Route nationale 92 (France)
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| Route nationale 92 | ||
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.JPG) La RD 1092 entrant à Saint-Marcellin. | ||
| Historique | ||
|---|---|---|
| Déclassement | D 1092, D 992, D 592, D 92N | |
| Reclassement | N 201, N 206, N 508, N 532 sur certaines portions | |
| Caractéristiques | ||
| Direction | sud-ouest / nord | |
| Extrémité sud-ouest | Valence puis Romans-sur-Isère | |
| Extrémité nord | Viry/Saint-Julien-en-Genevois puis Moirans | |
| Réseau | Ancienne route nationale déclassée | |
| Territoire traversé | ||
| Régions | Auvergne-Rhône-Alpes | |
| Départements | Drôme, Isère, Ain, Haute-Savoie | |
| Villes principales | Romans-sur-Isère, Saint-Marcellin, Voiron, Belley, Seyssel | |
| Notes | ||
| Tracé avant premier puis deuxième déclassements | ||
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La route nationale 92, ou RN 92, est une ancienne route nationale française reliant Valence à Saint-Julien-en-Genevois puis Romans-sur-Isère à Moirans.
En 2022, elle est déclassée sur l'intégralité de son parcours : D 92N dans la Drôme, D 1092 ou D 592 en Isère, D 992 dans l'Ain et en Haute-Savoie (hors troncs communs).
Historique[modifier | modifier le code]
La route nationale 92 est définie en 1824 « de Valence à Seissel [actuellement Seyssel] et Genève »[1]. Elle succède à la route impériale 111 qui avait le même tracé.
À la suite de la réforme de 1972, une partie de la route nationale 92 est déclassée entre les Abrets et Saint-Julien-en-Genevois. Elle devient la RD 592 en Isère et la RD 992 dans l'Ain et en Haute-Savoie. Les tronçons de Mons à Frangy sont repris par la RN 508, celui de Viry à Saint-Julien-en-Genevois par la RN 206 et celui de Saint-Julien-en-Genevois à la frontière suisse par la RN 201.
Le tronçon subsistant est alors limité au parcours de Valence à Voiron, Voiron – Les Abrets étant assuré par la route nationale 75 qui était en tronc commun. Ce tronçon est déclassé à la suite de la réforme de 2005 et devient RD 92N dans la Drôme et RD 1092 dans l'Isère.
Rôle et trafic[modifier | modifier le code]
La route est peu pratiquée de bout en bout, les automobilistes lui préférant souvent l'itinéraire autoroutier par Annecy, Chambéry et Grenoble ou par Lyon.
Tracé[modifier | modifier le code]
De Valence à Romans-sur-Isère (N 532)[modifier | modifier le code]
De Romans-sur-Isère à Moirans[modifier | modifier le code]
- Romans-sur-Isère (km 16)
- Saint-Paul-lès-Romans
- Saint-Lattier (km 27)
- Saint-Hilaire-du-Rosier
- Saint-Marcellin (km 39)
- Têche
- Beaulieu
- Vinay (km 49)
- L'Albenc
- Tullins (km 64)
- Vourey
- Moirans (km 71)
De Moirans à Genève[modifier | modifier le code]
- Voiron D 592
Tronc commun avec la RN 75 jusqu'aux Abrets
- Les Abrets
- Chimilin
- Aoste
- Peyrieu D 992
- Belley
- Culoz
- Anglefort
- Seyssel (Ain)
- Seyssel (Haute-Savoie)
- Mons, commune de Vanzy D 1508
- Frangy D 992
- Viry D 1206
- Saint-Julien-en-Genevois D 1201
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Louis Becquey, Statistique des routes royales de France, (lire en ligne), p. 250-251.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Liste des routes nationales de France
- Liste historique des routes nationales de France
- Réseaux routiers de la Drôme, de l'Isère, de l'Ain et de la Haute-Savoie
