Confrançon

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Confrançon
Confrançon
Vue du château de Loriol.
Image illustrative de l’article Confrançon
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Bourg-en-Bresse
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bassin de Bourg-en-Bresse
Maire
Mandat
Jean-Paul Buellet
2020-2026
Code postal 01310
Code commune 01115
Démographie
Gentilé Confrançonnais
Population
municipale
1 348 hab. (2021 en augmentation de 1,43 % par rapport à 2015)
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 16′ 05″ nord, 5° 03′ 57″ est
Altitude Min. 192 m
Max. 224 m
Superficie 18,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bourg-en-Bresse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Attignat
Législatives Première circonscription
Localisation
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Confrançon
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Confrançon
Liens
Site web confrancon.fr

Confrançon (Confrèchon en francoprovençal bressan), est une commune française du département de l'Ain, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte du territoire de la commune.

Localisation[modifier | modifier le code]

Localisation de la commune dans l'Ain et le canton d'Attignat.

Confrançon est une commune française du département de l'Ain dans le sud de la région naturelle de la Bresse, plus particulièrement dans la Bresse savoyarde, près de la région naturelle de la Dombes. Elle se situe à 16 km à l'ouest de Bourg-en-Bresse,à 21 km à l'est de Mâcon, à 71 km au nord de Lyon et à 410 km au sud de Paris. Elle appartient à l'arrondissement de Bourg-en-Bresse et au canton de Attignat.

La population n'est pas concentrée en un lieu mais est dispersée dans différents lieux-dits. La majorité est concentrée au bourg du village, au Logis-Neuf et à l'Effondras mais on trouve des habitations dans d'autres hameaux tels que Cornaton, Petite Chassagne, Grande Chassagne, Loriol et Reculande.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Points extrêmes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Cours d'eau[modifier | modifier le code]

  • À Petite Chassagne naît le bief de l'Attaque qui se dirige vers l'ouest. Le cours d'eau deviendra le Menthon au lieu-dit Colonge de Saint-Genis-sur-Menthon.
  • Le bief de Corrian prend sa source à Polliat sous le nom du bief de l'Étang Colomb. Elle entre dans la commune vers Cornaton puis se dirige vers l'ouest avant de devenir le bief de Passolard au bourg. Ce ruisseau quitte la commune vers L'Étang Passolard avant de prendre le nom de bief de Menthon qui va se jeter à Saint-Cyr-sur-Menthon dans le Menthon.
  • Le bief de Cheval Queue ou de Montlessard forme une partie de la frontière sud que Confrançon partage avec Mézériat. Ce ruisseau se jette à Saint-Genis-sur-Menthon dans le bief de Menthon.
  • Le bief de l'Étang ou de l'Étang Gayand naît à Polliat, il se jette dans le bief de Corrian vers l'étang Gayand.

Plans d'eau[modifier | modifier le code]

  • L'Étang Gayand est le plus grand plan d'eau de la commune, il est situé à Cornaton et est à cheval entre la commune et Curtafond.
  • Vers La Boigna, on trouve un petit étang qui est longé par le bief de Passolard.
  • Au lieu-dit Granges Neuves, un étang est la source d'un petit ruisseau qui se jette dans le Menthon. Une mineure partie du plan d'eau se trouve à Saint-Genis-sur-Menthon.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 964 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Baneins à 21 km à vol d'oiseau[3], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 880,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Les axes routiers au sein de la commune.

Routes[modifier | modifier le code]

L'autoroute A40.
  • La route départementale D 1079 traverse la commune d'ouest en est. Cette voie débute à Mâcon par le pont Saint-Laurent et prend fin dans la ville de Bourg-en-Bresse. Elle permet de rejoindre par l'ouest Saint-Cyr-sur-Menthon, Mâcon et le département de Saône-et-Loire tandis que par l'est, elle permet de rejoindre Polliat, Bourg et les autres villes importantes du département.
  • La route départementale D 92b passe par le centre du village, elle débute au Logis-Neuf avant de terminer au centre de la commune voisine de Curtafond.
  • La route départementale D 26 traverse l'ouest de la commune et passe vers le hameau de L'Effondras. En prenant le sud, on rejoindre Mézériat et Vonnas alors qu'en se dirigeant au nord, on peut se diriger vers Saint-Didier-d'Aussiat.
  • La route départementale D 45 traverse une petite partie de Confrançon et va en direction de Vandeins.
  • L'autoroute A40 (Mâcon - Genève), portion de la Route Centre-Europe Atlantique Bordeaux/Nantes - Annemasse, traverse aussi la commune, mais il n'y a aucune sortie d'autoroute.

Voies ferroviaires[modifier | modifier le code]

Aucune voie ferrée ne traverse la commune mais une se situe au sud à Mézériat. La ligne de Mâcon à Ambérieu, desservie par les TER de la région Rhône-Alpes[7], accueille les TER Rhône-Alpes et s'arrêtent à la gare de Mézériat. La gare de Polliat est une autre gare située à proximité qui est desservie par la ligne. Les trains grandes lignes et les TGV parcourant cette ligne ne marquent pas d'arrêt.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Arrêt Centre au Logis-Neuf.

La commune est reliée au réseau départemental des bus car.ain.fr[8]. Trois arrêts sont installés le long de la route départementale RD1079 qui sont intégrés à la ligne 118 (Sens Bourg-en-Bresse - Mâcon et sens Mâcon - Bourg-en-Bresse). Le premier arrêt est Route de Montrevel à l'Effondras, le deuxième est Centre - Logis Neuf. Le dernier arrêt est à la sortie du Logis-Neuf et se nomme Route de Confrançon.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Confrançon est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourg-en-Bresse, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53 %), prairies (20,1 %), zones agricoles hétérogènes (14,6 %), forêts (7,2 %), zones urbanisées (5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[14].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée du village.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Confrançon vient de Curti Francionis[15]. Curti vient du latin cohors, cohortis, qui signifie enclos, cours d´une ferme, basse-cour. Au Moyen Âge, il désignait un ensemble d'exploitations regroupées géographiquement et souvent placée sous l'autorité d'un seigneur. Quant à Francionis, ce nom provient de l'anthroponyme germanique Francio dérivé de l'ethnonyme Franci qui se réfère aux Francs.

Anciens noms[modifier | modifier le code]

La première mention que l'on a de la commune date du Xe siècle, la commune porte alors le nom de Corte Francionis selon le cartulaire de Saint-Vincent-de-Mâcon[16]. En 997, le recueil de chartes de Cluny évoque Curte Francione. Deux ans plus tard, Corfrancione est cité dans le même ouvrage.

Vers 1250, le pouillé de Lyon cite Corfrançons et mentionne Confranczon vers 1325. Selon les archives de l'Ain, Confranson, est le nom du village en 1563. Ce n'est qu'en 1587 dans le pouillé du diocèse de Lyon qu'on trouve le nom actuel de Confrançon.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village est mentionné dès le Xe siècle, son histoire est très liée à celle des comtes de Loriol.

Loriol, au Moyen Âge, s'appelait Asnières. Une famille noble de ce nom y est citée autour de l'an 1100. Vers 1300, cette seigneurie passe aux mains des Sachins, qui font reconstruire le château aux alentours de 1350. Jean de Loriol fait l'acquisition de ce domaine au tout début du XVIe siècle et le temps gardera son nom attaché à cet endroit. Il fut restauré dans le goût de l'époque en 1860. C'est un logis en équerre qui est flanqué de tourelles rondes, avec un gros donjon quadrangulaire datant probablement du XIVe siècle ; il comporte des mâchicoulis et des poivrières circulaires dans les angles.

L'histoire linguistique du village, comme celle de toute la Bresse, a été marquée au XXe siècle par le passage du bilinguisme français/francoprovençal à l'unilinguisme français. Le « patois bressan » n'est plus parlé que par quelques rares personnes âgées. La variante parlée à Confrançon a cependant connu une postérité inattendue puisqu'elle a été choisie pour la traduction en francoprovençal bressan d'un album de Tintin, Lé pèguelyon de la Castafiore. Josine Meune, qui a traduit l'album avec son fils Manuel, est originaire de ce village. Dans cet album, le château de Loriol est devenu lou shôté de L'ônizhe (le château de L'asnière).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Confrançon est membre de la communauté d'agglomération du Bassin de Bourg-en-Bresse, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Bourg-en-Bresse. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[17].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Bourg-en-Bresse, au département de l'Ain et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[18]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Attignat pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[18], et de la première circonscription de l'Ain pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[19].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Mairie de la commune.

Lors des conseils municipaux le maire de la commune est entouré de ses trois adjoints et de ses onze autres conseillers municipaux[20]. Les élus sont répartis dans douze commissions : administration - information, finances, argriculture - voirie, affaires scolaires, patrimoine, relation avec les associations, urbanisme, fêtes et cérémonies, sapeurs pompiers, fleurissement, office du tourisme, prévention routière - délégation affaires militaires.

Maires successifs[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1971 1983 Marius Fromont    
1983 1989 Émile Rigollet    
1989 2001 Claude Fromont   Fils de Marius Fromont, frère de Pierre Fromont[21]
2001 2020 Christiane Colas PS Réélue en 2008 et 2014
25 mai 2020 En cours Jean-Paul Buellet DVG  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

En 2021, la commune comptait 1 348 habitants[Note 3], en augmentation de 1,43 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1501 1141 1221 1951 3241 3231 4011 4241 486
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3831 3391 3531 3041 3371 3181 2981 2081 125
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1491 1191 0889761 016923936887781
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
7286577257208058621 0481 2001 331
2021 - - - - - - - -
1 348--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune possède une école qui réunit les élèves de la maternelle, du CP et du CE1 provenant de la commune et de Curtafond. En effet, les écoles des deux communes forment un RPI, l'école de Curtafond accueille les élèves du CE2 au CM2.

Sports[modifier | modifier le code]

Infrastructures sportives[modifier | modifier le code]

Espace Robert-Busnel.

Au bourg du village, l'espace Robert-Busnel est un gymnase qui accueille différentes activités dont la gymnastique ou le basketball.

Auparavant, il y avait deux courts de tennis près du gymnase. Depuis 2016, en raison du mauvais état de ces infrastructures, un des deux courts est transformé en terrain multisports tandis que l'autre reste un terrain de tennis mais possède désormais un revêtement en gazon synthétique[26].

Au lieu-dit Fenioux, on trouve un terrain de football.

Clubs sportifs[modifier | modifier le code]

  • Le Football Club Curtafond - Confrançon - Saint-Martin-le-Châtel - Saint-Didier-d'Aussiat est un club de football réunissant les footballeurs seniors, vétérans et les jeunes du niveau U7, U9 et U11. Les autres jeunes du club évoluent au sein du Bresse Tonic Foot qui est un club qui réunit avec eux d'autres jeunes des clubs de l'US Marsonnas-Jayat-Béreyziat, l'AS Attignat et de l'ES Foissiat-Étrez[27].
  • L'AS Confrançon Basket est un club de basketball qui possède des équipes masculines et féminines.
  • Planète Tennis est une association de tennis créée en 1987 à Saint-Didier-d'Aussiat qui s'unit avec le club de la commune en 2000 et de celui de Montrevel-en-Bresse en 2011[28].
  • La Gym à Confrançon propose plusieurs activités telles que la gym tonique, la zumba, la gym douce, le badminton et le sport loisirs[29].

Médias locaux[modifier | modifier le code]

  • Le journal Le Progrès propose une édition locale aux communes de l'Ain. Il paraît du lundi au dimanche et traite des faits divers, des évènements sportifs et culturels au niveau local, national, et international.
  • Le journal Voix de l'Ain est un hebdomadaire publié les vendredis qui propose des informations locales pour les différentes régions du département de l'Ain.
  • La chaîne France 3 Rhône Alpes Auvergne est disponible dans la région.

Numérique[modifier | modifier le code]

La commune dispose du très haut débit avec la fibre optique grâce au réseau public de fibre optique L'Ain régi par le syndicat intercommunal d'énergie et de e-communication de l'Ain.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château de Loriol et son parc sont inscrits à l'inventaire des monuments historiques[30].
  • L'église Saint-Pierre est un édifice de style roman. Elle fut construite sur l'emplacement d'une ancienne église entre le , date la première pierre où a été posée, et le , date de l'inauguration[31].
  • Ancienne maison forte de Chassagne citée depuis 1272[32].
  • Près de l'école, l'ancien presbytère accueille le centre de loisirs et fut rebâti en 1772.
  • Près de la mairie, un monument fut érigé en l'honneur des soldats de la commune morts au combat pour la France.
  • Au bourg près de l'école, un four à pain est encore utilisé lors de divers événements.
  • À Grande Chassagne, le château d'eau relie les habitations de Confrançon au réseau de l'eau.
  • Quelques croix de chemins se trouvent sur le territoire.

Gastronomie[modifier | modifier le code]

Les spécialités culinaires sont celles de la région bressane, c'est-à-dire la volaille de Bresse, les gaudes, la galette bressane, les gaufres bressanes, la fondue bressane[33].

La commune se situe dans l'aire géographique de l'AOC Crème et beurre de Bresse[34] et de l'AOC Volailles de Bresse[35].

Elle a aussi l'autorisation de produire le vin IGP Coteaux de l'Ain (sous les trois couleurs, rouge, blanc et rosé)[36].

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

Panneau Village Fleuri avec une fleur.

En 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[37].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Robert Busnel, ancien basketteur et président de la FIBA possédait une maison de famille dans la commune[38]. Le gymnase du village porte d'ailleurs le nom du sportif.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Confrançon et Baneins », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Baneins », sur la commune de Baneins - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Baneins », sur la commune de Baneins - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. Dépliant PDF de la ligne Mâcon-Bourg-Ambérieu.
  8. Horaires ligne 118 sur car.ain.fr
  9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le )
  15. Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs », sur henrysuter.ch
  16. Dictionnaire topographique de Philipon p. 127 sur archives-numerisees.ain.fr
  17. « communauté d'agglomération du Bassin de Bourg-en-Bresse - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le )
  18. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Confrançon », sur insee.fr (consulté le ).
  19. « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  20. Le conseil municipal, sur confrancon.fr.
  21. Pierre Fromont, ancien conseiller général et maire de Viriat, nous a quittés, La Voix de l'Ain, 26 février 2015, par Jean-Marc Perrat
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Aire de loisirs & court de tennis, bulletin municipal no 43, juin 2016, p. 8, sur confrancon.fr.
  27. Bresse Tonic Foot, sur fccurtafond.footeo.com.
  28. Planète Tennis, bulletin municipal no 43, juin 2016, p. 20, sur confrancon.fr.
  29. La Gym à Confrançon, bulletin municipal no 43, juin 2016, p. 21, sur confrancon.fr.
  30. « Le château », notice no IA01000358, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Une souscription pour rénover les peintures du chœur de l’église, bulletin municipal no 43, juin 2016, p. 12-15, sur confrancon.fr.
  32. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 18 (cf. Chassagne).
  33. Bourg-en-Bresse, ville départ, sur letour.fr.
  34. Aire géographique de l'AOC Crème de Bresse.
  35. Aire géographique de l'AOC Volaille de Bresse.
  36. « Confrançon, commune viticole », sur vin-vigne.com (consulté le ).
  37. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  38. Robert Busnel, sur confrancon.fr.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]