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Trie-Château

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Trie-Château
Trie-Château
Le château de Trie, siège de la mairie.
Blason de Trie-Château
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC du Vexin-Thelle
Maire
Mandat
Laurent Desmeliers
2020-2026
Code postal 60590
Code commune 60644
Démographie
Gentilé Triechâtelains
Population
municipale
1 896 hab. (2021)
Densité 142 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 17′ 06″ nord, 1° 49′ 20″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 146 m
Superficie 13,34 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Gisors
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaumont-en-Vexin
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Trie-Château
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Trie-Château
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Trie-Château
Liens
Site web trie-chateau.fr

Trie-Château est une commune nouvelle française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Elle a été créée le .

Elle est issue du regroupement de deux communes en 2018 : Villers-sur-Trie et l'ancienne commune de Trie-Château, qui sont devenues « communes déléguées ».

Géographie

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Localisation

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Paysage de la commune : la Rue Nationale et la Porte fortifiée.

Trie-Château est un bourg du Vexin français jouxtant Gisors à l'est et situé à 25 km au sud-ouest de Beauvais, 34 km au nord-ouest de Pontoise et 54 km au sud-est de Rouen, traversée par l'ancienne route nationale 181 et sa déviation (actuelle RD 981) reliant Gisors à Beauvais. Situé dans l'Oise, la commune est limitrophe de celui de l'Eure.

Communes limitrophes

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Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Troesne, l'Aunette[1] et divers autres petits cours d'eau[2],[Carte 1].

La Troesne, d'une longueur de 27 km, prend sa source dans la commune de Hénonville et se jette dans l'Epte à Gisors, après avoir traversé douze communes[3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 726 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Jaméricourt à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Statistiques 1991-2020 et records JAMERICOURT (60) - alt : 113m, lat : 49°18'23"N, lon : 1°52'46"E
Records établis sur la période du 01-02-1990 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,5 1,4 3,1 4,5 7,5 10,3 12,3 12,4 10 7,7 4,4 2 6,4
Température moyenne (°C) 4,1 4,6 7,3 9,8 13,1 16,2 18,7 18,5 15,4 11,7 7,4 4,6 11
Température maximale moyenne (°C) 6,7 7,8 11,6 15,2 18,6 22,1 25,1 24,7 20,8 15,7 10,4 7,1 15,5
Record de froid (°C)
date du record
−14,8
09.01.09
−14,6
07.02.12
−9,6
01.03.05
−6
06.04.21
−1,8
06.05.19
−0,7
05.06.1991
2,6
04.07.1990
2,7
28.08.1998
0,1
30.09.18
−4,1
28.10.03
−8,6
24.11.1998
−11,1
29.12.1996
−14,8
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,6
27.01.03
19,4
24.02.1990
24,7
31.03.21
27,2
29.04.10
31
27.05.05
37,6
27.06.11
41,8
25.07.19
39,8
12.08.03
34,8
09.09.23
28,6
01.10.11
21,2
01.11.14
16,6
07.12.00
41,8
2019
Précipitations (mm) 60,5 49,8 50,7 49,3 59,1 54,1 61 56,4 47,9 63,1 64,4 79,4 695,7
Source : « Fiche 60322001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Trie-Château est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gisors[Note 1], une agglomération inter-régionale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].

Voies de communication et transports

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La gare.

La gare de Trie-Château est desservie par les trains de la ligne J du réseau Transilien Paris Saint-Lazare.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 604, 607, 609, 6105, 6107, 6136 et 6145 du réseau interurbain de l'Oise[15].

Le nom est attesté sous les formes Tretum au XIe siècle ; Tria au XIIe siècle en 1129[16] ; Treia en 1195[17]; Tria villa en 1337[18].

En dépit des mauvaises latinisations, certains spécialistes[Qui ?] supposent une évolution phonétique à partir du gallo-roman *TRAIECTU « gué, passage d'eau », terme issu du latin trajectum et qui a régulièrement abouti à trait en français. Il partage vraisemblablement la même étymologie que le Trait (Seine-Maritime), (Tractu en 1462[19]) désignant un lieu de passage de la Seine, Utrecht (Pays-Bas, Rheno Trajectum, Utraiectum) désignant un lieu de passage en aval du Rhin et Maastricht (Pays-Bas, Mosae Trajectum, Masetrieth en 1051) désignant un lieu de passage de la Meuse (Maas)[réf. nécessaire].

Albert Dauzat et Charles Rostaing ont rapproché Trie de Trilbardou (Seine-et-Marne, Tria vers 1172), Trilport (Sene-et-Marne, Tria portus 1221) et Treix (Haute-Marne, Trie 1188), qu'ils font remonter au francique thresk « jachère »[20], sans doute veulent-ils dire le vieux bas francique *thresk qui aurait d'abord désigné un « terrain non cultivé, inculte, lande, friche, jachére »[21].
.

Durant la Révolution, la commune, alors nommée Trie-Château (également orthographiée Trye), porte le nom de Trye-sur-Troesne[22].

En ce qui concerne le hameau de Villers-sur-Trie, le nom de la localité est mentionné sous les formes Villers en 1793, Villers-sur-Trie en 1801[23].
Étymologie : du bas latin villare (ferme).

Hameaux et écarts

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Villers-sur-Trie est un hameau de la commune nouvelle.

Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

La déviation de Trie-Château sur la RD 981[24] est mise en service fin 2017, permettant aux 6 000 voitures et 900 camions qui empruntent quotidiennement cet axe d'éviter le centre-bourg et le passage alterné sous la porte fortifiée[25].

Fusion de communes

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Trie-Château est une commune nouvelle constituée par la fusion en 2018 de Villers-sur-Trie et l'ancienne commune de Trie-Château, qui sont devenues des communes déléguée de la nouvelle collectivité territoriale.

Cette fusion des deux anciennes communes qui collaboraient déjà auparavant notamment sur des sujets comme l'assainissement d'eau ou la cantine et demandée par les deux conseils municipaux, est principalement justifiée par la volonté des élus locaux de faire face à la baisse des dotations de l'État[26],[27],[28].

Son chef-lieu est fixé à Trie-Château[12],[29].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune nouvelle se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise

Pour les élections départementales, la commune fait partie du canton de Chaumont-en-Vexin[12]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

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La commune nouvelle fait partie depuis sa création de la communauté de communes du Vexin-Thelle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel elle a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Composition

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La commune nouvelle est formée par la réunion de deux anciennes communes :

Liste des communes déléguées
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Trie-Château
(siège)
60644 CC du Vexin Thelle 9,29 1 592 (2015) 171
Villers-sur-Trie 60690 CC du Vexin Thelle 4,05 329 (2015) 81

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2018[30] mai 2020[31] Didier David   Agriculteur
Maire de l'ancienne commune de Trie-Château (2014 → 2017)
juillet 2020[32] En cours
(au 11 juin 2021)
Laurent Desmeliers   ouvriers qualifiés de la manutention, du magasinage et du transport.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 1 896 habitants[Note 4], en évolution de −1,3 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution démographique du territoire de la commune nouvelle
1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 2018
1 0601 1771 5131 6921 7531 8661 8681 934
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes.
Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmètre géographique constant, dans la géographie en vigueur au .
(Source : INSEE RGP 2018[33])

Enseignement

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Trie-Château fait partie de l'académie d'Amiens et se situe en zone de vacances B.

Les enfants de la commune de maternelles et de primaires sont scolarisés en 2019 dans les 6 classes multi-niveaux de l'école Marie-de-Lancry, qui dispose d'un service de restauration scolaire.

Ils continuent normalement leur scolarité au collège Guy de Maupassant à Chaumont-en-Vexin puis au Lycée Louise-Michel et Louis-Aragon de Gisors ou aux lycées de Beauvais[34].

Le mini-golf de Villers-sur-Trie.

L'intercommunalité dispose d'une piscine, l'Aquavexin, 129 rue Nationale à Trie-Château.

Un mini-golf existe à Villers-sur-Trie.

L'entrée de bibliothèque municipale et la tour est du château, devenue une habitation.

La commune dispose d'une bibliothèque, place de l'église.

L'un des centres commerciaux de l'agglomération de Gisors est situé à Trie-Château.

Culture locale et patrimoine

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Le dolmen des Trois Pierres.

Trie-Château compte six monuments historiques sur son territoire.

  • Église Sainte-Madeleine (classée monument historique par liste de 1862[36]) :
    Organisée tout en longueur, elle se compose d'un narthex roman tardif des années 1160 ; d'une nef unique romane des alentours de 1100 ; et d'un chœur gothique de deux travées d'une centaine d'années plus récent.
    Le narthex, avec sa façade à la décoration exubérante, et son ancien portail latéral nord également richement décoré, constitue l'une des œuvres romanes les plus extravagantes dans le Vexin. Il est souvent comparé au croisillon nord de l'église Saint-Étienne de Beauvais. Or, seulement le rez-de-chaussée est authentique, exceptés certains éléments abîmés refaits pratiquement à l'identique au cours de la restauration des années 1860/1867. Les parties hautes sont une création néo-romane imaginée par l'architecte Aymar Verdier.
    À l'intérieur, le narthex a été remanié, ou bien n'a jamais été achevé, car il n'est pas voûté, et des doutes sont permis que cela ait jamais été le cas. Il se trouve ainsi intégré dans la nef, mais séduit néanmoins par la décoration intérieure des fenêtres qui est presque analogue aux élévations extérieures. La nef proprement dite est de faible intérêt, mais elle partage avec le narthex une charpente gothique flamboyante munie d'une sablière sculptée et d'engoulants sous la forme de têtes d'homme grotesques, de facture rustique et d'un style naïf.
    Un arc triomphal fruste de dimensions restreintes ouvre sur le chœur gothique bâti vers 1200 à l'emplacement de l'ancien sanctuaire roman.
    Ce chœur constitue la seule partie de l'église qui soit voûtée d'ogives. Son architecture est de bon niveau, comme le souligne la décoration des fenêtres, mais fait aussi certains compromis imposés par les contraintes économiques, dont l'appareil en moellons et les colonnettes non monolithiques. Le chevet plat est éclairé par un triplet[37], qui rappelle qu'un triplet de trois baies romanes en provenance de Trie-Château est exposé au Victoria and Albert Museum[38].
  • Une tour d'enceinte transformée en maison d'habitation (inscrite monument historique par arrêté du [45], jouxtant la bibliothèque, place de l'église).

On peut également signaler :

  • L'église Saint-Denis de Villiers-sur-Trie[46].
  • Le grand parc du château

Personnalités liées à la commune

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Statue du parc du château :Jean-Jacques Rousseau écrivant sous l'inspiration de la Vérité et de la Nature, par Henri-Léon Gréber (1911).

Héraldique

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Blason de Trie-Château Blason
Les armes de Trie-Château se blasonnent ainsi : D'or à la bande d'azur.
Détails
Il s'agit des armes de la famille de Trie, seigneurs du lieu[49].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

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  • Jean-René Baron, Jacques Beauroy, Philippe Bonnet-Laborderie, Monique Brennemann, Pierre Cayrol et Henri Fromage, Trie-Château et ses environs, Beauvais, coll. « Bulletin du G.E.M.O.B. n° 9 », , 48 p. (ISSN 0224-0475)

Articles connexes

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Liens externes

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  • « Trie-Château », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

Notes et références

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Notes et cartes

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Gisors comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Trie-Château » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).

Références

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  1. Sandre, « l'Aunette »
  2. « Fiche communale de Trie-Château », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  3. Sandre, « la Troesne »
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Trie-Château et Jaméricourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Jamericourt » (commune de Jaméricourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Gisors », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Trie-Château ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « Transports en commun à Trie-Château », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  16. Ordéric Vital dans son Historia Ecclésiastica en signalant le séjour aux « Andelys d'Engelrannus de Tria ».
  17. Cartulaire de l'abbaye de Saint-Paul.
  18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 684a sous Treix
  19. Archives de Seine-Maritime G 1354, G. 4.
  20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  21. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 57.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Trie-Château », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Villers-sur-Trie », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  24. « RD 981 - Déviation de Trie-Château - Conseil Général de l'Oise », Autorisations au titre de la loi sur l'eau, sur oise.gouv.fr (consulté le ).
  25. Matthieu Le Tirant, « La déviation de Trie-Château enfin opérationnelle : Elle était attendue depuis 40 ans par les habitants et notamment par les riverains de la départementale 981 dont le quotidien va nettement s'améliorer », L'Impartial,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Vincent Gautronneau, « Face à la baisse des dotations, Villers-sur-Trie et Trie-Château vont s'unir », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Un mariage d'amour entre deux maires qui s'apprécient, mais surtout une union de raison. « On est parti d'un constat évident : il est de plus en plus difficile pour les communes de faire face aux dépenses en raison des baisses de dotation », note Didier David, le maire de Trie-Château. Depuis la suppression de la dotation globale de fonctionnement, les deux communes reçoivent de l'Etat 66 000 €, contre 196 000 € auparavant ».
  27. Yoann Roche, « Trie-Château / Villers-sur-Trie : les deux communes en passe de fusionner », Oise Hebdo, no 1200,‎ , p. 44 (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Villers-sur-Trie et Trie-Château officiellement unies », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Arrêté du 29 septembre 2017 portant création de la commune nouvelle de Trie-Château (lire en ligne).
  30. « Les communes de Trie-Château et Villers-sur-Trie ne font plus qu'une ! », Brèves de Trie-Château, no 1,‎ , p. 3 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  31. Juliette Duclos, « Ces ex-maires de l'Oise laissent derrière eux une vie politique «passionnante et dévorante» : Après plusieurs mandats, ils ont raccroché leur écharpe tricolore. De premier magistrat à simple citoyen, ils retrouvent un quotidien « normal ». Ils racontent leurs souvenirs, leurs galères et aussi leur soulagement », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après dix-neuf ans consacrés à la commune, cet agriculteur a quitté la vie politique « passionnante et dévorante » : cela va bientôt faire trois semaines qu'il n'est plus le maire de Trie-Château, commune de 2000 habitants ».
  32. « Compte rendu de la réunion du conseil municipal et de l'élection du maire et des adjoints du 28 mai 2020 » [PDF], Comptes rendus, Commune de Trie-Château (consulté le ).
  33. INSEE, Recensement général de la population 2018, Document mentionné en liens externes.
  34. « Scolarité », Vie scolaire, sur trie-chateau.fr (consulté le ).
  35. « Dolmen des Trois Pierres », notice no PA00114926, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Église Sainte-Madeleine », notice no PA00114927, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture ; l'église n'est pas dédiée à saint Étienne contrairement à ce qui est prétendu ; cf. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français : Trie-Château, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 307-310 et Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Chaumont-Oise, Beauvais, Achille Desjardins, , 130 p. (lire en ligne), p. 310.
  37. Dominique Vermand, Églises de l'Oise. Canton de Chaumont-en-Vexin. Vexin et pays de Thelle, Comité départemental du tourisme de l'Oise et Communauté de communes du Vexin-Thelle, , 56 p. (lire en ligne), p. 51-52.
  38. « Triple window », sur Victoria and Albert Museum (consulté le ).
  39. « Château de Trie », notice no PA00114925, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. Panneau d'information touristique du château.
  41. « Ancien Hôtel de ville », notice no PA00114928, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Panneau d'information touristique près de l'auditoire de justice.
  43. « Porte de la ville », notice no PA00114929, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. Panneau d'information touristique de la Porte fortifiée.
  45. « Tour d'enceinte », notice no PA00114930, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Villers-sur-Trie, église Saint-Denis », sur eglisesdeloise.com (consulté en ).
  47. Panneau d'information touristique placé à côté de l'œuvre de Gréber, dans le parc du château
  48. Voir site internet de la mairie de Trie-Chateau.
  49. Trie-Château dans l'Armorial des villes et des villages de France