Veyrier-du-Lac

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Veyrier-du-Lac
Veyrier-du-Lac
Vue de Veyrier-du-Lac depuis la rive occidentale du lac d'Annecy.
Blason de Veyrier-du-Lac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Annecy
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Annecy
Maire
Mandat
Vanessa Bruno
2021-2026
Code postal 74290
Code commune 74299
Démographie
Gentilé Veyrolain
Population
municipale
2 297 hab. (2021 en diminution de 0,48 % par rapport à 2015)
Densité 280 hab./km2
Population
agglomération
6 108 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 52′ 56″ nord, 6° 10′ 41″ est
Altitude Min. 441 m
Max. 1 291 m
Superficie 8,21 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Veyrier-du-Lac
(ville-centre)
Aire d'attraction Annecy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Faverges-Seythenex
Législatives Première circonscription
Localisation
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Veyrier-du-Lac
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Veyrier-du-Lac
Liens
Site web veyrier-du-lac.fr

Veyrier-du-Lac est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Veyrier-du-Lac est une commune de la rive est du lac d'Annecy, située à 5 km au sud-est de la ville d'Annecy, située le long du lac au pied du mont Veyrier.

Les parties constructibles de la commune sont celles situées sur l'étroite bande de terre de quelques centaines de mètres de large entre la montagne et le lac. De temps en temps des éboulements peuvent se produire comme en 2009 où un rocher de 17 tonnes s'est détaché du Mont-Veyrier sans causer de dommages majeurs. Plusieurs éléments de protection existent pour prévenir les chutes de pierre.

Hauteurs de Veyrier-du-Lac.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Annecy (Annecy-le-Vieux) Alex Rose des vents
Lac d'Annecy
face à Annecy et Sevrier
N
O    Veyrier-du-Lac    E
S
Menthon-Saint-Bernard

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Veyrier-du-Lac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Veyrier-du-Lac, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[4] et 6 108 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[5],[6].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Annecy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac d'Annecy, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[9]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (44,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (44,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,7 %), eaux continentales[Note 3] (39,8 %), zones urbanisées (16 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,5 %)[12].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune de Vairier devient officiellement Veyrier-du-Lac, au lieu de Vairier d'Annecy, par le décret du (paru au J.O. du )[13],[14].

Le toponyme « Veyrier » proviendrait d'un ancien fundus romain (domaine gallo-romain) Viriacus ou Veriacus, formé par le gentilice Virius ou Verius, associé au suffixe -acus[15]. On trouve les formes Vaire ou encore Variacum, Variaci sur le cartulaire de l'abbaye de Talloires de la fin du XIIe siècle- début du XIIIe siècle[16],[17]. Puis plus tard, la forme Voyriey est mentionnée en 1257, ensuite la forme Vairier semble se stabiliser avec notamment la variante Vairier d'Annecy[13],[15].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Vêrî (graphie de Conflans) ou Vêrér (ORB)[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Périodes préhistorique et antique[modifier | modifier le code]

Sur les nombreuses grottes que l'on trouve au pied de la montagne, côté lac d'Annecy, seules la grotte dite « Trou du Renard »[19],[20] ou encore la grotte du Fortin contiennent des traces remontant à la période du Néolithique (squelettes, poteries)[21]. La station préhistorique de Vieugy, au lieu-dit « Sous les Guerres », est considérée comme plus importante avec la découverte d'outils (meules, pierres à broyer, poteries) ou encore une hache de bronze[20],[21].

Le site se trouve en territoire des Allobroges qui contrôlent l'avant-pays plat, entre le Rhône et les Alpes[22].

Les Romains interviennent dans les environs à partir du IIe siècle av. J.-C. Une fois le territoire pacifié, ils construisent des routes afin de commercer et notamment la route secondaire reliant Turin à Genève, passant par le village de Verthier en provenance de la mansio Casuaria (village de Viuz sur la commune de Faverges), qui se développe au Ier siècle, sur la rive droite du lac[23]. Toutefois, Veyrier possède les traces d'une villa au lieu-dit Morat[20], dont le nom en latin muratum semble évoquer d'anciennes murailles[24]. Sur le même site, des traces attribuées à la présence burgonde ont été retrouvées (sarcophage, monnaies, poteries ou encore des sépultures)[20].

Période médiévale[modifier | modifier le code]

La paroisse est mentionnée au XIIe siècle, sous les formes Vaire ou encore Variacum[17]. Bien que mentionnée dans le cartulaire de l'abbaye de Talloires de la fin du XIIe siècle- début du XIIIe siècle[16], la paroisse, dédiée à saint Maurice d'Agaune, ne semble pas dépendre du monastère[17]. Elle est réunie à la collégiale de Notre-Dame d'Annecy en 1587[17].

Veyrier appartient à la famille de Menthon[25]. Les habitants relèvent de la châtellenie d'Annecy[25].

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

La culture de la vigne[modifier | modifier le code]

Les pentes situées en dessous de la Montagne de Veyrier accueillent des vignes[26]. Au début du XXe siècle, la surface est estimée à 26 ha au niveau des villages de Chavoires et de Chabloux[26].

Développement touristique[modifier | modifier le code]

En 1935, à l'initiative du banquier annécien Léon Laydernier, un téléphérique est aménagé entre la commune et le mont Veyrier. La gare d'arrivée offre un remarquable belvédère sur Annecy, son lac et sa région et dispose d'un hôtel-refuge de douze lits[27],[28],[29].

Dans les années 1980, l'infrastructure devient vieillissante et l'activité touristique tourne au ralenti[29],[30]. Les nouvelles réglementations en matière de sécurité imposent dès lors la fermeture de l'activité en 1984[29],[30]. La commune de Veyrier rachète l'ensemble pour un franc symbolique[29]. À la suite d'un incident, la gare supérieure est démolie en 2001[30]. En 2014, la gare inférieure du téléphérique est aménagée pour accueillir la cinémathèque des Pays de Savoie et de l'Ain[31].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Situation administrative[modifier | modifier le code]

La commune appartient au canton de Faverges, qui depuis le redécoupage cantonal de 2014, est composé de 27 communes dont Alex, Lathuile, La Balme-de-Thuy, Chevaline, Le Bouchet-Mont-Charvin, Les Clefs, Cons-Sainte-Colombe, La Clusaz, Doussard, Entremont, Giez, Dingy-Saint-Clair, Marlens, Le Grand-Bornand, Montmin, Lathuile, Saint-Ferréol, Seythenex, Manigod, Saint-Jean-de-Sixt, Les Villards-sur-Thônes, Talloires, Thônes, Lathuile, Serraval. La ville de Faverges en est le bureau centralisateur[32]. Auparavant la commune était attachée au canton d'Annecy-le-Vieux.

Elle est aussi membre du Grand Annecy qui remplace depuis le la communauté de communes de la Tournette, qui comportait quatre communes.

La commune relève de l'arrondissement d'Annecy et de la deuxième circonscription de la Haute-Savoie.

Liste des syndics et maires[modifier | modifier le code]

Durant la période du duché de Savoie (XVe siècle à 1792), la commune est gérée par un premier syndic et son conseil. Ce dernier est désigné pour un an. La charge de syndic disparaît en 1792 lorsque le duché est occupé par les troupes révolutionnaires françaises. L'administration française met en place la fonction de maire. À la suite de la Restauration des États de Savoie en 1815, Veyrier retrouve le système de gestion sarde jusqu'à l'Annexion de la Savoie à la France (1860).

Liste des Syndics successifs jusqu'en 1792, 1815-1860
Période Identité Étiquette Qualité
... ...    
Les données manquantes sont à compléter.
Francois Rachel    
Philippe Brave    
Gaspard Bocquet    
Charles de Fésigny    
André Lacombe    
Nicolas Tardivel    
Claude Rachel    
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Jean Communal    
Casimir Dompmartin    
Jean Quétan    
André Lacombe    
Jean Communal    
Hector-Marie de Fésigny    
Jean BLanc    
Francois-Joseph Burnet   Cultivateur
Jean-Marie Lacombe   Cultivateur
Jean Rivollet   Cultivateur
Francois Miège   Cultivateur
Eugène Rachel   Industriel
? Joseph-Isidore Lacombe   Cultivateur
Les données manquantes sont à compléter.
? Charles Mérieux   Médecin
Général François Anthoine    
Jean Brunet   Notaire
Francois Sautier    
Bernard Guerin    
Gabriel Boy    
Marie-Antoinette Giraud DVD Retraitée de l'éducation
Sylvie Maniglier DVD Fonctionnaire

(démission)
Thomas Terrier[33] SE Vice-président du SILA[33]
Vice-président de la communauté d’agglomération du Grand Annecy, en charge de l'eau[33]
[34] En cours Vanessa Bruno SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Ses habitants sont appelés les Veyrolaines et les Veyrolains[13].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

En 2021, la commune comptait 2 297 habitants[Note 4], en diminution de 0,48 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
572584643636710724720704754
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
743741692667623600578551514
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
4655565866577868999431 3111 700
1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 -
1 7701 9672 0632 1302 1382 3272 2512 297-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements éducatifs[modifier | modifier le code]

La commune de Veyrier-du-Lac est rattachée à l'académie de Grenoble[38].

Au , Veyrier-du-Lac compte 1 école maternelle[39] et 1 école élémentaire[40], toutes deux publiques. Les écoles publiques sont gérées par les services de la mairie de Veyrier-du-Lac[41].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Festival de Pâques, douzième édition en mars 2016 : festival de musiques anciennes et de musiques baroques, autour de l'orgue Lanfon-Veyrier.

Lieux de cultes[modifier | modifier le code]

La commune de Veyrier-du-Lac appartient à la paroisse Saint-Germain du lac qui regroupe l'ensemble les communes de la rive droite du lac d'Annecy[42]. Elle est l'une des composantes de la doyenné d'Annecy, dans le diocèse d'Annecy[43].

Économie[modifier | modifier le code]

En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 1 702 lits touristiques répartis dans 305 structures[Note 5]. Les hébergements marchands se répartissent comme suit : 68 meublés ; 5 hôtels et un camping[44].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune de Veyrier-du-Lac bénéficie du label « ville fleurie » avec « une fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[48].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Veyrier du Lac

Les armes de Veyrier-du-Lac se blasonnent ainsi :

De gueules à la croix d'argent, chargée d'une grappe de raisin de pourpre, feuillée et pamprée de sinople, cantonnée de quatre poissons d'azur, la tête d'or et lorrés du même, affrontés deux à deux en sautoir.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[44].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  3. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Unité urbaine 2020 de Veyrier-du-Lac », sur insee.fr (consulté le ).
  5. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Annecy », sur insee.fr (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  10. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Veyrier-du-Lac », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
  14. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. a et b Henry Suter, « Veyrier-du-Lac », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le ) (consulté en ).
  16. a et b Jean-Yves Mariotte, « Annecy et ses environs au XIIe siècle d'après le cartulaire de Talloires », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 130, no 1,‎ , p. 5-32 (lire en ligne).
  17. a b c et d Histoire des communes savoyardes 1981, p. 211, « La paroisse ».
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    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  19. Alex Bégneu, « Une station du bronze dans la Montagne de Veyrier-du-Lac (près d'Annecy) », Bulletin de la Société préhistorique de France, vol. 54, no 10,‎ , p. 652-656 (lire en ligne).
  20. a b c et d Histoire des communes savoyardes 1981, p. 211.
  21. a et b Prémat et Schneider 1998, p. 13.
  22. Henri Ménabréa, Histoire de la Savoie, Bernard Grasset, (réimpr. 1960, 1976, 2009), p. 10.
  23. Alain Piccamiglio et Maxence Segard, « Le site de Viuz-Faverges/Casuaria (Haute-Savoie) : agglomération, sanctuaire et villa dans la cluse d'Annecy », Revue archéologique de Narbonnaise, vol. 38, no 39,‎ , p. 105 (lire en ligne).
  24. Prémat et Schneider 1998, p. 45.
  25. a et b Histoire des communes savoyardes 1981, p. 211, « La Seigneurie et châteaux ».
  26. a et b Histoire des communes savoyardes 1981, p. 212, « La vigne ».
  27. a et b Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (ISBN 978-2-84206-374-0, lire en ligne), p. 135.
  28. Hélène Viallet Archives départementales de la Haute-Savoie, Conservatoire d'art et d'histoire de la Haute-Savoie, Du rail au câble : à l'assaut de la montagne : 1860-1940, Archives départementales de la Haute-Savoie, , 94 p., p. 39.
  29. a b c et d Prémat et Schneider 1998, p. 462.
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  32. « Décret no 2014-185 du portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie », Légifrance, (consulté en ).
  33. a b et c Georges Bise, « Le maire poussé à la démission par son conseil à Veyrier-du-Lac », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne).
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  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Ecole à Veyrier-du-Lac »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de l'Education nationale, (consulté le ).
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  40. « Ecole élementaire publique Alice Delean »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de l'Education nationale, (consulté le ).
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  45. Michel Sollberger, La Paroisse Saint-Maurice de Veyrier : ses origines, son histoire et son rayonnement, Paroisse catholique Saint-Maurice, 1989, 73 pages. Plaquette éditée à l'occasion du 200e anniversaire de la reconstruction de l'église paroissiale.
  46. « Château de Fésigny », notice no PA00125745, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. La Rédaction, « Veyrier-du-Lac : la cinémathèque des Pays de Savoie et de l'Ain inaugurée locale », Le Messager,‎ (lire en ligne).
  48. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  49. Jean-Paul Chavas, « Le général Doyen, héros militaire et serviteur de Veyrier-du-Lac », sur ledauphine.com, (consulté le ).
  50. « Marc Veyrat ferme son restaurant pour raisons de santé » publié sur le site du Dauphiné libéré
  51. "CASTRO AND STOCKASTER a Life in Reuters", par Michael Nelson, décembre 2011, éditions Matador
  52. http://www.yoann-conte.com/fr/hotel-restaurant-annecy-site-officiel.php
  53. Le Canard enchaîné, .
  54. Les pépites du lac, Lepoint.fr, 14 juin 2012, consulté le 10 juillet 2013