Frépillon

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Frépillon
Frépillon
La mairie et la fontaine, place de la Mairie.
Blason de Frépillon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Argenteuil
Intercommunalité CA Val Parisis
Maire
Mandat
Patricia Zeiss
2020-2026
Code postal 95740
Code commune 95256
Démographie
Gentilé Frépillonnais
Population
municipale
3 334 hab. (2021 en augmentation de 0,73 % par rapport à 2015)
Densité 995 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 03′ 00″ nord, 2° 13′ 00″ est
Altitude 101 m
Min. 60 m
Max. 165 m
Superficie 3,35 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Ouen-l'Aumône
Législatives 3e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Frépillon
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Frépillon
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Frépillon
Liens
Site web https://www.frepillon.fr/

Frépillon est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Frépillon est située à 30 km au nord-nord-ouest de Paris et à 15 km à l'est de Cergy-Pontoise, en limite de la forêt de Montmorency.

Ses habitants sont appelés les Frépillonnais(es).

Paysage urbain : la rue de Méry.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Frépillon[1]
Villiers-Adam
Méry-sur-Oise Frépillon[1] Taverny
Bessancourt

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le nord du territoire communal est limité par le ru du Montubois, qui actionnait autrefois deux moulins : celui de Socourt attesté en 1340 et celui du Gaillonnet[2].

Le ru du Montubois se jette dans l'Oise à Méry-sur-Oise et est donc un sous-affluent de la Seine.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 683 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontoise à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 666,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Frépillon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[12] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La gare de Frépillon en 2007.

Routier[modifier | modifier le code]

Elle est traversée par l'autoroute A115 et est desservie par l'ancienne route nationale 328 (actuelle RD 928).

Transports en Commun[modifier | modifier le code]

La ville est desservie par la gare de Frépillon, une halte où circulent les trains du réseau Transilien Paris-Nord (ligne H).

Les lignes de bus suivantes desservent Frépillon :

  • ligne 95-03-A : Gare de Cergy-Préfecture – RER Gare de Montigny/Beauchamp
  • ligne 95-03-B : Gare de Cergy-Préfecture – Mairie de Margency
  • ligne 30-04 : Mairie de Chauvry - Taverny (Place de Verdun)
  • ligne 95-18 : Gare de Cergy-Préfecture - Roissy pôle Aéroport Charles de Gaulle

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village était connu dès l'époque gallo-romaine sous le nom de Frepillonum[17] ou Frépillum, B. de Frepillione en 1276[17], Frepelio[17], devenu plus tard Frépillon.

L'origine du nom de la commune est inconnue.

Histoire[modifier | modifier le code]

Des silex de pierre taillée au Paléolithique et des haches polies du Néolithique ont été retrouvés sur le territoire, indiquant une fréquentation humaine ancienne[2]. Au lieu-dit Les Flaches-ouest, au sud de la rue Jean-Mermoz, cinq fosses ont livré des fragments d'os brûlés (faune), une lame quelques éclats de silex et une fusaïole, qui ont pu être datés du Hallstatt Moyen[2]..

Un habitat gallo-romain de part et d'autre du ru du Montubois a été identifié au lieudit Le Bois-du-Cul-des-Angles, à la limite de Bessancourt. Il est daté du Haut-Empire à l'Antiquité tardive[2].

Les premiers seigneurs du villages sont mentionnés en 987[réf. nécessaire].

La paroisse de Frépillon, dont le curé était nommé par l'évêque de Paris, est créée par démembrement de celle de Méry entre les XIIIe et XVe siècles[2].

En 1239, le fief est acquis par les religieuses de l'abbaye de Maubuisson, à l'initiative de la reine Blanche de Castille. Les moines de l'abbaye Notre-Dame du Val avaient à Frépillon un bois et en 1248, ils achètent une vigne à Malmont[2].

Plan d'intendance de Bessancourt et Frépillon.
Plan d'intendance de Bessancourt et Frépillon, 1783. Arpenteur : Denis Duchesne. Cadastre de Bertier de Sauvigny. Archives départementales du Val-d'Oise.

Autour de 1600, la grande majorité des villageois de Frépillon sont paysans, et la plupart des cultivateurs sont vignerons. On retrouve aussi des plâtriers, ainsi que des carriers. Des plâtrières étaient exploitées aux Fortes-Terres[2]. À cette époque, on récence un fondeur de cloches et son assistant, qui prospèrent. Pourtant la profession disparait de Frépillon après eux.

Avant la Révolution française la forêt ne couvre que 10 % du territoire communal, contre 20 % au XXIe siècle[2].

Au XVIIIe siècle, le village a une activité agricole comprenant des vignes et des bocages couvrant le coteau qui s'incline vers la vallée de l'Oise.

Le manoir de l'abbaye de Maubuisson comprenait en 1764 un corps de logis avec granges, écuries et bergeries, jardin et verger[2].

À la suite de la mauvaise gestion de la dernière abbesse de Maubuisson,ses biens sont mis sous séquestre en 1787 et sont rachetés par la famille Riesener[réf. nécessaire]

Au XIXe siècle, la vigne de la Vallée de Montmorency décline. Frépillon stoppe ses vendanges dès les années 1850, bien avant les autres villages de la vallée (1939 pour Taverny).

L'instituteur du village, écrit en 1899, dans sa Monographie de Frépillon « La culture maraîchère domine, en particulier celle de l’asperge de Taverny, les pois, haricots, oignons et poireaux. Des céréales pour la consommation. Les arbres fruitiers sont nombreux, en particulier le cerisier dit de Montmorency, griotte ou courte-queue et le prunier. Beaucoup de noyers. Un marché aux fruits se tient chaque année sur la place de la Mairie. »[18] Une expérience de coopérative de producteurs et de consommateurs considérée comme « très intéressante » est lancée en 1931.

Le développement du village est favorisé par la mise en service en 1876 de la gare de Frépillon sur la ligne de chemin de fer Valmondois XIXe siècle, qui a favorisé le déplacement des habitants et le transport des marchandises, puis la transformation de Frépillon en petite commune résidentielle.

Lors du raid de dirigeables contre Paris et sa banlieue le 21 mars 1915, un Zeppelin survole Frépillon, sans lancer de bombes[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[20], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie de 1801 à 1931 du canton de Montmorency, puis, cette année-là, le canton de Taverny de Seine-et-Oise puis du Val-d'Oise[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Frépillon fait partie du ressort du tribunal d'instance de Montmorency, et de celui du tribunal judiciaire ainsi que de celui du tribunal de commerce de Pontoise[22],[23].

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Saint-Ouen-l'Aumône.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription du Val-d'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Frépillon était membre de la communauté de communes de la Vallée de l'Oise et des impressionnistes, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM) du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, cette intercommunalité a été supprimée et Frépillon a intégré le , la communauté d'agglomération Val Parisis, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1789 1792 M. Meurger    
1792 Juin 1803 M. Fiacre Haran    
Juin 1803 1806 M. Simon Baillet    
1806 1815 M. Nicolas Fleuret    
1815 1816 M. Louis Regnault    
1816 1826 M. Jean Fleuret    
1826 1834 M. Germain Tardu    
1834 1865 M. Pierre Chéronnet    
1865 1871 M. Germain Tardu    
1871 1884 M. Louis Jolly    
1884 1887 M. Édouard Viel    
1887 1892 M. Léon Chéronnet    
1892 1896 M. Germain Tardu    
1896 1912 M. Auguste Cheron    
1912 1919 M. Albert Charté    
1919 1920 M. Léon Jolly    
1920 1929 M. Adrien Haran    
1929 1930 M. Maurice Viel    
1930 1935 M. Marcel Adam    
1935 1936 M. Louis Hemmerle    
1936 1944 M. Fernand Varez    
1944 1945 M. Édouard Cheron    
1945 1953 M. Paul Leclaire    
1953 1954 M. Maurice Viel    
1954 1954 Délégation spéciale (M. Sigal, M. Desmoulins, M. Baron)    
1954 1955 M. André Duguet    
1955 1979 M. André Viel    
1979 1988 M. Clovis Leclercq    
1988 1989 M. Christian Poulain    
mars 1989[24] mai 2020 M. Bernard Tailly DVD Retraité
Président de la CC Vallée de l'Oise et des Impressionnistes (2014 → 2015)
14e vice-président de la CA Val Parisis[25] (2016 → )
Réélu en 2014[26],[27]
mai 2020[28] En cours
(au 19 janvier 2021)
Mme. Patricia Zeiss DVD[29]  

[30]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 3 334 habitants[Note 3], en augmentation de 0,73 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
486475504499506507503483454
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
438432435397409409438440521
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
542541599585665788763715857
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0581 2291 8772 0332 2112 2622 5622 5772 795
2015 2020 2021 - - - - - -
3 3103 3463 334------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Le Parc d’activités des Épineaux est aménagé à Frépillon.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Frépillon ne compte aucun monument historique classé ou inscrit sur son territoire. On peut néanmoins signaler :

  • Église Saint-Nicolas, rue Marcel-Adam / Grande-Rue
Elle fut édifiée au XIIIe ou XIVe siècle mais lourdement remaniée au XIXe siècle.
L'édifice de facture simple et sans caractère architectural se compose d'une nef-grange de quatre travées et d'un chœur désaxé au chevet plat, de deux travées de long et deux travées de large. Le clocher se dresse à gauche de la façade occidentale et possède une cloche datant de 1787[34].
L’abbé Jean Lebeuf, en 1755, la décrit de la façon suivante :
« Elle est basse et petite et n'a que le chœur voûté. On y entrevoit quelques vestiges du travail du XIVe siècle aux chapiteaux de quelques piliers. La Dédicace s'y célèbre le dimanche après la Saint Barnabé. À la Chapelle du fond de l'aile gauche, c'est-à-dire du côté septentrional, est élevée au-dessus de l'autel une vieille châsse qu'on dit contenir des ossements des compagnes de Sainte Ursule, donnés par l'Abbesse de Maubuisson, qui est Dame du lieu. Ces reliques avaient été tirées de la châsse qui est à Maubuisson du côté septentrional de l'autel par l'Abbé de la Charité-lez-Lesignes. Elles consistent en une partie de crâne, une jointure d'os du bras, et un os de la jambe. L'Archevêque consentit qu'on les honorât à Frépillon par acte du 8 Mai 1647 »[35]
  • Ruelle des Propriétaires
Cette étroite ruelle pavée (remontant vraisemblablement au XVe siècle) est une impasse privée (cadastre.gouv.fr) depuis la rue République, constituée d'un passage aboutissant sur une cour. C'est l'un des éléments les plus anciens du village. Une maison porche, dont le premier étage est soutenu par des poutres de chêne, avec des chasse-roues, clôture cette voie privée.
  • Fontaine, sur le carrefour devant la mairie
Elle consiste en un bassin octogonal en pierre de 1875, au milieu duquel se dresse un reverbère en fonte, avec une figurine incorporée dans le mât. Elle remplace un chérubin en bronze qui avait été volé[34].
  • Batteuse à grains, sous un appentis à côté de la salle des fêtes, parc de la Mairie
Aujourd'hui restaurée et protégé des intempéries, elle rappelle la première période de la mécanisation dans le domaine agricole, au milieu du XIXe siècle[34].
  • Croix de procession, rue de la Vieille-Fontaine : Croix en fer forgé très simple planté dans un socle monolithe[34].
  • Ancienne fontaine, chemin rural no 3 et 4, près de la rue de la Vieille-Fontaine.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Plusieurs chevaliers ou écuyers portèrent au Moyen Âge le nom « de Frépillon », sans doute vassaux des Montmorency[2].
  • Henri-François Riesener (1767-1828), peintre, fils de l'ébéniste Jean-Henri Riesener. Il acquiert une maison de campagne à Frépillon. Un de ses tableaux, représentant saint Nicolas, est exposé dans l'église du bourg.
  • Léon Riesener (1808-1878), fils du précédent, également peintre, a hérité de la maison de son père ; son cousin Eugène Delacroix séjourna chez lui.
  • Georges Paulmier (1882-1965), coureur cycliste.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Frépillon Blason
Parti : au premier d'azur semé de fleurs de lys d'or, au second coupé : au I d'or à la croix de gueules cantonnée de quatre alérions d'azur, au II de gueules au château donjonné de trois tourelles d'or et maçonné de sable.
Détails
Composition des armes de France, de Montmorency et de Castille, avec la préseance justement donnée aux armes de France. Les armes de Castille sont justifiées par la fondation de l'abbaye royale de Maubuisson, dont dépendit le lieu jusqu'à la révolution, par Blanche de Castille. Les armes de Montmorency sont justifiées par la tenue ancestrale du lieu par la famille du nom. Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Frépillon au cinéma et à la télévision[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Frépillon », p. 848–851
  • « L'occupation Hallstatt moyen des Flaches-Ouest à Frépillon (Val-d'Oise) : funéraire ou domestique ? » par Jean-Gabriel Pariat, Bulletin archéologique du Vexin français et du Val-d'Oise, 40, 2008, p. 99-104.
  • Carte archéologique de la Gaule : le Val-d‘Oise, 95, ouvrage collectif dirigé par Monique Wabont, Franck Abert et Didier Vermeersch, Paris, Maison des sciences de l'homme, 2006, p. 133-137.
  • Abbaye cistercienne de Maubuisson : la formation du temporel (1236 à 1256), par Armelle Bonis, Saint-Ouen-l'Aumône, service départemental d'archéologie, 109 pages (Archéologie en Val-d'Oise, 1).
  • Des villages dans l'histoire : Vallée de Montmorency (1750 à 1914), par Francis Arzallier, Septentrion Presses universitaires, 1996, 339 pages.
  • Histoire de la ville et du diocèse de Paris, par l'abbé Jean Lebeuf, Paris, Prault Père, 1755, lire en ligne sur Gallica..
  • L'or blanc : du gypse au plâtre, par Marie-Madeleine Canet et Isabelle Lhomel, Cergy-Pontoise, Conseil général du Val-d'Oise, atelier de restitution du patrimoine ethnologique, 16 pages illustrées.

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Communes limitrophes de Frépillon » sur Géoportail..
  2. a b c d e f g h i et j Archéologie & histoire de Frépillon, page mentionnée en Liens externes.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Frépillon et Pontoise », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. a b et c Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  18. « 1 T 145 - Frépillon. - 1899 Archives départementales du Val-d'Oise », sur Archives départementales du Val-d'Oise (consulté le )
  19. Le Petit Parisien du 22 mars 1915 : Quelques blessés, des maisons endommagées page 2
  20. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
  23. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
  24. « Échos de campagne », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne)
    « Bernard Tailly, maire depuis 1989, repart à la tête de la liste Agir dans l'union. »
  25. Fiche élu Bernard TAILLY, sur valparisis.fr
  26. Site officiel de la préfecture du Val d‘Oise-liste des maires, 3 août 2009 [PDF])
  27. « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, (consulté le ).
  28. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  29. Extrait de la fiche de Mme Patricia ZEISS, sur lesbiographies.com (consulté le 29 avril 2021)
  30. Hervé Collet, Frépillon au fil du temps, Vallée de Montmorency, Valmorency, , 160 p.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. a b c et d Claude Adam, Jean-Claude Cavard, Amélie Marty et Laure Schauinger, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Frépillon », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 848-851 (ISBN 2-84234-056-6).
  35. Lebeuf (abbé J.), op. cit., t. II, p. 129.