grand-Madieu (16157) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  40. « Viaduc », notice no PA16000031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]