Chaudière-Appalaches

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Chaudière-Appalaches
Chaudière-Appalaches
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau du Québec Québec
Statut Région administrative
MRC et TE Beauce-Sartigan
Bellechasse
Les Appalaches
La Nouvelle-Beauce
Les Etchemins
Lévis
L'Islet
Lotbinière
Montmagny
Beauce-Centre
Nombre de municipalités 136
Ministre responsable Bernard Drainville
Fuseau horaire Heure de l'Est
Indicatif téléphonique +1 418
+1 581
+1 367
Code géographique 12
Démographie
Gentilé Aucun
Population 435 595 hab. ()
Densité 29 hab./km2
Variation 2014-2019 2,5 %
Géographie
Coordonnées 46° 29′ nord, 70° 37′ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 917 m
Superficie 15 074 km2
– incluant eau 16 131 km2
Économie
PIB régional 18 149,1 M CAD (2017)
Taux d'activité 64,8 % (2019)
Taux de chômage 3,3 % (2019)
Sources
Institut de la statistique du Québec, 2020

Chaudière-Appalaches est une région administrative du Québec, située sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent à l'entrée de l'estuaire fluvial. Sa superficie est de 16 130 km2 dont 15 074 km2 sont terrestres[1], soit 1 % du territoire québécois. L'agglomération urbaine de Lévis, voisine de la ville de Québec, est son principal pôle économique. Le nom de la région fait référence à deux caractéristiques géographiques importantes : la Chaudière, rivière traversant le cœur de la sous-région beauceronne, et les Appalaches, une chaîne de montagne située à cheval avec les États-Unis.

Géographie humaine[modifier | modifier le code]

Carte
Carte des MRC et TE de la région

Elle est bordée au nord-est par la région du Bas-Saint-Laurent, au sud-est par les États-Unis (État du Maine), au sud par la région de l'Estrie, à l'ouest par la région du Centre-du-Québec et au nord par la région de la Capitale-Nationale, séparée de cette dernière par le fleuve Saint-Laurent. Elle est composée de dix municipalités régionales de comté (MRC) et de 136 municipalités.

Paliers supralocaux[modifier | modifier le code]

Nom Chef-lieu Population
Superficie
(km2)
Densité
(h/km2)
Ref.[2]
Les Appalaches Thetford Mines 43 412 1 987,1 21,85 [1]
Montmagny Montmagny 22 481 1 722,5 13,05 [2]
L'Islet Saint-Jean-Port-Joli 17 598 2 448,5 7,19 [3]
Lotbinière Sainte-Croix 34 586 1 687 20,5 [4]
La Nouvelle-Beauce Vallée-Jonction 37 988 905,58 41,95 [5]
Lévis 149 683 497 301,17 [6]
Les Etchemins Lac-Etchemin 16 927 1 810,05 9,35 [7]
Beauce-Sartigan Saint-Georges 53 384 1 954,5 27,31 [8]
Bellechasse Saint-Lazare-de-Bellechasse 38 000 1 751,06 21,7 [9]
Beauce-Centre Beauceville 19 253 844,8 22,79 [10]
Total 433 312 15 676,75 27,64 [11]

Sous-régions historiques et culturelles[modifier | modifier le code]

Région lévisienne[modifier | modifier le code]

Lévis est la plus grande ville de Chaudière-Appalaches.

La région de Lévis se situe à la rencontre du fleuve Saint-Laurent et de la rivière Chaudière, en face de la ville de Québec, avec qui elle forme la région de Québec.

La région de Lévis, avec près de 150 000 habitants, constitue le plus important pôle économique de Chaudière-Appalaches. C'est aussi là que la croissance démographique de Chaudière-Appalaches est la plus forte.

Lévis occupe depuis le tout début de la Nouvelle-France une position stratégique. Elle a été le lieu de nombreuses batailles et ce depuis les affrontements avec les Amérindiens jusqu'à la guerre de 1812. C'est à Lévis que les caisses Desjardins furent créées par Alphonse Desjardins.

Côte-du-Sud[modifier | modifier le code]

Moulin de Beaumont

La Côte-du-Sud est une région historique et culturelle regroupant les MRC de Bellechasse, de Montmagny et de L'Islet mais aussi de Kamouraska dans la région voisine du Bas-Saint-Laurent. Elle compte plus de 75 000 habitants pour sa partie en Chaudière-Appalaches.

La Côte-du-Sud est une des premières régions à être colonisée au début de la Nouvelle-France. Effectivement, la première seigneurie sudcôtoise fut octroyée à Jean Pelletier à Saint-Roch-des-Aulnaies en 1656. Par la suite, d'autres colons s'établirent en Côte-du-Sud, portant à la fin du régime français la population à environ 10 000 habitants sur les 60 000 que comptait la Nouvelle-France. Pendant le XIXe siècle, le manque de terre pour la populeuse Côte-du-Sud força les habitants à l'émigration. Avec l'avènement du chemin de fer, l'ouverture de nouvelles terres de colonisation (par exemple au Lac Saint-Jean au milieu du XIXe siècle et en Abitibi vers les années 1930) fit que la région devint une terre d'émigration. De ce fait, la population cessa de croître et même diminua. Encore aujourd'hui, la région sudcôtoise a un bilan migratoire négatif.

Beauce[modifier | modifier le code]

La Beauce occupe la vallée de la rivière Chaudière.

La Beauce est une région culturelle et historique de la vallée de la Chaudière qui possède une forte identité. Depuis le début de la colonie, cette région s'est différenciée par de fameuses expressions telles que les jarrets noirs (dû entre autres aux nombreux marécages au temps de la Nouvelle-France à cause desquels les pantalons des Beaucerons se salissaient pour aller à Québec), ou le royaume de la PME (la Beauce est reconnue pour la forte proportion de PME dans son économie).

Le territoire beauceron compte plus de 100 000 habitants répartis dans trois MRC : celles de Beauce-Sartigan, de La Nouvelle-Beauce et Beauce-Centre. La Beauce est une des régions les plus fécondes de Chaudière-Appalaches ; la croissance sera d'autant plus soutenue par un solde migratoire relativement bon.

Géographie physique[modifier | modifier le code]

Sont répartis sur son territoire, en ordre d'importance : les forêts (63,6 %), les terres agricoles (19,2 %), les milieux humides (7,6 %), les eaux (6,5 %) et finalement les surfaces artificielles (3,1 %)[1].

Relief[modifier | modifier le code]

La région est constituée, d'une part, par la plaine agricole des basses-terres du Saint-Laurent, et d'autre part, par différents petits massifs reliés à la chaîne des Appalaches. L'altitude minimale est de 0 m au fleuve Saint-Laurent, tandis que l'altitude maximale est de 917 m au mont Saint-Magloire (massif du Sud). Elle est traversée en son centre par les monts Notre-Dame, une constituante des Appalaches.

Chaudière-Appalaches est divisée en trois zones physiographiques principales :

  • Le littoral, mieux connu sous le nom de la région écologique de la plaine du Saint-Laurent, recouvre 20 % de l’aire de la région. Il est caractérisé par sa basse altitude (généralement moins de 150 mètres de hauteur)
  • La vallée de la rivière Chaudière, dont le bassin hydrographique occupe approximativement 44 % du territoire.
  • La totalité des plateaux appalachiens, également appelée région écologique des coteaux des Basses-Appalaches, recouvre la majorité du territoire régional. Quelques-uns de ses sommets peuvent mesurer 500 mètres de hauteur, allant parfois jusqu'à 800 mètres, mais l’altitude typique de cette zone se situe entre 150 et 400 mètres d’altitude.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Outre le fleuve Saint-Laurent, Chaudière-Appalaches est arrosée par de nombreuses rivières prenant leur source dans les Appalaches. La plus importante est sans conteste la rivière Chaudière, longue de 185 km, et prenant sa source dans le lac Mégantic. Elle est suivie par les rivières Etchemin, du Sud et Beaurivage. On y retrouve une concentration relativement faible de lacs. Elle partage cependant avec la région de l'Estrie, à sa frontière sud, deux vastes plans d'eau : le Grand lac Saint-François et le lac Aylmer. De plus petits lacs sont disséminés à travers son territoire : le lac Etchemin, le lac du Huit, le lac Trois Saumons, le lac Sainte-Anne, etc.

Climat et végétation[modifier | modifier le code]

Malgré des hivers froids ainsi que de nombreuses précipitations, le climat continental humide de la région lui assure aussi des étés très doux et très agréables, propices à bon nombre d’activités extérieures. Quant à la végétation, elle est principalement constituée d’une forêt mixte qui recouvre 74 % de l’aire du lieu. Trois domaines bioclimatiques sont présents : celui de l’érablière à tilleul, celui de l’érablière à bouleaux jaune et celui de la sapinière à bouleaux jaune.

Histoire[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique
1986 1991 1996 2001 2006 2011 2016 2021
356 768367 953380 496383 423393 669410 878420 082433 312
  • Population : 433 312 (2021)
  • Superficie : 15 216 km2
  • Densité : 26,5 hab./km2
  • Taux de natalité : 11,3  (2010)
  • Taux de mortalité : 7,0  (2010)
  • Indice synthétique de fécondité : 2,0 (2010)
  • Naissances : 4 574 (2010)
  • Décès : 2 830 (2010)
  • Accroissement naturel : 1 824 (2010)

Source : Institut de la statistique du Québec

À l'instar du regain de fécondité du Québec en 2006, Chaudière-Appalaches n'échappe pas à cette remontée, affichant une fécondité supérieure à la moyenne québécoise. Même si certaines municipalités régionales de comté (MRC) affichent une décroissance de population, la population globale de Chaudière-Appalaches augmente grâce à la forte vitalité démographique de la région de Lévis et de la Beauce. Selon le scénario A de référence de l'Institut de la statistique du Québec, la population de la région administrative en 2011 devrait atteindre 397 458 habitants, or ce chiffre est déjà dépassé. Si la tendance se maintient, la région peut espérer une décroissance de la population repoussée au-delà de 2015.

Les MRC et territoires équivalents en croissance démographique (2006) :

Les MRC et territoires équivalents en décroissance démographique (2006) :

Administration[modifier | modifier le code]

Carte
Carte des municipalités locales de Chaudière-Appalaches

La région de Chaudière-Appalaches est composée de 136 municipalités locales réparties dans 10 municipalités régionales de comté (MRC).

Politique[modifier | modifier le code]

Ministre responsable[modifier | modifier le code]

Liste des ministres responsables de Chaudière-Appalaches
Années Député Parti
     2003 - 2008 Carole Théberge Parti libéral du Québec
     2008 - 2012 Laurent Lessard Parti libéral du Québec
     2012 - 2014 Agnès Maltais Parti québécois
     2014 - 2018 Dominique Vien Parti libéral du Québec
     2018 - 2021 Marie-Eve Proulx Coalition avenir Québec
     2021 - 2022 André Lamontagne
     2022 - en cours Bernard Drainville

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Circonscriptions électorales provinciales[modifier | modifier le code]

Bernard Drainville, député de Lévis depuis 2022, est le ministre responsable de Chaudière-Appalaches.

Après qu'un raz-de-marée adéquiste a soufflé sur la région aux élections provinciales de 2007, où toutes les circonscriptions avaient été raflées par l'Action démocratique du Québec à l'exception de Frontenac, la débandade provinciale du parti n'a pas fait exception dans la région, bien que beaucoup moins fortement qu'ailleurs. En fait, quatre des sept députés élus de l'ADQ aux élections du 8 décembre 2008 l'ont été dans cette région. Le Parti libéral du Québec a refait surface dans ce qui traditionnellement constitue l'un de ses bastions, reprenant trois sièges à l'ADQ. Chaudière-Appalaches demeure cependant l'une des régions les plus à droite et conservatrices de l'échiquier politique provincial. Aux élections de 2012 et de 2014, les députés sont demeurés les mêmes dans la région, soient trois caquistes et quatre libéraux. Lors des élections de 2018, la Coalition avenir Québec remporte l'ensemble des circonscriptions de la région.

Circonscriptions électorales fédérales[modifier | modifier le code]

Jacques Gourde, député fédéral de Lévis—Lotbinière depuis 2006, est le doyen des députés de la région.

Chaudière-Appalaches est une région très fertile pour le Parti conservateur du Canada, où il obtient souvent des très bons résultats. La région a été la seule région québécoise où les conservateurs ont résisté à la vague orange de 2011, à l'exception de Roberval—Lac-Saint-Jean, circonscription de Denis Lebel.

Santé[modifier | modifier le code]

Centre intégré de santé et de services sociaux de Chaudière-Appalaches:

Centres locaux de services communautaires (CLSC)
  • CLSC de Montmagny
  • CLSC d'Adstock
  • CLSC d'Armagh
  • CLSC d'East-Broughton
  • CLSC de Disraeli
  • CLSC de La Guadeloupe
  • CLSC de Laurier-Station
  • CLSC de Saint-Antoine-de-l'Isle-aux-Grues
  • CLSC de Saint-Fabien-de-Panet
  • CLSC de Saint-Gédéon-de-Beauce
  • CLSC de Saint-Georges
  • CLSC de Saint-Joseph-de-Beauce
  • CLSC de Saint-Lazare-de-Bellechasse
  • CLSC de Saint-Pamphile
  • CLSC de Thetford Mines
  • CLSC et centre d'hébergement de Beauceville
  • CLSC et centre d'hébergement de Lac-Etchemin
  • CLSC et centre d'hébergement de Montmagny
  • CLSC et centre d'hébergement de Saint-Jean-Port-Joli
  • CLSC et centre d'hébergement de Saint-Prosper
  • CLSC et centre d'hébergement de Sainte-Marie
  • CLSC et Unité de médecine familiale de Saint-Romuald
  • Maison de naissance MIMOSA
  • Santé au travail de Saint-Georges
  • Santé au travail de Saint-Jean-Chrysostome
  • Santé au travail de Thetford Mines

Éducation[modifier | modifier le code]

Enseignement primaire et secondaire[modifier | modifier le code]

La région est divisée en cinq centres de services scolaires et une commission scolaire, sous l'égide du ministère de l'Éducation du Québec.

Centre de services scolaire des Appalaches[modifier | modifier le code]

Le Centre de services scolaire des Appalaches (anciennement la Commission scolaire des Appalaches) dessert les territoires suivants[3] :

Centre de services scolaire de la Beauce-Etchemin[modifier | modifier le code]

Le Centre de services scolaire de la Beauce-Etchemin (anciennement la Commission scolaire de la Beauce-Etchemin) dessert les territoires suivants[4] :

Centre de services scolaire de la Côte-du-Sud[modifier | modifier le code]

Le Centre de services scolaire de la Côte-du-Sud (anciennement la Commission scolaire de la Côte-du-Sud) dessert les territoires suivants[5] :

Centre de services scolaire des Navigateurs[modifier | modifier le code]

Le Centre de services scolaire des Navigateurs (anciennement la Commission scolaire des Navigateurs) dessert les territoires suivants :

Commission scolaire Central Québec[modifier | modifier le code]

La Commission scolaire Central Québec, de régime linguistique anglais, dessert l'entièreté de la région administrative.

Enseignement supérieur[modifier | modifier le code]

Trois collèges d'enseignement général et professionnel sont situés en Chaudière-Appalaches :

Activités économiques[modifier | modifier le code]

Ressources naturelles[modifier | modifier le code]

Les ressources naturelles de Chaudière-Appalaches se résument principalement

  • à ses forêts (qui occupent d’ailleurs les trois quarts de son territoire),
  • à son riche sous-sol qui regorge de matériaux tels l’amiante, la pierre, le sable et le gravier et
  • à ses terres fertiles.

L’industrie forestière, qui produit essentiellement de la pâte à papier et du bois de chauffage ou de construction est très prospère.

Cependant, le domaine minier, qui repose sur le commerce de la fibre d’amiante, souffre depuis quelques années d’une baisse continuelle du nombre d’emplois.

Le secteur agricole, quant à lui, est axé sur l’élevage de porcs et la production laitière. Avec ses terrains qui occupent environ 508 000 hectares et ses quelque 6 000 fermes, il a permis à la région d’atteindre le statut de deuxième région agricole la plus importante du Québec. En effet, Chaudière-Appalaches compte 19 % des fermes et 18,5 % des revenus agricoles bruts de la province.

Industries importantes[modifier | modifier le code]

L’économie industrielle s’appuie principalement sur la plasturgie, l’agriculture, la pétrochimie, la métallurgie, l’industrie du textile ainsi que les nombreux produits de l'érable.

L'industrie de la plasturgie (matériaux composites et plastiques) est très importante dans la région et contribue de manière importante à son économie. Le chiffre d'affaires annuel de cette industrie pour la région est de près d'un milliard de dollars et cette dernière emploie plus de 5 000 personnes.

L'industrie de la plasturgie en Chaudière-Appalaches peut d'ailleurs compter sur la présence du créneau d'excellence ACCORD Alliance Polymères Québec (Vallée de la Plasturgie).

Tourisme[modifier | modifier le code]

Chasse et pêche[modifier | modifier le code]

Au départ, les Hurons-Wendat ne faisaient pas de la chasse une activité principale, chassant alors avec des flèches, des lances et des arcs.

Pour la chasse au gros gibier, tel l'orignal et au caribou, les familles doivent souvent se déplacer en hiver.

La viande était conservée par séchage, de même que le poisson ou la courge. La peau était tannée et utilisée pour créer des vêtements.

Cinéma et télévision[modifier | modifier le code]

Paysage, Saint-Michel-de-Bellechasse, Chaudière-Appalaches, Québec

Depuis l'ouverture officielle, au printemps 2018[6],[7],[8], du BCTCA - Bureau du cinéma et de la télévision de Chaudière-Appalaches, Chaudière-Appalaches a un nouvel organisme qui a pour mission principale de promouvoir la production cinématographique et télévisuelle dans la région. Le BCTCA offre gratuitement ses services d'assistance aux producteurs dans leurs recherches de lieux de tournage et leurs demandes de permis avec les autorités[9]. Il crée un lien avec les commerçants, les citoyens et les médias[10],[11],[12]. Il réfère ensuite vers les banques de ressources humaines, matérielles et techniques sur le territoire. Le BCTCA est membre de divers organisations tels que Tourisme Chaudière-Appalaches et le Bureau du cinéma et de la télévision du Québec.

Principales villes et municipalités[modifier | modifier le code]

Neuf villes les plus populeuses de Chaudière-Appalaches (2021)
Lévis
Saint-Georges
Thetford Mines
Ville Municipalité régionale de comté Population
Sainte-Marie
Montmagny
Beauceville
1 Lévis Lévis 149 683
2 Saint-Georges Beauce-Sartigan 32 935
3 Thetford Mines Les Appalaches 26 072
4 Sainte-Marie La Nouvelle-Beauce 13 134
5 Montmagny Montmagny 10 999
6 Beauceville Beauce-Centre 6 185
7 Saint-Joseph-de-Beauce Beauce-Centre 5 014
8 Disraeli Les Appalaches 2 360
9 Saint-Pamphile L'Islet 2 274
Dix municipalités les plus populeuses de Chaudière-Appalaches (2021)
Saint-Lambert-de-Lauzon
Saint-Apollinaire
Saint-Henri
Municipalité Municipalité régionale de comté Population
Saint-Agapit
Saint-Anselme
L'Islet
1 Saint-Apollinaire Lotbinière 7 968
2 Saint-Lambert-de-Lauzon La Nouvelle-Beauce 6 817
3 Saint-Henri Bellechasse 5 813
4 Saint-Agapit Lotbinière 4 505
5 Saint-Anselme Bellechasse 4 047
6 Lac-Etchemin Les Etchemins 4 028
7 L'Islet L'Islet 3 803
8 Saint-Prosper Les Etchemins 3 596
9 Sainte-Claire Bellechasse 3 526
10 Saint-Jean-Port-Joli L'Islet 3 329

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Institut de la statistique du Québec - Le Québec chiffres en main 2018
  2. Profil du recensement de la population de 2021 sur le site de Statistiques Canada.
  3. Centre de services scolaire des Appalaches, « Notre organisation - Territoire », sur csappalaches.qc.ca (consulté le )
  4. Centre de services scolaire de la Beauce-Etchemin, « Son territoire », sur csbe.qc.ca (consulté le )
  5. Centre de services scolaire de la Côte-du-Sud, « Territoire », sur cscotesud.qc.ca (consulté le )
  6. « Le Bureau du cinéma de Chaudière-Appalaches ouvre malgré tout », sur Beauce Média, (consulté le )
  7. Shirley Noel, « Le Bureau du cinéma et de la télévision de Chaudière-Appalaches annonce son ouverture officielle. », sur Info-Culture.biz, (consulté le )
  8. « Un bureau pour développer les tournages dans la région », sur Journal De Levis (consulté le )
  9. (en) « BCTCA - Bureau du cinéma et de la télévision de la Chaudière-Appalache », sur Mysite (consulté le )
  10. « Des retombées économiques et des opportunités d’affaires dans la région », sur Courrier Frontenac, (consulté le )
  11. « L'industrie du cinéma et de la télévision : Des retombées économiques et des opportunités d'affaires dans la région », sur SDE Région de Thetford (consulté le )
  12. « La région de Thetford en mode séduction », sur Courrier Frontenac, (consulté le )

Annexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]