Granby (Québec)

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Granby
Granby (Québec)
Blason de Granby
Armoiries de Granby
Drapeau de Granby
Logo de Granby
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau du Québec Québec
Région Estrie
Subdivision régionale La Haute-Yamaska
Statut municipal Ville
Mairesse
Mandat
Julie Bourdon
2021-2025
Code postal J2G (Centre),
J2H (Nord) et
J2J (Ouest)
Constitution
Démographie
Gentilé Granbyen et Granbyenne
Population 69 025 hab. ()
Densité 442 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 24′ nord, 72° 44′ ouest
Superficie 15 610 ha = 156,1 km2
Divers
Site(s) touristique(s) Zoo de Granby, Centre d'interprétation de la nature du lac Boivin
Langue(s) Français
Fuseau horaire Heure de l'Est
(UTC-5/UTC-4 en été)
Indicatif +1-450 +1-579
Code géographique 2447017
Localisation
Carte
Dans la MRC : La Haute-Yamaska.
Liens
Site web www.ville.granby.qc.ca

Granby (/ɡʁãn.be/) est une ville de 68 599 habitants, située dans la MRC de La Haute-Yamaska en Estrie, au Québec, au Canada[1] et dans la région touristique des Cantons-de-l'Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

La ville de Granby est située à mi-chemin entre Montréal et Sherbrooke en empruntant l'autoroute 10 (à la sortie 68 et 74). Elle est traversée en son centre par la rivière Yamaska Nord qui alimente le lac Boivin. D'autres municipalités se trouve à proximité comme Bromont, Shefford et Saint-Alphonse-de-Granby. L'environnement y est principalement urbain avec des terres agricoles périurbaines. Une grande part du territoire est constituée de quartiers résidentiels, d'industries et de commerces. Les décors naturels de cette région sont caractérisés par des forêts mixtes, des prairies et des zones humides.

À la suite du référendum municipal qui a eu lieu le , Granby est devenue, le , une nouvelle municipalité formée par la ville et son canton.

Granby compte un hôpital, un cégep, une bibliothèque municipale, un jardin zoologique (Zoo de Granby) et le Centre d'interprétation de la nature du lac Boivin.

Municipalités limitrophes[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Comme de nombreuses villes des Cantons-de-l'Est, Granby tient son nom d'un personnage important de la noblesse anglaise, dans ce cas-ci de John Manners dit Marquis de Granby. C'est depuis le que la région de l'actuelle ville porte le nom du célèbre homme politique et général anglais. Le nom Granby, lui, serait d'origine norroisegran signifie « sapin » et by, « village » ou « hameau »[2].

Écologie[modifier | modifier le code]

Avant l'établissement des premiers colons, l'arpenteur J. McCarthty décrivait la région qui deviendrait le lac Boivin comme étant constituée de forêts de frênes, sapins, érables, pruches et bouleaux ; des prairies naturelles et un petit marécage situé en amont de la rivière Yamaska Nord[3]. La variété de son environnement en fait un lieu abritant des milliers d'espèces animales et végétales ; le lac Boivin reçoit de nombreux oiseaux, poissons, amphibiens, reptiles, invertébrés et mammifères aquatiques tel que le vison d'Amérique (N.vison). De grandes variations de climat causent l'hibernation et la migration de plusieurs espèces durant les mois plus froids ; par conséquent, certaines espèces sont observées de façon saisonnière, comme la bernache du Canada (B.canadensis), alors que des résidents permanents ne peuvent être observés durant l'hiver (par exemple, la tortue peinte (C. picta) apparaît au printemps, est présente au cours de l'été et se cache en automne).

Histoire[modifier | modifier le code]

Rue principale Ouest, Granby, carte postale, vers 1920-1929.

La région de Granby fut habitée sporadiquement par des tribus amérindiennes nomades. C'est en 1792 que les Loyalistes furent autorisés à coloniser la région des Cantons de l'Est. Le , le conseil exécutif de Québec concéda le canton de Granby au colonel Henry Caldwell (en) et ses 97 associés. Le premier colon s'établissant sur le site actuel de la ville arrive en 1813. Il s'agit de John Horner qui érigera un moulin à scie non loin de la rivière Yamaska. Il érigera douze ans plus tard, en 1825 un magasin général avec Richard Frost[4]. Richard Frost trace les plans officiels la même année[5].

Chronologie municipale[modifier | modifier le code]

  •  : élection du canton de Granby[6]
  •  : constitution de la municipalité du canton de Granby
  •  : abolition de la municipalité par la création de la municipalité du comté de Shefford
  •  : constitution de la municipalité du canton de Granby par son détachement du comté.
  •  : la municipalité du village de Granby se détache du canton[7].
  •  : le village de Granby devient la cité de Granby.
  •  : la cité de Granby change son statut pour celui de ville.
  •  : l'opération Phoenix a modifié la structure du service incendie (policiers-pompiers) pour un service à temps partiels. Il s'agit toutefois encore d'une sécurité publique (52 pompiers temps partiels, quatre cadres temps pleins) +/- 1 100 appels par année.
  •  : fusion entre la ville et le canton de Granby pour former la ville de Granby.
  •  : la municipalité fête ses 150 ans. Pour l'occasion, elle se dote d'un nouvel insigne remplaçant ainsi l'ancien logo brun et orange.

Autres dates importantes[modifier | modifier le code]

  •  : arrivée des Canadiens français au village.
  •  : construction de la première chapelle catholique.
  •  : première église anglicane du village.
  •  : tenue en janvier de la première assemblée municipale, fin novembre la locomotive du Stanstead, Shefford & Chambly atteint Granby. Début décembre, fondation de la paroisse Notre-Dame.
  •  : effondrement du pont de la rue Principale, onze personnes meurent emportées par l'eau et les glaces
  •  : Granby devient une ville
  •  : inauguration de l'hôpital Saint-Joseph (centre hospitalier de Granby)
  •  : fondation du zoo de Granby par Pierre-Horace Boivin
  • 1968 : fondation du Cégep de Granby
  •  : début du festival international de la chanson de Granby
  •  : Granby reçoit la certification de Communauté bleue par l'organisme Eau Secours grâce à son engagement par rapport à la qualité de l'eau dans la ville [8].

Héraldique et logos[modifier | modifier le code]

L'écu de Granby se blasonne ainsi :

Écartelé: au 1, de sinople à une feuille d'érable d'or, au 2, coupé de gueules au lion passant d'or et d'azur à deux fleurs de lys d'argent, au 3, de gueules à un livre ouvert d’argent chargé d'un Alpha et d’un Oméga de sable, au 4, d'or à un caducée de sable[9].


L'ancien logo de la ville de Granby, utilisé entre les années 1970 et 2008 est un « G» stylisé composé de deux couleurs. « Le bourgogne symbolisant la qualité de vie à Granby et l’orange symbolisant le dynamisme des gens de Granby.
La ligne blanche représente la rivière Yamaska qui coule au centre de la ville.
L’ensemble du design marque une volonté de réalisation et de recherche de l’excellence[10]. »

À la suite de la fusion et du 150e anniversaire de la ville, le logo est remplacé. Un nouvel énoncé de vision est donné par la ville : « Granby crée un milieu de vie en équilibre avec son environnement de qualité où la famille s'épanouit. Fiers et passionnés, ses citoyens animent leur ville de concert avec les acteurs sociaux, culturels, communautaires, économiques et de loisirs[11]. » On retrouve dans ce nouveau logo la symbolique de la fontaine du lac Boivin et du parc Daniel-Johnson.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique
1825 1831 1841 1861 1871 1881 1891 1899 1901
30[12]100[12]253[12]700[12]876[12]1 040[12]1 710[12]~3 5003 774[12]
1911 1921 1930 1931 1939 1941 1951 1960 1961
4 000[12]6 785[12]10 00010 587[12]14 000[13]14 421[12]23 335[12]32 000[14]30 899[12]
1981 1986 1991 1996 2001 2006 2011 2016 2021
38 07138 50842 804[12]43 31644 12147 63763 43366 22269 025
(Sources : Statistique Canada)

Administration[modifier | modifier le code]

Les élections municipales se font en bloc pour le maire et pour un conseiller parmi les dix (10) districts[15].

Granby
Maires depuis 2001
Élection Maire Qualité Résultat
2001 André-Guy Racine Voir
2005 Richard Goulet Voir
2009 Voir
2013 Pascal Bonin Voir
2017 Voir
2021 Julie Bourdon Voir
Élection partielle en italique
Depuis 2005, les élections sont simultanées dans toutes les municipalités québécoises


Parcs et espaces verts[modifier | modifier le code]

Panorama du lac Boivin.

Granby possède des nombreux parcs et fontaines sur son territoire. Parmi ceux-ci on compte notamment les parcs Daniel-Johnson, Victoria, Terry Fox, Miner, Pelletier et Kennedy.

Lac Boivin, parc Daniel-Johnson et Centre d'interprétation de la nature du lac Boivin[modifier | modifier le code]

Le lac Boivin et ses sentiers aménagés tout autour sont des lieux privilégiés pour les amoureux de la nature et de la faune. Touchant le cœur de la ville, le parc est bordé par le Parc Daniel-Johnson, un endroit très fréquenté en période hivernale pour sa patinoire. Il y a deux collines sur le terrain du parc Daniel-Jonhson qui sont très populaires ; l'été, c'est l'endroit idéal pour les pique-niques et pour les beaux moments en famille, l'hiver, petits et grands apportent leur toboggan et leur « crazy carpet » pour glisser sur ces collines. Le Centre d'Interprétation de la Nature du Lac Boivin est un organisme ayant comme mission de conserver le territoire, les habitats, la faune et la flore du lac Boivin.

Parc national de la Yamaska[modifier | modifier le code]

Le parc national de la Yamaska est une vaste zone humide protégée autour du réservoir Choinière. L'endroit est propice à diverses activités terrestres et nautiques. Sur l'eau, seules sont autorisées des embarcations légères et non motorisées.

Parc Victoria[modifier | modifier le code]

Le parc Victoria est le plus vieux[17] jardin de la ville de Granby. Le terrain acheté en 1889 et le parc aménagé en 1900, on choisit le nom de Victoria en l'honneur de Victoria du Royaume-Uni[18], reine du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande entre 1837 et 1901. On y retrouve notamment le monument à Latimer construit en 1901 pour les militaires tués lors de la Seconde Guerre des Boers, le monument aux Braves et la fontaine Selbach, inaugurée en 1982[19].

Monument dédié aux soldats de Granby et de sa région morts pendant la Première et Deuxième Guerre mondiale. Février 2024

Parc Miner[modifier | modifier le code]

Le parc Miner est le second plus vieux parc de Granby. Il fut donné à la ville par le maire Stephen Henderson Campbell Miner en 1910. On y retrouve notamment la piscine municipale (piscine Miner) et un monument érigé à la mémoire des fondateurs de la Société Saint-Jean-Baptiste érigé en 1934.

Parc écologique Pierre-Horace-Boivin[modifier | modifier le code]

Une autre section du territoire utilisée à des fins de conservation de la nature est le parc écologique Pierre-Horace-Boivin, un espace de 1,35 km2 (135 hectares) principalement composé de forêt, de prairie et de marécage avec des sentiers de randonnée. Un inventaire fut réalisé de 2015 à 2016 afin d'identifier la faune et la flore présente, on sait d'ailleurs que les boisés sont l'habitat d'espèces menacées comme le campagnol des rochers, la salamandre sombre du Nord, ainsi que certaines espèces de chauves-souris[21],[22]. En plus des Boisés Miner, le parc inclut aussi la Ferme Héritage Miner.

Transports[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

L'autoroute 10 est la principale voie routière de communication avec Granby. Elle passe environ sept kilomètres au sud de la ville, sur une orientation ouest-est. Deux sorties relient la 10 à Granby, soit les sorties 68 (route 139, boulevard David Bouchard, Cowansville, Sutton) et 74 (route Pierre- Laporte, vers R-241). Depuis 2020, un tronçon de la route 139 est renommé Route Jean-Lapierre, en hommage à l'ancien député fédéral de Shefford, mort tragiquement dans un accident d'avion aux Îles de la Madeleine[23].

La route 139, mieux connu sous le nom du boulevard David Bouchard ou de la rue Dufferin, passe au nord-ouest de la ville, agissant principalement comme route de contournement nord-ouest. Elle est aussi reliée à la 10 au sud, puis rejoint Roxton Pond vers le nord-est. La limite de vitesse varie entre 90 km/h (sud-ouest, à l'approche de la 10) et 50 km/h (à l'intérieur de la ville), et possède quelques feux de circulation.

La principale artère commerciale de la ville, principale voie routière entre l'extérieur de Granby et le centre-ville, est définitivement la route 112, la rue principale et une partie de la rue Denison. Elle croise la 139 à la limite nord-ouest de la ville, puis coupe directement vers le centre-ville en possédant plus de vingt feux de circulation. Elle arrive de Saint-Paul d'Abbotsford par l'ouest, et quitte vers Saxby Corner vers l'est.

Le centre-ville de Granby est situé exactement à 82 kilomètres du centre-ville de Montréal, à 77 kilomètres du centre de Sherbrooke et à 227 kilomètres du centre de Québec (via la 139, 55 et 20)[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Granby rappelle la mémoire de John Manners (1721-1770), 4e duc de Rutland, baron de Belvoir et marquis de Granby[25], un titre de noblesse de la pairie d'Angleterre créé en 1703 pour John Manners, 1er duc de Rutland.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Centre hospitalier de Granby
  • Le Parc Victoria est le plus beau parc de Granby. Situé au centre-ville, le parc possède deux modules pour enfants et plusieurs espaces pour y relaxer.
  • Les Galeries de Granby font office de grand centre commercial.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Notre-Dame. C'est le que l'évêque de Saint-Hyacinthe décrète l'érection canonique de la paroisse Notre-Dame de Granby.
  • Église Sainte-Famille. Elle est l'œuvre de Louis-Napoléon Audet, un architecte de Sherbrooke. De style néo-gothique, elle possède deux clochers inégaux. L'église Notre-Dame, la seule de la paroisse de Granby en 1929 ne suffisant plus à desservir ses nombreux fidèles, la nouvelle paroisse Sainte-Famille fut fondée en 1930. Elle a été bâtie de granite blanc et est revêtue de pierre calcaire, entre et Noël 1931. Le coût de sa construction s'était élevé à 420 000 $.
  • United Church
  • Église angicane St-George
  • Église Saint-Eugène, terminée en octobre 1942[26]. Elle est vendu en 2022[27].

Culture[modifier | modifier le code]

Parmi les salles de spectacles de Granby, on retrouve Le Palace et le théâtre de l'ancien Presbytère.

En été et en automne, la ville de Granby est l'hôte du Festival international de la chanson de Granby, de la fête des mascottes, du festival Couleurs urbaines de Granby et du Granby International de voitures anciennes.

Lors de la 29e édition de la Fête des mascottes, en 2014, plus de 100 000 visiteurs se sont rendus dans la municipalité de Granby pour participer à l’événement d’une durée de cinq jours[28].

Granby compte également l'une des plus vieilles harmonies en activité au Canada, l'Harmonie de Granby, fondée en 1864[29].

Depuis 1953, la ville est propriétaire d’un sarcophage romain datant du IIe siècle, qui est exposé à l’entrée de la bibliothèque municipale Paul-O.-Trépanier[30].

Communications[modifier | modifier le code]

Journaux[modifier | modifier le code]

  • La Voix de l'Est, fondé en 1935 en tant qu'hebdomadaire, il devient un quotidien à partir de 1945[26]. Une version hebdomadaire est distribuée sous le nom Le Plus
  • Granby Express, hebdomadaire gratuit

Radio[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Le Centre sportif Léonard-Grondin.

Granby compte plusieurs équipes sportives actives sur la scène provinciale et régionale.

Le cégep de Granby Haute-Yamaska compte aussi sur des équipes sportives collégiales nommées L'Indigo (basketball, soccer, volley-ball, cheerleading, cross-country et badminton). Le nom « Indigo », instauré en 2023, fait suite à une restructuration de l'image de marque de l'équipe en raison des critiques par rapport au nom « Inouk » porté pendant plus de 55 ans[33]. De plus, il y a l'équipe des « E-nouk » dont le e fait référence à électronique puisque c'est la ligue de esports du cégep.

La ville a aussi eu des équipes de la LHJMQ (Ligue de hockey junior majeur du Québec) de 1981 à 1997, les Bisons, dont Patrick Roy a fait partie et les Prédateurs. En 1996, les Prédateurs de Granby ont gagné la Coupe Memorial. La première pour une équipe québécoise en 25 ans.

Parmi les installations sportives, on compte le Centre sportif Léonard-Grondin, le Complexe Sportif Artopex et le Centre aquatique Desjardins de Granby (CADG).

Depuis 1995, la ville est l'hôte du tournoi de tennis du Challenger de Granby de l'ATP Challenger Tour.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Personnalités[modifier | modifier le code]

Gilles Rousseau décédé en 1971, chanteur du groupe yéyé des années 60 les Hou-lops

Personnalités politiques[modifier | modifier le code]

Personnalités sportives[modifier | modifier le code]

Artistes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Gouvernement du Québec, « Granby », Répertoire des municipalités, sur Ministère des Affaires municipales et de l'Habitation
  2. Richard Racine, « Toponymie de Granby – Société d'histoire de la Haute-Yamaska » (consulté le )
  3. Mario Gendron, « Le lac Boivin, 1815-1980 », sur www.shhy.info, Société d'histoire de la Haute-Yamaska, (consulté le )
  4. Laurion 1959, p. 3.
  5. Gendron, Rochon et Racine 2009, p. 10.
  6. Gouvernement du Québec, Toponymie : municipalité du canton de Granby.
  7. Gouvernement du Québec, Ville de Granby, consulté le .
  8. « Granby certifiée Communauté bleue », sur La Voix de l’Est, (consulté le )
  9. « Armoiries et logo », sur Ville de Granby (consulté le ).
  10. « Armoiries et logo (archives 2009) », sur Ville de Granby, .
  11. Isabel Authier, « Granby, ville rayonnante », La Voix de l'Est,‎ (lire en ligne).
  12. a b c d e f g h i j k l m n o et p Mario Gendron, Johanne Rochon et Richard Racine, Histoire de Granby, Société d'histoire de la Haute-Yamaska, , 512 p. (ISBN 2-9807338-0-6), Annexes
  13. Laurion 1959, p. 4
  14. « L’épopée tumultueuse du lac Boivin », sur Organisme de bassin versant de la Yamaska,
  15. https://www.electionsquebec.qc.ca/francais/municipal/carte-electorale/liste-des-municipalites-divisees-en-districts-electoraux.php DGEQ - Liste des municipalités divisées en districts électoraux
  16. « Liste des Maires de Granby », sur bilan.usherbrooke.ca (consulté le )
  17. Laurion 1959, p. 35.
  18. Gouvernement du Québec, « Parc Victoria », sur Toponymie Québec (consulté le ).
  19. « Parc Victoria », sur Granby région (consulté le ).
  20. [PDF] La fontaine Wallace, L’historien régional, vol. 3, no 1, hiver 2003, société d'histoire de la Haute-Yamaska.
  21. Ugo Giguère, « Les Boisés Miner protégés à perpétuité », Granby Express,‎ (lire en ligne).
  22. Marie-France Létourneau, « Le Zoo planche sur un important projet aux Boisés Miner », La Voix de l'Est, La Presse,‎ (lire en ligne).
  23. « Un tronçon de la route 139 portera le nom de Jean Lapierre », sur La Presse, (consulté le )
  24. Canada back road atlas / atlas des rangs et chemins, Oshawa, Ontario, MapArt Publishing, , 702 p. (ISBN 978-1-55368-614-9), p. 369, 457
  25. Gouvernement du Québec, Toponymie : Granby.
  26. a et b Mario Gendron, Johanne Rochon et Richard Racine, Histoire de Granby, Granby, Société d'histoire de la Haute-Yamaska, , p. 314.
  27. Marie-France Létourneau, « À 30 ans, il achète l’église St-Eugène », La Voix de l'Est,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le )
  28. « Plus de 100 000 personnes à la Fête des mascottes selon les organisateurs: un parcours parfait », sur La Voix de l’Est, (consulté le )
  29. « Historique », sur Harmonie de Granby (consulté le )
  30. Cecilia Capocchi, « Des nouvelles du sarcophage romain », sur Société d’histoire de la Haute-Yamaska, (consulté le )
  31. « Historique M105 FM 104,9 - 1996 à aujourd'hui », sur M105 FM 104,9 - Radio Granby Québec (consulté le )
  32. « Guy Laporte: gérer une radio en coopérative - Affaires - Granby Express - Portail régional », sur Granby Express - Portail régional - Journal Granby (consulté le )
  33. Eric Patenaude, « Les Inouk ne sont plus, place à L'Indigo », sur Le Granby Express, (consulté le )
  34. Madeleine Provost, Le jumelage des villes, (lire en ligne), p. 371

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Mario Gendron, Johanne Rochon et Richard Racine, Granby : Patrimoine et histoire, Société d'histoire de la Haute-Yamaska, , 154 p. (ISBN 978-2-9807338-6-4)
  • Aimé Laurion, Un siècle d’histoire : Les bâtisseurs de Granby 1859-1959, La Voix de l'Est, , 160 p.

Liens externes[modifier | modifier le code]