Vitrac-Saint-Vincent

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Vitrac-Saint-Vincent
Vitrac-Saint-Vincent
Le bourg de Vitrac-Saint-Vincent vu de l'est.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Pierre Soulat
2020-2026
Code postal 16310
Code commune 16416
Démographie
Population
municipale
494 hab. (2021 en diminution de 4,26 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 47′ 48″ nord, 0° 29′ 40″ est
Altitude Min. 116 m
Max. 254 m
Superficie 22,07 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Vitrac-Saint-Vincent

Vitrac-Saint-Vincent est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Vitrac-Saint-Vincent est située à l'est de la Charente, aux portes de la Charente limousine, entre Chasseneuil et Montembœuf, 31 km au nord-est d'Angoulême.

Le bourg de Vitrac est à 5 km au sud-est de Chasseneuil, 5 km au nord-ouest de Montembœuf, chef-lieu de son canton, 10 km à l'est de La Rochefoucauld, 12 km au sud-ouest de Roumazières-Loubert, et 28 km au sud de Confolens[1].

À l'écart des grands axes de circulation, la commune est desservie par la D.60 qui va de La Rochefoucauld à Suaux et Saint-Claud et qui passe au bourg ; la D 27 de Montembœuf à Chasseneuil (qui va jusqu'à Villefagnan) passe au nord du bourg sur la crête, et la D 173 de Mazerolles à Chasseneuil qui lui est parallèle passe sur la crête au sud. La route nationale 141 entre Angoulême et Limoges, maillon occidental de la Route Centre-Europe Atlantique, passe 5 km au nord-ouest de la commune et contourne Chasseneuil par le sud.

La gare la plus proche est celle de Chasseneuil, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Le village de Saint-Vincent est situé à 2 km au nord-ouest de celui de Vitrac, en direction de Chasseneuil.

La commune compte quelques gros hameaux :

  • Villebœuf au sud-ouest, sur la D 60 ;
  • Chez Galardou au nord du bourg sur la D 27 ;
  • Margnac au nord-est sur la D 60.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Vitrac-Saint-Vincent
Suaux
Chasseneuil Vitrac-Saint-Vincent Cherves-Châtelars
Saint-Adjutory Montembœuf

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'ensemble de la commune est sur un plateau fortement incliné vers le nord-ouest, en appui sur le massif de l'Arbre au sud-est, premier mont du Massif central en venant de l'océan.

Ce plateau est entrecoupé par de profonds vallons que forment des ruisseaux parallèles descendant du massif, et le bourg est niché dans une de ces vallées, qui s'évasent en allant vers le nord-ouest car les plateaux y sont plus bas.

Le sol est calcaire du jurassique inférieur, mais recouvert par un sol détritique d'argile rouge à silex datant du tertiaire et descendant du Massif central. Seule l'extrémité Est de la commune, en fond de vallée de Puyravaud, est occupée par du micaschiste, roche métamorphique du massif primaire qui commence à cet endroit et marquant la fin du Bassin aquitain[2],[3],[4].

La grotte du Cluzeau, au sud-est du bourg, est une grotte calcaire.

Le point culminant de la commune, d'altitude 254 m, est donc naturellement au sud-est au lieu-dit le Breuil. Le point le plus bas, 116 m, est sur la Bonnieure, au pied de Chez Fauquet au nord de la commune.

Le fond du bourg de Vitrac est à l'altitude de 154 m, et le haut du bourg (Chez Galardeau ou la Grange) est à l'altitude de 180 m.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[5]. Elle est drainée par la Bonnieure, le Rivaillon, la Gane, la Retéssière, le ruisseau des Pennes et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[6],[Carte 1].

La commune est traversée du sud-est vers le nord-ouest par des ruisseaux parallèles qui descendent du Massif de l'Arbre et des communes de Montembœuf et Mazerolles, et qui se jettent tous dans la Bonnieure, affluent de la Charente, dans la commune de Chasseneuil à 1 km à peine après leur sortie de la commune.

Le Rivaillon prend sa source près de Montembœuf, et passe au bourg de Vitrac et aussi à Saint-Vincent.

Le ruisseau du Maine Goidou (ou la Gane), parallèle et à peine plus au sud, naît quasiment dans la commune, en limite de celle de Saint-Adjutory.

La Retessière, ruisseau plus petit prenant sa source à la fontaine de la Broue, fait la limite sud-ouest de la commune.

La Bonnieure en amont de Chasseneuil marque la limite nord de la commune.

Il faut compter aussi de nombreuses fontaines et retenues d'eau facilitées par la terre argileuse.

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[7]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [8].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé de par le relief surtout à l'est de la commune.

Végétation[modifier | modifier le code]

La commune est assez boisée, principalement à l'est. Le reste se partage surtout en riches prairies propices à l'élevage. L'ouest de la commune comporte plus de terres agricoles (céréales, fourrage).

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vitrac-Saint-Vincent est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,8 %), forêts (24,6 %), prairies (19,3 %), terres arables (15,7 %), zones urbanisées (1,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Vitrac-Saint-Vincent est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vitrac-Saint-Vincent.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain[17].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 322 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 322 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Vitrac est attesté sous la forme ancienne Vitraco en 1389[21].

L'origine du nom de Vitrac remonterait à un nom de personne gallo-romain Victorius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Victoriacum, « domaine de Victorius »[22],[Note 2].

Saint-Vincent est attesté sous la forme ancienne Sanctus Vincenthus (non datée). Vincent, diacre de Saragosse, a été martyrisé à Valence en 304[23].

Dialecte[modifier | modifier le code]

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[24]. Elle se nomme Vitrac en occitan[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des vestiges attestent l'ancienneté de l'occupation dans la commune.

La voie romaine d'Agrippa, de Saintes à Lyon par Saint-Cybardeaux et Limoges, traversait la commune du sud-ouest au nord-est par Saint-Vincent et Margnac[26]. Des traces, à flanc de coteau, lui ont été attribuées près de la Vallade[27].

Les traces d'un camp antique ont été retrouvées au nord de la commune, à 100 m au nord du hameau de Chez Fauquet (aussi orthographié chez Fouquet) et surplombant la vallée de la Bonnieure; il fait 100 mètres de côté environ. Il est proche de celui des Peines, sur la commune de Chasseneuil[28],[27],[Note 3].

Au Moyen Âge, l'église de Vitrac était le siège d'un prieuré régulier, membre de l'abbaye de Saint-Maixent, dans les Deux-Sèvres. Conventuel à l'origine, ce prieuré a subsisté jusqu'à la fin du XVe siècle. Dès l'année 1580, le logis prieural tombait en ruines[29].

La famille de Mascureau est seigneur de Puyraveau au XV et XVIeme siècle. Le château de Saint-Vincent a appartenu aux familles de James puis de La Forterie, avant d'être la propriété après 1904 du marquis Horric de la Mothe-Saint-Genis[30].

En 1789, après la Révolution, les communes de Vitrac et de Saint-Vincent sont formées à partir de leurs paroisses respectives. Entre 1801 et 1806, les deux communes fusionnent[31].

Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par une minoterie[29].

Juste avant la Seconde Guerre mondiale, le , les habitants de Siersthal en Moselle sont sommés de quitter leurs habitations, et sont accueillis dans leur exode par les habitants de Vitrac-Saint-Vincent où ils arriveront le . Ils y resteront pendant une année et des liens se sont noués entre les deux communes.

Administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2014 Alain Compin SE Agriculteur
2014 En cours Pierre Soulat    

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2021, la commune comptait 494 habitants[Note 4], en diminution de 4,26 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 1471 1921 1201 1831 4431 3651 4191 4221 312
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 2501 2241 0971 0801 1491 1891 1631 1281 072
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 057992902863815773715689626
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
545534514513512519526515516
2020 2021 - - - - - - -
499494-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 35,3 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 264 hommes pour 250 femmes, soit un taux de 51,36 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,2 
90 ou +
2,1 
6,6 
75-89 ans
10,3 
27,7 
60-74 ans
22,6 
22,7 
45-59 ans
23,0 
18,0 
30-44 ans
18,9 
7,8 
15-29 ans
8,6 
16,0 
0-14 ans
14,4 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques[modifier | modifier le code]

Vitrac a absorbé Saint-Vincent (77 habitants) avant 1806[31].

Économie[modifier | modifier le code]

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un RPI entre Montembœuf et Vitrac-Saint-Vincent. Montembœuf accueille l'école élémentaire et Vitrac l'école maternelle, avec deux classes. Le secteur du collège est Montembœuf[37].

Vie locale[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • L'église paroissiale, ancien prieuré Saint-Maixent, est un édifice roman des XIIe et XIIIe siècles, dont la nef a été remaniée au XVe siècle.
  • Fontaine Saint-Maixent, située derrière l'église, elle était une fontaine de dévotion.
  • La chapelle de Saint-Vincent, situé à Saint-Vincent, à 500 m du logis du même nom.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Lac de Puyravaud.

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

  • Le lac de Puyravaud.
  • La grotte du Cluzeau est située à 500 m en amont du bourg, dans la vallée du Rivaillon, sur sa rive gauche.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • La chanteuse belge Lio a habité Vitrac-Saint-Vincent pendant quelques années (entre 1993 et 1999)[réf. souhaitée].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. L'origine est la même pour Vitrac en Dordogne, Vitrac dans le Puy-de-Dôme, Vitrac-sur-Montane en Corrèze, Vitrac-en-Viadène dans l'Aveyron. Les formes sont Vitré et Vitry dans la moitié nord de la France.
  3. Rien n'indique l'époque de ces camps. Ils peuvent être médiévaux, comme le camp de Sainte-Sévère sur la voie d'Agrippa près de Jarnac, qu'on a dit romain.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Vitrac-Saint-Vincent » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  3. Carte du BRGM sous Géoportail
  4. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le ).
  5. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  6. « Fiche communale de Vitrac-Saint-Vincent », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  7. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  8. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Vitrac-Saint-Vincent », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Vitrac-Saint-Vincent », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  21. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 186
  22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 727.
  23. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  24. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  25. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  26. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 159
  27. a et b Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 153
  28. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 151
  29. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 412
  30. Société archéologique et historique de la Charente, Bulletins et mémoires, Constantin, , p. XLIX
  31. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vitrac-Saint-Vincent (16416) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  37. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  38. « Forge de Puyravaud (notice) », notice no IA00066421, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. « Forge de Puyravaud », notice no PA00132806, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]