Bidache
Bidache | |||||
Le château de Bidache | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du pays de Bidache | ||||
Maire Mandat |
Michel Dallemane 2014-2020 |
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Code postal | 64520 | ||||
Code commune | 64123 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bidachot | ||||
Population municipale |
1 335 hab. (2014) | ||||
Densité | 44 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 29′ 03″ nord, 1° 08′ 24″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 162 m |
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Superficie | 30,43 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Bidache (chef-lieu) |
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Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Bidache est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Aquitaine.
Le gentilé est Bidachot[1] (ou Bidaxundar[2] en basque).
Géographie
Situation
Bidache se situe à huit kilomètres de Peyrehorade et à quarante de Biarritz.
Accès
La commune est desservie par la ligne 811 du réseau interurbain des Pyrénées-Atlantiques, qui mène de Bayonne à Tardets-Sorholus.
La sortie no 4 de l'autoroute A64 donne un accès direct à la localité, également traversée par la départementale 936.
Hydrographie
Situées dans le bassin versant de l'Adour, les terres de la commune sont arrosées[3] par la Bidouze, affluent de l'Adour, et par les tributaires de celle-ci, le Lihoury (et ses affluents, les ruisseaux le Patarena, le Gelous[4], l'Oyhanchoury et l'arriou de Ménine[4]) et le ruisseau de Lagrabe.
Lieux-dits et hameaux
Quartiers
Autres lieux-dits
- Bacqué[5]
- Balesté[5]
- Barbé (le)[5]
- Baroun (le)[5]
- Barthe (la) (deux lieux-dits)[5]
- Bastidot[5]
- Battant (le)[5]
- Bélaren[5]
- Belloc (Chalet)[5]
- Berdic[5]
- Bergerot[5]
- Biscay[5]
- Borde (haut de)[5]
- Bordelongue[5]
- Bordenave[5]
- Bouhet[5]
- Bourlingat[5]
- Bourrat[5]
- Camon (borde)[5]
- Cauhepé[5]
- Caumoun[5]
- Cazenave[5]
- Chalosse[5]
- Cheverse[5]
- Clouchette[5]
- Coumençat[5]
- Crémendy (Vieux)[5]
- Croustintat (la)[5]
- Crouts (la)[5]
- Cruchage[5]
- Dabadie (le moulin)[5]
- Darré (borde)[5]
- Ermou (le Moulin d’)[5]
- Fenouil (borde)[5]
- France[5]
- Garat[5]
- Gelous[5],[4]
- Glaude[5]
- Gramont (château)[5],[4]
- Gramont (le moulin de)[5]
- Guicharnaut[5]
- Haitce[5]
- Haritzague[5]
- Hayet[5]
- Hayette[5]
- Herpil[5]
- Heugas (moulin de)[7]
- Higué[5]
- Hinguety[5]
- Houga[5]
- Jarzin (le)[5],[8]
- Jouandelas[5]
- Jouanouberrou[5]
- Labadiotte[5]
- Labour[5]
- Lacoste[5]
- Lacoume[5]
- Lagabotte[5]
- Lagouarde[5]
- Lagouarde du Mech[5]
- Lalane[5]
- Lanivieille[5]
- Larceveau[5]
- Larralde[5]
- Larralde (borde)[5]
- Larré[5]
- Larroudé[5]
- Larroze[5]
- Latxague[5]
- Lognes[5]
- Loustau[5]
- Loustesse[5]
- Maillos[5]
- Maïté[5]
- Maniou[5]
- Mathurin[5]
- Maysoun (la)[5]
- Maysounave[5]
- Mech (le)[5],[4]
- Mech (borde du)[5]
- Ménine[5]
- Migardoy[5]
- Mihore[5]
- Millet[5]
- Mina[5]
- Mixe (bois de)[5],[4]
- Mounamic[5]
- Mounane[5]
- Moundine[5]
- Mounoche[5]
- Mountagne (la)[5]
- Nabarits[5]
- Narbrou[5]
- Nouste (la Villa)[5]
- Oiseaux (les Petits)[5]
- Pagadoy[5]
- Parroun[5]
- Pavillon (le)[5]
- Pédebercoly[5]
- Peyrolle[5]
- Picagorry[5]
- Planotte (la)[5]
- Pouchiou[5]
- Pountet[5]
- Pour (le)[5]
- Prébendé[5]
- Ragot[5]
- Randoubillou[5]
- Rap (le)[5]
- Rey (le)[5]
- Roussel[5]
- Sabalette[5]
- Saillé[5]
- Saint-Jean[5]
- Saint-Martin[5]
- Sarcou[5]
- Sarrite[5]
- Sarsalue[5]
- Tambau[5]
- Tatoun[5]
- Téulé[5]
- Teulère (la)[5]
- Thicoun[5]
- Thys (le)[5]
- Uhalde[9],[5]
- Usanits[5]
- Valentin[10]
Communes limitrophes
- Bardos à l'ouest
- Orègue et Arraute-Charritte au sud
- Came à l'est
- Hastingues (Landes) au nord.
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Bidache apparaît sous les formes bidezon (1140[11]), sanctus jacobus de bidachen (1160[11]), bidassun (1292[11]), Villa de Bidaxen (1293[4]), bidayssun (1304[11]), bidaissun (1305[11] et 1306[11]), Vidaxen et Vidayxon (respectivement 1312[4] et 1329[4], titres de la Camara de Comptos[12]), Bidassun (1328[4]), Bidaxen (1342[11] et 1489[4], notaires de Pau[13] pour la dernière date) et Bidasche (1650[4], carte du Gouvernement Général de Guienne et Guascogne et Pays circonvoisins).
Étymologie
Bidache provient du basque bide, « chemin », et haitz, « pierre », signifiant « lieu du chemin de pierre »[11].
Autres toponymes
Gelous est un hydronyme qui désigne un ruisseau qui arrose Bidache et Bardos avant de rejoindre le Lihoury. Il est cité en 1502[4] (l’ostau de Gelos, sur la commune de Bardos) dans les titres de Navarre[14].
Le château de Gramont est mentionné sous les graphies
Agramont (XIIe siècle[4], collection Duchesne volume CXIV[15]),
Castrum Acris-Montis (1244[4], rôles gascons),
Agremont et Aigremont (fin du XIIIe siècle[4]),
Egremont (1399[4], rôles gascons) et
Grantmont (1456[4], titres de Navarre[14]).
Le Jarzin est l'appellation donnée à l'ensemble datant de la première moitié du XVIIe siècle et formé de l'orangerie et de la maison du jardinier du château de Gramont[8].
La Ménine est un hydronyme, associé à un tributaire du Lihoury.
Le hameau de Mixe est indiqué en 1863[4] dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.
Graphie en langues locales
Son nom basque actuel est Bidaxune[2] et son nom occitan gascon est Bidàishen.
Histoire
La « souveraineté » de Bidache
De la fin du XVIe siècle à la Révolution française, Bidache constitue une petite principauté qui se proclame « souveraine », sous la souveraineté de la famille de Gramont, prétention généralement considérée avec sérieux par les historiens plus récents.
Cela signifie concrètement que la justice y est rendue en dernier ressort, sans qu'on ne puisse en appeler aux parlements de France ou de Navarre, mais aussi que la petite ville est un havre pour ceux qui veulent trouver asile dans une terre étrangère, et notamment d'une part les Juifs et d'autre part les malfaiteurs[16].
Bidache depuis 1790
En 1790, le canton de Bidache ne comptait que la ville de Bidache, et dépendait du district de Saint-Palais.
Bidache et le Pays basque
L'appartenance de Bidache à la Navarre en fin de Moyen Âge ne fait aucun doute. Jean-Baptiste Orpustan relève plusieurs mentions de la ville à partir de 1291 parmi les listes de paroisses payant franchise au pouvoir royal navarrais[17]. Entre 1329 et 1434 les seigneurs de Gramont prêtent régulièrement hommage au roi de Navarre pour leur château de Bidache[18].
Sous l'Ancien Régime, Bidache prétend à constituer une principauté souveraine, même si en 1710 encore, le procureur général près le parlement de Navarre prétend que « la seigneurie de Bidache est située en Navarre et qu'il peut y avoir appel de ce qui est décidé et réglé par les juges de cette seigneurie, et que les appellations doivent être portées devant le parlement de Navarre »[19]. La situation n'est donc pas dépourvue d'ambiguïté[20].
En 1943 encore, la carte du Pays basque (signée M. Haulou) qui illustre l'histoire des Basques de Philippe Veyrin en exclut Bidache[21]. De nos jours, Bidache est désormais généralement incluse dans les listes de communes de Basse-Navarre et figure sur les cartes comme appartenant au Pays basque[22].
Politique et administration
Intercommunalité
La commune appartient à sept structures intercommunales[23] :
- la communauté de communes du pays de Bidache ;
- le syndicat AEP de la région de Bidache ;
- le syndicat d’assainissement Adour - Ursuia ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal de protection des berges de l'Adour maritime et de ses affluents (SIPBAMA) ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
- le syndicat mixte Erreka Berriak.
Bidache accueille le siège de la communauté de communes du pays de Bidache et du syndicat AEP de la région de Bidache.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25],[Note 1].
En 2014, la commune comptait 1 335 habitants, en augmentation de 5,37 % par rapport à 2009 (Pyrénées-Atlantiques : 2,53 %, France hors Mayotte : 2,49 %).
Enseignement
La commune dispose d'un collège public et d'une école primaire.
Économie
L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
La commune possède une carrière qui a fourni, en autres, des pierres pour la chapelle du couvent de Notre-Dame du Refuge à Anglet.
Culture et patrimoine
Langue
La ville est d'histoire et de langue gasconnes, langue toujours enseignée dans l'enseignement public de la ville. Mais, ce village est tout de même proprement charnègue (métis de basque et de gascon) car il possède aussi des éléments de son histoire qui sont à apparenter au Pays basque.
Musique
Bidache metal est un festival de metal et de hard rock organisé depuis 2003 à Bidache.
Dictons et proverbes
Que vas enta Bidàishen ? Pòt de grèisha.
Que vas enta Bardòs ? Chuca aqueth òs.
Tu vas à Bidache ? Pot de graisse.
Tu vas à Bardos ? Suce cet os.
Patrimoine civil
Le château de Bidache[28],[29],[30],[8], construit au XIIe siècle, par les ducs de Gramont, connaît aujourd'hui des travaux de consolidation. On peut déjà voir les résultats sur l'entrée principale du château. La fameuse volerie n'est alors plus sur les lieux.
Le pont de Gramont[31] sur le Lihoury date du XVIIe siècle, tout comme le pont Romain[32] ou du Moulin.
La commune présente un ensemble[33] de maisons[34],[35],[36],[37] des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, dont celle dite Hôtel restaurant basque (1586[38]), la maison Tanneur[39] (XVIIe siècle), des maisons de maître[40],[41],[9],[10] et la maison Champina[6], ancien entrepôt commercial (XVIIIe siècle).
Le moulin de Gramont[7] ou de Heugas date du XVIIe siècle.
Patrimoine religieux
L'église néo-gothique Saint-Jacques-le-Majeur[42] abrite la crypte des ducs de Gramont et offre un chemin de croix[43] réalisé par René-Marie Castaing (prix de Rome) et Jacques Castaing. Elle recèle d'autre part un ensemble de trente et une verrières[44] et divers mobiliers[45] inventoriés par le ministère de la Culture.
Deux cimetières israélites[46],[47] témoignent de la présence influente de la communauté juive.
L'ancienne synagogue[48], actuellement maison Capdevielle, date du XVIIe siècle.
Personnalités liées à la commune
Jean-Jacques Lasserre, est un homme politique français, président du conseil général des Pyrénées-Atlantiques (UDF), ancien maire de Bidache.
Héraldique
Blasonnement :
Écartelé : au 1, d'or au lion d'azur armé et lampassé de gueules (qui est Gramont) ; aux 2 et 3, de gueules à trois flèches d'or armées et empennées d'argent, 2 et 1, les pointes en bas (qui est d'Aster) ; au 4, d'argent à un lévrier de gueules colleté d'azur, à l'orle de sable semée de besants d'or (qui est d'Aure) ; sur le tout de gueules à quatre otelles d'argent (qui est Comminges).
Commentaires : Cri : Dios nos ayude! (Dieu aide nous !). Devise : Dei gratia sum id quod sum (« par la grâce de Dieu je suis ce que je suis »)[49].
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Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Gentilé sur habitants.fr
- - Académie de la langue basque
- Notice du Sandre sur Bidache
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le )
- « La maison Champina », notice no IA64000279, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Le moulin de Gramont », notice no IA64000277, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « L'orangerie et la maison de jardinier du château de Gramont », notice no IA64000291, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « La maison de maître du lieu-dit Uhalde », notice no IA64000274, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « La maison de maître du lieu-dit Valentin », notice no IA64000278, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque, Presses universitaires de Bordeaux 2006 (ISBN 2 86781 396 4)
- Titres publiés par don José Yanguas y Miranda - Diccionario de Antiguedades del reino de Navarra ; 1840 ; Pampelune
- Notaires de Pau - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papiers d'Oihénart, ancienne bibliothèque impériale - Bibliothèque nationale de France
- Cette section étant un résumé succinct de l'article Principauté souveraine de Bidache, on se rapportera à celui-ci pour le détail des sources ainsi que pour une bibliographie détaillée.
- Jean-Baptiste Orpustan, « La Basse-Navarre en 1350 - IV - Le Pays de Mixe », Bulletin du Musée Basque, no 84, , p. 86-88
- Jean de Jaurgain et Raymond Ritter, La maison de Gramont 1040-1967, Les amis du musée pyrénéen, Tarbes, tome 1, p. 59, p. 65, p. 69 et p. 71
- Jaurguin et Ritter, op. cit., tome 2, p. 674-675
- Comme le relève Eugène Goyheneche, Le Pays Basque, Société nouvelle d'éditions régionales et de diffusion, Pau, 1979, p. 139.
- Philippe Veyrin, Les Basques de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, , consulté sous sa réédition Artaud, 1978
- On la trouvera par exemple dans les listes toponymiques de communes basques résultant des travaux de l'Académie Euskaltzaindia : [1].
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « Le château de Bidache », notice no PA00084358, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « L'orangerie du château de Gramont », notice no IA64000289, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « L'écurie du château ducal de Gramont, dite Le Pavillon », notice no IA64000290, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Le pont de Gramont », notice no PA64000047, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Le pont romain », notice no IA64000276, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Les maisons et fermes anciennes », notice no IA64000272, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison du XVIe siècle », notice no IA64000287, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison du XVIIe siècle », notice no IA64000288, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « La maison dite Congrès », notice no IA64000286, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison du début du XVIIIe siècle », notice no IA64000285, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « La maison dite Hôtel restaurant basque », notice no IA64000283, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « La maison Tanneur », notice no IA64000281, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « La maison de maître du XIXe siècle », notice no IA64000280, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « La maison de maître dite Barthe », notice no IA64000284, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « L'église Saint-Jacques-le-Majeur », notice no IA64000273, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Le chemin de croix de l'église Saint-Jacques-le-Majeur », notice no IM64002920, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Les verrières de l'église de Saint-Jacques-le-Majeur », notice no IM64002919, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Le mobilier de l'église Saint-Jacques-le-Majeur », notice no IM64002921, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Le cimetière israélite », notice no PA00135193, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Le cimetière juif », notice no IA64000275, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « La maison Capdevielle, ancienne synagogue », notice no IA64000282, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Devise tirée de la Bible (saint Paul), 1 Corinthiens 15,10.