Xavier Gallais

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Xavier Gallais
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Xavier Gallais - F.Robin
Naissance (47 ans)
Paris
Nationalité Drapeau de la France Française
Profession Acteur
Metteur en scène
Professeur d'interpretation au CNSAD
Films notables Deux jours à tuer
Sur le fil
Requiem pour une tueuse
Nos 18 ans

Xavier Gallais est un comédien, professeur et metteur en scène français né le à Paris.

Ancien élève du Conservatoire national supérieur d'art dramatique. Il enseigne maintenant au CNSAD depuis 2013 comme professeur d’interprétation.

Il est le cofondateur en 2018 de La salle Blanche où il y développe une recherche autour de la formation d'acteur.

Biographie[modifier | modifier le code]

Au théâtre, Xavier Gallais a interprété plus d’une centaine d’auteurs, allant des écritures les plus anciennes comme celle d’Eschyle aux plus contemporaines comme celle d’Olivier Py. Il est connu pour avoir joué les plus grands rôles du répertoire comme Cyrano de Bergerac, Roméo, Roberto Zucco, Ruy Blas, Tartuffe et à l’opéra, aux côtés de Marion Cotillard dans Jeanne d’Arc au bûcher et à la télévision dans Sur le fil.

Théâtre[modifier | modifier le code]

En 2004, il obtient le Molière de la révélation masculine pour son interprétation de Roberto Zucco dans la pièce de Bernard-Marie Koltès, au théâtre des Bouffes du Nord, mis en scène par Philippe Calvario, qui révèle la richesse et l'étendue de son talent de comédien ; la critique conquise le compare à Patrick Dewaere[1],[2].

Remarqué très tôt par Jacques Weber[3], ce dernier lui confie en 2001 le rôle-titre dans Cyrano de Bergerac avec Marina Hands[4], puis à nouveau un rôle en 2004 dans Ondine, aux côtés Laeticia Casta[1]. Jacques Weber lui offre ensuite son tout premier rôle à l'écran avec Ruy Blas, où il joue le rôle-titre face à Gérard Depardieu et Carole Bouquet.

L'année 2008 Il adapte et met en scène Les nuits blanches de Dostoievski avec Dominique Pinon traduit du russe par andre markowicz crée au Festival d' Avignon puis au joué au théâtre de l'Atelier à Paris.

En 2009, dans la pièce de Tennessee Williams "Baby Doll", il joue avec Mélanie Thierry au théâtre de l'Atelier dirigé par Benoît Lavigne. Ce rôle, apprécié par la critique, marque un tournant dans sa carrière[5]. En 2010, Michel Fau le met en scène, avec Julie Depardieu, dans Nono de Sacha Guitry puis interprète le rôle d'Io dans Prométhée enchainé d’ Eschyle par Olivier Py à l'Odéon-Ateliers Berthiers. Il interprète en 2012 Jerry dans La Maison et le Zoo, d’Edward Albee dirigé par Gilbert Desveaux au Théâtre du Rond‑Point.

Il sera la même année Tréplev dans "la mouette" de Anton Tchekhov sous la direction d'Arthur Nauzyciel dans la cour d'honneur du Palais des papes aux côtés de Marie-Sophie Ferdane, Adèle Haenel, Laurent Poitrenaux, Dominique Reymond[6]...Sa rencontre avec Arthur Nauzyciel qui débuta avec Ordet de Kaj Munk crée à Avignon en 2008 au Cloître des Carmes avec Pascal Greggory et Frédéric Pierrot (Nomination aux Molières du meilleur second rôle) "Ce travail sur le jeu d'acteur, surtout, fera date. Un jeu incroyablement concret, matériel (...) Xavier Gallais, acteur d'un immense talent, est ici d'une poésie inouïe, passeur entre le visible et l'invisible."[7]

spectacle diffusé sur zoom dans plusieurs pays en simultané

Cette collaboration continuera avec "Faim" de Knut Hamsun qu'il coadaptera et le spectacle Splendid's de Jean Genet crée à New York, interprété en anglais aux côtés d'acteurs américains puis joué notamment au théâtre de la Colline, à Séoul au National Theater Company of Korea et et à Madrid au Centro Dramatico Nacional. Ce spectacle sera un des premiers projet joué en direct via l’application Zoom retransmit en simultané dans plusieurs pays durant le confinement[8].

Le Prince de Hombourg, Palais des Papes, Festival d'Avignon, juillet 2014

En 2014, 60 ans après Gérard Philipe, il reprend le rôle mythique de Heinrich von Kleist dans Le Prince de Hombourg, joué à la cour d'honneur du Palais des papes aux côtés d'Anne Alvaro pour l'ouverture du festival d’Avignon, dirigé par Giorgio Barberio Corsetti[9].

En 2018 Joëlle Gayot dira dans un entretien avec l'acteur "Il fait partir de ces acteurs chez qui résonne singulièrement une forme d’animalité : un jeu organique, insaisissable dans son entier ; un travail du corps et du mouvement inspiré d’images et de rythmes animaux… Le voir sur scène déployer tout un bestiaire plus ou moins visible - car c’est tout le travail souterrain et invisible avec ce que l’humain a d’animal, qui rend son jeu si saillant - est un véritable spectacle, qui tout à la fois nous échappe."[10]

Après l'Avaleur de Jerry Sterner il retrouvera en 2020 le metteur en scène Robin Renucci et les Tréteaux de France pour Oblomov d'après Ivan Gontcharov dans une adaptation de Nicolas Kerszenbaum.

En 2020 il signe la mise en scène du spectacle "Majorana 370" de Florient Azoulay et Élisabeth Bouchaud au Théâtre de la Reine Blanche, avec une jeune génération d’acteurs, projet autour de la mystérieuse disparition du vol MH370 qui reliait Kuala Lumpur à Pékin et la figure d’Ettore Majorana, un génie visionnaire lui aussi disparu mystérieusement, en 1938.

Il joue en 2020 dans le spectacle La Fin de l'Homme Rouge d’après le roman de Svetlana Alexievitch, Prix Nobel de Littérature 2015 mené par Emmanuel Meirieu (Des Hommes en devenir, Bruce Machart) autour de témoignages poignants de l’époque soviétique avec Stéphane Balmino, Evelyne Didi, Anouk Grinberg, Jérôme Kircher, André Wilms et Maud Wyler.

Tartuffe, Molière. Macha Makeïeff. © Pascal Gély

En 2021, la metteuse en scène Macha Makeïeff lui confie le rôle de Tartuffe de Molière, crée au théâtre de la criée à Marseille puis joué au théâtre des bouffes du nord, réflexion autour de l’emprise, la prédation et le consentement. -> "Xavier Gallais interprète avec toute l’ambivalence et la part de folie requises. Un ange noir aussi invasif qu’un corbeau hitchcockien, aussi mystérieux qu’un fantôme ou son double…[11]"

Ma jeunesse exaltée de Olivier Py

Il retrouvera en 2022 Olivier Py au Festival d'Avignon dans "Ma jeunesse exaltée" dernière création du dramaturge en tant que directeur du Festival dans laquelle il fait le portrait d’une jeunesse indomptable et incandescente durant un marathon théâtrale de 10h[12]. -> ".. dans le rôle d’Alcandre, le poète, double mélancolique d’Olivier Py. Il emporte le public dans un poignant monologue d’amour adressé à Arlequin. « Qui d’autre que nous ? »répète-t-il. « Qui d’autre que nous, dans cet étrange amour, pour réparer l’émerveillement premier ? » Dans la dernière partie, les mots de Py dans sa bouche, bouleversent aussi à l’évocation de la jeunesse des années 1980 décimées par le Sida[13]."

François Florent fondateur du cours Florent dira de lui : "Son audition d’entrée me parut comme une audition de sortie. À peine dans la maison, reçu major de sa promotion en classe libre avec sa scène fétiche : Les Méfaits du tabac de Tchékhov ! Il y était magnifiquement pitoyable et drôle."[14] puis Jacques Weber : « Il est grand, brun, légèrement courbé comme un grand oiseau noir, un farfelu qui se prendrait pour Barbara (..) Rien ne vient d'ailleurs chez lui, il crée l’ailleurs, les mots sont gouache et fusain, pastel et huile, il a la fièvre, le tableau ne se finira jamais, comme la tapisserie d'Hilda Muramer. Il voudrait être un parfait artisan, il est un artiste, un grand, de ceux qui inventent de toutes pièces “l'ici et maintenant”, qui redonnent au temps une forme et des traits.»[14]

En 2023, il interprète le client dans "Dans la solitude des champs de coton" de Bernard-Marie Koltès mis en scène par Kristian Frédric.

Pédagogie[modifier | modifier le code]

Depuis 2013, Xavier Gallais approfondit sa recherche sur le jeu de l’acteur dans sa classe au Conservatoire national supérieur d'art dramatique, où il enseigne l’interprétation à des élèves de première, deuxième et troisième années. Il a dans ce cadre coécrit, avec Florient Azoulay, puis mis en scène et dirigé des spectacles pour 17 à 25 acteurs, associant répertoire classique et création contemporaine[15].

Il a également inité et accompagné différentes actions pédagogiques et médiations culturelles dans toutes sortes d'établissements (prisons, ehpads, écoles, quartiers, associations, musées ... ).

Après vingt ans à expérimenter entre la pratique et la pédagogie, il a ouvert, en 2018, en collaboration avec Élisabeth Bouchaud et Florient Azoulay, un laboratoire innovant de recherche théâtrale, la Salle Blanche, dont les particularités sont de proposer de véritables passerelles entre tous les cours dans une réelle interdisciplinarité, et de mêler la pédagogie, la recherche et la création collectives[16]. En coécritures avec les étudiants, ils ont montés des travaux expérimentaux pour acteurs-auteurs, interprétations poétiques des grandes questions de notre époque: La Grande Peur des Bien-portant (d'après Octave Mirbeau) en 2021 sur les pandémies, Déconstructing Peter en 2022 (d'après James Matthew Barrie) sur le phénomène d'isolement social, et Virginia Christi en 2023(d'après Virginia Woolf et Agatha Christie) sur les questions d'auto-justice et du bouc-émissaire.

En 2008, avec son dramaturge et collaborateur artistique Florient Azoulay, ils créént la Compagnie KGA où ils y interrogent les liens entre littérature et théâtre, répertoire et écritures nouvelles, du seul-en-scène à l'écriture de pièce. A côté d'œuvres intimistes comme Les Nuits blanches d’après Dostoïevski (2008), Mais lorsque, par un pur hasard d’après Edmond Rostand, Faim d’après Knut Hamsun (mis en scène par Arthur Nauzyciel en 2011) ou King Lear Conférence (2016), Le Fantôme d’Aziyadé (2020) d'après deux romans de Pierre Loti, Routes Kérouac d'après Jack Kérouac et les poètes de la Beat génération (2021), Ils écrivent et mettent en scène des fresques théâtrales comme Chantier Chantecler d’après Edmond Rostand (2014), L’Orestexcerptsie d’après Eschyle, Sophocle et Euripide (2015), A Little too much is not enough for U.S. fresque théâtrale inspiré par l'affaire Julius et Ethel Rosenberg(2016), et Lower Yoknapatawpha d’après William Faulkner (2018).

Cinéma et télévision[modifier | modifier le code]

Au cinéma, il tourne dans Deux jours à tuer et Bienvenue parmi nous de Jean Becker, Musée haut, musée bas de Jean-Michel Ribes, Requiem pour une tueuse de Jérôme Le Gris, Pitchipoï de Charles Najman, Une braise sur la neige de Boris Baum, L’Amour propre de Nicolas Silhol (Lutin du meilleur acteur), Bula de Boris Baum tourné entre la Belgique et le Brésil.

Pour la télévision, il incarne des personnalités politiques et littéraires comme Georges Guingouin dans Le Grand Georges (Prix du Syndicat français de la critique de cinéma 2013) réalisé par François Marthouret, Jean Herold Paquis dans La Guerre des ondes de Laurent Joui, dans Ruy Blas, Manon Lescaut de Gabriel Aghion… Et son rôle de flic détraqué marquera les esprits dans la série Sur le fil de Frédéric Berthe, dans le rôle de Laurent Dupré.

Lectures[modifier | modifier le code]

Madame Wilde pour France Culture

Spécialiste de la lecture publique[17], il a participé à une centaine de lectures à voix haute dans de nombreux festivals (Chimères du Mans, Festival de la correspondance de Grignan, Correspondances de Manosque, Nobel au théâtre de l’Œuvre, Journées Marcel Proust de Cabourg, Marathon des mots de Toulouse, etc.), pour des soirées privées (Hermès, Collège de France, Institut national des jeunes aveugles, Grand Palais, musée des Archives nationales, château de Valençay, etc.).

Il participe a des enregistrements pour France Culture tels que le concert Fiction "Fahrenheit 451" de Ray Bradbury, roman dystopique qui se classe parmi les œuvres cultes de l’anticipation enregistré en public au Studio 104 de la Maison de la radio sous la réalisation d'Alexandre Plank en compagnie de Pascal Rénéric, Judith Chemla, André Wilms et le quatuor Ellipse. Il participe à "On n’est pas sérieux..." d' Emmanuel Demarcy-mota dirigé par Blandine Masson au Théâtre de la Ville, "comment retenir sa respiration" de Zinnie Harris en public à l’Odéon, "bye, bye blondie" de Virginie Despentes par Laurence Courtois. Pour France Culture Madame Wilde de Claire Barré en direct du Musée Calvet avec Julie Gayet lors du Festival d’Avignon ainsi que "La mort d'Achille" de Wajdi Mouawad accompagné du rappeur Fianso, Amira Casar, Adama Diop et Jérôme Kircher, dirigé par Alexandre Plank puis la même année "Cyrano de Bergerac - l’autre monde" de Pierre Jourde par Baptiste Guiton. Pour France Inter avec Guillaume Gallienne (Gogol sur Ça peut pas faire de mal[pas clair]) et Le mariage secret de Louis XIV et Madame de Maintenon, une fiction de Jean-Benoît Patricot.

à la recherche du temps perdu de Marcel Proust

Il joue dans des spectacles-lectures salués par la critique[17] : Marcel Proust à la Comédie des Champs-Élysées avec Bernadette Lafont et Robin Renucci ; Faim de Knut Hamsun, successivement au théâtre de la Madeleine à Paris, à l'université de Princeton, puis, de nouveau à Paris, au théâtre du Lucernaire[18] ; Du cristal à la fumée de Jacques Attali au théâtre du Rond-Point). Enfin, il a enregistré plusieurs livres audio pour les éditions Thélème (Guy de Maupassant, Fiodor Dostoïevski, Arthur Rimbaud, Agatha Christie, Théophile Gautier), Audible (Cabossé de Benoit Philippon). Il enregistre pour France Culture 5 épisodes de son adaptation du fantôme d'Aziyadé de Pierre Loti.

En 2021, pour la naissance de la résidence d'artistes de Bourg-la-Reine et sa première année d'existence, la municipalité de cette commune des Hauts-de-Seine choisit d'y installer Xavier Gallais[19].

Mises en scène[modifier | modifier le code]

Théâtre de l'Atelier, Paris

Théâtre[modifier | modifier le code]

Comédien[modifier | modifier le code]


Auditori, Barcelone

Opéras[modifier | modifier le code]

Filmographie[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

  • 2015 : Faim, d'après Knut Hamsun[72]
  • 2018 : Le Fantôme d'Aziyadé, d'après Pierre Loti[73]
  • 2022 : Les Nuits blanches, d'après Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski[74]

Critique[modifier | modifier le code]

  • « Dans le réjouissant Nono de Sacha Guitry, il est au sommet du jeu théâtral en liberté… Tout parle chez lui, de la tête aux pieds : le menton s'affaisse, l'épaule s'alourdit, le regard chasse et la voix s'amuse de sa liberté. Fougue, fantaisie, audace et bonheur de jouer. » - Laurence Liban[29]

Distinctions[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Jordan White, « "Ondine" de Jean Giraudoux à l'affiche », DVD Classik, 17 octobre 2004
  2. a et b Laurent Vallerbe, Xavier Gallais bête de scène, 2013
  3. Le Figaroscope, Xavier Gallais
  4. a et b Agnès Dalbard, « Jacques Weber offre une nouvelle jeunesse à "Cyrano" », Le Parisien, 7 décembre 2001
  5. « C'est l'année de Xavier Gallais », sur LEFIGARO, (consulté le ).
  6. « "La Mouette" survole enfin la Cour d'honneur », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. « "Ordet", la force d'une parole incarnée », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  8. « “Splendid’s”, une création live sur Zoom d’Arthur Nauzyciel - Les Inrocks », sur lesinrocks.com (consulté le ).
  9. a et b Fabienne Darge, « Xavier Gallais, en mission dans la cour », Le Monde, 24 juin 2014
  10. « L'animalité », sur France Culture, (consulté le ).
  11. « TARTUFFE Théorème, texte Molière / mise en scène, costumes, décor Macha Makeïeff ».
  12. « « Ma Jeunesse exaltée », le marathon théâtral d'Olivier Py », sur lejdd.fr, (consulté le ).
  13. « Au festival d’Avignon, le testament d’Olivier Py », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  14. a et b Béatrice Guion, « « Cette obscure clarté ». Des secrets et de leur dévoilement dans les Maximes », Littératures, vol. 39, no 1,‎ , p. 45–62 (ISSN 0563-9751, DOI 10.3406/litts.1998.1774, lire en ligne, consulté le )
  15. Isabelle Fauvel, « Dans l'antre de la création », Les Soirées de Paris, 17 novembre 2017
  16. « La Salle Blanche — Une nouvelle école de théâtre à Paris », sur lasalleblanchetheatre.com (consulté le ).
  17. a et b « Biarritz : le comédien Xavier Gallais lit ses carnets de sous-sol à la crypte Sainte-Eugénie », Sud-Ouest, 30 juin 2021
  18. a b et c Christian Ducq, « Xavier Gallais, comédien non apprivoisé (1ère partie) », La Revue du spectacle, 2015
  19. « RÉSIDENCE D'ARTISTES - XAVIER GALLAIS À L'HONNEUR », BLR magazine, no 463,‎ , p. 20-21 (lire en ligne, consulté le ).
    Cet article inclut un entretien avec Xavier Gallais.
  20. Annie Coppermann, « Un tueur en cavale », Les Échos, 2 mars 2004
  21. René Solis, « Zucco à couper le souffle », Libération, 4 mars 2004
  22. « La sublime tragédie de Roberto Zucco », Le Monde, 10 mars 2004
  23. André Lafargue, « Éternels "Roméo et Juliette" ! », Le Parisien, 10 novembre 2005
  24. Archives INA, Café Picouly - Tout le monde aime Xavier Gallais, 2006 (source : YouTube ; durée : 9 min 37 s)
  25. Laurent Bourbousson, « Xavier Gallais étouffe d'amour », Festivalier.com, 22 juillet 2008
  26. Agenda Germain Pire, Première représentation de la pièce "Du cristal à la fumée" de Jacques Attali, 16 septembre 2008
  27. Kathleen Evin, « Daniel Mesguich et Jacques Attali », émission L'humeur vagabonde, France Inter, 18 septembre 2008 (durée : 58 min 00 s)
  28. Laetitia Heurteau, « Xavier Gallais, épisode 1 : le détective privé », Esprit paillettes, 15 juillet 2009
  29. a et b Laurence Liban, « À suivre… Xavier Gallais », L'Express, 20 octobre 2010
  30. Florient Azoulay et Xavier Gallais, Faim, Paris, L'Harmattan, , 33 p. (ISBN 978-2-343-07100-8, lire en ligne)
  31. Christophe Candoni, « Xavier Gallais errant solitaire dans "Faim" de Knut Hamsun », Toute la culture, 14 janvier 2012
  32. Christophe Giolito, « "Prométhée enchaîné" : un spectacle prenant mais monolithique », Le Littéraire, 21 février 2013
  33. René Solis, « "La Mouette" : rêves en ruines », Libération, 22 juillet 2012
  34. Brigitte Salino, « "La Mouette" survole enfin la cour d'honneur », Le Monde, 24 juillet 2012
  35. Théâtre 85, La Maison et le zoo, dossier de presse, 2013
  36. Stéphane Capron, « Xavier Gallais : "jouer le Prince de Hombourg, c'est un beau cadeau" », Scène Web, 5 juillet 2014
  37. « Un beau somnambule lance le Festival d'Avignon », Le Temps, 6 juillet 2014
  38. Armelle Héliot, « La chevauchée fabuleuse du "Prince de Hombourg" », Le Figaro, 7 juillet 2014
  39. Odile Quirot, « Avignon : "Le Prince de Hombourg" sous la pluie », Le Nouvel Observateur, 7 juillet 2014
  40. Sophie Jouve, « "Le Prince de Hombourg", libre et subversif, en replay sur Culturebox », France TV Info, 10 juillet 2014
  41. « Xavier Gallais : "j'ai souvent joué les Jésus-Christ ou les Rimbaud" », Apartés, 7 avril 2016
  42. Juliette Mézergues, « "Splendid's" : métaphore de notre enfermement et objet de survie - Entretien avec Xavier Gallais », Miranda, 12 mars 2021
  43. Amélie Héliot, « "Faim" de Knut Hamsun par Xavier Gallais », Revue de presse théâtre, 9 août 2015
  44. « Xavier Gallais, clochard terrestre », Les Échos, 31 août 2015
  45. Hugues Le Tanneur, « "Faim", une saison en enfer », Libération, 3 septembre 2015
  46. Léa Carabu, « "Études de fesses" de Xavier Gallais et le Projet Bloom au Théâtre du Lucernaire », Théâtre Actu, 2 octobre 2015
  47. Christophe Barbier, « Présents parallèles », Théâtre on line, 2016
  48. « Présents parallèles au théâtre de la Reine blanche », Spectatif, 13 septembre 2016
  49. Théâtr'Elle, L'Avaleur, 3 février 2017
  50. Sabine Azmar, « Dans "L'Avaleur", Xavier Gallais est… énorme ! », 'Piano Panier, 4 février 2017
  51. Théâtr'Elle, Des hommes en devenir, 5 juin 2017
  52. Laura Daniel, « Au théâtre de l'Œuvre, des comédiens relisent les Prix Nobel de littérature », Télérama, 21 septembre 2017
  53. Théâtr'Elle, Guérisseur, 11 février 2018
  54. Gérald Rossi, « Théâtre : mystères dans la campagne d'Écosse », L'Humanité, 19 février 2018
  55. Pierre Gelin-Monastier, « "Guérisseur" : belle présence du théâtre et curieux manque de foi », Profession Spectacle, 9 mars 2018
  56. « Xavier Gallais, le Guérisseur envoûtant », Radio France International, 23 mars 2018
  57. Théâtr'Elle, Providence, 22 avril 2018
  58. a et b Anne-Sophie Giraud, « Xavier Gallais : "j'adore tout ce qui est nouveau" », Ciné Séries Culture, 18 juillet 2019
  59. Jean-Rémi Barland, « Avignon - Marie-Christine Letort et Xavier Gallais lumineux dans "Providence" de Neil Labute », Destimed, 21 juillet 2019
  60. Maison de la culture du Havre, Le théâtre en partage : "The mercy seat" de Neil Labute, 2019
  61. Florient Azoulay et Xavier Gallais, Le Fantôme d'Aziyadé, Paris, Les Cygnes, , 31 p. (ISBN 978-2-36944-294-3)
  62. Fréédéric Dieu, « Le fantôme d'Aziyadé dans le labyrinthe de la ville et de la mémoire », Profession Spectacle, 23 juillet 2019
  63. Marie-Emmanuelle Dulous de Méritens, « "Le Fantôme d'Aziyadé" d'après Pierre Loti », La Terrasse, n°284, 22 janvier 2020
  64. Vincent Bouquet, « « La Fin de l'homme rouge » : l'humanité à la renverse d'Emmanuel Meirieu », sur weekend.lesechos.fr, (consulté le ).
  65. Théâtr'Elle, La fin de l'homme rouge, 15 septembre 2019
  66. « La madeleine de Xavier Gallais vous sera servie le soir du 24 février au théâtre de l'Œuvre », Proust pour tous, 18 février 2020
  67. « Rendez-vous scénique avec Xavier Gallais », E-Territoire, mars 2020
  68. Fabrice Robin, « Un "Oblomov" troublant rattrapé par la pandémie », L'Œil d'Olivier, 16 novembre 2020
  69. La Criée - Théâtre national de Marseille, Tartuffe - Théorème, 2021
  70. « Macha Makeïeff met en scène Tartuffe avec Xavier Gallais », Sceneweb, octobre 2021
  71. Medias Unifrance, Une braise sur la neige, dossier de presse du film, 2012
  72. Florient Azoulay et Xavier Gallais, Faim, Paris, L'Harmatton, , 33 p. (ISBN 978-2-343-07100-8)
  73. Florient Azoulay et Xavier Gallais, Le Fantôme d'Aziyadé, Paris, Les Cygnes, , 31 p. (ISBN 978-2-36944-294-3)
  74. Florient Azoulay et Xavier Gallais, Les Nuits blanches, Paris, Les Cygnes, , 40 p. (ISBN 978-2-369-44383-4)
  75. Fondation Charles-Oulmont, Xavier Gallais

Liens externes[modifier | modifier le code]

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