Montignac-Lascaux

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Montignac-Lascaux
Montignac-Lascaux
La Vézère à Montignac.
Blason de Montignac-Lascaux
Blason
Montignac-Lascaux
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Homme
Maire
Mandat
Laurent Mathieu
2020-2026
Code postal 24290
Code commune 24291
Démographie
Gentilé Montignacois(es)
Population
municipale
2 759 hab. (2021 en diminution de 1,71 % par rapport à 2015)
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 04′ 00″ nord, 1° 09′ 41″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 273 m
Superficie 37,15 km2
Élections
Départementales Vallée de l'Homme
(bureau centralisateur)
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Montignac-Lascaux
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Montignac-Lascaux
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Montignac-Lascaux
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte administrative de la Dordogne
Montignac-Lascaux
Liens
Site web ville-montignac.com

Montignac-Lascaux, également appelée Montignac (appellation officielle jusqu'en 2020) ou Montignac-sur-Vézère, est une commune française située sur la Vézère, dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Chef-lieu du canton de Montignac de 1790 à 2015, la commune est devenue à cette date le bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Homme.

Au cœur de la vallée de la Vézère, la grotte de Lascaux est son site emblématique, mondialement connu.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

À l'est du département de la Dordogne, Montignac-Lascaux est une commune du nord Sarladais, ancien chef-lieu du canton de Montignac. Elle est arrosée par la Vézère et son affluent la Laurence qui se rejoignent sur le territoire communal.

La ville de Montignac-Lascaux se situe, en distances orthodromiques, 11 km au sud-est de Thenon, 13 km au sud-ouest de Terrasson-Lavilledieu et 19 km au nord de Sarlat-la-Canéda, dans la vallée de la Vézère, au carrefour des routes départementales 65, 704, 704e et 706.

La commune est également desservie au nord par les routes départementales 46 en direction des Farges, et 67 en direction d'Auriac-du-Périgord.

Le territoire communal est traversé par les sentiers de grande randonnée GR 36 et GR 461.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Montignac et des communes avoisinantes en 2018, avant la création de la commune nouvelle de Coly-Saint-Amand.

Montignac-Lascaux est limitrophe de sept autres communes. Au nord-ouest, elle n'est éloignée du territoire de Bars que par une trentaine de mètres.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Montignac-Lascaux est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque, de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2c, date du Turonien moyen à supérieur, composée de calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à huîtres et à rhynchonelles, localement grès et sables jaunes (feuille de Terrasson). La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de types colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 784 - Terrasson » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Montignac-Lascaux.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 73 mètres au sud-ouest, là où la Vézère quitte la commune pour servir de limite entre celles de Thonac et Valojoulx et 273 mètres[5] au nord-ouest, au lieu-dit les Quatre Bornes[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 37,15 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 36,16 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Vézère, la Laurence, le Doiran, le ruisseau de Gauléjac et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 29 km de longueur totale[14],[15].

La Vézère, d'une longueur totale de 211,2 km, prend sa source en Corrèze dans la commune de Meymac et se jette dans la Dordogne — dont elle est l'un des principaux affluents — en rive droite, à Limeuil, face à Alles-sur-Dordogne[16],[17]. Elle traverse le territoire communal du nord au sud ouest sur près de six kilomètres et demi.

Son affluent de rive gauche le Doiran baigne la commune à l'est sur plus de quatre kilomètres et rejoint la Vézère par deux bras distants de près de 300 mètres.

La Laurence, d'une longueur totale de 14,35 km, prend sa source dans la commune de Thenon et se jette dans la Vézère en rive droite dans la commune, au nord-est de la ville, face à la commune d'Aubas[18],[19]. Elle arrose le nord-est de la commune sur près de trois kilomètres.

Affluent de rive droite de la Laurence, le ruisseau de Gauléjac prend sa source près du lieu-dit les Gilettoux, dans le nord-est du territoire communal qu'il arrose sur plus de trois kilomètres et demi.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 1].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[22]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[23].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 880 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[24]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Thenon à 11 km à vol d'oiseau[25], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[26],[27]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[28].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Sur 144 hectares, la colline de Lascaux est un site naturel inscrit en 1969[29] avant de devenir classée en 1982[30]. En 1987, neuf hectares supplémentaires sont également classés[31].

Depuis 1966, la Vézère en aval du pont de Montignac, fait partie d'un site naturel inscrit[32],[33].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Les maisons du quai Merilhou en période de crue de la Vézère (janvier 2018).

Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2000 pour la Vézère — qui traverse la commune de l'est au sud-ouest — à Montignac, impactant ses rives jusqu'à une largeur pouvant atteindre 700 mètres à l'est de la ville, ainsi que la partie aval de son affluent la Laurence (les 650 derniers mètres)[34],[35].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Montignacum au XIe siècle[36], puis Montignac.

Depuis 2020, la commune est dénommée officiellement Montignac-Lascaux[37].

Elle est également appelée localement « Montignac-sur-Vézère ».

En occitan, la commune porte le nom de Montinhac[38].

Il s'agit d'un type toponymique gallo-roman extrêmement fréquent *Montaniacum, composé du suffixe d'origine gauloise en -(i)acum, qui soit sert à localiser, auquel cas il est généralement précédé d'un appellatif à valeur topographique, soit indique une propriété, cas dans lequel il est précédé d'un anthroponyme. Ce nom de personne serait *Montanius qui n'est pas attesté, contrairement à Montanus. Cependant on distingue le type Montaniacum du type Montiniacum, sur le nom de personne *Montinius, variante de Montinus[36]. Conscient de la fréquence de ce nom de lieu que ce soit sous les formes Montigny, Montignacetc., Albert Dauzat envisage aussi l'hypothèse d'un nom à caractère topographique, à savoir montinus (cité sans astérisque), relatif à une élévation, une colline, un mont, dérivé de mons[36] (comprendre gallo-roman MONTE « élévation, colline, mont »). Cependant, Montaniacum a très bien pu aboutir à Montiniacum, et le premier élément Montan- représenterait alors *montanea qui a donné montagne en français (latin classique montanus). Les toponymes Montagnac, Montagnyetc. sont tout aussi fréquents.

Histoire[modifier | modifier le code]

Tour du château de Montignac.

La présence humaine est attestée à Montignac dès le Paléolithique. La cité possède sur son territoire le site préhistorique de Lascaux et le gisement du Régourdou (homme de Néandertal). La ville entre dans l'histoire avec la colonisation romaine. Deux villas sont attestées : la villa des Olivoux (lieu-dit du Chambon au nord de Montignac) et la villa de Brenac.

À l’époque médiévale, la ville est pourvue d'une forteresse importante. Elle passe de main en main par mariage, vente, héritage avant de passer dans le giron de la famille d'Albret.

Montignac passe à la Maison d'Albret en 1334 par l'intermédiaire de Mathe d'Albret, épouse du seigneur de Montignac Élie Rudel de Bergerac. Le , Élie Rudel fait don à Mathe des seigneuries de Montignac et Montcucq (commune de Pomport) ainsi que de celle de Pujols dans la sénéchaussée de Carcassonne (sans doute la commune actuelle de Pouzols-Minervois), en règlement d'une dette qu'il ne peut pas payer. À la mort de Mathe en 1338, la seigneurie de Montignac est intégrée aux terres des Albret[39].

Elle y demeure jusqu'en 1603, date à laquelle le roi de France Henri IV la cède à François de Hautefort, seigneur de Thenon.

Le château de la ville est détruit en 1825. Il en reste aujourd'hui une tour et une partie de son infrastructure. Ville de gué qui permet de franchir la Vézère, le pont actuel date de 1766-1767. Chacune des rives témoigne encore aujourd'hui de l'histoire de la ville. Sur la rive droite, on trouve encore quelques ruelles médiévales étroites avec des témoignages architecturaux des XIVe, XVe et XVIe siècles : maisons sur pilotis, à colombages, lavoirs, fontaines.

Sur la rive gauche, le faubourg avec son couvent, son prieuré et ses quais, rappelle quant à lui la vocation religieuse et commerciale (port marchand) de la ville sous l'Ancien Régime.

Montignac fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

La gare de Montignac en 1905.

Sur la ligne de Condat - Le Lardin à Sarlat, la gare de Montignac a ouvert ces portes en octobre 1899 ; elle fut utilisée jusqu'en 1940 pour les voyageurs et 1955 pour les marchandises[réf. nécessaire].

Pendant de la Seconde Guerre mondiale, le maquis va installer des PC départementaux, reconstitués en mai 1944, avec Édouard Valéry, Jean Garraud, et Marcel Serre, vers Saint-Geyrac, Rouffignac-Saint-Cernin-de-Reilhac, Plazac et Montignac où ils vont occuper successivement trois maisons ou fermes isolées avant de s'installer dans le château de Laudonie où il resteront jusqu'à la libération de Périgueux[40].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Dès 1790, la commune de Montignac est le chef-lieu du canton de Montignac qui dépend du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[5].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[41]. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée de l'Homme, dont elle devient le bureau centralisateur.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Fin 2001, Montignac intègre dès sa création la communauté de communes de la Vallée de la Vézère dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes de la Vallée de l'Homme dont le siège est aux Eyzies-de-Tayac-Sireuil.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 2 500 et 3 499 habitants au recensement de 2017, vingt-trois conseillers municipaux ont été élus en 2020[42],[43].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mai 1972 mars 2001 Jacques Cabanel PS Enseignant, puis directeur d'école, puis retraité[44]
mars 2001 octobre 2002 Jean Labeille[Note 3] DVG  
octobre 2002 mars 2008 Paul Azoulai PS Médecin
mars 2008
(réélu en mai 2020[45])
En cours Laurent Mathieu UMP[46]-LR Chef d'entreprise

Jumelages[modifier | modifier le code]

Panneau de jumelage de Montignac.

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Montignac-Lascaux relève[48] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Montignac sont appelés les Montignacois.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].

En 2021, la commune comptait 2 759 habitants[Note 4], en diminution de 1,71 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 6003 0003 2953 5203 9223 7903 7523 7944 010
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 9483 8983 9023 7733 6883 5123 5523 3663 442
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 1023 0573 0862 9263 0172 8132 9432 7412 706
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 8092 9493 0813 1352 9383 0232 8882 8522 814
2018 2021 - - - - - - -
2 7522 759-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • La « Journée de l'arbre, du bois et de la fleur » se tient dans la première quinzaine de mars (12e édition en 2022[52]).
  • Créé au début des années 1980 par l'Amicale laïque du Montignacois[53], le « Festival de danses et musiques du monde » prend en 2012 le nom de « Cultures aux cœurs ». Il rassemble fin juillet-début août, pendant une semaine, les musiciens et danseurs de plusieurs pays ou régions. En raison de la pandémie de Covid-19, l'édition 2020 s'est déroulée en format réduit sur trois jours avec uniquement des groupes français ou des formations étrangères basées en France[54],[55]. L'édition 2023 est prévue du 24 au avec notamment des aborigènes d'Australie, des artistes des Antilles françaises, d'Argentine, de Côte-d'Ivoire, du Venezuela[56].
  • En novembre, sur trois journées, festival du film « DocumenTerre » qui présente des films et des débats sur l'environnement et la nature (10e édition en 2018)[57].
  • La Félibrée est une fête populaire occitane organisée chaque année, dans une ville ou un village du Périgord. Elle s'est déroulée à Montignac en 1913, 1937, 1954, 2010 et en 2023[58].

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Après réfection et mise en place d'un système de filtration par les plantes, la piscine municipale est ouverte depuis [59].

Dans le cadre des Jeux olympiques de Paris 2024, la flamme olympique doit passer par six communes du département de la Dordogne le , notamment à Montignac-Lascaux où le relais est prévu de 15 h 35 à 16 h 15[60].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Montignac ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

L'emploi des habitants[modifier | modifier le code]

En 2018[61], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 061 personnes, soit 38,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (165) a diminué par rapport à 2013 (188) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,6 %.

L'emploi sur la commune[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune offre 1 315 emplois pour une population de 2 752 habitants[62]. Le secteur tertiaire prédomine avec 49,2 % des emplois mais le secteur administratif est également très présent avec 34,0 %.

Répartition des emplois par domaines d'activité

  Agriculture, sylviculture ou pêche Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santé, action sociale
Nombre d'emplois 5 82 134 647 447
Pourcentage 0,4 % 6,2 % 10,2 % 49,2 % 34,0 %
Source des données[62].

Établissements[modifier | modifier le code]

Fin 2018, la commune compte 180 établissements actifs employeurs[63], dont 129 au niveau des commerces, transports ou services, dix-huit relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quatorze dans l'industrie, dix dans la construction, et neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[64].

Entreprises[modifier | modifier le code]

« Pastels Girault », la plus ancienne fabrique artisanale de pastels secs en activité au monde, est née en 1780 à Montreuil, en région parisienne. En 1998, l'entreprise s'installe en Dordogne à La Chapelle-Aubareil puis à Montignac en 2016[65]. En 2019, les pastels sont toujours produits par la quatrième génération de la même famille[66],[67]. Elle est labellisée Entreprise du patrimoine vivant[67].

Dans le secteur du commerce, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Medea » implantée à Montignac se classe en 29e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 20 777 k€[68].

Monnaie locale[modifier | modifier le code]

Une monnaie locale, l'Aqui, a été lancée en avril 2018[69],[70].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château de Coulonges, XIVe et XVIe siècles, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1948[71],[72].
  • Château de Montignac, ancien fief des comtes de Périgord[73],[74].
  • Grotte de Lascaux, grotte classée au patrimoine mondial de l'Unesco au titre des sites préhistoriques et grottes ornées de la vallée de la Vézère, également classée au titre des monuments historiques[75]. Elle est interdite à la visite pour la conservation du site mais ses fac-similés, « Lascaux 2 » et, depuis 2016, Lascaux 4 se visitent.
  • Site préhistorique du Regourdou, classé au titre des monuments historiques depuis 1959[76].
  • Gisement préhistorique de La Balutie, classé au titre des monuments historiques depuis 1960[77].
  • Église Saint-Pierre-ès-Liens dont le clocher est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1942[78]. Elle recèle un tableau du XVIIe siècle du peintre espagnol Juan Sánchez Cotán[79] : « La mort de saint Bruno », classé au titre des monuments historiques[80].
  • Immédiatement à l'ouest de l'église, la « porte du Plô » est le vestige du portail de l'ancienne église du Plô.
  • Hôtel de Bouilhac du XVIIe siècle, inscrit au titre des monuments historiques depuis 2008[81].
  • Ancien hôpital Saint-Jean et chapelle de l'ancien prieuré (également appelée « église Saint-Georges ») inscrits au titre des monuments historiques[82],[83].
  • L'hôpital de Montignac est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1949 pour sa cheminée sarrasine précédemment implantée à l'école des garçons[84],[85],[86].
  • En rive droite de la Vézère, le quai Merilhou présente un ensemble de maisons anciennes dont cinq sont inscrites au titre des monuments historiques.
  • La maison Duchêne du XIXe siècle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 2011[87].
  • Pont de Montignac, bâti en 1776-1777, avec ses avant-becs[88].
  • Monument de Joseph Joubert[89].
  • Ruine de la chapelle romane de Bouley au lieu-dit Roufflat[90],[91].
  • Ancien prieuré de Brenac[92].
  • Buste en hommage à l'écrivain Eugène Le Roy, réalisé par le sculpteur Gabriel Forestier en 1927[93].
  • Château de Puy-Robert, construit par M. de Montardy après l'achat de la "propriété de Péroubert", le [94].
  • Écluse de Montignac. Le "pas de Saint-Pierre de Montignac" figure en 1696 sur le plan de l'ingénieur Ferry. Il est situé plus en amont que l'écluse à sas de Montignac réalisée à partir de 1824 sur les plans de l'ingénieur en chef des Ponts-et-Chaussées Philippe Henry Conrad. Inachevée, elle a été reprise et terminée entre 1840 et 1845. Elle est remise aux Domaines en 1897. Elle est abandonnée après l'arrêt du trafic batelier sur la Vézère. La rivière n'est plus navigable depuis 1926[95].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Buste de Pierre Lachambeaudie, œuvre de Ferdinand Taluet à Montignac.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Montignac-Lascaux Blason
De gueules à trois lionceaux couronnés d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
  3. Démissionnaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Montignac-Lascaux » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Montignac-Lascaux », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 784 - Terrasson de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Montignac-Lascaux », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  14. « Fiche communale de Montignac-Lascaux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  15. « Réseau hydrographique de Montignac-Lascaux » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  16. « Confluence Vézère-Dordogne face au Port de Limeuil » sur Géoportail (consulté le 21 août 2022)..
  17. Sandre, « la Vézère »
  18. « Confluence Laurence-Vézère au sud-ouest de Saint-Pierre » sur Géoportail (consulté le 21 août 2022)..
  19. Sandre, « la Laurence »
  20. « SAGE Vézère-Corrèze », sur gesteau.fr (consulté le ).
  21. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  23. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  24. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  25. « Orthodromie entre Montignac-Lascaux et Thenon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  26. « Station Météo-France « Thenon » (commune de Thenon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  27. « Station Météo-France « Thenon » (commune de Thenon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  28. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  29. Site inscrit Colline de Lascaux sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 3 juillet 2012.
  30. Site classé Colline de Lascaux sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 3 juillet 2012.
  31. Lascaux (extension) sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 3 juillet 2012.
  32. Vallées de la Beune, de la petite Beune et de la Vézère. sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 3 juillet 2012.
  33. Carte du site inscrit 0000116 sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 3 juillet 2012.
  34. PPR inondation - 24DDT20000016 - Montignac - Vézère, DREAL Aquitaine, consulté le 10 avril 2019.
  35. [PDF] Vallée de la Vézère – Montignac – Révision du plan de prévention du risque inondation, DREAL Aquitaine, consulté le 10 avril 2019.
  36. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 477ab
  37. décret no 2020-175 du Décret no 2020-175 du portant changement du nom de communes, Légifrance, consulté le 8 mars 2020.
  38. Le nom occitan des communes du Périgord - Montinhac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  39. Jean-Bernard Marquette, Les Albret. L'ascension d'un lignage gascon (XIe siècle - 1360), Pessac, Ausonius, coll. « Scripta Mediaevalia » (no 18), , 702 p. (ISBN 9782356130389, présentation en ligne), p. 164-168.
  40. https://castellan-valery.pagesperso-orange.fr/E_valery_resistanceBR_pr.pdf
  41. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  42. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 6 septembre 2020.
  43. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 4 novembre 2020.
  44. Jonathan Guérin, « L'hommage à l'ex-maire socialiste Jacques Cabanel », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 13.
  45. « Ils ont aussi été élus », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 13.
  46. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest, , p. 15.
  47. Jean-Luc Kokel, « La commune acte un jumelage avec une ville espagnole », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 22.
  48. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  52. « La Journée de l'arbre est de retour », Sud Ouest édition Dordogne, 28 février 2022, p. 22.
  53. Sud Ouest édition Périgueux, 27 juillet 2009.
  54. Chantal Gibert, « Les festivals au pied du mur », Sud Ouest, 16 avril 2020, p. 20.
  55. Clément Bouynet, « Quarante ans de métissage des cultures au pied de Lascaux », Sud Ouest édition Dordogne, 21 juillet 2021, p. 20d-20e.
  56. Marjorie Ansion, « Un festival populaire », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 10.
  57. « 10e festival DocumenTerre », Sud Ouest édition Périgueux, 30 octobre 2018, p. 20a.
  58. « La félibrée à Montignac pour la cinquième fois », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 25.
  59. Claire Schlinger et Grégoire Morizet, « De nouveaux lieux de baignade », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 11.
  60. Vincent Tessier et Adrien Larelle, « Trois choses à savoir sur le passage de la flamme olympique », Sud Ouest édition Dordogne / Lot-et-Garonne, , p. 13.
  61. Dossier complet - Commune de Montignac (24291) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 3 avril 2022.
  62. a et b Dossier complet - Commune de Montignac (24291) - Emploi - Population active - tableaux POP T0 et EMP T8 sur le site de l'Insee, consulté le 3 avril 2022.
  63. « Établissement / Siret », sur Insee (consulté le ).
  64. Dossier complet - Commune de Montignac (24291) - Établissements actifs employeurs par secteur d'activité - tableau RES T1P sur le site de l'Insee, consulté le .
  65. Jean-Luc Kokel, « 240 ans de savoir-faire pour les Pastels Girault », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 25.
  66. « La plus ancienne fabrique artisanale de pastels au monde est en Dordogne », La France pittoresque, , consulté le .
  67. a et b Lucie Mouillaud, « Des couleurs et un savoir-faire », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 12-13.
  68. « Commerce », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 40.
  69. « L' Aquí : la nouvelle monnaie locale en Dordogne | Montgolfières du Périgord », sur montgolfiere-du-perigord.com (consulté le ).
  70. « Monnaie Locale | Monnaie Aqui | Périgord | Monnaie locale du Périgord », sur aqui (consulté le ).
  71. « Château de Coulonges », notice no PA00082692, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le .
  72. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Château de Coulonges
  73. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 188-189, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X)
  74. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Forteresse dite château de Montignac
  75. « Grotte de Lascaux », notice no PA00082696, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  76. « Gisement préhistorique du Régourdou », notice no PA00082695, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  77. « Gisement préhistorique de La Balutie », notice no PA00082694, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  78. « Église Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA00082693, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  79. Bulletin n°107 - 4e trimestre 2006 de la Société d'Art et d'Histoire de Sarlat et du Périgord Noir consultée le .
  80. « Tableau : mort de saint Bruno », notice no PM24000238, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le .
  81. « Hôtel de Bouilhac », notice no PA24000068, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  82. « Ancien hôpital Saint-Jean ou ancien prieuré », notice no PA00082697, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  83. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Chapelle Saint-Jean, puis église paroissiale Saint-Georges de Brenac ou église du prieuré, actuellement centre culturel
  84. « Hôpital », notice no PA00082698, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  85. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Ensemble canonial de clarisses, puis hôpital, usine textile, actuellement centre culturel
  86. Louis Carvès, « Rétablissement de l'hôpital de Montignac », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 14,‎ , p. 253-255 (lire en ligne)
  87. « Maison Duchêne », notice no PA24000078, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  88. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Pont
  89. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Monument à Joseph Joubert
  90. Jules Mandin, « Bouley. Un sanctuaire dans les bois en Sarladais », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. XXVII,‎ , p. 92-93 (lire en ligne)
  91. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Chapelle de Bouleix ou de Beaulieu
  92. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Prieuré de Brenac dit l'ancien couvent, actuellement ferme
  93. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Monument à Eugène Le Roy
  94. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Château de Puy-Robert
  95. Inventaire général Nouvelle-Aquitaine : Site d'écluse de Montignac
  96. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 299.