Hanoï
Hanoï (anciennement Tống Bình, Đông Đô, La Thành, Đại La et Thăng Long) | |
Le pont Paul-Doumer, Bến Đục, la tour de la Tortue sur le lac Hoan Kiem, la temple de la Littérature le mausolée de Hô Chi Minh, l'opéra de Hanoï. | |
Administration | |
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Pays | Viêt Nam |
Statut administratif | Capitale (Thủ Đô) |
Subdivision | divisée en 12 districts urbains, 18 districts suburbains et 1 municipalité suburbaine |
Secrétaire du PCV | Phạm Quang Nghị |
Maire Mandat |
Nguyễn Thế Thảo 2008 - |
Démographie | |
Population | 6 936 900 hab. (2013[1]) |
Densité | 2 087 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 21° 02′ nord, 105° 51′ est |
Superficie | 332 430 ha = 3 324,3 km2 |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://hanoi.gov.vn |
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Hanoï (en vietnamien Hà Nội, c'est-à-dire « la ville au-delà du fleuve » ; Hán tự : 河内) est la capitale du Viêt Nam, située au nord du pays sur les rives du fleuve Rouge (Sông Hồng). En 2014, sa population est estimée à près de sept millions d'habitants[1]. Ces derniers sont appelés les Hanoïens. La capitale n'est cependant pas la ville la plus peuplée du Viêt Nam : elle est largement dépassée par Hô-Chi-Minh-Ville, qui est le poumon économique du pays.
Histoire
Hanoï fut fondée par le roi Ly Thai To en 1010. Elle devint la capitale de l'Indochine française de 1902 à 1953, puis celle de la République démocratique du Viêt Nam de 1954 à 1976, et enfin de la République socialiste du Viêt Nam depuis cette date.
La dernière prise d'armes de l'histoire de la France à Hanoï a lieu le 8 octobre 1954 au stade Mangin[2], après soixante-quinze ans de colonisation. Elle est commandée par le général Massu[n 1].
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Porteurs de sable, sur pont de bambou, vers 1900
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Bateau-Concert, vers 1900
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Bords des quais de Hanoi, vers 1900
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Le Petit lac de Hanoi, vers 1900
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Marché à Hanoi, Vers1900
Géographie
Hanoï se trouve sur le Delta du Fleuve Rouge qui charrie ses eaux boueuses vers le golfe du Tonkin, à une altitude inférieure à celui-ci, ce qui la rend vulnérable aux inondations.
Toponymie
Son nom varia au cours des siècles : Kecho, Dai La, Thang Long, Dong Kinh (du chinois 東京 (dong jing), signifiant « capitale de l'Est »), qui fut latinisé en Tonkin. Le nom de Tonkin désigna ensuite la province entourant la ville, c'est-à-dire le Nord du Viêt Nam actuel. Le nom Thăng Long est encore parfois utilisé de nos jours comme nom littéraire et poétique de la ville ; il signifie « dragon qui se dresse », contrairement à Ha Long (« dragon qui descend »). Le nom vietnamien de la ville se décompose en : hâ (« cours d'eau ») et ņôi (« entre »), donc Hanoï est donc « [la ville] entre les cours d'eau »[3].
Découpage administratif
Hanoi est divisé en 12 districts urbains, 1 ville de niveau district et 17 districts ruraux. (Hà Đông est devenu district urbain et Sơn Tây est devenu ville de niveau district)
Découpage de Hanoï | ||||
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Villes/Districts[4] | Quartiers[4] | Superficie (km2)[4] |
Population[4] | |
1 ville | ||||
Sơn Tây | 15 | 113,474 | 181 831 | |
12 districts urbains (Quận) | ||||
Ba Đình | 14 | 9,224 | 228 352 | |
Bắc Từ Liêm | 13 | 43,35 | 320 414 | |
Cầu Giấy | 8 | 12,04 | 147 000 | |
Đống Đa | 21 | 9,96 | 352 000 | |
Hai Bà Trưng | 20 | 14,6 | 378 000 | |
Hà Đông | 17 | 47,917 | 198 687 | |
Hoàn Kiếm | 18 | 5,29 | 178 073 | |
Hoàng Mai | 14 | 41,04 | 216 277 | |
Long Biên | 14 | 60,38 | 170 706 | |
Nam Từ Liêm | 10 | 32,27 | 232 894 | |
Tây Hồ | 8 | 24 | 115 163 | |
Thanh Xuân | 11 | 9,11 | 185 000 | |
Sous total | 145 | 233,56 | 2 178 258 | |
17 districts ruraux (Huyện) | ||||
Ba Vì | 31 + 1 ville | 428,0 | 265 000 | |
Chương Mỹ | 30 + 2 villes | 232,9 | 271 761 | |
Đan Phượng | 15 + 1 ville | 76,8 | 124 900 | |
Đông Anh | 23 + 1 ville | 182,3 | 276 750 | |
Gia Lâm | 20 + 2 villes | 114,0 | 205 275 | |
Hoài Đức | 19 + 1 ville | 95,3 | 188 800 | |
Mê Linh | 16 + 2 villes | 141,26 | 187 536 (2008) | |
Mỹ Đức | 21 + 1 ville | 230,0 | 169 999 | |
Phú Xuyên | 26 + 2 villes | 171,1 | 181 500 | |
Phúc Thọ | 25 + 1 ville | 113,2 | 154 800 (2001) | |
Quốc Oai | 20 + 1 ville | 136,0 (2001) | 146 700 (2001) | |
Sóc Sơn | 25 + 1 ville | 306,51 | 254 000 | |
Thạch Thất | 22 + 1 ville | 128,1 | 179 060 | |
Thanh Oai | 20 + 1 ville | 129,6 | 142 600 (1999) | |
Thanh Trì | 15 + 1 ville | 98,22 | 241 000 | |
Thường Tín | 28 + 1 ville | 127,7 | 208 000 | |
Ứng Hòa | 28 + 1 ville | 183,72 | 193 731 (2005) | |
Sous total | 399 + 22 villes | 3 266,186 | 3 872 851 | |
Total | 559 + 22 villes | 3 344,47 | 6 232 940 |
Démographie
Depuis 1995, la population d'Hanoï a évolué comme suit[5]:
Année | 1995 | 1996 | 1997 | 1998 | 1999 | 2000 | 2001 | 2002 | 2003 | 2004 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
population | 2 431 000 | 2 492 900 | 2 556 000 | 2 621 500 | 2 685 000 | 2 767 700 | 2 852 900 | 2 928 300 | 3 000 300 | 3 071 400 |
Année | 2005 | 2006 | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | |
population | 3 133 400 | 3 184 800 | 3 228 500 | 6 381 800 | 6 472 000 | 6 588 500 | 6 725 700 | 6 836 500 | 6 936 900 |
En 2008, Hanoï a absorbé la Province de Hà Tây et d'autres territoires rurraux ce qui explique sa très forte croissance démographique[6].
Économie
La capitale du Viêt Nam vit une métamorphose qui se lit aujourd'hui dans sa structure même. Plus de 15 000 entreprises étrangères se sont installées sur le territoire grâce à de nombreux avantages fiscaux proposés par le gouvernement — toujours communiste. Résultat ? La ville attire 20 000 nouveaux migrants chaque année et ne cesse de s'agrandir. En 2008, elle a absorbé la province de Hà Tây, triplant ainsi sa superficie. En 2012, c'est 800 nouveaux projets de bureaux et zones industrielles qui devraient voir le jour.
Paysage urbain
Urbanisme
C'est l'empereur Gia Long qui, depuis sa capitale installée à Hué, a reconstruit la citadelle en 1805 selon des plans inspirés par Vauban.
La concession française, établie en 1875, devint en 1884 la capitale du Tonkin et, en 1902, la capitale de l'Indochine française. À ce titre, elle fut l'objet d'un véritable projet urbain colonial fondé sur le concept de la ville-jardin, valorisant les nombreux lacs[n 2] qui marquent l'identité paysagère de Hanoï[7].
La vieille ville
Au début du XXe siècle, certains quartiers ou rues entières sont spécialisées dans une activité donnée (les 36 guildes), par exemple la ferronnerie, le textile, la chaussure, l'ameublement, ou les confiseries et cadeaux de mariage [8].
La capitale du Vietnam se divise en quatre grands quartiers : Ba Đình à l’ouest, Hoàn Kiếm (ex Petit Lac) au centre, Hai Bà Trưng (ex quartier de la gare ou Boulevard Gambetta)– nommé ainsi en l’honneur des sœurs Trung qui défendirent la ville contre les Chinois au Ier siècle – et Đống Đa au sud-ouest.
Hanoï moderne
Le 29 mai 2008, il est décidé que la Province de Ha Tay, le district de Mê Linh de la Vĩnh Phúc et 4 communes du district de Lương Sơn de la Province de Hòa Bình seraient absorbés par Hanoï à partir du 1 août 2008[6]. La superficie d’Hanoï a augmenté de 334 470 hectares[9]. La population résultante est alors de 6 232 940 habitants[9] pour une superficie de 13 436 km2.
Hanoï a subi un très fort développement de la construction, des gratte-ciels sont apparus dans les zones urbaines.
En 2014, Hanoï a plus de 100 gratte-ciels de plus de 100 mètres de hauteur[10].
Lieux et monuments historiques
- Le Temple de la Littérature de Hanoï [n 3] ;
- La Pagode Môt Côt (la pagode au Pilier unique) ;
- Le Temple de Quan Thanh [n 4] ;
- le musée national d'histoire vietnamienne ;
- le Musée des beaux-arts du Viêt Nam;
- le Musée d'ethnographie ;
- le Musée des Femmes du Viêt Nam ;
- la tour du Drapeau (1812);
- l'ancien lycée Albert-Sarraut ;
- le petit Lac Hoan Kiem;
- le lac du Bambou blanc ;
- l'Opéra de Hanoï ;
- la cathédrale Saint-Joseph[n 5] ;
- la rue Trang Tien (ex rue Paul-Bert) ;
- le Pont Long Biên[n 6] ;
- l'hôtel Métropole[n 7] ;
- le lac de l'ouest et la pagode Trấn Quốc ;
- les magnifiques villas coloniales de la rue Phan Dinh Phung [n 8] ;
- la maison et le mausolée du président Hô Chi Minh.
- le théâtre des marionnettes "sur l'eau", proche du lac Hoan Kiem
- les châteaux d'eau
- le Musée de Ho Chi Minh (en)
- Le Lycée français Alexandre Yersin.
- Le Parc Thống Nhất
- La Place Ba Dinh
Photographies de Hanoï
-
Pont du soleil levant sur le lac Hoan Kiem
-
Demeure d'Ho Chi Minh de 1958 à 1969
-
La citadelle.
-
La rue Phan Dinh Phung, ex boulevard Carnot.
-
Vieille ville
-
La rue Le Thai To, ex avenue Beauchamp
-
Une nouvelle rue
-
La tour du drapeau
-
Le marché Dong Xuan
Culture
Jumelages et accords de coopération
Hanoï est membre des associations Asian Network of Major Cities 21 et C40 Cities Climate Leadership Group.
Hanoï est jumelé avec les villes ou régions suivantes:
- Hong Kong
- Ankara, Turquie[11]
- Varsovie, Pologne[12]
- Toulouse, France
- Préfecture de Fukuoka, Japon
- Bangkok, Thaïlande
- Moscou, Russie[13]
- Manille, Philippines
- Indre-et-Loire, France[14]
- Île-de-France, France[15]
- Séoul, South Korea[16][17]
- Phnom Penh, Cambodge[18]
- Jakarta, Indonésie
- Isfahan, Iran
- Victoria, Seychelles[19]
Enseignement supérieur
Hanoï a de nombreuses universités dont les suivantes:
- Institut polytechnique de Hanoï
- Université nationale du Viêt-nam de Hanoï
- Université nationale d'économie
- Université de médecine de Hanoï
- Université de FPT
Spécialités culinaires
Hanoï, comme le reste du Viêt Nam, est connue pour sa gastronomie. Les principales spécialités de la ville sont, entre autres, les nems de Hanoï, la soupe phở où dominent la Phở Bò au bœuf et la Phở Gà au poulet, les beignets de crevettes et beignets de calamar, le Bánh cuốn, .
Musées
Hanoï héberge de nombreux musées:
Cultes
Hanoï a de très nombreux lieux de culte dont les suivants:
Confucéen, Taoïste
Bouddhiste
Catholique
L'archidiocèse[n 9]:
Événements
- 1 au 10 octobre 2010, célébration du millénaire d'Hanoï
- 28 juillet au 4 août 2012, congrès mondial d'espéranto.
Transports
Transports aériens
Hanoï est desservie par l'aéroport international de Nội Bài, qui comprend deux terminaux, l'un pour les vols internationaux, l'autre pour les vols domestiques. Des projets sont en cours de définition afin de transformer l'aéroport de Gia Lâm, beaucoup plus proche du centre de Hanoï que Nội Bài, en terminal dédié aux vols domestiques. [réf. nécessaire]
Transports ferroviaires
La gare de Hanoï est le terminus pour le transport passager des trains de la ligne de chemin de fer Nord-Sud, ainsi que des trains desservant les villes Nord-Est du Viêt Nam, dont Lào Cai, gare la plus proche de Sa Pa. À partir de la gare centrale de Hanoï, il est également possible de se rendre à Pékin avec un changement de train à la frontière sino-vietnamienne.
Liaisons par autocars
Comme dans de nombreuses villes d'Asie du Sud-Est, il existe de nombreuses compagnies d'autocar qui desservent Hanoï.
C'est le moins cher des moyens de transport. Comme dans tous les pays du Sud, réseau dense de communications par minibus ou bus. À part la N1 et quelques tronçons qui s'y rattachent, la qualité des routes et de la conduite du chauffeur varie de l'acceptable au pire. Comme en montagne, on parle en heures de route plutôt qu'en kilomètres. - Les bus vietnamiens se sont modernisés et sont de plus en plus aux normes internationales. - Les bus express restent lents mais sont plus rapides que les bus locaux, qui s'arrêtent partout à la demande. - Inconvénient notable : les gares routières sont presque toujours situées en périphérie des villes. Il faut donc souvent prendre un taxi pour s'y rendre, ce qui revient à doubler le prix du billet...
Transports urbains
Réseau de bus
La course de bus à Hanoï est très bon marché, avec 5 000 dongs la course en 2014, à payer une fois dans le bus et les véhicules sont climatisés. Il existe un plan de réseau officiel disponible au terminus central, toutefois les trajets et arrêts peuvent varier selon les fantaisies des conducteurs. Les arrêts de bus ne sont pas toujours très visibles. En 2007, un bureau d'urbanistes travaillait à la réorganisation et au recensement des lignes et arrêts existants.
Taxis
Il y a de nombreuses compagnies de taxi, toutes avec des tarifs différents. Les clients sont pris en charge sur la rue, à des stations de parcages qui sont réservées aux taxis ou sur commande par téléphone à la centrale. La plupart des véhicules sont équipés de compteurs, mais il n'est pas rare qu'ils soient truqués, commandés manuellement. Le prix de la course peut également se négocier avant. Il existe 2 compagnies de taxi officielles avec les prix indiqués dans la voiture et équipées d´un compteur : Hanoi tourist et taxi mai linh.
Motos taxis (xê ôm)
On trouve des xê ôm (prononcez sê ôm) à chaque coin de rue. Les conducteurs attendent les clients souvent aux carrefours, sur ou à côté de leur moto et essaient de convaincre de potentiels clients de prendre une course avec eux. Comme pour tout au Vietnam, le prix se négocie et peut également avoir changé au moment de payer…
Cyclo
Les habitants locaux ne se déplacent plus vraiment en cyclo et leur préfèrent les taxi-motos, plus rapides. Les cyclos restent donc un moyen de visiter la ville pour les touristes. On les trouve principalement près des lieux touristiques (lac Hoan Kiem, vieux centre…). Beaucoup d'hôtels organisent des tours en cyclo.
Futur métro de Hanoï
Un projet de construction d'un métro est en cours[20].
Notes et références
Références
- (en) « Area, population and population density in 2013 by province », General Statistics Office Of Vietnam (consulté le )
- (Fleury 2003, p. 7)
- Louis Deroy, Marianne Mulon, Dictionnaire des noms de lieux, Le Robert, (ISBN 285036195X)
- « Cổng giao tiếp điện tử Thành Phố Hà Nội », Hanoi.gov.vn, (consulté le )
- (en) « Average population by province », Statistics Documentation Centre (consulté le )
- (vi) Hồng Khánh, « Địa giới Hà Nội chính thức mở rộng từ 1/8 », VnExpress, (consulté le )
- Christian Taillard, « Hanoï », Encyclopædia Universalis (consulté le )
- (Papin 2013)
- (en) « Hơn 90% đại biểu Quốc hội tán thành mở rộng Hà Nội », Dantri (consulté le )
- (en) « Vietnam Skyscraper Diagram », skyscraperpage.com (consulté le )
- (en) Selcuk Colakoglu, « The Flourishing Partnership Between Turkey and Vietnam », Journal of Turkish Weekly, (consulté le )
- « Mémorandum sur la coopération entre Varsovie et Hanoi. », Ville de Varsovie, (consulté le )
- « Hanoi Days in Moscow help sister cities », Vbusinessnews.com
- « PRINCIPALES COOPERATIONS DECENTRALISEES FRANCO-VIETNAMIENNES (2009) », AMBASSADE DE FRANCE AU VIETNAM (consulté le )
- Robert Romero, « 25 ans de coopération avec la ville de Hanoï (Vietnam) », Île-de-France (consulté le )
- « International Cooperation: Sister Cities » [archive], Seoul Metropolitan Government, www.seoul.go.kr, (consulté le )
- « Seoul -Sister Cities [via WayBackMachine] » [archive], Seoul Metropolitan Government (archived 2012-04-25), (consulté le )
- « Sister Cities », Phnompenh.gov.kh (consulté le )
- « Thủ tướng Nguyễn Tấn Dũng hội kiến Tổng thống Seychelles », BÁO ĐIỆN TỬ CỦA CHÍNH PHỦ NƯỚC CỘNG HÒA XÃ HỘI CHỦ NGHĨA VIỆT NAM (consulté le )
- (en) « Mise en chantier de la première ligne de métro de Hanoï », Vietnamplus, (consulté le )
Notes
- général Massu, Commandant en chef des troupes d'évacuation
- Hanoï a des dizaines de lacs parmi lesquels les lacs Hoan Kiem, Halais, du Bambou blanc ou le lac de l'ouest
- (Temple de la Littérature de Hanoï que les Français appelaient « pagode des Corbeaux »)
- (Temple de Quan Thanh que des Français ont appelé par erreur "pagode du Grand Bouddha" )
- (cathédrale Saint-Joseph Nha Tho en vietnamien)
- (ex-pont Doumer, qui a résisté à tous les bombardements et n'est plus en très bon état)
- (construit en 1905 et rénové en 1995, qui a participé à l'histoire de la ville, en particulier au moment de la guerre)
- (rue Phan Dinh Phung ex boulevard Carnot)
- Hanoï est le siège de l'archidiocèse d'Hanoï fondé en 1960, héritier du vicariat apostolique du Tonkin, érigé en 1659.
- messes en français à 9h30 et 11h
Annexes
Bibliographie
- Georges Fleury, La Guerre en Indochine, Perrin, Paris, , 690 p. (ISBN 978-2262020187)
- Philippe Papin, Histoire de Hanoi, Fayard, , 408 p. (ISBN 978-2213606712)
- Lucien Bodard, La guerre d'Indochine, Grasset, , 1168 p. (ISBN 978-2246552918)
- Pierre-Richard Féray, Le Viêt-Nam, PUF, coll. « Que sais-je ? », , 128 p. (ISBN 9782130516934)
- Pierre Clément, Nathalie Lancret (dir.), Hanoï, le cycle des métamorphoses, Cahiers de l’IPRAUS, Éditions Recherches, (ISBN 978-2-86222-038-3)
- Philippe Papin, Histoire des territoires de Hà-Nôi : Quartiers, villages et sociétés urbaines du XIXe au début du XXe siècle, Les Indes savantes, (ISBN 978-2846542739)
- Paula Delsol, Adieu et merci
- Yveline Feray, Dix mille printemps
- Régine Deforges, Rue de la Soie
- Joan-Daniel Bezsonoff, Les rambles de Saigon
Articles connexes
- Métro de Hanoi
- Célébration du Millénaire d'Hanoï
Liens externes
- (vi) Hanoi government : Site officiel du gouvernement de Hanoï