Duingt

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Duingt
Duingt
Vue de Duingt depuis le lac, en arrière-plan la combe d'Entrevernes et à gauche le Taillefer.
Blason de Duingt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Annecy
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Annecy
Maire
Mandat
Marc Rollin
2020-2026
Code postal 74410
Code commune 74108
Démographie
Gentilé Dunois, Dunoise
Population
municipale
1 044 hab. (2021 en augmentation de 11,18 % par rapport à 2015)
Densité 238 hab./km2
Population
agglomération
183 697 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 49′ 44″ nord, 6° 12′ 12″ est
Altitude Min. 442 m
Max. 1 202 m
Superficie 4,39 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Annecy
(banlieue)
Aire d'attraction Annecy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Annecy-4
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Duingt
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Duingt
Liens
Site web duingt.fr

Duingt (prononciation : /dwɛ̃/) est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Village de la rive gauche du lac d'Annecy, la commune comptait 1 044 habitants en 2021.

La commune actuelle de Duingt est constituée de deux anciens villages installés en bout de deux chaînes parallèles qui s'affaissent en direction du lac depuis le massif des Bauges. Le premier — Duingt (Duin ou Duyn) — s'est développé entre la rive du lac et les contreforts de l'éperon du Taillefer, avec notamment sur la pointe rocheuse le château de Duingt, dont il ne reste que des ruines, qui contrôlait la route entre Annecy et la Tarentaise, donnant accès à l'Italie, associé à Châteauvieux qui se trouve en contrebas sur la presqu'île. L'autre chaîne, plus en retrait, qui s'affaisse en direction du lac est celle du roc des Bœufs, où l'ancien village de Dérée ou Dhéré s'est développé avec notamment son château.

La commune fait partie du parc naturel régional du massif des Bauges.

Géographie[modifier | modifier le code]

Vue de Duingt depuis le belvédère, situé sur le Taillefer.

Localisation[modifier | modifier le code]

Duingt est une commune haut-savoyarde, située sur la rive ouest (ou gauche) du lac d'Annecy. Sa position, parallèle à celle de Talloires sur la rive opposée, marque la distinction entre le « grand lac », en direction d'Annecy, et le « petit lac », en direction de Doussard. En effet, le village commande un verrou glaciaire (ou étroit) au niveau du lac, entre le lieu d'affaissement des chaînes parallèles du Taillefer et du Roc des Bœufs et le Roc de Chère.

À partir de Dhéré, en direction du Nord, s'ouvre la vallée du Laudon, appelé depuis récemment pays du Laudon. Celui-ci appartient à l'ensemble plus vaste qu'est le bassin annécien, tout en formant une sous-entité bien distincte[Note 1].

La commune est aussi membre, ainsi que les communes du canton de Seynod, du parc naturel régional du massif des Bauges[1].

À vol d'oiseau, la ville se situe à 2,8 km au sud-est de Saint-Jorioz, à 10,7 km de Seynod, chef-lieu de canton et à 10,6 km au sud-est d'Annecy, la préfecture du département. Les autres principales villes se trouvent dans le département voisin de la Savoie, avec au sud-est Albertville à 22,2 km et plus éloignée, au sud-ouest Chambéry à 36 km[Note 2].

Le chef-lieu de commune est localisé par l'Institut national de l'information géographique et forestière à la longitude 6° 20′ 33″ est et à la latitude 45° 82′ 88″ nord[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte montrant Duingt et les communes voisines.
Duingt et les communes voisines.

Duingt est entourée, du Nord au Sud, par les communes haut-savoyardes de Saint-Jorioz, de Talloires (sur la rive opposée du lac), puis sur le versant est du Taillefer Doussard, Lathuile, au sud en altitude le village d'Entrevernes et sur le versant ouest du Roc des Bœufs, le village de Saint-Eustache.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l'ex-RN 508 aujourd'hui route départementale 1508 qui se dirige au nord vers Annecy et au sud vers Albertville, via Ugine. En remontant vers le nord, en traversant Annecy, il est possible de rejoindre l'autoroute A430 (sortie Annecy-sud ou Annecy-nord) permettant de se rendre vers la vallée de l'Arve à l'est ou de se diriger vers Chambéry, via Aix-les-Bains à l'ouest. On peut éventuellement rejoindre l'autoroute A40, dite « autoroute blanche » en empruntant l'ancienne RN 508 direction Frangy.

La commune est reliée au reste du département et aux villes du département voisin par un service de cars journaliers assurant la liaison Annecy-Albertville par la société Philibert Transport, membre du réseau Lihsa (lignes interurbaines de Haute-Savoie). Il s'agit des lignes 51 et 52 dont les autocars effectuent de façon quotidienne[3].

À partir d'Annecy, on peut se connecter au réseau ferré de la plate-forme multimodale de la gare d'Annecy. Pour les vols internationaux, on peut emprunter soit l'aéroport français de Lyon-Saint-Exupéry (150 km soit environ 1 h 20), soit celui plus proche de Genève-Cointrin en Suisse (75 km soit environ 0 h 40).

La commune est également parcourue par une piste cyclable ou voie verte, dite du lac d'Annecy, implantée sur l'ancien tracé de chemin de fer, longeant la RD 1508, entre Annecy et Albertville, s'arrêtant pour la Haute-Savoie sur la commune de Val de Chaise (village de Marlens)[4]. Le dernier tronçon reliant Giez à Marlens a été réalisé entre 2004-2005[4]. Elle mesure 30 km de long[4]. Elle est gérée par le syndicat intercommunal du lac d'Annecy (SILA)[4]. Cette piste cyclable est considérée comme l'une des plus fréquentées de France[4]. Cette ancienne ligne de chemin de fer disposait d'une gare sur la commune.

On peut aussi se rendre à Annecy par bateau depuis l'embarcadère, grâce à l'une des trois liaisons journalières proposées par la Compagnie des bateaux du lac d'Annecy.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Duingt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Annecy, une agglomération intra-départementale regroupant 14 communes[8] et 183 697 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Annecy dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac d'Annecy, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (40,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (39,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,5 %), eaux continentales[Note 5] (28,5 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), zones urbanisées (10 %), prairies (5,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[16].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune et du village est mentionné au XIIe siècle avec les toponymes Duig (en 1198, à lire Duing) ou encore Duginum[17]. Au cours des deux siècles suivants, on trouve la forme Duin (notamment 1225), ou Duginno ou encore Cura de Duyng (1344)[17]. On trouve la paroisse mentionnée dans le cartulaire de l'abbaye de Talloires de la fin du XIIe siècle- début du XIIIe siècle sous les formes Dugnensis, Duniensis[18]. Enfin la forme évolue avant de se stabiliser avec Duygnum (XIVe siècle), Duing-Dhérée (XVIIIe siècle, associé au second village)[17], ou encore Duing (lors de la période de l'annexion française, entre 1793 et 1801)[19].

Duingt, sans prononcer le « G » et le « T » (ancienne prononciation Duin avec le son « ouin »), ou Duin, est un toponyme d'origine burgonde qui selon le linguiste Théophile Perrenot et son ouvrage La Toponymie burgonde (1942) pourrait dériver de *Dugingo, et par-delà lui-même dériver d'un nom propre, Dugo, qui en germanique donne *dugan, signifiant « valoir, être utile »[17],[20]. En burgonde, le mot duin pourrait signifier un monticule, une dune rappelant ainsi le promontoire rocheux au cœur du village, où fut érigé le deuxième château (du Roc).

Selon le site communal, Duingt pourrait dériver du mot celtique Don, signifiant « un monticule fortifié » d'où la présence à l'époque romaine puis féodale d'un castrum puis d'un château[M 1]. Enfin, il peut s'agir également du latin Duinus, nom patronymique des seigneurs de Duin de Châteauvieux.

Le nom du village de Dhéré, Dhérée ou d'Héré pourrait provenir du savoyard derè qui signifie « derrière »[21], dérivant très probablement de Darray ayant le même sens[22].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Douin, selon la graphie de Conflans[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Vieux village de Duingt avec les vestiges du château, depuis le petit lac.

Période médiévale[modifier | modifier le code]

La commune appartient au comté de Genève, et plus particulièrement au pagus minor Albanensis (Albanais). Les de Duin ou Duyn apparaissent au XIe siècle, ils sont seigneurs de Duin et vassaux des comtes de Genève. Cette famille domine la région avant de disparaître au XVIe siècle. Une branche cadette porte le titre de vicomte de Tarentaise et de la Val d'Isère. Leurs vassaux les plus proches sont les seigneurs de Dhéré.

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Situation administrative[modifier | modifier le code]

Duingt est une commune du département de la Haute-Savoie, située dans le canton de Seynod, dans l'arrondissement d'Annecy[24]. Duingt est associé avec l'ensemble des communes du pays du Laudon pour former en 1999 la communauté de communes de la Rive Gauche du Lac d'Annecy, remplacée le par le Grand Annecy.

Elle appartient à la deuxième circonscription de la Haute-Savoie.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Bruno Chanay ... ...
mars 2008 En cours
(au 30 avril 2014)
Marc Rollin ... ...

Population et société[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Dunois[25]. Le sobriquet en patois pour désigner les habitants, au XIXe siècle, est Gens de Duin, gens de rin[26].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 1 044 habitants[Note 6], en augmentation de 11,18 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
297316283324373345345367360
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
384381363343336389346310290
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
267268281250243302237297330
1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - -
4466357978708779741 044--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune de Duingt est située dans l'académie de Grenoble. En 2015, elle administre une école maternelle et une école élémentaire regroupant 101 élèves[30]. L'établissement est rattaché au collège public Jean-Monnet, situé à Saint-Jorioz.

Les futurs lycéens poursuivent leurs études selon leurs options, dans l'un des lycées d'Annecy (lycée Gabriel-Fauré ou lycée professionnel Germain-Sommeiller, parfois le lycée Berthollet ou le lycée privé Saint-Michel).

Santé[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au service d'urgences du centre hospitalier Annecy Genevois. Anciennement idéalement placé du côté des Marquisats à Annecy, sur la RD 1508, ce dernier a dès lors déménagé en 2008 du côté de Metz-Tessy, obligeant la traversée de l'agglomération. Du côté d'Albertville, dans le département voisin, on peut également avoir accès au service du centre hospitalier intercommunal Albertville-Moûtiers.

Médias[modifier | modifier le code]

Radios et télévisions[modifier | modifier le code]

La commune est couverte par des antennes locales de radio dont France Bleu Pays de Savoie, ODS radio, Radio Semnoz… La chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. L'émission La Place du village expose régulièrement la vie locale du bassin annécien. France 3 et sa station régionale France 3 Alpes, peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.

Presse et magazines[modifier | modifier le code]

La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré, L'Essor savoyard, Le Messager - édition Genevois, le Courrier savoyard.

Économie[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 1 459 lits touristiques répartis dans 202 structures[Note 7]. Les hébergements se répartissent comme suit : 55 meublés ; 2 hôtels et 2 structures d'hôtellerie de plein air[31].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Duingt, son église et son château.
La presqu'île de Duingt était autrefois une île.
Le château de Ruphy, sur sa presqu'île, en hiver.
Le château de Dhéré sur la route d'Entrevernes.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Patrimoine archéologique et civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel et fleurissement[modifier | modifier le code]

  • Grotte et belvédère de Notre-Dame-du-Lac, départ de randonnée sur le Taillefer avec une vue imprenable sur le lac d'Annecy.

En 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[32].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Duingt

Les armes de Duingt se blasonnent ainsi :

D'or à la croix de gueules cantonnée en chef de deux tours de sable[33]

Au XVIIe siècle, les armes du mandement de Duingt se blasonnaient ainsi : croix d’argent en champ de gueules avec dentelles d’azur à l’entour[34]. Tandis que celui de Chauteauvieux (de Duin) se blasonnaient quant à lui ainsi : croix d'argent en champ de gueules, la couronne ducale dessous[34].

Citation[modifier | modifier le code]

Le rivage, au-delà du hameau de Duingt, allonge sur l'eau une étroite presqu'île qui semble flotter, à peine retenue à la terre ferme. Enfouie sous un luxe de feuillages et de fleurs, peuplée de grands arbres qui entrelacent leurs branches et dont l'image renversée tremble dans le miroir des eaux, cette petite presqu'île est un Eden en raccourci, un paradis-joujou qu'un propriétaire trop intelligent a peut-être arrangé avec une habilité trop inventive. Au milieu de cette corbeille touffue, près d'une vieille maison qui est ensevelie sous le lierre et la clématite, une tour, qui est neuve et cependant moyenâgeuse, dessine sous le ciel sa dentelure d'inofensifs créneaux.

Gaston Deschamps, Le Chemin fleuri, 1896.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0), p. 21-25, « Les cantons d'Annecy - Annecy-le-Vieux - Seynod », p. 150-154 « Duingt ou Duin ».
  • Gérard Detraz, « Réflexions à propos de la naissance du village de Duingt », Revue savoisienne,‎ , p. 69-76 (lire en ligne).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Le bassin annécien est ainsi constitué de territoires distincts : l'agglomération annécienne, le pays du Laudon (appelé aussi rives du lac), le pays de Faverges, la vallée de Thônes et Les Aravis. in Vincent Pacini et Isabelle Brun, « Le livre blanc du bassin annécien. Une démarche aussi instructive qu'opérationnelle », Futuribles, no 328,‎ , p. 26 (lire en ligne).
  2. « orthodromie : distance à vol d'oiseau »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté en ).
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[31].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

Site de la mairie[modifier | modifier le code]

  • Données issues du site de la mairie de Duingt.
  1. « Duingt son histoire, ses habitants », Accueil > La commune > Culture et patrimoine, sur le site de la commune de Duingt (consulté en ).

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Antoine Reille, Guide des parcs naturels régionaux : Le patrimoine naturel, la vie traditionnelle, Delachaux et Niestlé, , 319 p. (ISBN 978-2-603-01151-5), p. 199.
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, publié en janvier 2007, révisé en mars 2010, consulté en octobre 2014, [lire en ligne].
  3. Ligne n°51 et Ligne n°52 du Réseau interurbain de Haute-Savoie.
  4. a b c d et e « Voie Verte - Présentation », sur Site du Syndicat intercommunal du lac d'Annecy (SILA) - www.sila.fr (consulté le ).
  5. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  7. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 d'Annecy », sur insee.fr (consulté le ).
  9. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Annecy », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  14. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b c et d Henry Suter, « Duingt », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  18. Jean-Yves Mariotte, « Annecy et ses environs au XIIe siècle d'après le cartulaire de Talloires », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 130, no 1,‎ , p. 5-32 (lire en ligne).
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Henry Suter, « Toisinges », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  21. Henry Suter, « Dhéré », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  22. Henry Suter, « Darray », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  23. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 12
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  24. Code officiel géographique de Duingt sur le site de l'Insee, consulté le 16 septembre 2015.
  25. « Duingt », Accueil > Ressources > Communes, sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
  26. François Miquet, Sobriquets patois et dictons des communes et hameaux de l'ancien genevois et des localités limitrophes, Annecy, , 27 p. (lire en ligne), p. 19.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Haute-Savoie (74) > Duingt > École », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  31. a et b « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
  32. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  33. « Armes de Duingt », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
  34. a et b J.-F. Gonthier, « Funérailles de Charles-Amédée de Savoie, duc de Nemours (1659) », Revue savoisienne, vol. XI, no série II,‎ , p. 249 (lire en ligne).