* Commune de naissance du maréchal Davout. L'un des plus fameux officiers généraux de l'histoire de France. Seul maréchal napoléonien à être resté invaincu. (190)
* Comtesse Aélis de Nevers (veuve du comte de Joigny Renard IV). Inhumée dans l'église abbatiale de Dilo, son tombeau se trouve à présent dans l'église de Joigny. (172)
L'Histoire d'Asnières-sous-Bois et de toute la région est marquée par Saint-Bernand de Clairvaux, qui précha la deuxième Croisade à Vézelay le 31 mars 1146. (163)
*La famille d'Estutt d'Assay possédait autrefois le château de Blannay. (73)
*Famille De Châteauvieux. (26)
*le poète chansonnier Charles d'Avray 1878-1960 possédait une maison à Blannay et en avait fait son lieu de villégiature ; il est inhumé au cimetière du Père Lachaise. (174)
Pierre Louki est né à Brienon; ses grands-parents paternels et maternels étaient brienonnais. Son grand-père Gustave Varenne était instituteur; il siègea 11 ans au conseil municipal dont 6 comme maire. (219)
Louki a été un poète grand ami de Brassens, un parolier interprété par les plus grands noms de la chanson. Il avait souhaité travailler surtout pour le théâtre - il était très fier d'avoir été reconnu par Roger Blin - mais c'est la Môme aux boutons qui l'a rendu célèbre. (294)
En février 2009 le conseil municipal de la ville décide de dénommer l'espace culturel qui va ouvrir du nom de Pierre Louki. (126)
*Louis-Victor Baillot, dernier survivant de la bataille de Waterloo, né à Percey le 9 avril 1793 et mort à Carisey le 3 février 1898. (149)
* L'Imprimerie des Annales Politiques et Littéraires, à l'occasion de l'entrée dans le XXe siècle, a publié le Livre d'Or des Gloires Françaises au XIXe siècle dans lequel est reproduite, en dernière page, une gravure d'après un tableau de Grolleron, représentant VictorBaillot, le dernier de Waterloo, né, d'après leur source, à Carisey (dates de naissance et de décès conformes aux informations données ci-dessus). (457)
* Potentien : évangéliste du IIIe siècle, devenu saint patron de la paroisse (source Victor Pallier). (article manquant)
* Censure : neuvième évêque d'Auxerre ayant fait construire un château sur le site (castrum Censurii, puis castrum censorium) d'où le nom actuel de Châtel-Censoir (source Victor Pallier). (article manquant)
Patrie des frères CHAUSSON, Gaston (né en 1876) et Jules (né en 1881).Industriels fondateurs des Usines CHAUSSON d'Asnières (Seine) qui produisirent des radiateurs pour automobiles, des éléments de carrosserie pour les constructeurs ainsi que la grande série des autocars CHAUSSON qui furent les leaders du marché de l'autocar français de 1947 à 1965. (361)
C'est au lieu dit "le Desert", aujourd'hui appelé "la Bergerie", que Robert de Molesmes rejoignit Aubry (ou Albéric), pour y vivre en hermite avant d'aller fonder le monastére de Molesmes (aujourd'hui Molesme en côte d'or) en 1075, puis celui de Cîteaux en 1098, pour revenir à Molesmes quelques années plus tard laissant comme abbé Aubry, auquel succéda Etienne Harding qui reçu à Citeaux en l'an 1012 Bernard (futur Bernard de Clairvaux) accompagné d'une trentaine de Chevaliers.--90.33.18.176 28 septembre 2007 à 11:25 Olivier Lagrange (600)
*famille Gariel : Honoré et Hippolyte, fondateurs des cimenteries en 1835. Ils développèrent Vassy au XIXe siècle, le dotant d'une école, d'une église, d'une gare. (179)
* Tristant de Sallazard, archevêque de Sens et descendant du Roi Saint Louis par la branche maternelle (103)
* Elisabeth Dame de Saint-Valérien et de Fouchères (13e siècle, fille de André Brienne-Ramerupt et d'Adélaide de Venizy, femme de Milan de Pougy). (151)
* Thomas Tribolet, notaire et secrétaire du Roi de France qui a acquis la Seigneurerie de Fouchères en 1471 en épousant Gillette LeHangre (fille de Jacques Lehongre) (168)
Bibliothécaire,conservateur de la Bibliothèque de Tours. (59)
Né à Germigny en 1869,décédé en 1932. (42)
Les 3 frères GISLAIN DE BONTIN : (40)
Alexandre Louis (16)
Polytechnicien,il intègre l´Etat major de l´artillerie à la manufacture d´armes de Turin et participe à la campagne de France en 1814. (141)
Né à Germigny le 28 octobre 1789 et meurt le 9 mars 1854. (59)
Alexandre Charles (18)
Saint-cyrien,il est sous-lieutenant au 7ème régiment de chasseurs à cheval. Il participe à la campagne de Russie au cours de laquelle il fut blessé. (154)
Né à Germigny le 22 août 1791, tué à la bataille de Leipzig en 1813. (73)
Alphonse (9)
Egalement saint-cyrien,il devient lieutenant dans la garde du roi. Il participe à la bataille de Wagram (1814) et à la campagne d´Espagne en 1823. (150)
Né à Germigny le 29 novembre 1796, date de décès inconnue. (62)
* Le peintre Georges Hosotte, de réputation extra-cantonale, y possède une résidence avec sa somptueuse véranda style rococo et s'est beaucoup inspiré des beaux paysages vallonnés pour ses tableaux; il a peint tous les cerisiers en fleur des coteaux d'Irancy. Le village a beaucoup conservé de son aspect d'antan. (328)
* Village natal de René Lagrange, militant syndical. (57)
* Elysée Clévenot, philosophe, y vit actuellement. Il fait des phrases et ne le sait pas. (91)
Au XVIIe siècle, Junay accueillit le propriétaire Nicolas Boileau, poète et écrivain. Il aimait le vin et jugeait que la meilleure façon d'être bien servie était de boire une bonne bouteille d'origine garantie, en achetant un vignoble renommé. Il acquit une vigne en Vaut Morillon. A la suite des déboires de son propriétaire, elle fut vendue le 7 décembre 1688. (380)
Fernand CLAS, né a Leugny le 14 mai 1868, mort à Paris le 31 mai 1935, poète et écrivain en patois de la Puisaye. Enfant, il accompagne son père Adrien, maire de Leugny et vétérinaire, dans ses tournées faisant connaissance avec les paysans de la région : leur langage, coutumes et manière de vivre inspire son oeuvre. Il a exercé la profession de clerc de notaire à Paris jusqu'en 1918. Il repose à Leugny. (422)
Sources : stèle élevée en son souvenir sur une place de Leugny (65)
Alexandre Baudot, le célèbre "Clairon de Malakoff" qui s'illustra par sa conduite héroïque lors de la prise du fort de Malakoff le 8 septembre 1855. (162)
Né en 1840 à Mailly-la-Ville, mort en 1932 à Paris, l'ouvrier bronzier Zéphyrin Camelinat occupe dans l'histoire sociale française une place symbolique due à son implication dans l'histoire du mouvement ouvrier et du socialisme pour toute la période allant du Second Empire jusqu'aux années 1930.La rue principale du village porte son nom. (351)
François Garnier, né en 1798, a fondé en 1835 à Paris avec les frères Gariel une maison de travaux publics. Cette entreprise, connue pour exploiter le ciment romain (ou ciment prompt), sous l'appellation de "ciment de Vassy", a participé aux Transformations de Paris sous le Second Empire, les ingénieurs des Ponts et Chaussées lui confiant la construction ainsi que la rénovation des ponts et des égouts de la capitale. La maison Gariel eut jusqu'à mille ouvriers à Paris et autant en province. (582)
Député d'Avallon de 1846 à 1848, François Garnier a soutenu la politique de Guizot jusqu'à la Révolution de février 1848. Il a construit à Marmeaux, où il avait été berger durant son enfance, une ferme modèle. (233)
Son fils Etienne-Henri Garnier a été élu député d'Avallon de 1876 à 1877 et de 1884 à 1885. Elève de l'École polytechnique, il fit carrière dans l'administration préfectorale. (218)
Depuis des années s'est développée une petite communauté d'artistes, natifs de Montréal ou venus s'installer par connaissance. Voici les plus reconnus : (157)
* Claude Manesse, peintre et sculpteur, né à Montréal en 1939 (64)
* Philippe Manesse, comédien et directeur de théâtre, né à Montréal (73)
* Régis Pasquier, violoniste, réside à Montréal (51)
Gilles Amiel de Ménard, c'est moins su, est bien natif de Chainq-en-haut, et d'ailleurs, comme le bon docteur Olivenstein le disait fort bien, il n'y a pas de nougat heureux, comprenne qui pourra, et bon courage pour cette dernière tâche. (241)
Giroux Robert(1907-1995) fut maire de Préhy pendant 40 ans, habitant et agriculteur il s'occupa du village jusqu'à ce que préhy soit rattaché a St Cyr les colons. (167)
Préhy à de nouveau son indépendance depuis 1998. (51)
* Louis-César-Auguste Damoiseau de Provency, colonel général des dragons, maréchal de camp, directeur du génie en Corse, chevalier de Saint-Louis en 1753. <ref>{{ouvrage (238)
|titre=L'Ordre de Malte, ses grands maîtres et ses chevaliers (64)
|auteurs=Alexandre Mazas et Théodore Anne (44)
|lieu=Paris (13)
|année=1839 (14)
}}</ref> (14)
* Louis-Charles Damoiseau de Provency, reçu chevalier de l'Ordre de Malte le 8 juin 1770.<ref>{{ouvrage (120)
|titre=Histoire de L'ordre royal et militaire de Saint-Louis - (66)
|titre volume=Deuxième partie de 1745 à 1830 (48)
|auteur=Nicolas Viton de Saint Allais (39)
|année=1860 (14)
}}</ref> (14)
* Étienne-Denis de Pampelune (1725, ?), marquis de Genouilly, gouverneur de Vézelay, chef des écuyers de Marie-Antoinette, ami de Buffon (223)
Le colonel Gobert qui commandait le 5ème régiment de Cuirassiers à Waterloo est enterré dans le cimetière communal. (120)
* Robert Falcucci (17)
A Saint-Aubin-Château-Neuf vivait Robert Falcucci (1900-1989), peintre de talent dont les sujets, pour beaucoup religieux, sont éclatants de couleurs et animés par une lumière extraordinaire. C'est lui qui a peint le tableau du Christ guérissant les malades dans l'église du village. Il a aussi obtenu le premier prix au concours d'affiches de la Ligue maritime française en 1917. C'était un peintre, affichiste, illustrateur et décorateur. (449)
* Jacques Mars (14)
Né à Paris le 25 mars 1926, Jacques Hochard (Jacques Mars, de son nom d'artiste) passe toute son enfance dans un petit village de l'Yonne, à Saint-Aubin-Château-Neuf. Il est le Méphisto du Faust de Gounod qu’il interpréta plus de 300 fois. Il fut un des piliers de la troupe de l’Opéra de Paris et de la salle Favart dans les années 50 et 60. Il est mort dans la nuit du 28 au 29 Avril 2003 et, conformément à ses souhaits, il repose désormais dans le petit cimetière du village de Saint-Aubin-Château-Neuf. (524)
* Le Père Jean-Alype Noirot (28)
Le Père Jean-Alype Noirot, historien de grande valeur, reconnu par l’Académie Française et honoré du "Prix Bourgogne" par l’institution littéraire de même nom, y écrivit la série de cinq volumes consacrés à la présentation de "la Vallée d’Aillant". (286)
* Jean Marie Legrand plus connu sous le nom de Jean Nohain (ou « Jaboune ») a effectué en juin 1918 son service militaire au groupe d'instruction de campagne de l'artillerie à Saint-Julien. C'est lors de son instruction qu'un caporal chef interrogea le peloton : « combien de temps met le fût du canon pour refroidir ? » et la réponse « un certain temps » fut reprise par Fernand Raynaud pour devenir un sketche célèbre. (456)
* Marc Hénard (1919 - 1992) : peintre et sculpteur. Sa maison-atelier abrite la maison Vauban, une des 5 maisons à thème de l'écomusée du Morvan. (article manquant)
* La famille Bertier a marqué le village de sa présence. Elle s'illustra particulièrement par Louis Bénigne Bertier, intendant de la généralité de Paris et qui fut massacré le 22 juillet 1789, sous l'accusation d'accaparement de biens. Nous retrouverons les Bertier pendant les évènements de 1870, avec la princesse Galitzine, qui grâce à sa médiation évita le pillage de Sauvigny le Bois et d'Avallon. Dès 1872, un oratoire marqua l'évènement et fut érigé dans l'allée de la Vierge, proche du château de Sauvigny le Bois. Ce sont toujours les Bertier qui président aux transformations de l'église St Vincent : reconstruction de la nef en 1834 et création d'un clocher porche en 1867. Dernière tranche des travaux en 1902. (797)
* La famille Cordier quant à elle fournira l'essor économique du hameau de Montjalin avec l'exploitation de pierres à chaux et la création d'une ferme modèle. Charles Cordier fut maire de Sauvigny le Bois et président du comice agricole dans les années 1860. (271)
* Henri Sannejouand, né en 1887 et décédé en 1969 à Avallon, où il s'était retiré. Oncle et parrain de l'artiste contemporain Jean-Michel Sanejouand. (article manquant)
Henri Sannejouand est issu d'une famille modeste, classée parmi les indigents dans les archives de la commune. Son père, Jean Michel Octave Sannejouand, est employé de chemin de fer et sa mère Eugénie Rouard, garde-barrière. Après des études primaires à Sceaux, il est recueilli vers 16 ans par son oncle à Lyon. (328)
Il débute dans la vie professionnelle chez Rivoire et Carré, à la comptabilité. C'est là qu'il est remarqué par M. Grillet, l'un des responsable de Rhône-Poulenc. Il entre dans le groupe et devait partir au Brésil lorsque la Première Guerre mondiale se déclenche. Mobilisé et envoyé au front, il est blessé et affecté chez Rhône-Poulenc qui contribue à l'effort de guerre. (401)
En 1919, il est envoyé au Brésil. En février 1920, il pose la première pierre de la compagnie "Quimica Rhodia Braséliera". Il est à l'origine de "Rodiacéta", Valère S.A." et "Comptoir Reclose Raion" dont il supervise les activités en devenant super-intendant. (305)
En 1949, est inaugurée à São Paulo, l'avenue (« avenida ») « Henri Sannejouand ». Le 8 avril 1969, à la célébration du cinquantenaire de l'usine Rhodia, la croix d'officier de la légion d'honneur lui est remise par le consul de France. (295)
*Guillaume<ref>Abbé Jean Lebeuf – Mémoire concernant l’histoire civile et religieuse d’Auxerre</ref> de Seignelay, né à Seignelay vers 1164 et mort à Paris le 23 novembre 1223, fut le 58ème évêque d'Auxerre de 1207 à 1220 et évêque de Paris de 1220 à 1223; son frère aîné Manassès fut évêque d’Orléans, (342)
*Georges-Bénigne Liegeard<ref>Archives nationales – Les Préfets – cote F1bI 166/33</ref>, né à Seignelay (19/03/1768 - 01/08/1857), Préfet des Hautes-Alpes, du 18 mars 1819 au 27 juin 1823, (210)
*Waast-Barthélemy Henry, prêtre et historien né à Seignelay le 6 février 1797 et décédé en 1884, auteur entre autres ouvrages des "mémoires historiques sur la ville de Seignelay" parus en 1833 ainsi que d'une "notice sur les tombeaux de Quarré-les-Tombes" parue en 1861, (302)
*Alphonse Darlot, opticien né à Seignelay (03/09/1828 - 05/10/1895), ameliora le daguerréotype, ancêtre de la photographie, par la mise au point avec le Viennois Josef Max Petzval d'un objectif à quatre lentilles, seize fois plus lumineux que celui utilisé par Daguerre, (280)
*Joseph-Aventin Veissiere, né en 1805, peintre sur verre (vitraux), dont l'atelier était situé à Seignelay vers 1843, (121)
*Abel Moreau, romancier populaire né à la Tuilerie de Vaucherey, près de Seignelay (1893 - 1977), dont L'île du Paradis (1935) chez Flammarion, (151)
*André Paulvé<ref>Carrière et filmographie d'André Paulvé</ref>, producteur de films né à Seignelay (30/10/1898 - 08/07/1982), Pièges (1939) de Robert Siodmak, Lumière d'été (1942) de Jean Grémillon, Les visiteurs du soir (1942) de Marcel Carné, l'Éternel Retour (1943) de Jean Delannoy, Les enfants du paradis (1944-1945) de Marcel Carné, La Belle et la Bête (1946) et Orphée (1949) de Jean Cocteau, Les Maudits (1946) de René Clément, Ruy Blas (1947) de Pierre Billon, Manèges (1950) de Marc Allégret, Casque d'Or (1951) de Jacques Becker, les Vacances de Monsieur Hulot (1952), de Jacques Tati, (776)
* Raymond Janot (Paris, 1917-Serbonnes, 2000), corédacteur de la Constitution de la Ve République, et sa femme Catherine de Brunel (Serbonnes, 1917-2009), membre actif de la Résistance, ont résidé dans la commune. (218)
* Le célèbre capitaine de Tannerre, Edmé Dupe, baron de Tannerre, décédé le 23 mai 1594, s’illustra comme capitaine d’Henri IV. Il fut à l’origine de la reddition d’Auxerre. (215)
* Alcide Chapeau, né le 25 novembre 1848, décédé en 1927, sabotier de métier, écrivit de nombreux poèmes populaires, des charades et des énigmes dans les revues de l’époque. (article manquant)
*Dominique de SAVELLI , écuyer, seigneur de Champeaux et de Grangette. (86)
Dominique de Savelli s'unit avec Jeanne de Drouard, la fille légitime d'Edme de Drouard et de Jeanne de Masquin. Leur mariage religieux fut célébré à Thury le vendredi 25 février 1667. (190)
Il est le descendant des Savelli, princes romains qui donnèrent trois papes à la Chrétienté. (124)
*Frédéric Auguste Théophile GUILLIER , chirurgien puis officier de santé à Thury. (106)
Frédéric Auguste Guillier, né le 6 avril 1806 à Thury (89520), s'unit avec Louise Charles Clémence Arrault, le mardi 26 août 1828 à Bassou (89400). Il défraiera la chronique locale et sera l'objet d'attaques virulentes dans le journal royaliste "la Bourgogne". Il sera inquiété en 1852, après le coup d’état de Louis-Napoléon Bonaparte, lors de la répression de la révolte de Puisaye. Il fut grâcié par la Commission mixte de 1852 (dossiers BB/22/131/1 à 189 ) et put donc mettre fin à son exil préventif en Belgique. Rentré à Thury, il fut surveillé "ostensiblement".(J-F Picot,extraits tirés de le P’tit Thurycois N° 47 (2006) & 48 (2007). (722)
*Casimir Félix ANGILBERT , maire de Thury de 1893 à 1913, juge suppléant en 1902 au tribunal de commerce de la Seine. (160)
Casimir Félix Angilbert, né le 18 octobre 1846 à Thury, sera tout d'abord clerc de notaire à Choisy-le-Roi, puis directeur de société (Horlogerie-Joaillerie) à Paris en association avec son cousin Henry Chevau. Il s'unit à Château-Renard (45) avec Emélie Roulina, (279)
Lors de ses nombreux séjours à Thury, il séjournera au château de style Napoléon III que lui ou son père, riche propriétaire, fera construire. Il y recevra ses parents (Gressin, Cellier, Chavance, Chevau) et amis (Baumier,...). Sous sa mandature, il créa la bibliothèque municipale qu'il dota personnellement de 300 volumes pour lesquels il fit construire, à ses frais, une vaste bibliothèque murale. Il fit planter de marronniers une allée menant de sa demeure à celle de son cousin germain Alix Angilbert ; cette allée devint le mail-promenade de la commune. Il offrit un terrain pour le nouveau cimetière. Il aurait fait aussi installer l'éclairage public. (696)
* Louis BRIOT, député de l'Aube au cours de 5 mandats - (Légion d'honneur). (93)
Né le 15 février 1905 à Thury, décédé le 05 juillet 1973 à Essoyes (Aube),enterré à Thury, il fut élu à l'Assemblée nationale ou Chambre des députés durant les mandatures suivantes : (238)
Né dans la petite ville en 1817 d'un père forgeron et d'une mère cabaretière, il est un brillant élève et obtient à 16 ans une bourse de l’université pour compléter sa formation à Versailles. De retour à Toucy, il devient, à 20 ans à peine, instituteur à l’école primaire supérieure. Pendant trois ans il cherche à renouveler la pédagogie en faisant appel à la curiosité des enfants avant de rejoindre Paris en 1840 où il se lance dans les recherches encyclopédiques qu'on sait. (504)
* Le peintre Étienne Jeaurat (1699-1789) est né à Vermenton. Peintre du roi Louis XV, recteur de l'Académie Royale de peinture et de sculpture, il habitait Vermenton pendant les beaux jours. (199)
* Etienne Gilson (1884-1978) professeur au Collège de France et membre de l'Académie Française, vécut à partir de 1935 dans la maison d'Etienne Jeaurat (156)
* Maurice Cornevin (1882-1962) (30)
* L'abbé Legris Duval, confesseur des pages du roi Louis XVI. (62)
* René Martin et Jacques Marc, deux résistants vermentonnais des Forces Françaises de l'Intérieur, exécutés par les allemands le 25 août 1944 lors du massacre de Fouronnes. (180)
