Nozay (Essonne)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Nozay
Nozay (Essonne)
L’hôtel de ville.
Image illustrative de l’article Nozay (Essonne)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Palaiseau
Intercommunalité Communauté d'agglomération Paris-Saclay
Maire
Mandat
Didier Perrier
2020-2026
Code postal 91620
Code commune 91458
Démographie
Gentilé Nozéens
Population
municipale
4 482 hab. (2021 en diminution de 6,23 % par rapport à 2015)
Densité 611 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 39′ 36″ nord, 2° 14′ 33″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 168 m
Superficie 7,34 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton des Ulis
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Nozay
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Nozay
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Voir sur la carte topographique de l'Essonne
Nozay
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Nozay

Nozay (prononcé [nozɛ] Écouter) est une commune française située à vingt-quatre kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Nozéens[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Nozay est située à vingt-quatre kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[2], point zéro des routes de France, quinze kilomètres à l'ouest d'Évry[3], six kilomètres au sud de Palaiseau[4], trois kilomètres à l'ouest de Montlhéry[5], huit kilomètres au nord d'Arpajon[6], dix-huit kilomètres au nord-ouest de Corbeil-Essonnes[7], vingt et un kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais[8], vingt-deux kilomètres au nord-est de Dourdan[9], vingt-six kilomètres au nord-est d'Étampes[10], trente-trois kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[11].

Elle est par ailleurs située à cent trente-sept kilomètres au nord-ouest de Nozay dans l'Aube[12] et trois cent douze kilomètres au nord-est de Nozay dans la Loire-Atlantique[13].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Ruisseau blanc et le Rouillon drainent la commune :

  • Le Rouillon prend sa source près de la ferme de Courtaboeuf (dans la zone d’activités), traverse le plateau de Villejust, longe la ferme de Villarceau, passe sous la route de Nozay à Villejust (photo No 1) , délimite le territoire de Nozay, Villejust, Saulx-les-Chartreux dévale le vallon de Lunézy, passe sous le parking du centre commercial de la Ville-du-Bois, traverse la plaine de Ballainvilliers et se jette en aval dans l’Yvette après la gare de Gravigny-Balizy (Longjumeau). Son cours mesure aujourd’hui 9 km.
Son régime est très variable : en hiver, il peut devenir turbulent alors qu’en été un filet d’eau tente de rejoindre l’Yvette.
Rouillon viendrait de « rullus » qui signifie : le rustre, le campagnard. Ce nom est mentionné dès le XIe siècle. En 1461 les Pères Chartreux louent des terres au bois de Lunézy près du fossé de « Roulon »[réf. nécessaire].
  • Le Ruisseau Blanc se forme à partir des eaux de ruissellement provenant des Pylandries, de la Poupardière et de Lunézy, passe sous la rue du Ruisseau blanc, s’étend le long de quelques habitations, poursuit son cours le long des jardins ouvriers de Lunézy, traverse les champs, longe la lisière du bois de la Turaude et se jette dans le Rouillon.
Il mesure environ 2 km.
L’origine du toponyme pourrait venir du Moyen Age où des tanneurs étaient installés au chantier des Pylandries. La fabrication des cuirs consistait à passer les peaux dans des cuves contenant un lait de chaux, afin de les rendre imputrescibles. En rinçant les peaux, le ruisseau devenait blanc, d’où son nom[réf. nécessaire].

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

La ville est située sur un plateau.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 671 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Épinay-sur-Orge à 6 km à vol d'oiseau[16], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,4 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

L'autoroute A10 passe à proximité de la commune.

La ville de Nozay est également desservie par diverses lignes de bus, et relie les villes de Massy, Sainte-Geneviève-des-Bois, Orsay, Épinay-sur-Orge, et Marcoussis[20].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Nozay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[21],[22],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[24] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[25],[26].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[27],[28].

Habitat[modifier | modifier le code]

Occupation des sols en 2008.
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 17,7 % 130,19
Espace urbain non construit 5,8 % 42,83
Espace rural 76,5 % 562,97
Source : Iaurif-MOS 2008[29]
Logements[30] Nombre en 2016 % en 2016 nombre en 2011 % en 2011
Total 1 878 100 % 1 775 100 %
Résidences principales 1 791 95,4 % 1 709 96,3 %
→ Dont HLM 136 7,6 % 116 6,8 %
Résidences secondaires et
logements occasionnels
14 0,7 % 16 0,9 %
Logements vacants[Note 3] 73 3,9 % 50 2,8 %
Dont :
→ maisons 1 235 65,8 % 1 235 69,6 %
→ appartements 635 33,8 % 534 30,1 %

Quartiers et hameaux[modifier | modifier le code]

La commune comprend le hameau des hameau des Noyers, le long de la RD 35.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Noorium en 1150[31], Nooreium en 1151[31], Noereiz au XIIe siècle[32], Nucereium au XIIIe siècle, Nerium au XVIe siècle, Nœreium[Quand ?][31], Nœraicum[Quand ?], Nœroie[Quand ?][31].

Il s'agit vraisemblablement de la formation toponymique gallo-romane *NUCARETU (autrement noté nucaretum) « lieu planté de noyers, plantation de noyers »[33],[34], basée sur le mot du latin populaire *nucarius « noyer », dérivé du latin classique nux, nucis « noix »[35]. Il est suivi du suffixe collectif *-ETU (autrement noté -etum)[33]. L’évolution phonétique Noer- > No(e)z- (passage de [r] à [z]) est souvent rencontrée dans cette partie de la France. Homonymie avec les Norray, Noroy, etc.[33].

La commune est créée en 1793 avec son nom actuel[36].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le centre du bourg avec l'église.

Nozay ainsi que La Ville-du-Bois dépendaient de la seigneurie de Marcoussis. L'église de Nozay dépendait du prieuré de Longpont ; ce fait est attesté en 1061[réf. nécessaire].

Dès 1206, la présence des templiers est attestée sur ces terres[réf. nécessaire].

Lors de la Révolution de 1848, la municipalité plante le 18 mars un arbre de la Liberté sur la place de l'église, près du mur du cimetière. Il est béni par le citoyen Paoli, curé, accompagné du clergé et tous les habitants[37].

En 1854 est érigé le buste de Napoléon III dans la mairie et à l'école[37]. Le cimetière, qui entourait l'église, est déplacé en 1967.

À l'issue de la guerre franco-allemande de 1870, le conseil municipal remercie François Petit d'être resté à son poste de maire et d'avoir protégé la population pendant l'occupation prussienne[37].

Sous le long mandat de Gaston Ratel, maire de 1902 à 1935, le village se modernise, avec l'adduction d'eau potable en 1905 et 1908, la construction et de l'église en 1912, l'installation de l'éclairage public en 1913. Après la Première Guerre mondiale est érigé en 1921 un monument aux morts. Afin de faciliter les cultures légumières dans la commune, destinées aux halles de Paris (auquel il est relié à Ballainvilliers par l'Arpajonnais), la plaine est drainée dans l'entre deux guerres. L’assainissement est réalisé en 1934 et le village est raccordé au gaz. En 1932, le village est reconnu « village modèle »[37].

Les Templiers et Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

La commanderie de Balizy possédait une dépendance le membre de Noray qui avait été donné aux Templiers avec 60 arpents de terre par Hébert de Montlhery en juillet 1246[38],[39].

Lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem récupèrent le membre en même temps que la commanderie de Balizy. Ce n'est plus qu'une masure privée de ses terres que les seigneurs voisins ont usurpées au fil du temps. En 1754, le prieur de France tenta de le récupérer mais apparemment sans résultat[40].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Position de Nozay en Essonne.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[41], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement de Palaiseau après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Essonne.

Elle faisait partie de 1793 à 1967 du canton de Palaiseau du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place de l'Essonne, elle est rattachée en 1967 au canton de Montlhéry[36]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Nozay intègre le canton des Ulis.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la Communauté de communes Cœur du Hurepoix créé" en 2004 et qui était une évolution de l’ancien district de Linas-Montlhéry créé en juin 1964[42].

Cette intercommunalité est dissoute le , et certaines de ses communes, dont Nozay, rejoignent alors la communauté d'agglomération Europ'Essonne[43].

Dans le cadre des dispositions de la Loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPTAM), qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, notamment en Île-de-France afin d'équilibrer leurs relations avec la Métropole du Grand Paris[44], cette intercommunalité fusionne le avec la communauté d'agglomération du Plateau de Saclay pour former la communauté d'agglomération Paris-Saclay[45].

Tendances et résultats politiques[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales et départementales

Résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales

Résultats des deuxièmes tours :

Référendums

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[61]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
février 1790   Jean-Nicolas Finet    
novembre 1791   M. Rousseau    
décembre 1792   Louis-Toussaint Redon    
brumaire an IV   Jacques Cossonnet    
germinal an V   Jean-Baptiste Aboilard    
germinal an VI   Jean-Fiacre Cossonnet    
messidor an VIII   Jacques Cossonnet    
fructidor an VIII   Jean-Claude Paupe    
1807 1808 Jean-Baptiste Aboilard    
septembre 1808   Jean-Fiacre Cossonnet    
1812 1813 Jean-Baptiste Aboilard    
juillet 1814 mai 1815 Pierre Legourd    
mai 1815 mai 1821 Pierre-Jacques Leroy    
mai 1821 octobre 1831 Pierre-Henri Paupe    
octobre 1831 août 1846 Jean-Claude Legourd    
août 1846 novembre 1850 Étienne Bénard    
novembre 1850 avril 1865 M. Lepère    
avril 1865 avril 1873 François Petit    
avril 1873 février 1887 M. Harpet    
février 1887 mai 1896 Pierre Michaut    
mai 1896 août 1902[37] Auguste Delange    
août 1902[37] mai 1935 Gaston Ratel    
mai 1935 ? Adrien Lalande    
1940   Albert David   Faisant fonction de maire[37]
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1942 octobre 1952 Louis Renard    
octobre 1952 septembre 1958 Albert Montgobert    
septembre 1958 mars 1977 Élisabeth Milliez    
mars 1977 octobre 1986 Jean-Paul Caffin PS Instituteur
octobre 1986 juin 1995 Jean-Pierre Bocquel DVG (PS diss.)[62] Sculpteur, céramiste et verrier
juin 1995 février 2019[63] Paul Raymond SE-DVG Médecin
Président de la CC Cœur du Hurepoix (2004 → 2013)
Vice-président de la CA Europ'Essonne (2014 → 2015)
Démissionnaire
février 2019[64],[65] En cours
(au 2 décembre 2021)
Didier Perrier SE Directeur commercial dans l'informatique
Réélu pour le mandat 2020-2026[66]

Logement social et loi SRU[modifier | modifier le code]

La commune, dont la population est aisée[Note 4] ne dispose en 2016 que de 7,69 % % de logements sociaux par rapport à son parc de résidences principales, bien loin des 25 % prévus par l'article 55 de la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).

En conséquence, la contribution financière payée par la commune à l'État, qui payait 138 000  en 2018, ne s'élève plus qu'à 114 000  en 2019, compte tenu de ses efforts pour soutenir la création de 98 logements sociaux. Afin de l'aider à assumer ses obligations, l'État a signé avec la commune en juillet 2019 un « contrat de mixité sociale », dispositif partenarial destiné à identifier et activer tous les leviers disponibles pour augmenter le parc de logements sociaux et qui s'appliquera jusqu'en 2025[67].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Nozay a développé des associations de jumelage avec[réf. nécessaire] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[69].

En 2021, la commune comptait 4 482 habitants[Note 5], en diminution de 6,23 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
268220228220244240229221250
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
247262273284287270272280323
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
285286265260287272256285336
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
4676681 8202 6532 6364 2754 7324 7054 696
2014 2019 2021 - - - - - -
4 8004 5114 482------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[70].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,4 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 254 hommes pour 2 323 femmes, soit un taux de 50,75 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,02 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[71]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
0,3 
4,1 
75-89 ans
5,9 
11,6 
60-74 ans
12,6 
25,0 
45-59 ans
27,0 
18,1 
30-44 ans
19,3 
20,8 
15-29 ans
16,5 
20,4 
0-14 ans
18,4 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2020 en pourcentage[72]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,3 
75-89 ans
7,1 
12,9 
60-74 ans
13,8 
20,1 
45-59 ans
19,6 
19,9 
30-44 ans
20,1 
19,9 
15-29 ans
18,3 
21,4 
0-14 ans
19,8 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les élèves de Nozay sont rattachés à l'académie de Versailles.

La commune dispose en 2010 sur son territoire des écoles maternelles des Clozeaux et du Noyer et des écoles élémentaires des Prés-Verts et du Petit-Gobert[73].

Pour le secondaire les élèves de Nozay sont scolarisés en 2010 dans la commune au collège Louise-Weiss[74], ils poursuivent ensuite leurs études au lycée polyvalent de l'Essouriau situé aux Ulis[75].

Culture[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

La commune compte plusieurs associations sportives[réf. nécessaire] :

qui se partagent sur un stade de rugby (villarceau), un stade de football (Mesnil Forget), un centre de tennis, et trois salles de sports.

Santé[modifier | modifier le code]

Un cabinet de santé rassemblant quatre médecins généralistes, deux psychologues, une diététicienne-nutritionniste, une orthophoniste, une pédicure-podologue et un cabinet infirmier a ouvert en février 2019[76].

Autres services publics[modifier | modifier le code]

La commune dispose sur son territoire en 2011 d'un bureau de poste[77].

Lieux de culte[modifier | modifier le code]

La paroisse catholique de Nozay est rattachée au secteur pastoral de Montlhéry-Longpont et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Germain-d'Auxerre[78].

Médias[modifier | modifier le code]

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Économie[modifier | modifier le code]

Nozay accueille un important centre Nokia spécialisé dans les fibres optiques, les télécommunications et les composants opto-électroniques, dont l'entrée correspond à l'emplacement probable de l'ancien moulin à vent de Villarceaux[79].

Ce centre d'excellence mondial du groupe en matière de développement de la 5G, rassemblait en 2018 plus de 3 300 employés. Il est concerné par un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) qui prévoit la suppression d'environ 400 emplois en France d'ici 2020, pour l'essentiel sur le site de Nozay Paris-Saclay[80].

Emplois, revenus et niveau de vie[modifier | modifier le code]

En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 25 265 , ce qui plaçait la commune au 384e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au trente-sixième rang départemental[81].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Nozay 0,0 % 4,2 % 41,5 % 25,0 % 16,3 % 12,9 %
Zone d’emploi d’Orsay 0,2 % 3,7 % 36,2 % 26,2 % 21,4 % 12,3 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Nozay 0,4 % 30,3 % 6,5 % 10,0 % 28,9 % 4,6 %
Zone d’emploi d’Orsay 1,0 % 13,4 % 3,8 % 18,1 % 30,5 % 5,4 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[82],[83],[84]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Germain.
La halle.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Les bois au sud-est, les champs au nord, la pelouse calcicole et la carrière géologique ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le département de l'Essonne[85].

Les bâtiments remarquables sont :

  • la mairie-école (désormais uniquement la mairie), construite en 1910 par l'architecte parisien Muret en remplacement des édifices précédents[86] ;
  • l'église Saint-Germain, du XIIe siècle. Son clocher date du début XVIIe siècle ;
  • la pierre des Templiers, du XIIIe siècle :
cette pierre est probablement une partie de la croix d'un cimetière très ancien[87],[88]. La pierre a été déchiffrée par Christian Julien, et le cimetière est mentionné sur plusieurs cartes[évasif] ;
  • le monument aux morts des guerres de 1914-1918 et 1939-1945, construit en exécution d'une délibération municipale du sur un projet de l'architecte Muret, et réparé en 1928[89] ;
  • la croix de cimetière de 1868 en fonte, sur une colonne[90] ;
  • la ferme de Villarceaux, dont la quasi-totalité des bâtiments est antérieure au cadastre napoléonien[91] ;
  • les maisons de maraîcher, également antérieures au cadastre napoléonien, 12 rue de Versailles[92] et 3 rue de Versailles[93].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique et logotype[modifier | modifier le code]

Blason de Nozay Blason
Écartelé : au 1er d'argent à la croix pattée alésée de gueules, au 2d d'or à l'écusson de France, au 3e d'or à une serpette de sable posée en bande, au 4e d'argent à une feuille de noyer de sinople.
Détails
La présence des Templiers (commanderie de Balizy), les fleurs de lys (blason de l'Ile de France pour les différencier des deux autres Nozay situés en Loire Atlantique et dans l'Aube), la serpette du vigneron pour rappeler autrefois la présence de vignes sur le territoire et la feuille de noyer (origine du nom Nozay)
Armoiries conçues par l'association locale Nozay et son Histoire, adoptées en .
Alias
Alias du blason de Nozay
Alias du blason de Nozay
La commune est dotée d'un logo.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Nozay », p. 811–814
  • Collectif d'auteurs, Le plateau de Nozay. : Définition d'un périmètre d'acquisition régionale, Iaurif, (ISBN 9782737110054)
  • Eugène Mannier, Ordre de Malte : Les commanderies du grand-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Aubry & Dumoulin, , 808 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
  4. Selon les données du recensement de 2016, seuls 5,0 % des foyers de la commune ont un revenu inférieur au taux de pauvreté (tableau REV G1), et les 10 % les plus aisés de la commune ont un revenu moyen de 43 503,9  par unité de consommation, pour un revenu médian de 28 147  (Tableau REV T3).
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

Nota : les références des Archives nationales ont été reclassées et les références actuelles sont changées[94].

  1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 7 avril 2009.
  2. Orthodromie entre Nozay et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 30/10/2012.
  3. Orthodromie entre Nozay et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 30/10/2012.
  4. Orthodromie entre Nozay et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 30/10/2012.
  5. Orthodromie entre Nozay et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 30/10/2012.
  6. Orthodromie entre Nozay et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 30/10/2012.
  7. Orthodromie entre Nozay et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 30/10/2012.
  8. Orthodromie entre Nozay et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 30/10/2012.
  9. Orthodromie entre Nozay et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 30/10/2012.
  10. Orthodromie entre Nozay et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 30/10/2012.
  11. Orthodromie entre Nozay et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 30/10/2012.
  12. Orthodromie entre Nozay (91) et Nozay (10) sur le site lion1906.com Consulté le 30/10/2012.
  13. Orthodromie entre Nozay (91) et Nozay (44) sur le site lion1906.com Consulté le 30/10/2012.
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Nozay et Épinay-sur-Orge », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Epinay-sur-Orge » (commune d'Épinay-sur-Orge) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Epinay-sur-Orge » (commune d'Épinay-sur-Orge) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  19. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  20. Plan de lignes de bus desservant Nozay
  21. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  23. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  25. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  27. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  29. Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 11/11/2010.
  30. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2016, document mentionné en liens externes.
  31. a b c et d Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  32. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 490b.
  33. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  34. Marianne Mulon, Noms de lieu d'Île-de-France, 1997, [réf. incomplète].
  35. site du CNRTL étymologie de "noyer" 2
  36. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. a b c d e f et g A. Jouanen, « Le XIX et le XXe siècle », Histoire-patrimoine, sur mairie-nozay91.fr (consulté le ).
  38. Archives nationales S 5094, supplément n. 46
  39. Mannier (1872) p. 23
  40. Mannier (1872) p. 24
  41. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  42. Schéma départementale d'orientation de l'intercommunalité de 2006 sur le site de la préfecture de l'Essonne. Consulté le 22/12/2012.
  43. Arrêté préfectoral n°2012248-0004 du 4 septembre 2012 paru sur le recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Essonne. Consulté le 19/12/2012.
  44. Julien Monier, « Le Plateau de Saclay ne veut pas intégrer l’agglo géante : Réunis pour leur conseil d’agglomération jeudi dernier, les élus du Plateau de Saclay se sont prononcés à l’unanimité contre le projet d’intercommunalité de 800 000 habitants de Massy à Versailles », Essonne Info,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. « Arrêté n° 2015-PREF/DRCL/n°718 du 02 octobre 2015 portant périmètre d’un EPCI à fiscalité propre issu de la fusion de la communauté d’agglomération du Plateau de Saclay, de la communauté d’agglomération Europ’Essonne avec extension aux communes de verrières-le Buisson et Wissous », sur Préfecture de l'Essonne, (consulté le ).
  46. Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 13/08/2009.
  47. Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 13/08/2009.
  48. Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 08/05/2012.
  49. Résultats de l'élection législative 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 13/08/2009.
  50. Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 13/08/2009.
  51. Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 22/06/2012.
  52. Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 13/08/2009.
  53. Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 13/08/2009.
  54. Résultats de l'élection régionale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 13/08/2009.
  55. Résultats de l'élection régionale 2010 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 12/04/2010.
  56. Résultats de l'élection cantonale 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 13/08/2009.
  57. Résultats de l'élection cantonale 2011 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 02/04/2011.
  58. Résultats de l'élection municipale 2008 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 24/01/2013.
  59. Résultats du référendum 2000 sur le site politiquemania.com Consulté le 13/08/2009.
  60. Résultats du référendum 2005 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 13/08/2009.
  61. « Liste chronologique des maires et des instituteurs de Rozay », Histoire-patrimoine, sur mairie-nozay91.fr (consulté le ).
  62. « ...et une élection municipale », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  63. Gérald Moruzzi, « Essonne : le maire de Nozay passe la main : Le maire a surpris son auditoire en déclarant lors de ses vœux qu’il allait quitter ses fonctions de maire dans les prochaines semaines. Une nouvelle diversement appréciée », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Une décision prise « pour raison personnelle », au terme de près d’un quart de siècle d’action en tant que maire ».
  64. Gérald Moruzzi, « Nozay : Paul Raymond passe la main à son premier adjoint », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  65. Gérald Moruzzi, « Nozay : Didier Perrier dans les pas de Paul Raymond : Désormais à la tête de la commune, l’ancien premier adjoint s’inscrit dans la continuité de son prédécesseur, qui aura marqué la vie locale durant un quart de siècle », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ce directeur commercial dans l'informatique âgé de 46 ans était depuis 2014 1er adjoint en charge des finances et au tissu économique (...) Élu depuis deux mandats à Nozay, Didier Perrier ne va pas seulement inscrire ses pas dans ceux de son prédécesseur, qui aura marqué de son empreinte cette commune d'environ 4 800 habitants. Il va aussi avancer à sa manière, en allant très vite à la rencontre des habitants ».
  66. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  67. Gérald Moruzzi, « Quota de logements sociaux : la préfecture soutient la mairie de Nozay : Proposé aux villes carencées, un contrat de mixité sociale (CMS) a été signé mardi entre les services de l’Etat et Nozay. Grâce à ce partenariat, la commune va être accompagnée jusqu’en 2025 dans la poursuite de cet objectif », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  68. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  69. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  70. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  71. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Nozay (91458) », (consulté le ).
  72. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Essonne (91) », (consulté le ).
  73. Liste des écoles du département sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. Consulté le 27/09/2010.
  74. « Carte des établissements du second degré du bassin de Massy sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) Consulté le 25/05/2010.
  75. Sectorisation des établissements scolaires du département sur le site de l'Inspection académique de l'Essonne. Consulté le 25/05/2010.
  76. Gérald Moruzzi, « Nozay : autour de la nouvelle maison de santé, l’offre de stationnement fait jaser : Dans le voisinage de la structure pluridisciplinaire ouverte depuis lundi, plusieurs riverains se plaignent déjà du stationnement anarchique de certains automobilistes devant leurs maisons », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  77. Coordonnées de l'agence postale de Nozay sur le site de La Poste. Consulté le 15/05/2011.
  78. Fiche de la paroisse sur le site officiel du diocèse. Consulté le 25/11/2009.
  79. +
  80. Gérald Moruzzi, « Nozay : les syndicats de Nokia se rassemblent devant le ministère de l’Economie ce mardi : L’intersyndicale se mobilise contre un nouveau plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) qui prévoit la suppression de plusieurs centaines de postes, pour l’essentiel sur le site de Nozay Paris-Saclay », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  81. « Résumé statistique national sur le site de l’Insee. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) Consulté le 26/10/2009.
  82. « %5CCOM%5CDL_COM91458.pdf Rapport statistique communal sur le site de l'Insee. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) Consulté le 31/05/2010.
  83. « %5CDL_ZE19901143.pdf Rapport statistique de la zone d'emploi d'Orsay sur le site de l'Insee. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) Consulté le 30/05/2010.
  84. Rapport statistique national sur le site de l'Insee. Consulté le 05/07/2009.
  85. Carte des ENS de Nozay sur le site du conseil départemental de l'Essonne. Consulté le 03/2019.
  86. « Mairie-école ; actuellement mairie », notice no IA91000067, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  87. Le monolithe des Templiers
  88. « Colonne monumentale dite Pierre des Templiers », notice no IA91000107, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  89. « Monument aux morts des guerres de 1914-1918 et 1939-1945 », notice no IA91000106, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  90. « Croix de cimetière », notice no IA91000092, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  91. « Ferme de Villarceaux », notice no IA91000165, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  92. « Maison de maraîcher », notice no IA91000140, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  93. « Maison de maraîcher », notice no IA91000139, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  94. inventaire des Archives nationales