Arthur Honegger
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Naissance |
Le Havre (France) |
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Décès |
(à 63 ans) 18e arrondissement de Paris |
Nationalité | Suisse |
Activité principale | Compositeur |
Années d'activité | 1912-1955 |
Maîtres | Charles-Marie Widor, Vincent d'Indy |
Enseignement | Conservatoire de Paris |
Œuvres principales
Arthur Honegger, né le au Havre et mort le à Paris, est un compositeur français d'origine suisse.
Biographie[modifier | modifier le code]
Arthur Honegger naît en 1892 au Havre, dans une famille suisse et protestante[1]. Son père, Arthur Honegger, exerce la profession de négociant en café, sa mère, Julie Ulrich, joue du piano[2]. Sa famille baigne dans l'univers musical et il apprend le violon. Au duo mère-fils, se joint parfois un ami d'Arthur, également violoniste. Mais les œuvres pour deux violons et piano sont assez rares, et le jeune Arthur, qui admire Bach et Beethoven, est donc amené à composer pour cette formation des essais malhabiles. Il se lance également dans l'écriture d'un opéra et d'un oratorio.
Il s'inscrit au Conservatoire de Zurich en 1909-1910, et étudie le violon et la théorie musicale avec Willem de Boer et Lothar Kempter)[2], puis il est élève en 1911 au Conservatoire de Paris, où il étudie le violon et rencontre Darius Milhaud et Jacques Ibert[1]. Il est élève de Charles-Marie Widor et Vincent d'Indy. Il quitte le Conservatoire en 1918, ayant déjà composé des mélodies, son premier quatuor et un poème symphonique, Le Chant de Nigamon.

Très attaché au renouveau du répertoire, il est influencé par Igor Stravinsky, sur lequel il écrit un essai en 1939. Compositeur prolifique et désireux d'illustrer la transformation de la société, notamment par la technique ou le sport, Honegger écrit pour le théâtre, la radio et le cinéma aussi bien que pour la salle de concert : ballets, chansons, concertos, musique de chambre, musiques de films, opéras, oratorios, symphonies.
En 1921, il connaît le succès avec le Roi David, pièce de René Morax, qu'il transforme en oratorio en 1924. Son œuvre la plus célèbre, créée en 1923, est Pacific 231, premier de trois mouvements symphoniques et dédiée à la locomotive à vapeur éponyme. Les deux autres mouvements du triptyque s'intitulent Rugby et Mouvement symphonique no 3.
Sa première symphonie date des années 1929-1930. Plus tard, durant l'Occupation, il compose ses Trois Poèmes (sur un texte de Claudel), ses Trois Psaumes et sa Symphonie no 2 pour orchestre à cordes et trompette ad libitum. Composée en 1941, ses mouvements évoquent la mort, le deuil, puis la libération. En parallèle il enseigne la composition à l'École normale de musique de Paris où il aura parmi ses élèves Yves Ramette, futur auteur de six symphonies. Sa Symphonie no 3, intitulée liturgique, son oratorio Jeanne d'Arc au bûcher (1938) — d'après un texte de Paul Claudel — et son dramatique Roi David (1921) soulignent la religiosité de ce compositeur protestant. Durant la seconde moitié des années 30, il fera chez la famille Gosselin (au Manoir du Clap) une lecture de Jeanne au Bûcher[3]. Parmi ses œuvres qui ont le plus compté pour lui, il citait aussi son opéra Antigone (1926).
Sa symphonie n° 3 (dite « Liturgique », 1946) est très liée aux années difficiles que le monde venait de vivre du fait de la 2e guerre mondiale. Chacun des trois mouvements comporte un sous-titre d'origine liturgique. Elle est composée comme suit :
- Dies iræ (« Jour de colère »), Allegro marcato ;
- De profundis clamavi (« Des profondeurs j'ai crié vers toi »), Adagio ;
- Dona nobis pacem (« Donne-nous la paix »), Andante.
En 1925, Arthur Honegger a une liaison avec la chanteuse d'opéra Claire Croiza, de laquelle naît un fils, Jean-Claude. En , il épouse la pianiste Andrée Vaurabourg (1894-1980)[2] qu'il avait rencontrée au conservatoire de Paris en 1916 ; leur fille Pascale naît en 1932. Ils demeurent à Paris (tout en logeant dans des appartements séparés) durant la guerre, vivant notamment de commandes pour musique de film.
Sa quatrième symphonie est sous-titrée : Deliciæ Basiliensis (Les Délices de Bâle). La cinquième est dite Symphonie di tre re (« des trois ré », qui ponctuent chacun de ses trois mouvements).
Il est critique musical et professeur à l'École normale de musique de Paris. Il est également l'un des membres du groupe des Six, avec Georges Auric, Louis Durey, Darius Milhaud, Francis Poulenc et Germaine Tailleferre[1]. Outre les Six, il a fréquenté Paul Claudel, Jean Cocteau, Guillaume Apollinaire, Max Jacob, Pierre Louÿs, Pablo Picasso, Erik Satie, Jean-Louis Barrault et Paul Valéry, dont certains lui ont fourni des sujets pour ses œuvres.

Il est inhumé avec son épouse à Paris au cimetière Saint-Vincent.
Son style[modifier | modifier le code]
Arthur Honegger est un compositeur qui, au premier abord, paraît difficile à cerner à cause de la diversité de son œuvre, allant de la tonalité à l'atonalité (pour Antigone) en passant par la polytonalité, utilisant tous les registres, du quatuor à cordes à l'opéra, et respectant autant les acquis du passé que les apports de ses contemporains. Toute sa vie, il a été marqué par la double influence germanique (Ludwig van Beethoven, Johann Sebastian Bach, Max Reger) et française (Claude Debussy, Gabriel Fauré, Florent Schmitt), ce qui contribue à situer son œuvre en marge des courants musicaux. Si l'on peut lui attribuer un style personnel, il n'est en revanche d'aucune école ; lui-même ayant rejeté, comme son confrère et ami Georges Enesco, les systèmes de classification trop stricts en musique.
La diversité de la musique d'Honegger reflète sa volonté de faire de la musique un moyen d'expression à vocation humaniste. Ainsi, il a souvent aspiré à une musique défaite de trop de formalisme, de trop de séduction et d'habitudes (Cri du monde, 1931). La crainte d'une surmédiatisation de la musique se reconnaît dans sa recherche d'une musique authentique, capable de porter un message, parfois philosophique voire religieux (Symphonie liturgique, 1945). Désireux de se renouveler à chaque œuvre, il a exploré différents genres et techniques en s'intéressant tout autant à l'harmonie de Claude Debussy, à la rythmique d'Igor Stravinsky, à la forme beethovenienne, au génie d'Arnold Schönberg (en excluant le sérialisme) et même à la musique électronique.
L'apparente simplicité de certains passages de sa musique doit être examinée dans le sens de l'objectivité. Il ne répugna pas à la complexité lorsque cela lui semblait nécessaire, comme dans Horace Victorieux (1921) ou dans ses symphonies. Comme d'autres artistes de son temps, tels Albert Camus, il cherche à émouvoir, notamment au travers d'œuvres religieuses, ce qui explique le succès de Jeanne d'Arc au bûcher (1935) entre autres.
Connu pour son humanisme, il a parfois émis des jugements sévères mais jamais durant son travail de critique. Au contraire, il a aidé les compositeurs des générations suivantes tels qu'Olivier Messiaen, dont il a confirmé après sa première écoute qu'il serait « l'un des plus grands compositeurs de son temps ».
Œuvres[modifier | modifier le code]
Un catalogue des œuvres du compositeur a été établi par le musicologue Harry Halbreich. Cette nomenclature est figurée par la lettre H.
Musique orchestrale[modifier | modifier le code]
- Symphonie nº 1 (1930)
- Symphonie nº 2 (1941)
- Symphonie nº 3 (1946)
- Symphonie nº 4 (1946)
- Symphonie nº 5 (1950)
- Pastorale d'été (1920)
- Chant de joie (1923)
- Pacific 231 (1923)
- Rugby (1928)
- Mouvement symphonique nº 3 (1933)
Concerto[modifier | modifier le code]
- Concertino pour piano et orchestre H. 55 (1924)
- Concerto pour violoncelle (1929)
- Concerto da camera, pour flûte, cor anglais et cordes (1948)
Musique de chambre[modifier | modifier le code]
- Intrada (1947)
- Quatuor à cordes n° 1 H. 15 (1916-17)
- Quatuor à cordes nº 2 H. 103 en ré majeur (1934-36)
- Quatuor à cordes nº 3 H. 114 en mi-majeur (1936-37)
Musique pour piano[modifier | modifier le code]
- Prélude, Arioso et Fughette sur le nom de BACH
Ballets[modifier | modifier le code]
- Le dit du jeu du monde, ballet pour orchestre de chambre en 12 actes, 1918
Opéra[modifier | modifier le code]
- Judith, opéra sur un livret de René Morax en 1925
- Antigone, opéra d'après l'adaptation de Jean Cocteau en 1927
- L'Aiglon (en) est un drame musical en 5 actes, écrit par A. Honegger (actes II, III et IV) et Jacques Ibert (actes I et V)
Opérette[modifier | modifier le code]
Il participe à l'écriture en 3 actes de l'opérette Les aventures du roi Pausole, livret d'Albert Willemetz d'après le roman de Pierre Louÿs. Albert Willemetz écrit des dialogues et des couplets extrêmement drôles. L'utilisation de l'alexandrin accentue le comique de ce vaudeville. Arthur Honegger joue à mélanger des styles musicaux sans pour autant céder à la mélodie facile.
Oratorio et cantates[modifier | modifier le code]
Arthur Honegger fut aussi l'auteur d'oratorios. En 1907, il compose un Oratorio du Calvaire. En 1924, il crée à Paris une version retravaillée en oratorio du Roi David[4]. Puis en 1927, il révise en oratorio le Judith de René Morax. Cris du monde, oratorio sur un texte de René Bizet d'après « Hymn to Solitude » de John Keats pour voix solistes, chœur d'enfants, chœur mixte, orchestre, est créé en 1930-1931. Deux nouveaux oratorios composés sur des textes de Paul Claudel dans les années 1930 obtiennent un vif succès : Jeanne d'Arc au bûcher, oratorio dramatique, et la Danse des Morts, basé sur des textes bibliques. À la suite de ces succès, il compose encore un oratorio dans les années 1940 : Nicolas de Flue sur un texte de Denis de Rougemont. Il est également l'auteur d'Une Cantate de Noël, pour baryton solo, voix d'enfants, chœur mixte, orgue et orchestre, en 1953.
Musique de scène[modifier | modifier le code]
- 1922 : Antigone de Jean Cocteau d'après Sophocle, mise en scène Charles Dullin, Théâtre de l'Atelier
Musiques de film (liste partielle)[modifier | modifier le code]
- 1923 : La Roue d'Abel Gance
- 1927 : Napoléon d'Abel Gance
- 1931 : La Fin du monde d'Abel Gance
- 1934 : Les Misérables de Raymond Bernard
- 1935 : Crime et Châtiment de Pierre Chenal
- 1936 : Mayerling d'Anatole Litvak
- 1937 : Regain de Marcel Pagnol (sa première symphonie est partiellement utilisée)
- 1937 : Mademoiselle Docteur de Georg Wilhelm Pabst (connu aussi sous le titre Salonique, nid d'espions)
- 1938 : Pygmalion de Anthony Asquith et Leslie Howard
- 1939 : Le Déserteur de Léonide Moguy [5]
- 1940 : Cavalcade d'amour de Raymond Bernard (avec la collaboration de Darius Milhaud)
- 1940 : Les Musiciens du ciel de Georges Lacombe
- 1943 : Callisto, la petite nymphe de Diane, dessin animé d'André Édouard Marty
- 1943 : Le Capitaine Fracasse d'Abel Gance
- 1943 : Mermoz de Louis Cuny
- 1943 : Un seul amour de Pierre Blanchar
- 1946 : Un ami viendra ce soir de Raymond Bernard
- 1946 : Un revenant de Christian-Jaque (A. Honegger y fait une courte apparition avec Louis Jouvet)
Œuvres diverses[modifier | modifier le code]
- Les Mille et une nuits, cantique pour soprano, ténor et quatre ondes Martenot.
- Nombreuses chansons et poèmes.
- Danse de la chèvre (pour flûte traversière).
Écrits[modifier | modifier le code]
- L'incantation aux fossiles, [recueil de ses critiques musicales], Éditions d'ouchy, 1948.
- Je suis compositeur, Éditions du Conquistador, 1957.
- Lettres à ses parents : 1914-1922, préfacées et annotées par Harry Halbreich, Genève, Éd. Papillon, 2005, 344 p.
Hommages et distinctions[modifier | modifier le code]
- 1952 : membre associé étranger de la section de musique de l'Académie des beaux-arts[6]
- Grand-Croix de la Légion d'honneur[1]
- Docteur honoris causa de l'université de Zurich[1]
Son portrait apparaît sur les billets de 20 francs suisses de 1995-1996[1]. Un autre de ses portraits a été réalisé en 1944 à Paris par Serge Ivanoff[7].
L'astéroïde (27846) Honegger, découvert en 1994, est nommé en son honneur[8].
Le conservatoire du Havre porte son nom[9].
Le réalisateur Georges Rouquier lui a consacré un court métrage (Arthur Honegger, 1955).
Une Fondation Arthur Honegger est créée en 1970, à l'initiative de sa veuve afin de perpétuer sa mémoire et associer son nom à ceux d'autres créateurs[10], sous l'égide de la Fondation de France. Cette fondation soutient la création musicale en attribuant un prix international de musique[11]. Ce prix a pour objet d'honorer soit un compositeur pour une œuvre particulière, soit un compositeur pour l'ensemble de son œuvre, soit une formation musicale de quatuor à cordes[12].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Frédérick Casadesus, « Arthur Honegger », dans André Encrevé et Patrick Cabanel (dir.), Dictionnaire biographique des protestants français de 1787 à nos jours : H-L, t. III, Paris, Max Chaleil, (ISBN 284621333X), p. 169-170
- Kurt von Fischer, « Arthur Honegger », dans Dictionnaire historique de la Suisse, (lire en ligne).
- Lebourgeois, Patrick., La Cerlangue : sur les falaises de l'estuaire, Rouen, Éd. des Falaises, impr. 2012, 63 p. (ISBN 978-2-84811-151-3 et 2848111518, OCLC 795452431, BNF 42641608, lire en ligne)
- Enregistrement paru en 1997 chez Naxos, sous la direction de Michel Piquemal, avec le chœur Vittoria et l'Orchestre de la Cité
- Honegger Arthur
- « Arthur Honegger à l'Institut », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- Portraits.
- (en) « (27846) Honegger », dans Dictionary of Minor Planet Names, Springer, (ISBN 978-3-540-29925-7, DOI 10.1007/978-3-540-29925-7_9874, lire en ligne), p. 882–882
- Conservatoire Arthur Honegger
- Fondation de France.
- Parmi les lauréats du prix Arthur Honegger : Jacqueline Fontyn (site officiel), Prix Arthur Honegger, Frank Martin (biographie), Jean Françaix ((en) profile), Nicolas Zourabichvili en 1986…
- Fondation Arthur Honegger
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Harry Halbreich, Arthur Honegger, un musicien dans la cité des hommes, Fayard, 1992 (ISBN 2-213-02837-0)
- Harry Halbreich, L'Œuvre d'Arthur Honegger : chronologie, catalogue raisonné, analyses, discographie ; Paris, Ed.Honoré Champion, 1994, 940 p.
- Jacques Tchamkerten, Arthur Honegger, Genève, Ed. Papillon, 2005
- Maurice Ravel, L'intégrale : Correspondance (1895-1937), écrits et entretiens : édition établie, présentée et annotée par Manuel Cornejo, Paris, Le Passeur Éditeur, , 1769 p. (ISBN 978-2-36890-577-7, BNF 45607052)Contient 5 correspondances de Maurice Ravel à Arthur Honegger (1921-1932) et 2 correspondances d'Arthur Honegger à Maurice Ravel (1925-1927)
- Frédérick Casadesus, « Arthur Honegger », dans André Encrevé et Patrick Cabanel (dir.), Dictionnaire biographique des protestants français de 1787 à nos jours : H-L, t. III, Paris, Max Chaleil, (ISBN 284621333X), p. 169-170.
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Publications de et sur Arthur Honegger dans le catalogue Helveticat de la Bibliothèque nationale suisse
- Le site de l'Association Arthur-Honegger : contient des informations utiles telles que la programmation des concerts ou des extraits musicaux
- Le site du Groupe Vocal Arthur Honegger : faire connaître la musique du compositeur, concerts, etc
- (en) Arthur Honegger sur l’Internet Movie Database
- Michel Faure La fin d'Aiglon, opéra en 5 actes (1937) : La chanson populaire au cœur de l´opéra
- Les archives du Concours musical international Arthur Honegger sont conservées aux Archives nationales sous la cote 51AS.
- Chœur de Saint-Guillaume
Bases de données et dictionnaires[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la musique :
- Discogs
- (en) International Music Score Library Project
- (en) AllMusic
- (he) Bait La Zemer Ha-Ivri
- (en) Carnegie Hall
- (en) Discography of American Historical Recordings
- (en) Grove Music Online
- (de) MGG Online
- (en) MusicBrainz
- (en) Muziekweb
- (de) Operone
- (en) Rate Your Music
- (en + de) Répertoire international des sources musicales
- (en) Songkick
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
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- (en) AllMovie
- (de + en) Filmportal
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- Naissance en mars 1892
- Naissance au Havre
- Naissance dans la Seine-Inférieure
- Décès en novembre 1955
- Décès dans le 18e arrondissement de Paris
- Décès à 63 ans
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- Éponyme d'un objet céleste