Coulaines

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Coulaines
Coulaines
Boulevard Saint-Michel, quartier Bellevue-Carnac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement Le Mans
Intercommunalité Le Mans Métropole
Maire
Mandat
Christophe Rouillon
2020-2026
Code postal 72190
Code commune 72095
Démographie
Gentilé Coulainais
Population
municipale
8 003 hab. (2021 en augmentation de 7,22 % par rapport à 2015)
Densité 2 036 hab./km2
Population
agglomération
217 245 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 48° 01′ 36″ nord, 0° 12′ 15″ est
Altitude Min. 43 m
Max. 112 m
Superficie 3,93 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Le Mans
(banlieue)
Aire d'attraction Le Mans
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton du Mans-4
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web coulaines.fr

Coulaines est une commune française périphérique du Mans, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 8 003 habitants[Note 1].

Coulaines est une ville au label « 4 fleurs » du concours des villes et villages fleuris, distinguée en 2021 de la « fleur d'or » et élue en 2019 « Ville la plus sportive des Pays de la Loire » (catégorie « Communes entre 4 000 et 8 000 habitants »).

La ville de Coulaines est classée parmi les 100 communes les plus pauvres de France.

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Haut-Maine (Maine roux).

Géographie[modifier | modifier le code]

Située entre ville et campagne, au nord du Mans, la ville se tient sur la rive gauche de la Sarthe.

Son territoire se divise en deux parties sensiblement égales : une zone urbanisée au sud et une zone rurale au nord.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 720 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune du Mans à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 693,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records LE MANS (72) - alt : 51m, lat : 47°56'44"N, lon : 0°11'39"E
Records établis sur la période du 01-12-1944 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,7 2,2 4 6 9,7 12,9 14,6 14,3 11,2 8,8 5,2 2,9 7,9
Température moyenne (°C) 5,5 5,9 8,7 11,3 14,9 18,2 20,3 20,1 16,7 13 8,6 5,9 12,4
Température maximale moyenne (°C) 8,4 9,7 13,3 16,6 20,1 23,6 26 26 22,2 17,2 11,9 8,8 17
Record de froid (°C)
date du record
−18,2
17.01.1987
−17
15.02.1956
−11,3
01.03.05
−4,9
07.04.1956
−3,7
07.05.1957
1,6
04.06.1975
3,9
08.07.1954
3,2
15.08.1956
−0,5
21.09.1952
−5,4
29.10.1947
−12
23.11.1956
−21
29.12.1964
−21
1964
Record de chaleur (°C)
date du record
17,2
27.01.03
21,8
27.02.19
25,6
31.03.21
30,3
17.04.1945
32,4
27.05.05
39,7
18.06.22
41,1
25.07.19
40,5
06.08.03
35
14.09.20
30,1
02.10.23
22,2
01.11.15
18,3
07.12.00
41,1
2019
Ensoleillement (h) 65 936 1 392 180 2 066 2 207 2 329 2 261 1 852 1 178 75 665 18 085
Précipitations (mm) 65,9 49,1 52,2 51,1 63,2 55,1 49,4 49 50,8 65,5 67,1 75 693,4
Source : « Fiche 72181001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Coulaines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine du Mans, une agglomération intra-départementale regroupant 20 communes[12] et 217 245 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Mans, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 144 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (51,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (35,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (41 %), prairies (18,7 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), terres arables (11,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,7 %), forêts (2,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Grandes constructions[modifier | modifier le code]

Le plus haut bâtiment de l'agglomération est une tour d'habitation HLM de dix-huit étages nommée Programme no 154 ou Tour de Coulaines ou Tour des Sables, culminant à 61 mètres[18]. Il s'agit de la plus haute tour d'habitation urbaine de la région après le Sillon de Bretagne dans la banlieue de Nantes, culminant à 95 mètres de hauteur sur trente étages[19].

Le , un nouvel établissement pénitentiaire, le centre pénitentiaire du Mans-Les-Croisettes (nommé maison d'arrêt du Mans-Les-Croisettes à son ouverture), accueille 170 détenus venant d'Alençon et du Mans[20]. Inaugurée le par François Fillon, Premier ministre et par Michèle Alliot-Marie, ministre de la Justice, elle peut accueillir, depuis , 400 détenus[21].

Bus Setram[modifier | modifier le code]

  • Ligne  4 : Bellevue-Hauts de Coulaines ↔ Saint-Georges / Saint-Joseph
  • Ligne  11 : Closerie ↔ Le Cadran / La Chapelle-Saint-Aubin
  • Ligne  15 : Le Verger ↔ Guetteloup
  • Ligne  30 : Les Croisettes ↔ Gare Sud
  • Ligne  31 : Jacobins ↔ EHPAD 3 Vallées

Divers[modifier | modifier le code]

L'arbre de la citoyenneté, entre le quartier de Bellevue et Coulaines.
  • Le Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis) de la Sarthe, ainsi que le Centre de traitement des appels du 18 (CTA) est situé sur la commune de Coulaines, boulevard Saint-Michel.
  • À l'entrée de la ville, sur le boulevard Saint-Michel, à proximité de la caserne de pompier, se trouve le bâtiment ayant accueilli l'école normale de la Sarthe jusqu'en . À l'origine, cet établissement formait des institutrices, puis instituteurs et institutrices et enfin, des professeurs des écoles. Sur le site a été édifiée la Maison départementale des Sports accueillant de nombreuses instances sportives.
  • En 2016 est créé un conseil citoyen pour permettre aux habitants de participer au développement du « vivre ensemble » et répondre aux orientations de la politique de la ville. Il a la particularité d'être à cheval sur la limite avec le quartier Bellevue de la ville du Mans. Le , lors de la première journée citoyenne organisée par la ville, le conseil plante un arbre de la citoyenneté au 22 rue de Londres, marquant la limite séparative du quartier de Bellevue et de Coulaines.
  • La fibre optique arrive dans les premiers foyers à Coulaines à partir de [22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Coloniae au IXe siècle[23]. Le latin colonia désignait une terre où un colon était installé. Aux temps féodaux, le terme fut repris pour désigner la terre d'un fermier libre[23].

Le gentilé est Coulainais (anciennement Coulainois).

Histoire[modifier | modifier le code]

En novembre 843, Charles le Chauve convoque l’assemblée politique sur les terres de Coulaines. Il promet de préserver les biens ecclésiastiques et admet la loi des puissants, mais demande que l’épiscopat et les laïcs s’engagent à maintenir l’ordre, la justice et la paix, modifiant ainsi le droit royal, notamment entre le roi et l’aristocratie. Certains historiens[Lesquels ?] voient dans cet accord la fin de la fonction publique telle qu’elle a été héritée du Bas-Empire romain. C’est, de plus, la partition définitive des trois royaumes francs hérités des Mérovingiens : la Neustrie, l’Austrasie et la Burgondie. Charles II hérite de la Francia Occidentalis, ce qui deviendra plus tard la France telle que nous la connaissons. Il signe alors le capitulaire de Coulaines[24],[25].

À la fin du XIe siècle (vers 1099), une trentaine d'années après son père Guillaume le Conquérant, Guillaume le Roux s'installe à Coulaines et sur la motte et le mont Barbet pour se réapproprier Le Mans maintes fois repris au prix de nombreux incendies tant en la cité mancelle que dans les campagnes avoisinantes dont Coulaines dut subir le sort[26].

En 1845, Louis-Philippe Ier prononce le rattachement d'une partie de la paroisse de Saint-Ouen du Mans à la commune de Coulaines.

Quartier Bellevue.

Coulaines connait son développement à partir de 1961, faisant passer la commune de 1 400 habitants à plus de 7 000 dans la décennie. Un vaste programme de construction de logements doit répondre aux besoins démographiques. Le quartier Bellevue est classé en zone urbaine sensible (ZUS) depuis 1996[27], devenu un quartier prioritaire en 2015 et une zone de sécurité prioritaire (ZSP) en 2012[28].

En 2010 est lancé un projet de rénovation urbaine ANRU envisageant de "redessiner" la ville[29]. Il sera étendu en 2015 avec pour objectif la réalisation de nombreux logements entre l'église et la place de l'Europe.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[30]
Période Identité Étiquette Qualité
1884 1910 Auguste Gouault    
1910 1919 François Busson    
1919 1932 Georges Gouault    
1932 1932
(décès)
Georges Fousset    
1932 1945 Gustave Cachier    
1945 1949 Louis Greffier    
1949 Évariste Beaufay    
[31] Georges Bollengier-Stragier RI puis
UDF-PR
Médecin généraliste, député de la Sarthe (1986 → 1988, élu au scrutin proportionnel), conseiller général du canton du Mans-Nord-Campagne (1967 → 1998)
En cours Christophe Rouillon[32] PS Juriste de l'administration des finances, conseiller général du canton du Mans-Nord-Campagne (1998 → 2015), conseiller départemental du canton du Mans-4 (2015 → ), 2e vice-président de la communauté urbaine Le Mans Métropole, vice-président de l’Association des maires de France et membre du Comité des régions et des villes de l’Union européenne[33].
Les données manquantes sont à compléter.

Labels[modifier | modifier le code]

  • Ville fleurie (quatre fleurs) depuis 2001[34] et ville « fleur d'or » en 2021[35] au concours des villes et villages fleuris.
  • Ville la plus sportive des Pays de la Loire en 2019, pour la troisième fois, par le Comité régional olympique et sportif des Pays de la Loire[36].
  • Restaurants collectifs adhérents à la charte qualité-proximité (deux fleurs)[37].
  • Ville et Villages où il fait bon vivre[38],[39]
  • Ville prudente depuis décembre 2021[40],[41]
  • Ville européenne[42],[43]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Écoles maternelles et primaires :

  • Pôle d'excellence éducative Albert-Camus ouvert en . Il accueillait 362 élèves en 2020, répartis sur 15 classes, dont 151 élèves en classe de maternelle, et 211 élèves en classe de primaire[46];
  • école Georges-Braques, accueillant 176 élèves en 2020[47] ;
  • école Molière (SIVOS avec la ville du Mans) ancienne école annexe de l'IUFM de la Sarthe. En 2020, l'école accueillait 177 élèves répartis sur 8 classes, dont 58 élèves en classe de maternelle, et 110 élèves en classe de primaire[48].

Collège :

  • Collège Jean-Cocteau accueillant 400 élèves répartis en 16 classes de quatre niveaux[49]. Les élèves sont également originaires des communes de Saint-Pavace et Neuville-sur-Sarthe.

Coulaines ne comporte pas de lycée.

Santé[modifier | modifier le code]

Sur la commune a été édifiée une maison médicale regroupant un ensemble de professionnels de la santé dont :

  • dentistes ;
  • diététicienne ;
  • infirmières ;
  • kinésithérapeutes ;
  • médecins ;
  • orthophonistes ;
  • pédopsychiatre ;
  • podologues-pédicure.

Sont présents aussi dans le reste de la cité, ambulancier, audioprothésiste, laboratoire d'analyses, ostéopathes et plusieurs pharmacies.

Population et société[modifier | modifier le code]

Coulaines est la première ville de France à avoir ratifié en 2007 le Pacte européen des maires contre le réchauffement climatique[50].

La ville est classée parmi les 100 communes (41e) les plus pauvres de France et comptabilise 50 % de logements sociaux, lesquels sont situés au cœur du quartier prioritaire « Bellevue-Carnac ». Pas moins de 47 nationalités y sont recensées.

Cependant, la ville de Coulaines a remporté le premier prix RMC « ville/commune sociale » pour son parcours d’accompagnement des jeunes.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[52].

En 2021, la commune comptait 8 003 habitants[Note 4], en augmentation de 7,22 % par rapport à 2015 (Sarthe : −0,42 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
272248253312330360394621652
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
624640620604634602661703724
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7187457527298468489201 1791 408
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 5073 7217 4237 2917 3707 5447 4807 4797 447
2015 2020 2021 - - - - - -
7 4647 9588 003------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Offre culturelle[modifier | modifier le code]

La ville de Coulaines dispose d'une salle polyvalente (Espace culturel Henri Salvador), d'une bibliothèque associative et d'un centre d'animation (L'Herberie). La saison culturelle de la ville de Coulaines compte chaque année plus de cinquante rendez-vous à destination de tout public (concerts, théâtre, lectures, danses, humour…) et une dizaine de spectacles à destination du jeune public labellisés par le Réseau jeune public de la Sarthe[55].

Le , la ville a fêté les trente ans de l'espace culturel Henri-Salvador en présence de Catherine Salvador et Philippe Lavil[56]. À son ouverture en 1986, l'espace culturel est nommée salle polyvalente Les Sources. C'est seulement en 2002, sous l'impulsion du nouveau maire de la ville Christophe Rouillon, que la salle prend le nom d'espace culturel Henri-Salvador. Lors de l'inauguration en 2002, plus de 1 000 personnes ont fait le déplacement pour rencontrer Henri Salvador[57]. En trente ans, la salle a reçu plus de 300 spectacles jeunes publics et quelque 200 spectacles tout public.

Parmi les artistes s'étant produits à Coulaines, on compte ces dernières années : Jérôme Daran (), Zaz ()[58], Didier Bénureau (), Nicole Ferroni, Bérengère Krief et Donel Jacks'man (le )[59], Sophia Aram ()[60], Walter ()[61], Fills Monkey ()[62], Pierre Perret ()[63], Alex Vizorek ()[64], Frédérick Sigrist ()[65], Frédéric Fromet (), Laura Laune (4 mai 2019)[66], Marie Desroles, Paul Mirabel et Pierre Thévenoux (6 mars 2020)[67], Sandrine Sarroche (12 mai 2022)[68]

En 2012, une nouvelle manifestation Livres et compagnie[69] vient s'ajouter à l'offre culturelle de la ville. D'abord constituée de quelques rendez-vous destinés à promouvoir le livre et lecture auprès des quartiers prioritaires, l'action, soutenue dans le cadre de la politique de la ville s'étend désormais sur plus de six mois et regroupe de nombreux partenaires (Maison de la lecture, centre social les Maisons pour tous, Centre d'animation l'Herberie, les trois écoles primaires, le collège Jean-Cocteau…).

La saison culturelle de la ville de Coulaines repose en grande partie sur des partenariats reconduits chaque année (festival Bebop, Le Mans cité chansons, 25e heure du livre, Ciné ambul'72 et établissement d'enseignement artistique Djando-Reinhard, comité de jumelage…).

Festivités[modifier | modifier le code]

  • Depuis le XVIe siècle (1540), a lieu le lundi de Pâques à Coulaines, la fête dite « aux œufs durs » lors de laquelle sont distribués des œufs préalablement cuits à toute la population. Dans les années 70-80, c'est crus et lancés depuis le char qui fermait le défilé qu'étaient jeté les œufs aux habitants sur leurs balcons ou dans la foule avec la panique que cela pouvait engendrer.
  • Depuis 1999, au début du printemps, Coulaines propose le Festival du cerf-volant. On y retrouve (si les conditions météorologiques le permettent) toutes sortes de créatures en toiles voguant au gré des vents, ainsi que toutes sortes de gadgets se servant de l'énergie éolienne.
  • La Fête de la musique de Coulaines, a comme point fort le samedi soir au parc des trois vallées (bassin de rétention) un spectacle pyrotechnique.

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

  • Créé en 1936, par la section football, le club omnisports de la Jeunesse sportive de Coulaines s'est, au fil des années, agrandi avec nombre de sections qui se sont ajoutées. En 2022, le club compte 27 sections pour 24 disciplines. En football, le club qui évolue alors en DH se qualifie pour la première fois de son histoire pour les 32e de finale de la Coupe de France lors de la saison 1997-1998 (défaite contre le Stade rennais 4-0). En 2017, le club fait évoluer deux équipes de football en ligue du Maine et une troisième équipe en division de district[70].
  • La section basket des JS Coulaines a vu, durant la saison 2006-2007, ses deux équipes fanions (senior 1 féminin évoluant alors en Nationale 3 et sénior 1 masculin évoluant en régional 2), être éliminées en 64e de finale du trophée coupe de France. Les seniors masculins avaient réussi l'exploit d'éliminer deux équipes de Nationale 3 (dont la première, en 256e de finale, avec un écart assez important). Les JS Coulaines basket accueillent depuis plusieurs années, l'équipe cadette Sarthe féminine évoluant en championnat de France, et, depuis 2009, l'équipe féminine minime Sarthe évoluant aussi en championnat de France.
  • Ville sportive, Coulaines a révélé nombre de champions tant au niveau national qu'international[réf. nécessaire], notamment en rollers avec des titres de champion d'Europe et de champion du Monde (Sandrine Plu), ainsi qu'au tennis avec Jo-Wilfried Tsonga (qui a commencé sa carrière tennistique jusqu'à l'âge de 13 ans, au Tennis club des 3 vallées à Coulaines)[71]. Jérémy Leloup, qui a été encadré aux JSCoulaines basket[72] de l'âge de sept ans jusqu'en cadet 2e année, évolue, depuis 2006, en Pro A ou en Pro-B (Le Mans SB, Vichy puis JA Dijon). Depuis 2013, Jérémy Leloup évolue à la SIG Strasbourg (avec pour entraîneur Vincent Collet), régulièrement en finale du championnat de France et finaliste de l'EuroCoupe 2015-2016. Le 7 août 2021, Alexia Chartereau et Iliana Rupert, qui avaient fait leurs débuts ensemble à Coulaines, remportent avec l’équipe de France de basket, la médaille de bronze aux Jeux Olympiques de Tokyo[73].
  • En , le CSR Team EKOI, équipe de roller du club de Coulaines obtient la troisième place de la dixième édition des 24 Heures Rollers. Le weekend du 24 et , cette équipe a battu quatre records du monde de roller : celui du 100 km (en h 2 min 6 s), celui du parcours en 6 heures (192,547 km), celui du parcours en 12 heures (372,643 km) et celui du parcours en 24 heures (721,081 km)[réf. nécessaire]
  • Coulaines a été élue ville la plus sportive des Pays de la Loire en 2002 (en 3ème catégorie, c'est-à-dire entre 6000 et 10 000 habitants), et deuxième ville la plus sportive des Pays de la Loire en 2009 par le Comité régional olympique et sportif des Pays de la Loire[réf. nécessaire]. Avec 7 500 habitants environ, les JS Coulaines comptent plus de 4 000 licenciés. En 2013, la ville est nommée « ville la plus sportive des Pays de la Loire » (catégorie « Communes entre 4 000 et 8 000 habitants ») par le Comité régional olympique et sportif pour quatre ans[74]. Elle est de nouveau « ville la plus sportive des Pays de la Loire » en 2019 (catégorie « Communes entre 8 000 et 15 000 habitants ») et obtient également le label quatre flammes[75]. Le 20 novembre 2019, Coulaines est labellisée Terre de Jeux 2024 par le Comité d’organisation des Jeux olympiques de Paris 2024, afin d'être centre de préparation aux jeux des délégations étrangères[76].

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie et environnement[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Selon l'Insee, la ville de Coulaines présentait un taux de chômage des 15-64 ans de 23.3 % en 2018[77].

Selon Pôle emploi, il y avait 1 060 demandeurs d'emploi à Coulaines en , dont 190 de moins de 25 ans[78].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

À la fin 2015, la commune présentait 339 établissements toutes catégories confondues.

Coulaines comprend une zone d’activités, le Champ fleuri, et une zone industrielle partagée avec la commune de Saint-Pavace.

Protection de l'environnement[modifier | modifier le code]

Dactylorhiza sp. (espèce à déterminer) coulaines 2018

Entre 2007 et 2018, à la suite de la mise en œuvre d'un plan d'actions en faveur des énergies durables[79] (PAED comportant dix-neuf actions concrètes votées par le conseil municipal du [80]). En 2014, des chèvres et des moutons sont introduits en milieux semi-naturels pour entretenir une parcelle située en contrebas de l'arboretum, favoriser la biodiversité et réduire les émissions de gaz à effet de serre[81].

La ville de Coulaines pratique la politique du 0 pesticide depuis le début des années 2000, bien avant que cette interdiction ne soit dans la législation française (loi Labbé 2019).

La commune de Coulaines, bien que péri-urbaine, possède un arboretum de 6.5 ha abritant de nombreuses essences d'arbres, à fleurs ou conifères, exotiques (tulipier de Virginie, févier d'Amérique, Sequioa géant etc) ou locales (chênes, hêtres, douglas...). On y retrouve plusieurs types de sols dont certains favorisent le développement de certaines espèces d'orchidées sauvages :

  • Orchis mascula
  • Orchis bouc
  • Orchis pyramidal (très rare sur le secteur, seulement 1 à 3 pied aperçu par an)
  • Ophrys abeille
  • Dactylorhiza sp. (un seul pied aperçu en 2018, voir photo)

L'arboretum appartient à une zone appelée "chemins creux de Coulaines" où la nature cottoie l'urbain. On peut y apercevoir des espèces de mammifères (écureils roux, lapins, taupes, musaraignes, hérissons, renards roux, chevreuil, chauves souris, rongeurs myomorphes), de nombreuses espèces de sauropsidés/oiseaux (Corbeaux, pie, geaies des chênes, pigeons, mésanges, pics, falconiformes et diverses espèces de passereaux comme la huppe fasciée), des sauropsidés/reptiles (couleuvres, lézards) et des arthropodes (nombreuses espèces de lépidoptères dont des Flambées et paon de jour, des coléoptères (Chrysmèles, Cétoine dorées), hyménoptères (différentes espèces de guêpes tels frelons européens, abeilles (Dont Xylocopes), des Syrphes (Volucelle dorée) etc).

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Nicolas.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Nicolas, d'époque médiévale (XIIe siècle, édifiée par l'évêque du Mans Hoël vers 1085, en même temps que sa « maison de campagne », presque en face) possède une tour hourdée de bois (rare). Sa cloche, prénommée « Gertrude » est la dernière de la célèbre sonnerie de douze cloches de l'abbaye Saint-Vincent du Mans, sauvée à la Révolution quand tout le bronze était réquisitionné. L'église est inscrite au titre des Monuments historiques par arrêté du [82]. Elle abrite deux bas-reliefs et quatre statues classés à titre d'objets[83].

L'aqueduc des Fontenelles jadis visible au lieu-dit la Chaise aux Fées, long de 4 km atteste l'occupation romaine. Son eau, provenant de Sargé, alimentait quelques édifices romains du Mans, essentiellement des fontaines et autres lieux de salubrité (vespasiennes). Le public peut voir une pièce d'environ 2 mètres de long et d'1,50 mètre de haut de cet aqueduc, sous verre, dans la zone entourant la Maison des Chemins creux de Coulaines. Cette pièce a été sauvée par Roger Crétois (autorisé par le maire de l'époque Georges Bollengier-Stragier) qui, avec l'aide d'une association de réinsertion, l'AFIC, sous la responsabilité de Marcel Boinet et Lydie Gaudin, a pu faire transférer ce tronçon (le ), dans le parc du Sidéal tenu par Patrick Salètes, directeur de l'association Sidéal. Patrick Salètes a été maître-d'œuvre du bâtiment Sidéal devenu la Maison des Chemins creux en 2005.

Four à chanvre : pendant le parcours de randonnée no 1 des Chemins creux, en passant à proximité d'un petite place occupée par un immense paulownia (arbre dont les fruits sont collants), on peut admirer un four à chanvre en parfait état de conservation, avec une description de son utilisation.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

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Références[modifier | modifier le code]

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  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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