Utilisateur:Baptiste de Lusignan/Brouillon

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Armorial de la Maison de Lusignan

Cette page présente, de façon non exhaustive, les armoiries (figures et blasonnements) des membres des différentes branches de la Maison de Lusignan[1]. Elle inclue également les puîné(e)s[2], épouses, époux, et celles dont les armes présentent un lien de parenté,[3] ainsi que plusieurs fiefs et châtellenies référents.

Catalogue héraldique[modifier | modifier le code]

Les seigneurs de Lusignan[modifier | modifier le code]

Figure

Nom et blasonnement

Seigneurs de Lusignan[modifier | modifier le code]

La branche principale, des seigneurs de Lusignan, est issue d'Hugues Ier le Veneur (v. 880-v. 950) et d'Aleait (av. 930-ap. 950)[4].

Seigneurs de Lusignan
  • [Générique] Écu burelé d'argent et d'azur de dix pièces[5]
Sixième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries fictives d'Hugues VI de Lusignan selon les Salles des Croisades, château de Versailles Hugues VI de Lusignan dit le Diable (v. 1035-1110) : seigneur de Lusignan (1060-1110).

Fils d'Hugues V de Lusignan dit le Pieux (v. 1021-1060), seigneur de Lusignan et de Couhé, et d'Almodis de la Marche (v. 1023-1071).
1. [v. 1065-1110] Époux d'Audéarde de Thouars (v. 1048-av. 1115).

  • [Fictif] Écu burelé d'argent et d'azur de huit pièces[6]
Septième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries d'Hugues VII de Lusignan, d'après un dessin d'Anselme de Sainte-Marie du XVIIIe siècle Hugues VII de Lusignan dit le Brun (v. 1060-v. 1148) : seigneur de Lusignan (1110-v. 1148).

Fils d'Hugues VI de Lusignan dit le Diable (v. 1035-1110), seigneur de Lusignan, et d'Audéarde de Thouars (v. 1048-av. 1115).
1. [v. 1070-av. 1144] Époux de Sarrasine de Lezay (v. 1085-av. 1144).

  • [1144] Écu burelé d'argent et d'azur de huit pièces[7],[8],[9]
  • [Fictif] Écu burelé d'argent et d'azur de dix pièces[10]
Armoiries hypothétiques d'Hugues VII le Brun selon les Salles des Croisades, château de Versailles

Seigneurs de Lusignan, comtes de la Marche[modifier | modifier le code]

Issus d'Hugues IX le Brun (av. 1151-), fils aîné d'Hugues le Brun (av. 1124-v. 1169) et d'Aurengarde d'Exoudun (av. 1124-v. 1174)[11].

Dixième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries d'Hugues IX le Brun, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1216 dessinée par Louis Boudan au XVIIIe siècle pour Roger de Gaignières Hugues IX le Brun (av. 1151-) : seigneur de Lusignan, Couhé (ap. 1171-1219), Château-Larcher (av. 1196-1219), comte de la Marche (1199-1219).

Fils d'Hugues le Brun (av. 1124-v. 1169) et d'Aurengarde d'Exoudun (av. 1124-v. 1174).
2. [v. 1200-1219] Époux de Mathilde d'Angoulême (av. 1181-ap. ).

Onzième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries d'Hugues X de Lusignan, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1216 dessinée par Louis Boudan au XVIIIe siècle pour Roger de Gaignières Hugues X de Lusignan (v. 1182-5 juin 1249) : seigneur de Lusignan, Couhé, Château-Larcher, comte de la Marche (1219-1249), seigneur de Montreuil-Bonnin (1230-1242) ; par mariage comte d'Angoulême (1220-1246).

Fils d'Hugues IX le Brun (av. 1151-1219), seigneur de Lusignan, comte de la Marche, et de sa première épouse dont l'identité est inconnue.
1. [v. 1220-1246] Second époux d'Isabelle Taillefer (v. 1188/1192-1246), reine consort d'Angleterre, comtesse d'Angoulême.

  • [1216] Écu burelé d'argent et d'azur de vingt-cinq pièces au lion rampant de gueules[12],[16],[17],[18],[19],[20]
  • [1224-1248] Écu burelé d'argent et d'azur de dix-neuf pièces[21],[22],[23],[24],[25]
    • [1233] Écu burelé d'argent et d'azur de quinze pièces[26],[27]
    • [1243] Écu burelé d'argent et d'azur de dix-sept pièces
Armoiries d'Hugues X de Lusignan, comte de la Marche, d'après les empreintes d'un contre-sceau entre 1224 et 1248
1233
1243
Douzième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries d'Hugues XI le Brun, comte d'Angoulême, d'après les empreintes d'un contre-sceau entre 1246 et 1247

[1246-1247]

Hugues XI le Brun (v. 1221-6 avril 1250) : comte d'Angoulême (1246-1250), comte de la Marche (1248-1250) et seigneur de Lusignan (1249-1250).

Fils d'Hugues X de Lusignan (v. 1182-1249), seigneur de Lusignan, comte de la Marche, et d'Isabelle Taillefer (v. 1188/1192-1246), reine consort d'Angleterre, comtesse d'Angoulême.
1. [v. 1236-1250] Époux de Yolande de Bretagne (1218-1272), dame du Pallet, comtesse de Penthièvre.

  • [1246-1247] Écu burelé d'argent et d'azur de dix-sept pièces, chargé de six lions de gueules posés en orle[28],[29],[30],[31],[32],[33]
  • [v. 1247] Écu burelé d'argent et d'azur de quinze pièces, chargé de six lions de gueules posés en orle[34]
  • [1248-1249] Écu burelé d'argent et d'azur de vingt pièces, chargé de six lions de gueules à la queue nouée posés en orle[35],[36],[32],[37]
  • [Fictif] Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces, chargé de six lions de gueules brochant posés en trois, deux et un[38]
Armoiries d'Hugues XI le Brun, comte d'Angoulême, d'après l'empreinte d'un contre-sceau vers 1247 dessinée par Dom Hyacinthe Morice au XVIIIe siècle

[v. 1247]

Armoiries d'Hugues XI le Brun, comte de la Marche, d'après les empreintes d'un contre-sceau entre 1248 et 1249
Hypothétique
Armoiries de Yolande de Bretagne, d'après les empreintes d'un contre-sceau entre 1247 et 1250

[1247-1250]

Yolande de Bretagne ou Yolande de Dreux (1218-) : dame du Pallet (1236-1272), comtesse de Penthièvre (1236-1263).

Fille de Pierre de Dreux dit Mauclerc (v. 1187-1250) et d'Alix de Thouars (1200-1221), comtesse de Richemont, duchesse de Bretagne.
1. [v. 1236-1250] Épouse d'Hugues XI le Brun (v. 1221-1250), seigneur de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême,

  • [1259] Écu mi-parti échiqueté d’or et d’azur à la bordure de gueules, au franc-canton d’hermines (Dreux) et d’un burelé d’argent et d’azur de vingt pièces (Lusignan)[47],[48],[49],[50],[51]
Armoiries de Yolande de Bretagne, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1259

[1259]

Treizième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries d'Hugues XII de Lusignan, comte de la Marche, d'Angoulême, d'après l'empreinte d'un contre-sceaux de 1257 Hugues XII de Lusignan (av. 1241-ap. 25 août 1270) : seigneur de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême (1250-1270).

Fils d'Hugues XI le Brun (v. 1221-1250), seigneur de Lusignan, comte de la Marche, d'Angoulême, et de Yolande de Bretagne (1218-1272), dame du Pallet, comtesse de Penthièvre.
1. [1254-1270] Époux de Jeanne de Fougères (av. 1242-ap. 1273), dame de Porhoët et de Fougères.

Armoiries d'Hugues XII de Lusignan, comte de la Marche, d'Angoulême, seigneur de Fougères, d'après les empreintes d'un contre-sceaux de 1270
Quatorzième génération[modifier | modifier le code]
1276-1302 Hugues XIII le Brun (25 juin 1259-nov. 1303) : seigneur de Lusignan, Porhoët, Fougères, comte de la Marche et d'Angoulême (1270-1303).

Fils d'Hugues XII de Lusignan (av. 1241-1270), seigneur de Lusignan, comte de la Marche, d'Angoulême, et de Jeanne de Fougères (av. 1242-ap. 1273), dame de Porhoët, de Fougères.
1. [1276-1303] Époux de Béatrix de Bourgogne (av. 1264-ap. juillet 1328), dame de L'Isle-sous-Montréal et de Grignon.

  • [1276-1302] Écu burelé d'argent et d'azur de .....pièces[60],[61],[62]
  • [1294-factice] Écu burelé d'argent et d'azur de dix pièces[67],[68],[69]
  • [v. 1294-1295] Écu burelé d'argent et d'azur de dix-huit pièces[70],[71]
  • [1303] Écu burelé d'argent et d'azur de.... pièces[72],[73]
1279
Armoiries d'Hugues XIII le Brun, d'après le rôle d'armes de l'ost de Ploërmel (1294).
v. 1294-1295 L'ABBAYE NOTRE-DAME DE NANTEUIL-EN-VALLÉE
1303
Armoiries de Béatrix de Bourgogne, comtesse de la Marche, d'après l'empreinte d'un sceau de 1276 Armoiries de Béatrix de Bourgogne, comtesse de la Marche, d'après l'empreinte d'un sceau de 1276

Armoiries de Béatrix de Bourgogne, comtesse de la Marche, d'après l'empreinte d'un sceau du secret de 1276

Béatrix de Bourgogne (av. 1264-ap. juillet 1328) : dame de L'Isle-sous-Montréal et de Grignon.

Fille d'Hugues IV (1213-1272), duc de Bourgogne, roi titulaire de Thessalonique, et de sa seconde épouse Béatrix de Champagne (1242-1295).
1. [1276-1303] Épouse d'Hugues XIII le Brun (1259-1303), seigneur de Lusignan, Porhoët, Fougères, comte de la Marche et d'Angoulême.

1293-1306

1293-1306

1293
1302-1306
Armoiries de Guy de la Marche, 1279 Guy de la Marche, puis Guy Ier de Lusignan (v. 1269-nov. 1308) : seigneur d'Archiac (1288-1308), seigneur de Lusignan, Fougères, Porhoët, comte de la Marche et d'Angoulême (1303-1308).

Fils d'Hugues XII de Lusignan (av. 1241-1270), seigneur de Lusignan, comte de la Marche, d'Angoulême, et de Jeanne de Fougères (av. 1242-ap. 1273), dame de Porhoët et de Fougères ; frère cadet du précédent.

Armoiries de Guy de la Marche, seigneur d'Archiac, d'après les empreintes d'un sceau et d'un contre-sceau de 1292.
Armoiries de Guy de la Marche, d'après l'Armorial Le Breton (v. 1292)
Armoiries de Guy Ier de Lusignan, d'après les empreintes d'un contre-sceau entre 1304 et 1308)
Armoiries de Yolande de Lusignan, comtesse de la Marche et d'Angoulême et dame de Fougères, d'après l'empreinte d'un sceau de 1309 Armoiries de Yolande de Lusignan, comtesse de la Marche et d'Angoulême et dame de Fougères, d'après l'empreinte d'un sceau de 1309
Armoiries de Yolande Lusignan, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1309 		Yolande de la Marche, puis Yolande de Lusignan (-) : dame de Pons et de Bergerac (1267-1290), dame de Matha (1296-ap. 1297), dame de Lusignan, Fougères, Porhoët, comtesse de la Marche et d'Angoulême (1308-1314).

Fille aînée d'Hugues XII de Lusignan (av. 1241-1270), seigneur de Lusignan, comte de la Marche, d'Angoulême, et de Jeanne de Fougères (av. 1242-ap. 1273), dame de Porhoët, de Fougères ; sœur aînée des précédents.
1. [1267-1290] Épouse d'Hélie Ier Rudel (av. 1260-1290), seigneur de Pons et de Bergerac.
2. [1296-ap. 1297] Seconde épouse de Robert II de Matha (av. 1255-ap. 1297) seigneur de Mornac.

Armoiries de Yolande de Lusignan, d'après l'empreinte d'un sceau de 1309
Armoiries de Yolande de Lusignan, d'après l'empreinte d'un contre-sceau (sceau du secret) de 1309

Les seigneurs d'Angles-sur-l'Anglin et de Lezay[modifier | modifier le code]

Figure

Nom et blasonnement

Le sous-lignage d'Angles[modifier | modifier le code]

Issu de Rorgon Ier d'Angles (v. 1105-ap. 1169) ; troisième fils d'Hugues VII de Lusignan dit le Brun (v. 1060-v. 1148) et de Sarrasine de Lezay (v. 1085-av. 1144)[115].

Deuxième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Guillaume II d'Angles, d'après l'empreinte d'un sceau de 1201 dessinée par Roger de Gaignières au XVIIe siècle Guillaume II d'Angles (av. 1168-ap. 1237) : seigneur d'Angles-sur-l'Anglin (ap. 1171-1237/1239).

Fils supposé de Rorgon Ier (v. 1105-ap. 1169), seigneur d'Angles-sur-l'Anglin, et de sa seconde épouse Almodis (av. 1157-av. 1201) ; petit-fils supposé d'Hugues VII de Lusignan (v. 1060-v. 1148) et de Sarrasine de Lezay (v. 1085-av. 1144).
1. [av. 1199] Époux d'Agnès (av. 1173-av. 1237).
2. [av. 1137] Époux de Marie (av. 1225-ap. 1237).

  • [1201] Écu burelé d'argent et d'azur, chargé de trois aigles de gueules posés en deux et un[116],[117]
Quatrième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries d'Hélie d'Angles, chevalier, d'après l'empreinte d'un sceau de 1283 dessinée par Louis Boudan au XVIIe siècle pour Roger de Gaignières Hélie d'Angles (av. 1260-1283) : seigneur d'Angles-sur-l'Anglin.

Fils supposé de Rorgon II (av. 1204-ap. 1243), seigneur d'Angles-sur-l'Anglin ; petit-fils supposé de Guillaume II d'Angles (av. 1168-1237/1239).
1. Époux d'Agathe (av. 1270-av. 1284).

  • [1283] Écu d'argent à quatre burelles d'azur, chargé de trois fleurs de lis de gueules posés en deux et un[118],[119],[120],[121]

Le sous-lignage de Lezay[modifier | modifier le code]

Issu de Simon Ier de Lezay dit le Brun (v. 1110-v. 1181) ; quatrième fils d'Hugues VII de Lusignan dit le Brun (v. 1060-v. 1148) et de Sarrasine de Lezay (v. 1085-av. 1144)[115].

Troisième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Guillaume II de Lezay, d'après l'empreinte d'un sceau de 1230 dessinée par Roger de Gaignières au XVIIe siècle Guillaume II de Lezay dit le Chauve (av 1166-v. 1248) : seigneur d'Angles-sur-l'Anglin (ap. 1199-v. 1248) et de l'Isle-Jourdain (av. 1219-v. 1248).

Fils de Guillaume Ier (av. 1150-ap. 1203), seigneur de Lezay, d'Angles-sur-l'Anglin, prévôt de Poitiers ; petit-fils de Simon Ier de Lezay dit le Brun (v. 1100-v. 1181) et arrière-petit-fils d'Hugues VII de Lusignan (v. 1060-v. 1148) et de Sarrasine de Lezay (v. 1085-av. 1144).
1. Époux d'Amélie de Poquières (av. 1191-ap. 1237).

  • [1230] Écu d'argent à cinq burelles d'azur, chargé de sept merlettes de gueules posées en orle, au franc-canton de gueules à senestre[122],[123]
Quatrième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Joscelin II de Lezay, d'après l'empreinte d'un sceau de 1261 dessinée par Dom Fonteneau au XVIIIe siècle Joscelin II de Lezay (av. 1220-ap. 1261) : seigneur de Monthoiron et de l'Isle-Jourdain (?-ap. 1261).

Fils de Joscelin Ier Lezay (av. 1166-av. 1220), seigneur de Lezay et de Monthoiron, et d'Aénor de Monthoiron (av. 1175-ap. 1203) ; neveu du précédent.

  • [1261] Écu d'argent à six ou (sept burelles) d'azur, au franc-canton de gueules[124],[125]
Cinquième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Simon IV, chevalier, d'après l'empreinte d'un sceau de 1261 dessinée par Louis Boudan au XVIIIe siècle pour Roger de Gaignières Simon IV de Lezay (av. 1241-ap. 1261) : seigneur de Lezay.

Fils de Joscelin II de Lezay (av. 1220-ap. 1261), seigneur de Monthoiron et de l'Isle-Jourdain ; neveu et héritier de Simon III de Lezay (av. 1188-ap. 1226), seigneur de Lezay.

  • [1261] Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces, chargé de six merlettes de gueules posées en orle, au franc-quartier de gueules[126],[127],[128]
Armoiries de Joscelin III de Lezay, d'après l'empreinte d'un sceau de 1261 dessinée par Louis Boudan au XVIIIe siècle pour Roger de Gaignières Joscelin III de Lezay (av. 1246-ap. 1308) : seigneur de Monthoiron et de l'Isle-Jourdain (ap. 1261-ap. 1308).

Fils de Joscelin II de Lezay (av. 1220-ap. 1261), seigneur de Monthoiron et de l'Isle-Jourdain ; frère du précédent.

  • [1261] Écu d'argent à neuf burelles d'azur, chargé de sept merlettes de gueules posées en orle, au franc-quartier de gueules[129],[130],[131]
Armoiries d'Amiel de Lezay, d'après l'empreinte d'un sceau de 1320, selon un croquis de Roger de Gaignières du XVIIe siècle Amiel de Lezay (v. 1250-ap. ) : seigneur de Lussac-les-Eglises et de la Trimouille.

Fils supposé de Guillaume III de Lezay (av. 1209-ap. 1271), seigneur d'Angles-sur-l'Anglin, puis de Villefagnan et de Lussac-les-Eglises, et d'Agathe de la Trémoille (av. 1236-ap. 1271) ; petit-fils supposé d'Hugues Ier de Lezay (av. 1166-ap. 1224) et cousin supposé issu de germain des précédents.

  • [1320] Écu d'argent à quatre burelles d'azur, chargé de cinq merlettes de gueules posées en orle, au franc-canton de gueules[132],[133]
  • [1340] Écu burelé d'argent et d'azur....................., chargé de six merlettes de gueules posées en orle, au franc-...............................de gueules chargé d'une rose[134]
1340
Sixième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries d'Hugues III de Lezay, chevalier, d'après l'empreinte d'un sceau de 1327 Hugues III de Lezay (av. 1261-ap. 1327) : seigneur des Marais, capitaine de La Rochelle.

Fils cadet supposé de Simon IV de Lezay(av. 1241-ap. 1261), seigneur de Lezay.

  • [1327] Écu burelé d'argent et d'azur, chargé de huit merlettes de gueules posées en orle, au franc-canton de gueules, chargé d'un lion passant d'argent[135]
Septième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Simon VI de Lezay, d'après l'empreinte d'un sceau de 1345 Simon VI de Lezay (v. 1285-ap. 1344) : seigneur de Lezay.

Fils de Simon V de Lezay (ap. 1261-1299), seigneur de Lezay et de [N] de Vivonne (av. 1273-av. 1299) ; petit-fils supposé de Simon IV de Lezay (av. 1241-ap. 1261), seigneur de Lezay et neveu du précédent. Sans postérité.

  • [1345] Écu d'argent à cinq burelles d'azur, chargé de cinq merlettes de gueules posées en orle, au franc-quartier de gueules treillissé d'argent[136],[137],[138]

Les seigneurs de Vouvant[modifier | modifier le code]

Figure

Nom et blasonnement

Le sous-lignage de Vouvant[modifier | modifier le code]

Issu de Geoffroy Ier de Lusignan dit le Prud'homme (av. 1150-1216) ; troisième fils d'Hugues VIII de Lusignan (v.1097-ap. 1171) et de Bourgogne de Rancon (av. 1112-ap. le )[139].

Première génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Geoffroy Ier de Lusignan, d'après l'empreinte d'un sceau de 1215 dessinée par Louis Boudan au XVIIe siècle pour Roger de Gaignières Geoffroy Ier de Lusignan dit le Prud'homme (av. 1150-1216) : seigneur de Vouvant (1169-1216), Soubise (av. 1171-1216), comte de Jaffa et d'Ascalon (1191-1192). Par mariage : seigneur de Mervent et de Moncontour (av. 1200-1216).

Fils d'Hugues VIII de Lusignan, seigneur de Lusignan, et de Bourgogne de Rancon (av. 1112-ap. 1169), dame de Vouvant et de Civray.
1. Époux d'Humberge de Limoges (1160/1180-av. 1195).
2. [v. 1200-av. 1215] Époux d'Eustachie Chabot (av. 1184-av. 1215).

  • [1215] Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces au lion rampant de gueules contourné à dextre brochant sur le tout[140],[141]
Deuxième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Geoffroy II de Lusignan, d'après les empreintes de contre-sceaux entre 1225 et 1246 Geoffroy II de Lusignan dit la Grand Dent (v. 1195-) : seigneur de Vouvant, Mervent, Moncontour (1216-1247), Fontenay (1233-1242) ; par mariage vicomte de Châtellerault (1224-1239).

Fils de Geoffroy Ier de Lusignan (av. 1150-1216) et d'Eustachie Chabot (av. 1184-av. 1215).
1. Époux de Clémence de Châtellerault (av. 1204-1239), vicomtesse de Châtellerault.
2. Époux d'Aude (av. 1230-ap. 1247).

Armoiries d'Aimery de Lusignan, d'après l'empreinte d'un sceau de 1217 dessinée par Louis Boudan au XVIIe siècle pour Roger de Gaignières
Armoiries d'Aimery de Lusignan, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1217 dessinée par Louis Boudan au XVIIe siècle pour Roger de Gaignières. 		Aimery de Lusignan (av. 1202-ap. 1230).

Fils de Geoffroy Ier de Lusignan (av. 1150-1216) et d'Eustachie Chabot (av. 1184-av. 1215) ; frère cadet du précédent.
1. Époux d'Olive (av. 1205-ap. 1217).

  • [1217] Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces au lion rampant de gueules chargé d'un lambel de neuf pendants de gueules brochant sur le tout[149],[150],[151]
  • [1217] Écu burelé d'argent et d'azur de huit pièces au lion rampant de gueules chargé d'un lambel de sept pendants de gueules brochant sur le tout[149],[150],[151]
Troisième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Valence de Lusignan, dame de Vouvant et de Parthenay, d'après l'empreinte d'un sceau de 1270 Valence de Lusignan (av. 1230-ap. avril 1270) : dame de Soubise (1230-ap. 1270), Vouvant, Mervent, Moncontour (1247-ap. 1270) ; et par mariage dame de Parthenay (av. 1248-ap. 1270).

Fille de Guillaume de Valence (v. 1200-1230), seigneur de Mouchamps, Soubise, et de Marquise de Mauléon (av. 1202-ap. 1230) ; petite-fille de Geoffroy Ier de Lusignan (av. 1150-1216) et d'Eustachie Chabot (av. 1184-av. 1215), nièce des précédents.
1. [av. 1247-ap. 1270] Épouse d'Hugues II Larchevêque (v. 1225-1271), seigneur de Parthenay.

Les seigneurs et rois de Chypre[modifier | modifier le code]

Figure

Nom et blasonnement

Seigneur de Chypre[modifier | modifier le code]

Issu de Guy de Lusignan (av. 1153-) ; sixième fils d'Hugues VIII de Lusignan (v.1097-ap. 1171) et de Bourgogne de Rancon (av. 1112-ap. )[156].

Première génération[modifier | modifier le code]
Armoiries fictives de Guy de Lusignan, roi de Chypre, selon la Salle des Croisades, château de Versailles Guy de Lusignan (av. 1153-) : comte de Jaffa et d’Ascalon (1180-1186) ; par mariage roi de Jérusalem (1186-1192), puis seigneur de Chypre (1192-1194).

Fils d'Hugues VIII de Lusignan (v. 1097-ap. 1171), seigneur de Lusignan, et de Bourgogne de Rancon (av. 1112-ap. 1169), dame de Vouvant, de Civray.
1. Époux de Sibylle de Jérusalem (v. 1160-sept. 1190), comtesse de Jaffa et d'Ascalon, reine de Jérusalem.

  • [Fictif] Écu écartelé aux 1 et 4 d'azur à la croix d'argent, et aux 2 et 3 burelé d'argent et d'azur de dix pièces à un lion de gueules, armé, couronné et lampassé d'or, brochant sur le tout[157],[158]

Rois de Chypre (Maison de Lusignan)[modifier | modifier le code]

Issus d'Aimery II de Lusignan (av. 1152-1er avril 1205) ; cinquième fils d'Hugues VIII de Lusignan (v.1097-ap. 1171) et de Bourgogne de Rancon (av. 1112-ap.)[156].

Deuxième génération[modifier | modifier le code]
Hugues Ier de Lusignan (1193/1194-) : roi de Chypre (1205-1218).

Fils d' (av. 1152-1er avril 1205), comte de Jaffa et d'Ascalon, roi de Chypre, et d'Echive d'Ibelin (v. 1160-1196/97) ; neveu du précédent.

  • Écu
Troisième génération[modifier | modifier le code]
Henri Ier de Lusignan dit le Gros : roi de Chypre (1218-1253), régent de Jérusalem (1246-1253).
  • Écu
Quatrième génération
Hugues II de Lusignan (1252-) : roi de Chypre (1254-1267).
  • Écu

Les seigneurs d'Exoudun, comtes d'Eu[modifier | modifier le code]

Figure

Nom et blasonnement

Le sous lignage d'Exoudun[modifier | modifier le code]

Issu de Raoul Ier d'Exoudun (av. 1169-) ; second fils d'Hugues le Brun (av. 1124-v. 1169) et d'Aurengarde d'Exoudun (av. 1124-v. 1174)[159].

Première génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Raoul Ier d'Exoudun, d'après l'empreinte d'un sceau de 1191 Raoul Ier d'Exoudun (v. 1169-) : seigneur d'Exoudun, La Mothe, Chizé, Benet, Villeneuve, Melle (av. 1190-1219), Civray (1200-1219), vicomte baillistre de Châtellerault (1212-1218) ; par mariage comte d'Eu, seigneur d'Hastings (1191-1219).

Fils d'Hugues le Brun (av. 1124-v. 1169) et d'Aurengarde d'Exoudun (av. 1124-v. 1174).
1. [1191-1219] Époux d'Alix d'Eu (v. 1180-1245), comtesse d'Eu, baronne d'Hastings et de Tickhill.

  • [1191] Écu burelé d'argent et d'azur de seize pièces brisé d'un lambel de cinq pendants de gueules[160],[161],[162],[163]
  • [v. 1191] Écu burelé d'argent et d'azur de dix-sept pièces brisé d'un lambel de huit pendants de gueules[164],[165]
  • [1191-1201] Écu burelé d'argent et d'azur de dix-sept ? pièces brisé d'un lambel de huit pendants de gueules[166],[167],[168]
Armoiries de Raoul Ier d'Exoudun, d'après les empreintes d'un sceau entre 1191 et 1201
Armoiries d'Alix comtesse d'Eu, d'après les empreintes d'un sceau entre 1219 et 1229 Alix d'Eu (v. 1180-) : comtesse d'Eu, baronne d'Hastings (1191-1245) baronne de Tickhill.

Fille d'Henri II (♰ 1190/91), comte d'Eu, baron d'Hastings et de Mathilde de Warenne (♰ av. 1228).
1. [1191-1219] Épouse de Raoul Ier d'Exoudun (v. 1169-1219), seigneur d'Exoudun.

  • [1219-1229] Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces brisé d'un lambel de sept pendants de gueules[169],[170],[171],[172],[173]
Deuxième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Raoul II d'Exoudun, fils du comte d'Eu, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1230 Raoul II d'Exoudun (v. 1207-) : seigneur d'Exoudun, Civray, Melle, Benet, la Mothe, Chizé, Villeneuve (1219-1246), comte d'Eu (1244-1246), baron d'Hastings (1246).

Fils des précédents.
1. Époux de Jeanne de Bourgogne (v. 1205-v.1222).
2. Époux de Yolande de Dreux (1216-1239).
3. Époux de Philippa de Dammartin (av. 1227- ap. 1278).

  • [1230] Écu burelé d'argent et d'azur de huit pièces brisé d'un lambel de six pendants de gueules[174],[175],[176],[177]
Armoiries de Philippa de Dammartin, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1246 Philippa de Dammartin (av. 1227- ap. 1278) : comtesse d'Eu (v. 1240-1246).

Fille de Simon de Dammartin (v. 1180-1239), comte d'Aumale, et de Marie de Ponthieu (av. 1199-1250) comtesse de Ponthieu.
1. [v. 1240-1246] Troisième épouse de Raoul II d'Exoudun (v. 1207-1246), seigneur d'Exoudun, comte d'Eu, baron d'Hastings.

  • [1246] Écu burelé d'argent et d'azur de dix pièces brisé d'un lambel de trois pendants de gueules[178],[179]
Troisième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Marie d'Exoudun, comtesse d'Eu, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1256 Marie d'Exoudun (v. 1232-) : dame de Chizé (1246-1256), Exoudun, Civray, Melle, Benet, la Mothe, Villeneuve, comtesse d'Eu (1246-1260).

Fille de Raoul II d'Exoudun (v. 1207-1246), seigneur d'Exoudun, comte d'Eu, et de Yolande de Dreux (1216-1239).
[av. 1250-1260] Épouse d'Alphonse de Brienne (v. 1227-1270), seigneur de Chizé, grand chambrier de France.

  • [1256] Écu burelé d'argent et d'azur de dix pièces brisé d'un lambel de cinq pendants de gueules[180],[181],[182],[183]
Armoiries d'Alphonse de Brienne, comte d'Eu, d'après l'empreinte d'un sceau de 1251

Armoiries d'Alphonse de Brienne, comte d'Eu, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1251

[1251]

Alphonse de Brienne dit d'Acre (v. 1227-1270) : seigneur de Chizé (1256-1270), grand chambrier de France (1260-1270) ; par mariage comte d'Eu (av. 1250-1270).

Fils de Jean de Brienne (v. 1170/75-1237), roi de Jérusalem, empereur latin de Constantinople, et de Bérengère de León (v. 1204-1237).
1. [av. 1250-1260] Époux de Marie d'Exoudun (v. 1232-1260), dame de Chizé, Exoudun, Civray, Melle, Benet, la Mothe, Villeneuve et comtesse d'Eu.

  • [1251]
  1. Écu d'azur portant un lion rampant d'or à la bordure de gueules chargée de seize châteaux d'or (Brienne-Castille)[184],[185],[186]
  2. Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces brisé d'un lambel de cinq pendants de gueules (Lusignan-Exoudun)[187],[185],[188]
  • [1269] Écu burelé d'azur et d'argent de dix pièces brisé d'un lambel de quatre pendants de gueules (Lusignan-Exoudun)[189],[190]
  • [1270]
  1. Écu d’azur semé de billettes d’or au lion rampant du même brochant sur le tout (Brienne)[191],[192],[193]
  2. Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces brisé d'un lambel de cinq pendants de gueules (Lusignan-Exoudun)[191],[192],[194]
Armoiries d'Alphonse de Brienne, seigneur de Chizé, grand chambrier de France, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1269 dessinée par Dom Fonteneau au XVIIIe siècle
Armoiries d'Alphonse de Brienne, grand chambrier de France, d'après l'empreinte d'un sceau de 1270

Armoiries d'Alphonse de Brienne, grand chambrier de France, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1270 dessinée par Dom Fonteneau au XVIIIe siècle

Les seigneurs de Jarnac[modifier | modifier le code]

Figure

Nom et blasonnement

Le sous-lignage de Jarnac[modifier | modifier le code]

Issu de Geoffroy Ier de Lusignan (v. 1223-1274) ; troisième fils d'Hugues X de Lusignan (v. 1182-1249) et d'Isabelle d'Angoulême (v. 1188/1192-1246)[195].

Première génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Geoffroy Ier de Lusignan, chevalier, fils du comte de la Marche, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1246 Geoffroy Ier de Lusignan (v. 1223-1274) : seigneur de Jarnac, Châteauneuf, Château-Larcher, Bois-Pouvreau (1246-1274), Montignac (1248-1274), Luçon (1258-1274).

Fils d'Hugues X de Lusignan (v. 1182-1249), seigneur de Lusignan, Château-Larcher, comte de la Marche, et d'Isabelle Taillefer (v. 1188/1192-1246), reine consort d'Angleterre, comtesse d'Angoulême.
1. Époux d'Almodis de Sainte-Hermine (v. 1230-ap. 1248), dame de Sainte-Hermine.
2. Époux de Jeanne de Châtellerault (av. 1243-1315).

  • [1246] Écu burelé d'argent et d'azur de dix-huit pièces au lion rampant de gueules à la queue nouée chargé d'un lambel de quatre pendants de gueules brochant sur le tout[196],[197],[198],[199]
  • [1248] Écu burelé d'argent et d'azur de "X" pièces au lion rampant de gueules à la queue nouée brochant sur le tout[200],[201],[202],[203]
1248
1258-1269
av. 1280 Jeanne de Châtellerault (av. 1243-1315) : vicomtesse de Châtellerault (1290-1315).

Fille d'Aimeri II (v. 1170-1242), vicomte de Châtellerault, et d'Agathe de Dammartin (v. 1215-1268).
1. Seconde épouse de Geoffroy Ier de Lusignan (v. 1223-1274), seigneur de Jarnac, Châteauneuf, Château-Larcher, Bois-Pouvreau, Montignac, Luçon.
2. Seconde épouse de Jean II d'Harcourt dit le Preux (v. 1240-1302), seigneur d'Harcourt, maréchal de France.

Châtellerault 1291
Deuxième génération[modifier | modifier le code]
1285 argent Geoffroy II de Lusignan dit le Jeune (v. 1268-) : seigneur de Jarnac, Châteauneuf, Château-Larcher, Bois-Pouvreau (1274-1306).

Fils de Geoffroy Ier de Lusignan (v. 1223-1274), seigneur de Jarnac, Châteauneuf, Château-Larcher, Bois-Pouvreau, Montignac, Luçon, et de Jeanne de Châtellerault (av. 1243-1315), vicomtesse de Châtellerault.
1. Époux de Pernelle de Sully (av. 1285-ap. 1339).

  • [v. 1285] Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces au lion rampant de gueules à la queue nouée brochant sur le tout[227],[228],[229],[230]
  • [v. 1285] Écu burelé d'or et d'azur de douze pièces au lion rampant de gueules à la queue nouée brochant sur le tout[231]
1285 or

Maison de Mello[modifier | modifier le code]

Armorial de l’Ost de Flandre Dreux IV de Mello (av. 1270-1317) : seigneur de Saint-Bris et par mariage seigneur de Sainte-Hermine.

Fils de Dreux III de Mello (av. 1252-1310), seigneur de Saint-Bris, et d'Eustachie de Lusignan (v. 1250-1270), dame de Sainte-Hermine, Prahecq, Brûlain et Luçon ; petit-fils de de Geoffroy Ier de Lusignan (v. 1223-1274) et d'Almodis de Sainte-Hermine (v. 1230-ap. 1248).

  • [1297] Écu d'or à deux fasces de gueules chargé de neuf merlettes du même posées en orle, à l'écusson burelé d'azur et d'argent de dix pièces au lion rampant de gueules à la queue nouée

http://www.armorial.dk/french/CPF_Ost-de-Flandre.pdf

https://www.academia.edu/es/66214921/An_armorial_of_the_army_of_invasion_of_Flanders

https://www.e-periodica.ch/cntmng?pid=ahe-002:1959:73::70

Les comtes de Pembroke[modifier | modifier le code]

Figure

Nom et blasonnement

Le sous-lignage de Valence[modifier | modifier le code]

Issu de Guillaume Ier de Valence (v. 1227-) ; quatrième fils d'Hugues X de Lusignan (v. 1182-1249) et d'Isabelle d'Angoulême (v. 1188/1192-1246)[232].

Première génération Voir SIGILLA : "Valence" et DOUET D'ARCQ !!!!![modifier | modifier le code]
1247 Guillaume Ier de Valence (v. 1227-) : seigneur de Montignac (1246-1248,) Bellac, Rancon, Champagnac (1246-1276) ; et par mariage, seigneur de Wexford, comte de Pembroke (1247-1296).

Fils d'Hugues X de Lusignan (v. 1182-1249), seigneur de Lusignan, Château-Larcher, comte de la Marche, et d'Isabelle Taillefer (v. 1188/1192-1246), reine consort d'Angleterre, comtesse d'Angoulême.
1. [1247-1296] Époux de Jeanne de Montchenu (av. 1234- av. ), dame de Wexford, comtesse de Pembroke ; petite-fille de Guillaume le Maréchal.

  • [1247] Écu d'argent à sept burelles d'azur, brisé d'un lambel à cinq pendants de gueules chargé de trois lionceaux arrêtés d'or[233],[234]
  • [1248] Écu d'argent à sept burelles d'azur, brisé d'un lambel à cinq pendants de gueules chargé de trois lionceaux rampants d'argent[235],[236],[237],[238],[239]
  • V. 1253, ARMORIAL GLOVER
  • [1266] Écu burelé d'argent et d'azur de seize pièces chargé de neuf merlettes de gueules posées en orle[240],[241]
  • [1267]-[1296] Écu burelé d'argent et d'azur de quatorze pièces chargé de huit merlettes de gueules posées en orle, 3, 2, 2 et 1[242]
  • v. [1285] Écu burelé d'argent et d'azur de quatorze pièces chargé de neuf merlettes de gueules posées en orle, 4, 2, 2 et 1[243],[228],[244]
1248
1266
1267-1296
Armoiries de Guillaume Ier de Valence, comte de Pembroke, d'après l'Armorial Charles (v. 1285)

v. [1285]

1277-1278 Jeanne de Montchenu (av. 1234- av. ) : dame de Wexford, comtesse de Pembroke (1247-1307) ; dame de Montignac (1246-1248,) Bellac, Rancon, Champagnac (1246-1276), de Swanscombe (1255-1307).

Fille de Garin de Montchensu (v. 1195-1255), seigneur de Swanscombe, et de Jeanne le Maréchal (v. 1210-1234) ; petite-fille de Guillaume le Maréchal (v. 1245-1296).
1. Épouse de Guillaume Ier de Valence (v. 1227-), seigneur de Montignac, Bellac, Rancon, Champagnac.

  • [1277]-[1278] Écu burelé d'argent et d'azur de quatorze pièces chargé de neuf merlettes de gueules posées en orle, 4, 2, 2 et 1[245]
  • [1301]-[1302] Écu mi-parti. À dextre, burelé de six pièces, de vair et de gueules. À senestre, burelé d'argent et d'azur de douze pièces, chargé de quatre merlettes du gueules posées en orle, 2,1 et 1[246],[247]
1301-1302
Deuxième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Guillaume II de Valence, d'après l'empreinte d'un sceau de 1280 Guillaume II de Valence (av. 1257-) : seigneur de Montignac, Bellac, Neuvicq, Rancon (1276-1282), Montmoreau (?-1282).

Fils de Guillaume Ier de Valence (v. 1227-1296) et de Jeanne de Montchenu (av. 1234-1307).

  • [1280] Écu burelé d'argent et d'azur de dix pièces au lambel de quatre pendants de gueules[248],[249],[250],[251]
1296-1298 Aymar de Valence (v. 1275-) : seigneur de Montignac, Bellac, Rancon, Champagnac, Neuvicq (1296-1324), seigneur de Wexford et comte de Pembroke (1307-1324).

Fils de Guillaume Ier de Valence (v. 1227-1296) et de Jeanne de Montchenu (av. 1234-1307) ; frère du précédent.
1. [v. 1295-1320] Époux de Béatrix de Clermont-Nesle (av. 1284-av. ).
2. [] Époux de Marie de Châtillon-Saint-Pol.

  • [1296]-[1298] Écu burelé d'argent et d'azur de quinze pièces, chargé de neuf merlettes de gueules posées en orle, 4, 2, 2 et 1[252],[253]
  • [1298] Écu burelé d'argent et d'azur de.... pièces, à l'orle de sept merlettes de gueules[254],[255]
  • [1299] Écu burelé d'argent et d'azur de.... pièces, à l'orle de huit merlettes de gueules[256],[257]
1298
1299
1308-1309
1309-1313
1314-1318
1312 Béatrix de Clermont-Nesle (av. 1284-av. ) : dame de Montignac, Bellac, Rancon, Champagnac et Neuvicq (1296-1320), dame de Wexford (1307-1320), comtesse de Pembroke (1307-1320).

Fille de...................................
1. [v. 1295-1320] Seconde épouse d'Aymar de Valence (v. 1271-23 juin 1324), seigneur de Montignac, Bellac, Rancon, Champagnac, Neuvicq, Wexford, comte de Pembroke.

  • [1312] Écu mi-parti. À dextre, burelé d'argent et d'azur de ........pièces, chargé de .....merlettes de gueules posées en orle. À senestre, semé de trèfles chargé de deux bars[267],[268]
  • [?] Écu mi-parti. À dextre, champ de gueules semé de trèfles d'or avec un bar adossé d'or. À senestre un burelé d'argent et d'azur de douze pièces à l'orle de neuf merlettes[269],[270]
?
Marie de châtillon Marie de Châtillon-Saint-Pol
  • Écu

Maison de Hastings[modifier | modifier le code]

Première génération[modifier | modifier le code]
Laurent de Hastings Laurent de Hastings (-) : baron Hastings et d'Abergavenny (1325-1348), comte de Pembroke (1339-1348).
  • Écu
Deuxième génération[modifier | modifier le code]
Jean de Hastings Jean de Hastings (-) : baron Hastings et d'Abergavenny, comte de Pembroke (1348-1375).
  • Écu écartelé aux 1 et 4, burelé d'argent et d'azur de dix pièces, chargé de huit et six merlettes de gueules posées en orle, et aux 2 et 3, d'or à la manche de gueules[271],[272]
  • CF. Froissart, œuvre de..., Chronique (n°235)& Armorial de Gelre

Les puîné(e)s[modifier | modifier le code]

Figure

Nom et blasonnement

Frères et sœurs d'Hugues XI le Brun[modifier | modifier le code]

Douzième génération[modifier | modifier le code]
ap. 1243 Inconnu (av. 1220-ap. 1243) : chevalier et probable membre de l'ordre de l'Hôpital.

Fils naturel d'Hugues X de Lusignan, seigneur de Lusignan, Château-Larcher, comte de la Marche, et d'une inconnue ; né avant le mariage de son père avec Isabelle d'Angoulême en 1220.

  • (Hypothétique) [ap. 1243] Écu Burelé d'argent et d'azur de vingt et une pièces à la bordure de gueules[273],[274]
Fils et filles d'Hugues X de Lusignan (v. 1182-1249) et d'Isabelle d'Angoulême (v. 1188/1192-1246)[275].
Armoiries de Guy de Lusignan, seigneur de Merpins, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1246 Guy de Lusignan (v. 1222-ap. 18 août 1288) : seigneur de Cognac, Archiac, Merpins (1246-1288).
  • [1246] Écu burelé d'argent et d'azur de huit pièces au lambel de quatre pendants de gueules chargé d'une escarboucle du même brochant sur le tout[276],[277],[278]
  • [1248-1258] Écu burelé d'argent et d'azur de huit pièces, brisé d'un lambel de cinq pendants de gueules[279],[280],[281],[282]
Armoiries de Guy de Lusignan, seigneur de Cognac, d'après les empreintes d'un contre-sceau entre 1248 et 1287
Armoiries d'Agathe de Lusignan, dame de Châteauroux, d'après un contre-sceau du XIIIe siècle Agathe de Lusignan (1224-ap. 1269) : dame de Châteauroux.

1. Épouse de Guillaume II de Chauvigny (1224-1271), seigneur de Châteauroux.

  • Écu d’argent de cinq fusées et deux demies de gueules, accolées rangées en fasce au lambel à six pendants de sable (Chauvigny)[286],[287]
Armoiries d'Isabelle de la Marche, dame de Craon, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1250 Isabelle de la Marche (v. 1225-14 janv. 1299) : dame douairière de Champtocé, sénéchale d'Anjou.

1. Épouse de Maurice IV (av. 1226-1250), seigneur de Craon et de Sablé, sénéchal d'Anjou.

Armoiries d'Isabelle de la Marche, d'après les vitraux et les voutes armoriés de la chapelle Saint-Jean-Baptiste des Cordeliers d'Angers (ap. 1299) Armoiries d'Isabelle de la Marche, d'après les vitraux et les voutes armoriés de la chapelle Saint-Jean-Baptiste des Cordeliers d'Angers (ap. 1299)
Armoiries de Marguerite de Lusignan, vicomtesse de Thouars, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1267 Marguerite de Lusignan ou Marguerite de la Marche (v. 1226-22 oct.1288) : dame douairière de la Chaize, vicomtesse de Thouars.

1. Épouse de Raymond VII de Saint-Gilles (1197-1249), comte de Toulouse.
2. Épouse d'Aimery IX (av. 1239-1250), vicomte de Thouars.
3. Épouse de Geoffroy VI (av. 1248-1284), seigneur de Châteaubriant.

  • [1267] Écu burelé d'argent et d'azur de dix pièces[297],[298]
Aymar de Lusignan Aymar de Lusignan (1228-4 déc. 1260) : seigneur de Couhé (1249-1260), évêque élu de Winchester (1250-1260).
  • [ap. 1260] Écu burelé d'argent et d'azur[299]

Sœur et frère d'Hugues XII de Lusignan[modifier | modifier le code]

Fille et fils d'Hugues XI le Brun (v. 1221-1250) et de Yolande de Bretagne (1218-1272)[300].

Treizième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries d'Isabelle de Lusignan, dame de Belleville, d'après un sceau (1303), représenté par un dessin de Roger de Gaignières Armoiries d'Isabelle de Lusignan, dame de Belleville, d'après un sceau (1303), représenté par un dessin de Roger de Gaignières Isabelle de Lusignan ou Isabelle de la Marche (av. 1239-18 fév. ap. 1314) : dame de Rancon, Taillebourg (ap. 1256-1263), Marcillac (ap. 1256-1304), Belleville (ap. 1263-1274), Commequiers, Beauvoir (ap. 1263-ap. 1314).

1. [ap. 1256-1263] Épouse de Geoffroy VI de Rancon (av. 1241-1263), seigneur de Taillebourg et de Marcillac..
2. [ap. 1263-1274] Épouse de Maurice III de Montaigu (av. 1225-1274), seigneur de Belleville.

  • [1303] Écu mi-parti gironné de gueules et de vair de sept pièces (Belleville), et d'un burelé d’argent et d’azur de onze pièces[301],[302]
  • [1303] Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces[301],[302]
  • [1303] Écu burelé d'argent et d'azur de treize pièces[301],[302]
Armoiries de Guy de Lusignan, d'après les empreintes d'un contre-sceau entre 1280 et 1309 Guy de Lusignan ou Guy de la Marche (v. 1243-août 1310/août 1311) : seigneur de Couhé, Peyrat (av. 1271-août 1310/août 1311), Fère-en-Tardenois (1272-1298), Frontenay (1298-août 1310/août 1311).

Sœurs d'Hugues XIII le Brun[modifier | modifier le code]

Filles d'Hugues XII de Lusignan (av. 1241-1270) et de Jeanne de Fougères (av. 1242-ap. 1273)[300].

Quatorzième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Jeanne de la Marche, d'après l'empreinte d'un sceau de 1310
Armoiries de Jeanne de la Marche, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1310 		Jeanne de la Marche (v. 1263-5 déc. v. 1323) : dame d'Albret (ap. 1275-1280), puis de Stanton Lacy (ap. 1280-av. 1292) et de Couhé et de Peyrat (1310-1323).
Armoiries de Marie de la Marche, comtesse de Sancerre (1309) Marie de la Marche (v. 1265-ap.1312) : dame de Vescy (1279-av. 1288), puis comtesse de Sancerre (1288-1303/1306).

1. [1279-v. 1283] Épouse de Jean de Vescy (1244-1289).
2. [1289-1303/06] Épouse de Étienne II de Sancerre (ap.1259-1303/06), seigneur de Charenton et comte de Sancerre.

  • [1309] Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces[320],[321]
  • [1312] Écu d'azur à la bande d'argent accompagnée de deux doubles cotices d'or potencées et contre-potencées[322],[323],[324]
MARIE DE LA MARCHE 1312

Les rois de Chypre et d'Arménie (Maison de Poitiers-Lusignan)[modifier | modifier le code]

Figure

Nom et blasonnement

Rois de Chypre (Maison de Poitiers-Lusignan)[modifier | modifier le code]

Issus d'Hugues III d'Antioche dit de Lusignan (1235-1284), fondateur de la seconde Maison de Lusignan, fils d'Isabelle de Lusignan (av. 1216-ap. 1264) et d'Henri de Poitiers-Antioche (♰ 1276).

Armoiries d'Hugues IV de Lusignan, roi de Chypre, d'après un Linteau du réfectoire de l’abbaye de Bellapais, Chypre, XIVe siècle
Armoiries d'Hugues IV de Lusignan, roi de Chypre, d'après un Linteau du réfectoire de l’abbaye de Bellapais, Chypre, XIVe siècle
Armoiries d'Hugues IV de Lusignan, roi de Chypre, d'après un Linteau du réfectoire de l’abbaye de Bellapais, Chypre, XIVe siècle 		Hugues IV de Lusignan (1294-10 octobre 1359) : roi de Chypre (1324-1359).

Fils de Guy de Chypre (1275-1303), prince et connétable de Chypre et d'Echive d'Ibelin (1253-1312), Dame de Beyrouth.
1. [1307-1318] Époux de Marie d'Ibelin (1294- av.1318) ; sans postérité.
2. [1318-1359] Époux d'Alix d'Ibelin (v. 1304/06-1386).

  • [Ire moitié du XIVe siècle][325]
Armoiries d'Anne de Lusignan, d'après l'empreinte d'un sceau du secret de 1451
Armoiries d'Anne de Lusignan, d'après l'empreinte d'un sceau du secret de 1451 dessinée au XIXe siècle 		Anne de Lusignan ou Anne de Chypre (-) : duchesse de Savoie (1440-1462).

Fille de Janus de Lusignan (1375-1432), roi de Chypre, de Jérusalem et d'Arménie, et de Charlotte de Bourbon (1388-1422).
1. [1433-1462] Épouse de Louis Ier (1413-1465), duc de Savoie.

  • [1451] Écu mi-parti de gueules à la croix d'argent (Savoie) et d'un écartelé au 1 et 4 d'argent à la croix potencée d'or et cantonnée de quatre croisettes de même (Jérusalem) et au 2 et 3 burelé d'argent et d'azur au lion de gueules, armé, lampassé, couronné d'or brochant (Lusignan-Chypre)[326]
  • [1451] Écu mi-parti de gueules à la croix d'argent, au coupé d'argent à la croix potencée d'or et cantonnée de quatre croisettes de même et au lion de gueules, armé, lampassé, couronné d'or brochant[327],[328]
Charlotte de Lusignan (28 juin 1444-16 juillet 1487) : reine de Chypre (1458-1460) et d'Arménie (1458-1464), reine titulaire de Chypre (1460-1485).

Fille de Jean II de Lusignan (1418-1458), roi de Chypre, et d'Hélène Paléologue (1428-1458).
1. [1456-1457] Épouse de Jean de Portugal (1431-1457), duc de Coimbra, prince titulaire d'Antioche.
2. [1459-1482] Épouse de Louis de Savoie, dit de Genève (1436/37-1482), comte de Genève.

Rois d'Arménie de Cilicie (Maison de Poitiers-Lusignan)[modifier | modifier le code]

Issus de Guy de Lusignan alias Constantin IV d'Arménie, fils d'Amaury II de Lusignan (v. 1272-1310) et d'Isabelle d'Arménie (1275-1323).

Première génération[modifier | modifier le code]
Guy de Lusignan alias Constantin IV d'Arménie (♰ 1344) : roi d'Arménie (1341-1344).

Fils d'Amaury II de Lusignan (v. 1272-1310), seigneur de Tyr, sénéchal de Chypre, et d'Isabelle d'Arménie (v. 1275-1323).

Deuxième génération[modifier | modifier le code]
Armoiries de Léon VI, d'après l'empreinte d'un sceau de 1384

[1384]

Léon VI de Lusignan (1342-29 nov. 1393) : roi d'Arménie (1373-1375).

Fils de Jean de Lusignan (1306/07-1343), connétable d'Arménie, et de Soldanne ; neveu du précédent.
1. Époux de Marguerite de Soissons.

Parents et autres familles[modifier | modifier le code]

Figure

Nom et blasonnement

Maison de Surgères[modifier | modifier le code]

Issue de Guillaume de Surgères (seconde moitié du XIe siècle)[334].

Armoiries d'Hugues de Surgères, d'après l'empreinte d'un sceau de 1208 dessinée par Louis Boudan au XVIIe siècle pour Roger de Gaignières Hugues de Surgères (v.1175-1212) : vicomte-baillistre de Châtellerault (1203-1212).

Fils de Guillaume III Maingot (av. 1156-ap. 1174), seigneur de Surgères, et d'Aurengarde d'Exoudun (av. 1139-v. 1175), veuve d'Hugues le Brun (v. 1124-1169) ; frère utérin d'Hugues IX le Brun (av. 1151-1219) et de Raoul Ier d'Exoudun (v. 1169-1219).

  • [1208] Écu de gueules fretté de vair au lambel de cinq pendants d'argent[335],[336],[337]
  • [1211] Écu de gueules fretté d'argent au lambel de cinq pendants du même[338],[339],[340],[341]
  • [1211] Écu mi-parti, à dextre de gueules fretté d'argent au lambel de deux pendants du même (Surgères), et à senestre burelé d'argent et d'azur de treize pièces au lambel de deux pendants de gueules (Lusignan-Eu)[338],[339],[340],[341]
Armoiries d'Hugues de Surgères, d'après l'empreinte d'un sceau de 1211 dessinée par Dom Fonteneau au XVIIIe siècle
Armoiries d'Hugues de Surgères, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1211 dessinée par Dom Fonteneau au XVIIIe siècle

Maison de Thouars[modifier | modifier le code]

Issue de Geoffroy Ierde la Maison de Thouars (fin du IXe siècle)[342].

Armoiries de Guy II de Thouars, d'après une empreinte de son sceau (1269) Guy II de Thouars (1246/1249-) : vicomte de Thouars (1274-1308).

Fils d'Aimery IX (av. 1239-1250) vicomte de Thouars et de Marguerite de Lusignan (v. 1226-22 oct. 1288) ; petit-fils d'Hugues X de Lusignan (v. 1182-1249), comte de la Marche, et d'Isabelle Taillefer (v. 1188/1192-1246), comtesse d'Angoulême.

  • [1269] Écu mi burelé d'argent et d'azur de dix pièces et mi d'or chargé de trois fleurs de lys d'azur à un franc quartier de gueules plein (Thouars)[343],[344]
  • [1279] Écu d'or semé de fleurs de lys d'azur au franc quartier de gueules plein[63],[64],[345]
Armoiries de Guy II, vicomte de Thouars, d'après l'Armorial de Compiègne (1279)

Maison de Parthenay[modifier | modifier le code]

Issue de Joscelin Ier (♰ 1012)[346],[347].

Armoiries d'Hugues Ier Larchevêque, seigneur de Parthenay entre (1182 & 1218) Hugues Ier Larchevêque (♰ 1218) : seigneur de Parthenay (1182-1218).

Fils de Guillaume IV Larchevêque (♰ 1182), seigneur de Parthenay.
1. Époux de Damette de Rochefort, dame de Châtelaillon.

  • [1182-1218] Écu burelé d'argent et d'azur de vingt pièces à la bande de gueules brochant sur le tout[348],[349],[350],[351]
Armoiries de Guillaume V Larchevêque : d'après l'empreinte d'un sceau de 1225 et d'après l'empreinte d'un sceau de 1226 dessinée par Louis Boudan au XVIIe siècle pour Roger de Gaignières. Guillaume V Larchevêque (v.1180-) : seigneur de Parthenay (1218-1243).

Fils d'Hugues Ier Larchevêque (♰ 1218), seigneur de Parthenay et de Damette de Rochefort, dame de Châtelaillon.
1. [1218-?] Époux d'Amable de Rancon, dame de Taillebourg.

  • [1218] Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces à la cotice de gueules brochant sur le tout[349]
  • [1225-1226] Écu burelé d'argent et d'azur de seize pièces à la bande de gueules brochant sur le tout[352],[353],[354],[355],[356],[357],[358],[359]
1225-1226
Armoiries d'Hugues II Larchevêque, seigneur de Parthenay (1270) Hugues II Larchevêque (v. 1225-) : seigneur de Parthenay (1243-1271) et de Taillebourg (1269-1271).

Fils de Guillaume V Larchevêque (♰ 1243), seigneur de Parthenay et d'Amable de Rancon, dame de Taillebourg.
1. Époux de Valence de Lusignan (av. 1230-ap. 1270), dame de Vouvant, Mervent, Moncontour, Soubise ; petite-fille de Geoffroy Ier de Lusignan, seigneur de Vouvant, Mervent, Soubise, Moncontour, comte de Jaffa et d'Ascalon.

  • [1248][360]
  • [1261-1270] Écu burelé d'argent et d'azur à la bande de gueules brochant sur le tout[361],[362],[363],[364]
    • [1269][365]
    • [1270] Écu burelé d'argent et d'azur de dix pièces à la bande de gueules brochant sur le tout[366],[367]
Armoiries de Guillaume VI Larchevêque, seigneur de Parthenay, d'après l'Armorial du Tournoi de Compiègne (1279) Guillaume VI Larchevêque (av. 1255-ap. ) : seigneur de Parthenay (1271-1315), Vouvant, Mervent, Moncontour, Soubise (1270-1315), Taillebourg et Montfort.

Fils d'Hugues II Larchevêque (v. 1225-11 avril 1271), seigneur de Parthenay, et de Valence de Lusignan (av. 1230-ap. 1270), dame de Vouvant, Mervent, Moncontour, Soubise ; petit-fils de Guillaume de Valence (v. 1200-1230), seigneur de Soubise, Mouchamps, et de Marquise de Mauléon (av. 1202-ap. 1230).
1. Époux de Jeanne de Monfort, dame de Montfort.

  • [1272-1274] Écu burelé d'argent et d'azur de huit pièces à la bande de gueules brochant sur le tout[368],[369]
  • [1279] Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces à la bande de gueules brochant sur le tout[63],[370],[371],[66]
  • [v. 1292] Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces à la bande de gueules brochant sur le tout,[372],[373]
1279
v. 1292

Maison de Mortemer[modifier | modifier le code]

Issue de Geoffroy de Mortemer (v. 1308/1309-av. )[374].

1324 Geoffroy de Mortemer (v. 1308/1309-av. ) : seigneur de Couhé et de Peyrat.

Fils cadet de Roger Mortimer (-), comte de March, et de Jeanne de Joinville (1286-1356), 2e baronne Geneville ; petit-fils de Pierre de Joinville (v. 1255-1292) et de Jeanne de Lusignan (v. 1263-5 déc. v. 1323), dame de Couhé et de Peyrat.1. Époux de Jeanne de Lezay.

  • [1324] Écu burelé d'argent et d'azur de dix pièces, chargé de six lions rampants de gueules posés en orles, au franc canton burelé chargé d'un écusson en cœur[375],[376]

Maison de Rochefort[modifier | modifier le code]

Issue de Hugues Ier de Rochefort (av. 995-ap. 1061) et de Papia (v. 1000-p. 1030)[377].

Guy Ier de Rochefort (1203-1268) & Ebles Ier de Rochefort (v. 1203-av. 1259).

Fils de Châlon VIII de Rochefort (v. 1187-1227).

  • [1230] Écu burelé d'argent et d'azur de........ pièces au chef denché de gueules[378],[379]
Ebles Ier de Rochefort (v. 1203-av. 1259) :

Fils de Châlon VIII de Rochefort (v. 1187-1227) ; frère cadet de Guy Ier de Rochefort (1203-1268).

  • [1243] Écu burelé d'argent et d'azur de........ pièces au chef denché de gueules[380]
Armoiries de Guy II de Rochefort, d'après l'Armorial de Compiègne (1279) Guy II de Rochefort (av. 1276-ap. 1295) : seigneur de Rochefort

Fils supposé de Charles Ier de Rochefort (1239-1276) et de Marguerite ; petits-fils supposé de Guy Ier de Rochefort (1203-1268).
1. Époux d'Aénor de Doué.

  • [1279] Écu burelé d'argent et d'azur de quatorze pièces au chef denché de gueules[63],[64],[381],[66]
  • [v. 1292] Écu burelé d'argent et d'azur de dix-huit pièces au chef denché de gueules[382],[383],[384]


Armoiries de Guy II de Rochefort, d'après l'Armorial Le Breton (v. 1292)
1280 Ebles II de Rochefort (v. 1259-1286) :

Fils d'Ebles Ier de Rochefort (v. 1203-av. 1259).

  • [1280] Écu burelé, au chef découpé en trois triangles[385]

Maison de La Rochefoucauld[modifier | modifier le code]

Issue de Guy de Marthon, dit Guy (IV) de La Rochefoucauld (deuxième Maison de La Rochefoucauld, seigneurs de Marthon)[346].

Armoiries de Guy La Rochefoucauld : d'après la description d'un dessin d'une empreinte de sceau (1282) Guy de La Rochefoucauld (♰ 1282).

Fils de Guy VI (♰ 1295), seigneur de La Rochefoucauld, et d'Agnès de Rochechouart (♰ 1260) ; petit-fils d'Aimery Ier de La Rochefoucauld (♰ 1249), seigneur de La Rochefoucauld, et de Létice de Parthenay (?-?).

  • [1282] Écu burelé d'argent et d'azur, à trois chevrons de gueules brochant sur le tout, le premier écimé[386],[387]
Guy VI ou Aimery II Guy VI de La Rochefoucauld ou Aimery II de La Rochefoucauld
  • [1295] Écu burelé d'argent et d'azur, à trois chevrons de gueules brochant sur le tout, le premier écimé[388],[389]
Aimery II de La Rochefoucauld : seigneur de Monteil.

Fils de Guy VI (♰ 1295), seigneur de La Rochefoucauld, et d'Agnès de Rochechouart (♰ 1260) .

  • [1291] Écu burelé d'argent et d'azur, à trois chevrons de gueules brochant sur le tout, le premier écimé[390],[391]
Dauphine de La Tour

Fille de Bernard de La Tour (♰ 1296) et de Béatrix de Meymont (v. 1250-v. 1299), dame d'Olliergues.

  • [1291]
  • Écu burelé d'argent et d'azur, à trois chevrons de gueules brochant sur le tout, le premier écimé[392],[393],

Fiefs et châtellenies[modifier | modifier le code]

Figure

Nom et blasonnement
Armoiries de la châtellenie de Lusignan pour le comte de la Marche, d'après l'empreinte d'un sceau de 1286 dessinée par Dom Fonteneau au XVIIIe siècle Châtellenie de Lusignan
  • [1274-1297] Écu burelé d'argent et d'azur de vingt-et-une pièces[394]
    • [1286] Écu burelé d'argent et d'azur de dix-huit pièces[395],[396]
1286
Armoiries de Jean II de Brienne, comte d'Eu, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1286 dessinée par Dom Fonteneau au XVIIIe siècle Sénéchaussée de Civray : pour Jean II de Brienne (v. 1250-), seigneur de Civray, comte d'Eu.
  • [1286] Écu burelé d'argent et d'azur de treize pièces au lambel de cinq pendants de gueules en chef[397],[398],[399],[400]
Châtellenie de Frontenay X2 Châtellenie de Frontenay
  • [1301]
  1. Écu Écu burelé d'argent et d'azur de douze pièces, chargé de six lions de gueules brochant posés en orle[401],[402]
  2. Écu Écu burelé d'argent et d'azur de ??? pièces, chargé de trois lions de gueules brochant posés en deux et un[401],[402]


A rajouter ref : Eygun + Sigilla

Châtellenie de Frontenay-Rohan-Rohan | SIGILLA

Angoulême
  • [XIIIe siècle]
  1. [403],
  2. [404]
Prévôté d'Angoulême
1322 - 1323 x2 Châtellenie de Couhé

4 sceaux[406]

?
1392 - 1435

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 37 (« Les brisures des Lusignan »), p. 196
  2. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 50 (« Affiliations héraldiques au sein du groupe familial Lusignan »), p. 209
  3. ↑ Clément de Vasselot de Régné, « Les mécanismes identitaires d’un groupe familial : sigillographie et héraldique des Lusignan en Occident (XIIe – XIVe siècles) », Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie,‎ , article no 5 (lire en ligne [archive] [PDF])
  4. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 1 (« Premières générations des Lusignan et onomastique rorgonide »), p. 160
  5. ↑ René Pétiet, Armorial poitevin : liste alphabétique des familles nobles ou d’ancienne bourgeoisie habitant ou ayant habité le Poitou, suivi d’un index des armes citées classées par figures héraldiques, Niort-Paris, Clouzot-Champion, (lire en ligne), Lusignan (de), p. 85
  6. ↑ Charles Gavard, Galeries historiques du palais de Versailles, vol. 1, t. VI : salle des croisades - Armoiries, Paris, Imprimerie royale, (lire en ligne), no 21 : Hugues VI, sire de Lusignan, p. 108
    Armoiries fictives d'Hugues VI de Lusignan selon les Salles des Croisades, château de Versailles.
  7. ↑ Anselme de Sainte-Marie, Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France, des pairs, grands officiers de la Couronne, de la Maison du Roy et des anciens barons du royaume, t. III, Paris, , 3e éd. (lire en ligne), p. 76
  8. ↑ Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 413 bis a : Lusignan (Hugues VII, sire de) 1144 / Contre-sceau, p. 6
  9. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hugues VII de Lusignan - sceau revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  10. ↑ Charles Gavard, Galeries historiques du palais de Versailles, vol. 1, t. VI, Paris, Imprimerie royale, (lire en ligne), no 122 : Hugues VII, dit le Brun, sire de Lezignem, p. 365
    Armoiries fictives d'Hugues VII de Lusignan selon les Salles des Croisades, château de Versailles.
  11. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 16 (« Les générations d'Hugues IX et d'Hugues X (deuxième moitié du XIIe siècle-première moitié du XIIIe siècle) »), p. 175
  12. ↑ a et b chartularium monasterii Nobiliacensis, ordinis sancti Benedicti, in dioecesi Pictaviensi ; quod confecit idem Rogerius de Gaignieres ex chartis ad idem monasterium pertinentibus, quas potuit comperire et describere : praemittitur catalogus Abbatum monasterii Nobiliacensis (manuscrit latin, copie du XVIIIe siècle siècle, par Roger de Gaignières, d'après original), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5450), 1701-1800 (lire en ligne), p. 122
  13. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 416, p. 218 & pl. LVII
  14. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Hugues IX le Brun / sceau [1216] »), p. 279-280
  15. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hugues IX de Lusignan - sceau revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  16. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°29 : 1216, p. 10
  17. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°29 : 1216, p. 84
  18. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. LVII, n°417, p. 218
  19. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Hugues X de Lusignan / sceau [1216] »), p. 280-281
  20. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hugues X de Lusignan - premier - sceau revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  21. ↑ chartularium monasterii Nobiliacensis, ordinis sancti Benedicti, in dioecesi Pictaviensi ; quod confecit idem Rogerius de Gaignieres ex chartis ad idem monasterium pertinentibus, quas potuit comperire et describere : praemittitur catalogus Abbatum monasterii Nobiliacensis (manuscrit latin 5450, copie du XVIIe siècle, par Roger de Gaignières, d'après original), Paris, BnF, 1701-1800 (lire en ligne), p. 109
    Le relevé de Gaignières sur cet acte de 1229 est assez fidèle même s'il interprète la tête nue du comte comme coiffée d'un heaume. Le revers est signalé avec le sceau armorial comme comte de la Marche.
  22. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°834 bis : Hugues X, de Lusignan, Fils de Hugues IX (1224) / revers, p. 397-398
  23. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. LVII, n°417, p. 218
  24. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Hugues X de Lusignan / sceau [1224-1248] »), p. 281-283
  25. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hugues X de Lusignan - deuxième - sceau revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  26. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°28 : 1233, p. 10
  27. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°28 : 1233, p. 84
  28. ↑ a et b chartularium Majoris-monasterii Turonensis, ordinis S. Benedicti ; quod confecit idem Rogerius de Gaignieres ex chartis quas potuit comperire et describere, et ex chartulario ejusdem monasterii ; praemittitur series Abbatum Majoris-monasterii : opera et studio domni Natalis Mars (manuscrit latin), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5441 (3)) (lire en ligne), p. 348
  29. ↑ Recueil d'extraits pour servir à l'histoire de Bretagne : IXe – XVIIe siècles (manuscrit français), Paris, BnF, coll. « manuscrit français » (no 22322), 1601-1700 (lire en ligne), n°18, p. 287
  30. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°835 bis : Hugues XI, le Brun, Fils de Hugues X (1246) / Revers, p. 398
  31. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. XIII, n°421a, p. 219
  32. ↑ a et b Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Hugues XI le Brun / sceau [1246-1249] »), p. 285-286
  33. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hugues XI de Lusignan - premier - sceau revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  34. ↑ « Table des Sceaux », dans Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne (éd. Dom Hyacinthe Morice), t. I, Paris, (lire en ligne), n°LXXVIII : Contrescel, Tom. I. Plan. 8
  35. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°836 : Second sceau (1248), p. 398
  36. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. XIII, n°422a, p. 219
  37. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hugues XI de Lusignan - deuxième - sceau revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  38. ↑ Charles Gavard, Galeries historiques du palais de Versailles, vol. 1, t. VI, Paris, Imprimerie royale, (lire en ligne), sixième croisade (1248), « n°181 : Hugues XI, dit le Brun, sire de Lezignen, comte de la Marche », p. 457
    Armoiries fictives selon les Salles des Croisades, château de Versailles.
  39. ↑ Recueil d'extraits pour servir à l'histoire de Bretagne : (IXe – XVIIe siècle) (manuscrit français), Paris, BnF, coll. « manuscrit français » (no 22322), 1601-1700 (lire en ligne), no 19, p. 287
  40. ↑ « Table des Sceaux », dans Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne (éd. Dom Hyacinthe Morice), t. I, Paris, (lire en ligne), LXXIX : Contre-Scel, pl. 8
  41. ↑ Jean-Hippolyte Michon, Statistique monumentale de la Charente, Paris-Angoulême, (lire en ligne), no 12 bis, pl. IV
  42. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 841 bis : Yolande de Dreux, Comtesse de la Marche et d'Angoulême, femme de Hugues XI (1250) / contre-sceau, p. 399
  43. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 423, p. 219 & pl. XIII
    Après « no XI », ajouter « — Confirmation de dons antérieurs au prieuré Saint-Martin de Lamballe — Juillet 1247.
  44. ↑ Marie Grégoire, « Corpus », dans Héraldique des femmes en France : Archéologie et histoire, Montréal, Editions JFD, (lire en ligne [PDF]), no 1425 : Grands feudataires / 1250 Yolande de Dreux, p. 1779
  45. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Yolande de Bretagne / sceau [1247] »), p. 287-288
  46. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Yolande de Bretagne - premier - sceau secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  47. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 535 bis : Yolande de Bretagne, Fille de Pierre Mauclerc (1259) / contre-sceau, p. 348
  48. ↑ Marie Grégoire, « Corpus », dans Héraldique des femmes en France : Archéologie et histoire, Montréal, Editions JFD, (lire en ligne [PDF]), no 1422 : Grands feudataires / 1250 Yolande de Bretagne, p. 1776
  49. ↑ Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 423 bis a : Lusignan (Yolande de Dreux, dame douairière de) 1259 / Contre-sceau, p. 7
  50. ↑ Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 423 bis : Yolande de Dreux. 1259, p. 14
  51. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Yolande de Bretagne - deuxième - sceau du secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  52. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°842 bis : Hugues XII, comte de la Marche et d'Angoulême (1259) / Contre-sceau, p. 399
  53. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. XIV, n°424, p. 220
  54. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Hugues XII de Lusignan / sceau [1257] »), p. 288-290
  55. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hugues XII de Lusignan - sceau secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  56. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°843 bis : Revers, p. 399
  57. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. XIV, n°425, p. 220
  58. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Hugues XII de Lusignan / sceau [1270] »), p. 290-291
  59. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hugues XII de Lusignan - Revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  60. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°844 bis : Revers, p. 399
  61. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. XIV, n°426, p. 220
  62. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Hugues XIII de Lusignan / grand sceau [1276-1302] »), p. 291-293
  63. ↑ a b c d et e Les figurants du tournoi de Compiègne, en 1239 (parchemin, 23 feuillets. 263 × 185 mm), L'Armarium (lire en ligne), fo 19
  64. ↑ a b c et d Claes Heynenzoon, Armorial de Beyeren (parchemin, copie vers 1400, d'après original perdu), La Haye, Bibliothèque royale, 1400-1405 (présentation en ligne, lire en ligne), fo 25 ro, chap. I (fol. 1r-8v, 18r-28v)
  65. ↑ Victor Martel, Le tournoi de Compiègne de 1238 : reconstitué à l'occasion des fêtes de Jeanne d'Arc les 28 mai et 5 juin 1911, Compiègne, (lire en ligne), Cy sont les Poictevins : n°270. Le Comte de la Marce, p. 29
  66. ↑ a b c et d Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 5 : Catalogue héraldique, chap. 21 (« 1279, Armorial du Tournoi de Compiègne »), p. 393-394
    Le tournoi de Compiègne autrefois daté de 1238 est à présent situé en 1279, la plupart des blasons de l'armorial correspondant à des personnages attestés pour cette date et non pour la première.
  67. ↑ Recueil d'armoiries, de montres, de réformations de la noblesse, d'aveux de terres et d'épitaphes concernant la province de Bretagne. (XIIIe – XVIIe siècles}} siècle), par Roger de Gaignières (manuscrit français), Paris, BnF, coll. « manuscrit français » (no 22361), 1601-1700 (lire en ligne), Rennes 1294, fol. 119 :

    « Le comte de la Marche, vicomte de Porhouet, sire de Foulgdres burelé arg et ar de 10 p. »
  68. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 5 : Catalogue héraldique, chap. 30 (« 1294, août, Rennes, Rôle d'armes de l'ost de Ploërmel »), p. 405 :

    « 4. Le comte de la Marche, vicomte de Porhouet, sire de Foulgdres : burelé de dix pièces d'argent et d'azur. »
  69. ↑ « Rôle d'armes de l'Ost de Ploërmel (1294) », sur tudchentil.org
  70. ↑ Matteo Ferrari, « Nanteuil-en-Vallée, abbaye Notre-Dame, "Hôtellerie" », Armoirie Lusignan (armoirie 4), sur armma.saprat.fr
  71. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 5 : Catalogue héraldique, chap. 31 (« v. 1294-1295, Cycle héraldique de l'abbaye Notre-Dame de Nanteuil-en-Vallée »), p. 406-407 :

    « « Grands greniers » ou « hôtellerie », premier étage (combles), salle centrale, mur de refend est. »
  72. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°845 : petit sceau (1303), p. 399
  73. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Hugues XIII de Lusignan / petit sceau [1303] »), p. 293-294
  74. ↑ a et b Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Béatrix de Bourgogne / grand sceau [1276] »), p. 294-295
  75. ↑ a et b SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Béatrice de Bourgogne - premier - grand sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  76. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Béatrix de Bourgogne / sceau du secret [1276] »), p. 295-296
  77. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Béatrice de Bourgogne - sceau du secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  78. ↑ a et b Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Béatrix de Bourgogne / grand seau [1293-1306] »), p. 296-297
  79. ↑ a et b SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Béatrice de Bourgogne - deuxième - grand sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  80. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Béatrix de Bourgogne / sceau du secret [1293] »), p. 297-298
  81. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Béatrice de Bourgogne - Sceau secret - Armorial 1 », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  82. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Béatrix de Bourgogne / contre-sceau [1302-1306] »), p. 298-299
  83. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Béatrice de Bourgogne - contre-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  84. ↑ Victor Martel, Le tournoi de Compiègne de 1238 : reconstitué à l'occasion des fêtes de Jeanne d'Arc les 28 mai et 5 juin 1911, Compiègne, (lire en ligne), Cy sont les Poictevins : n°273 Guy de la Marce, p. 29
  85. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°2640 : Lusignan (Gui de), Varlet, sire d'Archiac (1292), p. 645
  86. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°2640 bis : Lusignan (Gui de), Varlet, sire d'Archiac (1292) / contre-sceau, p. 645
  87. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Guy de Lusignan - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  88. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Guy de Lusignan - sceau du secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  89. ↑ Armorial Le Breton (Original parchemin), Paris, Archives nationales, coll. « Les collections du Musée des Archives nationales » (no AE/I/25/6), xiiie siècle (présentation en ligne, lire en ligne), Gi de la Marche, p. 37
  90. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 5 : Catalogue héraldique, chap. 29 (« v. 1292, Armorial Le Breton »), p. 403-404 :

    « 669. Gi de la Marche »
  91. ↑ Matteo Ferrari, « Nanteuil-en-Vallée, abbaye Notre-Dame, "Hôtellerie" », Armoirie Guy de la Marche-Lusignan ? (armoirie 19), sur armma.saprat.fr
  92. ↑ Recueil de documents historiques, pour la plupart relatifs au Poitou et aux provinces voisines, réunis et copiés par Jean Besly (XIIe – XVIIe siècle), t. II (manuscrit latin, copie du XVIIe siècle), Paris, BnF, coll. « Dupuy » (no 805), 1601-1700 (lire en ligne), fo 32
  93. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°847 bis : Gui ou Guiart de Lusignan, Comte d'Angoulême et de la Marche (1304) / Revers, p. 400
  94. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°848 bis : Autre (1308) / Revers, p. 400
  95. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°849 : Petit sceau (1308), p. 400
  96. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°849 bis : Petit sceau (1308) / contre-sceau, p. 400
  97. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. XVI, n° 449 bis, p. 225
  98. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Guy de Lusignan / sceau [1308] »), p. 300-301
  99. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Guy de Lusignan - premier - sceau revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  100. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Guy de Lusignan - deuxième - sceau revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  101. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Guy de Lusignan - petit sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  102. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Guy de Lusignan - contre-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  103. ↑ a et b Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°846 : Yolande de Lusignan, Comtesse de la Marche et d'Angoulême, dame de Fougères (1308), p. 399
  104. ↑ a b et c Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. XVI, n° 451, p. 225
  105. ↑ a b et c Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Yolande de Lusignan / sceau [1309] »), p. 301-303
  106. ↑ a et b SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Yolande de Lusignan - premier - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  107. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°846 bis : Yolande de Lusignan, Comtesse de la Marche et d'Angoulême, dame de Fougères (1308) / contre-sceau, p. 399-400
  108. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Yolande de Lusignan - contre-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  109. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°2693 : Marche (Yolende de la), Sœur aînée du comte de la Marche (1308), p. 652
  110. ↑ a et b Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. XVI, n° 452, p. 225
  111. ↑ a et b Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Yolande de Lusignan / sceau [1309] »), p. 303-304
  112. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Yolande de Lusignan - deuxième - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  113. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°2693 bis : Marche (Yolende de la), Sœur aînée du comte de la Marche (1308) / contre-sceau, p. 652
  114. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Yolande de Lusignan - sceau du secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  115. ↑ a et b Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 19 (« Les sous-lignages d'Angles et de Lezay »), p. 178
  116. ↑ Extraits d'archives et de cartulaires faits par ou pour Gaignières et relatifs aux églises ou établissements dont les noms suivent. (manuscrit latin), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 17048) (lire en ligne), p. 533
  117. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. IV (« Seigneurs d'Angles-sur-l'Anglin / Guillaume II d'Angles / sceau [1201] »), p. 309
  118. ↑ Recueil de pièces, la plupart en copies ou en extraits, avec des dessins de sceaux et de tombeaux, pour servir à l'histoire des archevêques et des évêques de France, par Roger de Gaignières (manuscrit latin), Poitiers, coll. « manuscrit latin » (no 17041), 1650-1700 (lire en ligne), p. 105
  119. ↑ René Pétiet, Armorial poitevin : liste alphabétique des familles nobles ou d’ancienne bourgeoisie habitant ou ayant habité le Poitou, suivi d’un index des armes citées classées par figures héraldiques, Niort-Paris, Clouzot-Champion, (lire en ligne), Angle de Lusignan (d'), p. 7
  120. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 44, p. 168
  121. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hélie d'Angle - premier - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  122. ↑ chartularium monasterii Fontis-Ebraldi, in dioecesi Pictaviensi ; quod Rogerius de Gaignieres partim ex chartis, partim ex magno ejusdem abbatiae chartulario describi curavit (manuscrit latin, copie pour Roger de Gaignières), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5480 (1)), (lire en ligne), fo 224
  123. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. III (« Seigneurs de Lezay / Guillaume II de Lezay / sceau [1230] »), p. 305
  124. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), no 51 : 1261, p. 17
  125. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), no 51 : 1261, p. 88
  126. ↑ chartularium monasterii Nobiliacensis, ordinis sancti Benedicti, in dioecesi Pictaviensi ; quod confecit idem Rogerius de Gaignieres ex chartis ad idem monasterium pertinentibus, quas potuit comperire et describere : praemittitur catalogus Abbatum monasterii Nobiliacensis (manuscrit latin, copie du XVIIIe siècle, par Roger de Gaignières), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5450), 1701-1800 (lire en ligne), p. 115
  127. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 395, p. 215 & pl. LVI
  128. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. III (« Seigneurs de Lezay / Simon IV de Lezay / sceau [1261] »), p. 306-307
  129. ↑ chartularium monasterii Nobiliacensis, ordinis sancti Benedicti, in dioecesi Pictaviensi ; quod confecit idem Rogerius de Gaignieres ex chartis ad idem monasterium pertinentibus, quas potuit comperire et describere : praemittitur catalogus Abbatum monasterii Nobiliacensis (manuscrit latin, copie du XVIIIe siècle, par Roger de Gaignières), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5450), 1701-1800 (lire en ligne), p. 116
  130. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 396, p. 215 & pl. LVI
  131. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. III (« Seigneurs de Lezay / Joscelin III de Lezay / sceau [1261] »), p. 305-306
  132. ↑ Recueil de pièces, la plupart en copies ou en extraits, avec des dessins de sceaux et de tombeaux, pour servir à l'histoire des archevêques et des évêques de France, par Roger de Gaignières (manuscrit latin), Poitiers, coll. « manuscrit latin » (no 17041), 1650-1700 (lire en ligne), p. 21
  133. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. III (« Seigneurs de Lezay / Amiel de Lezay / sceau [1320] »), p. 308
  134. ↑ Inventaire des sceaux de la collection Clairambault à la Bibliothèque nationale (éd. Germain Demay), t. I, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), no 5220  : Lezay (Emayl de), Chevalier, p. 548
  135. ↑ Inventaire des sceaux de la collection Clairambault à la Bibliothèque nationale (éd. Germain Demay), t. I, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), no 5221  : Lezay (Hugues de), Chevalier, capitaine de la Rochelle, p. 549
  136. ↑ Inventaire des sceaux de la collection Clairambault à la Bibliothèque nationale (éd. Germain Demay), t. I, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), no 5222 : Lezay (Simon de), Ecuyer, p. 549
  137. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 402, p. 168
  138. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Simon de Lezay - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  139. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 10 (« Le sous-lignage de Vouvant »), p. 169
  140. ↑ chartularium monasterii Fontis-Ebraldi, in dioecesi Pictaviensi ; quod Rogerius de Gaignieres partim ex chartis, partim ex magno ejusdem abbatiae chartulario describi curavit (manuscrit latin, copie pour Roger de Gaignières), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5480 (1)), (lire en ligne), p. 140
  141. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. V (« Seigneurs de Vouvant / Geoffroy Ier de Lusignan / sceau [1215] »), p. 310-311
  142. ↑ Recueil de documents historiques, pour la plupart relatifs au Poitou et aux provinces voisines, réunis et copiés par Jean Besly (XIIe – XVIIe siècle), t. II (manuscrit latin, copie du XVIIe siècle), Paris, BnF, coll. « Dupuy » (no 805), 1601-1700, fo 75 (lire en ligne)
  143. ↑ Jean-Hippolyte Michon, Statistique monumentale de la Charente, Paris-Angoulême, (lire en ligne), pl. III, n°9 quater, p. 74 bis
    Sceau attribué à tort à Geoffroy Ier de Lusignan, seigneur de Jarnac (v. 1223-1274), fils d'Hugues X de Lusignan et d'Isabelle Taillefer.
  144. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°2636 bis : Lusignan (Geoffroi de), Saintonge (1225) / revers, p. 644
  145. ↑ Benjamin Fillon et Octave de Rochebrune, Poitou et Vendée : études historiques et artistiques, t. I, Niort, Clouzot, (lire en ligne), p. 29
  146. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. XV, n° 437, p. 222
  147. ↑ Matteo Ferrari, « Châtellerault, commanderie d’Auzon », Armoirie Geoffroy II de Lusignan (armoirie 6), sur armma.saprat.fr
  148. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. V (« Seigneurs de Vouvant / Geoffroy II de Lusignan / sceau [1225-1246] »), p. 311-313
  149. ↑ a et b chartularium monasterii Fontis-Ebraldi, in dioecesi Pictaviensi ; quod Rogerius de Gaignieres partim ex chartis, partim ex magno ejusdem abbatiae chartulario describi curavit (manuscrit latin, copie pour Roger de Gaignières), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5480 (1)), (lire en ligne), p. 141
  150. ↑ a et b Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. LVII, n° 438, p. 223
  151. ↑ a et b Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. V (« Seigneurs de Vouvant / Aimery de Lusignan / sceau [1217] »), p. 313-314
  152. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. II, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°3174 bis : Parthenay (Valentine de), Femme du précédent (1270) / contre-sceau, p. 21
  153. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. XIX, n° 538 bis, p. 237
  154. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. V (« Seigneurs de Vouvant / Valence de Lusignan / sceau [1270] »), p. 314-316
  155. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Valence de Lusignan - contre-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  156. ↑ a et b Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 15 (« L'insertion des Lusignan dans le réseau aristocratique de l'Orient latin (années 1170-1180) »), p. 174
  157. ↑ Charles Gavard, Galeries historiques du palais de Versailles, vol. 1, t. VI, Paris, Imprimerie royale, (lire en ligne), Armoiries de la salle des croisades, « n°46 : Guy de Lusignan, roi de Chypre », p. 141-142
    Armoiries fictives selon les Salles des Croisades, château de Versailles.
  158. ↑ Marc Baronnet (photogr. Marc Baronnet), « 1192 Guy de Lusignan roi de Chypre 1204 Baudouin empereur » [jpg], sur commons.wikimedia.org, (consulté le )
  159. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 11 (« Le sous-lignage d'Eu »), p. 170
  160. ↑ Calendar of charters and documents relating to the abbey of Robertsbridge, co. Sussex, preserved at Penshurst among the Muniments of Lord de Lisle and Dudley (éd. Philipp Sidney), Londres, Spottiswoode, (lire en ligne), no 46 : R de Hyssoud, Earl of Ow, to the Abbey, p. 15
  161. ↑ Inventaire des sceaux de la Normandie recueillis dans les dépôts d'archives, musées et collections particulières des départements de la Seine Inférieure, du Calvados, de l'Eure, de la Manche et de l'Orne avec une introduction sur la paléographie des sceaux (éd. Germain Demay), Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), no 36 : Raoul, Comte d'Eu - 1191, p. 6
  162. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VI (« Comtes d'Eu / Raoul Ier d'Exoudun / sceau [1191] »), p. 317-318
  163. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Raoul Ier de Lusignan - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  164. ↑ Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 302 bis : Eu (Raoul Ier de Lusignan, comte d') v. 1191, p. 5
  165. ↑ Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 302 bis : Raoul Ier de Lusignan. v. 1191, p. 13
  166. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VI (« Comtes d'Eu / Raoul Ier d'Exoudun / sceau [1191-1201] »), p. 318-319
  167. ↑ Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 302 ter : Eu (Raoul Ier de Lusignan, comte d') ap. 1191, p. 5
  168. ↑ Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 302 ter : Raoul Ier de Lusignan. ap. 1191, p. 13
  169. ↑ chartularium monasterii Fontis-Ebraldi, in dioecesi Pictaviensi ; quod Rogerius de Gaignieres partim ex chartis, partim ex magno ejusdem abbatiae chartulario describi curavit (manuscrit latin, copie pour Roger de Gaignières), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5480 (1)), (lire en ligne), fo 260
  170. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 919 bis : Alix, Comtesse d'Eu, sœur de Raoul Ier et femme de Raoul II (1219) / revers, p. 412
  171. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 303, p. 203 & pl. LVI
  172. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VI (« Comtes d'Eu / Alix d'Eu / sceau [1219-1229] »), p. 319-320
  173. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Alix d'Eu - Revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  174. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 920 bis : Raoul d'Issoudun, Fils du comte d'Eu (1230) / revers, p. 412
    remplacer "sept pendants" par "six pendants".
  175. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 305, p. 204 & pl. X
  176. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VI (« Comtes d'Eu / Raoul II d'Exoudun / sceau [1230] »), p. 321-322
  177. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Raoul d'Issoudun - Revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  178. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 921 bis : Philippette, Comtesse d'Eu, troisième femme du comte Raoul III (1246) / Contre-sceau, p. 412
  179. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Philippa de Dammartin - Contre-sceau », sur http://www.sigilla.org/, Université de Poitiers
  180. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 923 bis : Marie d'Issoudun, Comtesse d'Eu, fille de Raoul III, femme du précédent (1256) / contre-sceau, p. 413
  181. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 309, p. 205 & pl. X
  182. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VI (« Comtes d'Eu / Marie d'Exoudun / sceau [1256] »), p. 322-324
  183. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Marie d'Exoudun - Contre-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  184. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 922  : Alfonse, Comte d'Eu (1251), p. 412
  185. ↑ a et b Marie-Adélaïde Nielen, « Du comté de Champagne aux royaumes d’Orient : sceaux et armoiries des comtes de Brienne », dans Damien Coulon, Catherine Otten-Froux, Paule Pagès et Dominique Valérian, Chemins d'outre-mer : Études d'histoire sur la Méditerranée médiévale offertes à Michel Balard, Paris, Publications de la Sorbonne, coll. « Byzantina Sorbonensia » (no 20), (lire en ligne), Le service du Prince, § 30-31
  186. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Alphonse de Brienne - sceau - 1251 », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  187. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 922 bis : Alfonse, Comte d'Eu (1251) / contre-sceau, p. 412
  188. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Alfonse de Brienne - contre-sceau - 1251 », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  189. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), no 8 : 1269, fo 5
  190. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), no 8 : 1269, fo 80
  191. ↑ a et b Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), no 50 : 1270, fo 16
  192. ↑ a et b Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), no 50 : 1270, fo 87
  193. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Alphonse, comte d'Eu, seigneur de Civray et de Chizé-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  194. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Alphonse, comte d'Eu, seigneur de Civray et de Chizé-contre-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  195. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 22 (« Le sous-lignage de Jarnac »), p. 181
  196. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 838 bis : Geoffroi de Lusignan, Frère du comte Hugues XI (1246) / revers, p. 398
  197. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 441, p. 223 & pl. XV
  198. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VII (« Seigneurs de Jarnac / Geoffroy Ier de Lusignan / grand sceau [1246] »), p. 325-326
  199. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Geoffroy de Lusignan - premier - sceau revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  200. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 839 : second sceau (1248), p. 398
  201. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 442, p. 223 & pl. XV
  202. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VII (« Seigneurs de Jarnac / Geoffroy Ier de Lusignan / grand sceau [1248] »), p. 326-328
  203. ↑ a et b SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Geoffroy Ier de Lusignan - sceau du secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  204. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 2637 : Lusignan (Geoffroi de), Seigneur de Jarnac (1269), p. 644
  205. ↑ Catalogue of seals in the department of manuscripts in the British Museum (éd. Walter de Gray Birch), t. V, Londres, British Museum, (lire en ligne), Geoffroi de Lesignan, or Lusignan, Lord of Jarnac in Angoumois near Cognac : no 20,307. [A.D. 1268.], p. 771
  206. ↑ Catalogue of seals in the department of manuscripts in the British Museum (éd. Walter de Gray Birch), t. V, Londres, British Museum, (lire en ligne), Geoffroi de Lesignan, or Lusignan, Lord of Jarnac in Angoumois near Cognac : no 20,308. [A.D. 1269.], p. 771
  207. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 443, p. 223 & pl. XV
  208. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VII (« Seigneurs de Jarnac / Geoffroy Ier de Lusignan / sceau du secret [1258-1269] »), p. 328
  209. ↑ Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 443 : Sceau de Geoffroy Ier et non de son fils., p. 7
  210. ↑ Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 443 : Geoffroy Ier de Lusignan. 1258, p. 15
  211. ↑ chartularium monasterii Nobiliacensis, ordinis sancti Benedicti, in diœcesi Pictaviensi ; quod confecit idem Rogerius de Gaignieres ex chartis ad idem monasterium pertinentibus, quas potuit comperire et describere : præmittitur catalogus Abbatum monasterii Nobiliacensis (manuscrit latin, copie du XVIIIe siècle, par Roger de Gaignières, d'après original), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5450), 1701-1800 (lire en ligne), fo 44
  212. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), no 94, fo 29 ro
  213. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), no 94, fo 94
  214. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 414, p. 217 & pl. LVII
  215. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. I (« Seigneurs de Lusignan / Bourgogne de Rancon / sceau [1252-1162] »), p. 276-277
  216. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Bourgogne de Rancon - sceau du secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  217. ↑ Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 443 bis a : Lusignan (Jeanne de Châtellerault) femme de Geoffroy Ier de Lusignan, seigneur de Château-Larcher / Contre-sceau (av. 1280), p. 7
  218. ↑ Clément de Vasselot de Régné, « Les mécanismes identitaires d’un groupe familial : sigillographie et héraldique des Lusignan en Occident (XIIe – XIVe siècles) », Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie, no 5,‎ , fig. 20 : Sceau et contre-sceau armorié, attribués à Bourgogne de Rancon, appartenant en réalité à Jeanne de Châtellerault, p. 16 (lire en ligne [archive] [PDF])
  219. ↑ a et b Inventaire des sceaux de la Normandie recueillis dans les dépôts d'archives, musées et collections particulières des départements de la Seine Inférieure, du Calvados, de l'Eure, de la Manche et de l'Orne avec une introduction sur la paléographie des sceaux (éd. Germain Demay), Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), no 32 : Jeanne d'Harcourt, Vicomtesse de Châtellerault - 1291, p. 6
  220. ↑ a et b SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Jeanne d'Harcourt - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  221. ↑ a et b Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 212 quater : Châtellerault (Jeanne, vicomtesse de) femme de Jean II de Harcourt, 1291, p. 4
  222. ↑ a et b Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 212 quater : Jeanne de Châtellerault. 1291, p. 12
  223. ↑ Inventaire des sceaux de la Normandie recueillis dans les dépôts d'archives, musées et collections particulières des départements de la Seine Inférieure, du Calvados, de l'Eure, de la Manche et de l'Orne avec une introduction sur la paléographie des sceaux (éd. Germain Demay), Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), no 32 bis : Jeanne d'Harcourt, Vicomtesse de Châtellerault - 1291 / Contre-sceau, p. 6
  224. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Jeanne d'Harcourt - sceau secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  225. ↑ Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 212 quater a : Châtellerault (Jeanne, vicomtesse de) femme de Jean II de Harcourt, 1291 / Contre-sceau, p. 4
  226. ↑ Yves Airiau, « Compléments et corrections à la Sigillographie du Poitou », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 4), (lire en ligne [PDF]), no 212 quater a : Jeanne de Châtellerault. 1291, p. 12
  227. ↑ Charles’s Roll (manuscrit, copie du XVe siècle, d'après original perdu), Londres, Society of Antiquaries (no MSS/0517), xve siècle (présentation en ligne), no 5 : Sir Geffrey Lisenian
  228. ↑ a et b Rolls of arms of Edward I (1272-1307) (éd. Gerard J. Brault), Woodbridge, Boydell Press, (présentation en ligne), p. 259-261
  229. ↑ Matteo Ferrari, « Nanteuil-en-Vallée, abbaye Notre-Dame, "Hôtellerie" », Armoirie Geoffroy II de Lusignan (armoirie 14), sur armma.saprat.fr
  230. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 5 : Catalogue héraldique, chap. 27 (« v. 1285, Armorial Charles »), p. 401
    Society of Antiquaries, MS 517, no 5.
  231. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 5 : Catalogue héraldique, chap. 27 (« v. 1285, Armorial Charles »), p. 401
    Copie vers 1596, par R. Scarlett, Londres, British Library, Ms. Add. 4965, fo 10–25. Copie vers 1605 par N. Charles, Londres, British Library, Ms. Harley 6137,fo 45–57. Copie vers 1640, Londres, Society of Antiquaries, Ms. 664, vol. 1,fo 14–17 : le burelé est or et azur.
  232. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 21 (« Le sous-lignage de Valence »), p. 180
  233. ↑ Matthieu Paris, Chronica majora II : chronique armoriée (manuscrit Latin et Français, moyen), Cambridge, Corpus Christi College, coll. « manuscrit » (no 16 II), 1250-1253 (lire en ligne), fo 216 vo
  234. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 5 : Catalogue héraldique, chap. 8 (« 1250-1253, Chronica Majora »), p. 371
    Armes peintes de Guillaume de Valence, seigneur de Pembroke à l'occasion de son adoubement en 1247.
  235. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 840 bis : Guillaume de Valence, Fils du comte de la Marche, Hugues X (1248) / revers, p. 398
  236. ↑ Sigillographie de l'Angoumois (éd. Philippe de Bosredon et Joseph Mallat), Périgueux, La Dordogne, (lire en ligne), no 232 bis : Valence (Guy de), seigneur de Montignac, 1248 / Contre-Sceau, p. 95
  237. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 430, p. 221 & pl. LVII
  238. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VIII (« Comtes de Pembroke / Guillaume Ier de Valence / sceau [1248] »), p. 329-330
  239. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Guillaume de Valence - Revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  240. ↑ Catalogue of seals in the department of manuscripts in the British Museum (éd. Walter de Gray Birch), vol. III, Londres, British Museum, (lire en ligne), no 14088 : Guilerme de Valentia , al . William de Valence / [ A.D. 1266], p. 612
  241. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VIII (« Comtes de Pembroke / Guillaume Ier de Valence / sceau [1266] »), p. 330-331
  242. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VIII (« Comtes de Pembroke / Guillaume Ier de Valence / sceau [1267-1296] »), p. 331-332
  243. ↑ Charles’s Roll (manuscrit, copie du XVe siècle, d'après original perdu), Londres, Society of Antiquaries (no MSS/0517), xve siècle (présentation en ligne), no 25 : Counte de Penbrok
  244. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 5 : Catalogue héraldique, chap. 27 (« v. 1285, Armorial Charles »), p. 401
    Society of Antiquaries, MS 517, no 25.
  245. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VIII (« Comtes de Pembroke / Jeanne de Montchenu / sceau [1277-1278] »), p. 332-334
  246. ↑ Catalogue of seals in the department of manuscripts in the British Museum (éd. Walter de Gray Birch), vol. III, Londres, British Museum, (lire en ligne), no 14079-14086 : Johanna de Valence / [ A.D. 1301]-[ A.D. 1302], p. 611-612
  247. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VIII (« Comtes de Pembroke / Jeanne de Montchenu / sceau du secret [1301] »), p. 334
  248. ↑ Auguste-François LIèvre, Exploration archéologique du département de la Charente, vol. I : canton de Saint-Amand-de-Boixe, Mansle et Aigre, Angoulême, Goumard, (lire en ligne), no 1 : Guillaume de Valence le jeune (1280), pl. Montignac
  249. ↑ Sigillographie de l'Angoumois (éd. Philippe de Bosredon et Joseph Mallat), Périgueux, La Dordogne, (lire en ligne), no 233 : Valence (Guillaume de), seigneur de Montignac et de Rancon, 1280, p. 96
  250. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 431, p. 221 & pl. LVII
  251. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VIII (« Comtes de Pembroke / Guillaume II de Valence / sceau [1280] »), p. 335
  252. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VIII (« Comtes de Pembroke / Aymar de Valence / sceau [1296-1298] »), p. 336
  253. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Adémar de Valence - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  254. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. II, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 3810 : Valence (Adémar de), Dauphiné (1298), p. 104
  255. ↑ Sigillographie de l'Angoumois (éd. Philippe de Bosredon et Joseph Mallat), Périgueux, La Dordogne, (lire en ligne), no 235 : Le même, p. 97
  256. ↑ Auguste-François LIèvre, Exploration archéologique du département de la Charente, vol. I : canton de Saint-Amand-de-Boixe, Mansle et Aigre, Angoulême, Goumard, (lire en ligne), no 2 : Adémar de Valence (1299), pl. Montignac
  257. ↑ Sigillographie de l'Angoumois (éd. Philippe de Bosredon et Joseph Mallat), Périgueux, La Dordogne, (lire en ligne), no 234  : Valence (Aymard ou Adhémard), seigneur de Montignac, 1286-1299, p. 96
  258. ↑ Jean-Hippolyte Michon, Statistique monumentale de la Charente, Paris-Angoulême, (présentation en ligne, lire en ligne), no 22 & 23, p. 80 bis & pl. VI
  259. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. III, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 10184 bis : Pembroke (Aymar de Valence, comte de) (1308) / revers, p. 293
  260. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. III, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 10185  : second sceau (1308), p. 293
  261. ↑ Sigillographie de l'Angoumois (éd. Philippe de Bosredon et Joseph Mallat), Périgueux, La Dordogne, (lire en ligne), n°236 & 236 bis : Le même, p. 97
  262. ↑ Sigillographie de l'Angoumois (éd. Philippe de Bosredon et Joseph Mallat), Périgueux, La Dordogne, (lire en ligne), no 237 : Le même, p. 98
  263. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VIII (« Comtes de Pembroke / Aymar de Valence / grand sceau [1308] »), p. 336-337
  264. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VIII (« Comtes de Pembroke / Aymar de Valence / petit sceau [1309-1313] »), p. 338-339
  265. ↑ Auguste-François LIèvre, Exploration archéologique du département de la Charente, vol. I : canton de Saint-Amand-de-Boixe, Mansle et Aigre, Angoulême, Goumard, (lire en ligne), no 3 : sceau aux contrats (1314-1318), pl. Montignac
  266. ↑ Auguste-François LIèvre, Exploration archéologique du département de la Charente, vol. I : canton de Saint-Amand-de-Boixe, Mansle et Aigre, Angoulême, Goumard, (lire en ligne), no 3 bis : contre-sceau (1314-1318), pl. Montignac
  267. ↑ Catalogue of seals in the department of manuscripts in the British Museum (éd. Walter de Gray Birch), vol. III, Londres, British Museum, (lire en ligne), Beatrice, n°14078 : [ A.D. 1312], p. 611
  268. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VIII (« Comtes de Pembroke / Béatrix de Clermont / sceau [1312] »), p. 339
  269. ↑ Emmanuel Rousseau, Sceaux médiévaux d'Eure-et-Loir : catalogue méthodique de la collection de sceaux détachés des Archives départementales d'Eure-et-Loir, Chartres, Archives départementales d'Eure-et-Loir, (présentation en ligne), no 9
  270. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Béatrice de Clermont-Nesle - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  271. ↑ Armorial de Gelre (éd. Claes Heynenzoon) (manuscrit), xive – xve siècle (lire en ligne), fo 57 ro
  272. ↑ « L'armorial du héraut Gueldre », dans Œuvres de Froissart : publiées avec les variantes des divers manuscrits (éd. Joseph Kervyn de Lettenhove), t. 23 : Chroniques, Osnabrück, Biblio Verlag, (lire en ligne), Angleterre : no 235, pl. 43
  273. ↑ Matteo Ferrari, « Lavausseau, pierre tombale », Armoirie Lusignan ? (armoirie 1), sur armma.saprat.fr
  274. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 5 : Catalogue héraldique, chap. 5 (« 1243 (après), Pierre tombale armoiriée »), p. 366-367
  275. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 20 (« Les enfants d'Hugues X et d'Isabelle d'Angoulême (1221-1296) »), p. 179
  276. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°837 bis : Gui de Lusignan, Fils du comte Hugues XI (1246) / contre-sceau, p. 398
    Remplacer "Fils du comte Hugues XI" par "Frère du comte Hugues XI"
  277. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. IX (« Cadets sans postérité / Guy de Lusignan / sceau [1246] »), p. 340-341
  278. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Guy de Lusignan - premier - sceau du secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  279. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°2638 bis : Lusignan (Gui de), Seigneur de Cognac (1258) / contre-sceau, p. 644
  280. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , n°440, pl. XV, p. 223
  281. ↑ a et b Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. IX (« Cadets sans postérité / Guy de Lusignan / sceau [1248-1281] »), p. 341-343
  282. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Guy de Lusignan - deuxième - sceau du secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  283. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°2639 bis : Lusignan (Gui de), Seigneur de Cognac et de Merpins (1287) / contre-sceau, p. 644-645
  284. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , n°446 a
  285. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Guy de Lusignan - troisième - sceau du secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  286. ↑ René Gandilhon, Inventaire des sceaux du Berry antérieurs à 1515, précédé d’une Étude de sigillographie et de diplomatique, Bourges, (présentation en ligne), n°118 bis
  287. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Agathe de Lusignan - contre-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  288. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°297 bis : Isabelle de Craon, Sénéchale d'Anjou (1261-1299) / Contre-sceau, p. 309
  289. ↑ Bertrand de Broussillon, La Maison de Craon 1050-1480 : Etude historique accompagnée du Cartulaire de Craon, t. I : 1050-1373, Paris, Alphonse Picard, (lire en ligne), fig. 66 : contre-sceau d'Isabelle de la Marche, 1250, chap. XI (« Maurice IV »), p. 177-178
  290. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Isabelle de Craon - Contre-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  291. ↑ Bertrand de Broussillon, La Maison de Craon 1050-1480 : Etude historique accompagnée du Cartulaire de Craon, t. I : 1050-1373, Paris, Alphonse Picard, (lire en ligne), fig. 67 : Blason de la vitre et de la voûte des Cordeliers d'Angers, p. 178-179
  292. ↑ Bertrand de Broussillon, La Maison de Craon 1050-1480 : Etude historique accompagnée du Cartulaire de Craon, t. I : 1050-1373, Paris, Alphonse Picard, (lire en ligne), fig. 103 : Blason de la vitre et de la voûte de la Chapelle Saint-Jean, p. 245
  293. ↑ a et b Fabrice Lachaud, Le lignage en question. Femmes, alliances et filiations chez les Craon, Bordeaux, Ausonius, coll. « Scripta Mediaevalia », , p. 231 & 239
  294. ↑ a et b Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 5 : Catalogue héraldique, chap. 36 (« 1299 (après), Vitraux et voûtes armoiriés »), p. 412
  295. ↑ Bertrand de Broussillon, La Maison de Craon 1050-1480 : Etude historique accompagnée du Cartulaire de Craon, t. I : 1050-1373, Paris, Alphonse Picard, (lire en ligne), fig. 68 : Blason de la vitre et de la voûte des Cordeliers d'Angers, p. 178-179
  296. ↑ Bertrand de Broussillon, La Maison de Craon 1050-1480 : Etude historique accompagnée du Cartulaire de Craon, t. I : 1050-1373, Paris, Alphonse Picard, (lire en ligne), fig. 104 : Blason de la vitre et de la voûte de la Chapelle Saint-Jean, p. 245
  297. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°1091 bis : Marguerite de Lusignan, Femme d'Aimeri VIII (1267) / Contre-sceau, p. 440
    Remplacer "Femme d'Aimeri VIII" par "Femme d'Aimery IX"
  298. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Lusignan, Marguerite de - sceau secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  299. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 5 : Catalogue héraldique, chap. 14 (« 1260 (après), Tombe du cœur d'Aymar de Lusignan, évêque de Winchester »), p. 379
  300. ↑ a et b Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 11 : Tableau de filiation général de la famille de Lusignan
  301. ↑ a b et c chartularium monasterii Fontis-Ebraldi, in dioecesi Pictaviensi ; quod Rogerius de Gaignieres partim ex chartis, partim ex magno ejusdem abbatiae chartulario describi curavit (manuscrit latin, copie pour Roger de Gaignières), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5480 (1)), (lire en ligne), p. 119
  302. ↑ a b et c Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. X (« Filles / Isabelle de Lusignan / sceau [1303] »), p. 347-348
  303. ↑ chartularium monasterii Fontis-Ebraldi, in dioecesi Pictaviensi ; quod Rogerius de Gaignieres partim ex chartis, partim ex magno ejusdem abbatiae chartulario describi curavit (manuscrit latin, copie pour Roger de Gaignières), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5480 (1)), (lire en ligne), p. 201
    juillet 1280.
  304. ↑ chartularium monasterii Nobiliacensis, ordinis sancti Benedicti, in dioecesi Pictaviensi ; quod confecit idem Rogerius de Gaignieres ex chartis ad idem monasterium pertinentibus, quas potuit comperire et describere : praemittitur catalogus Abbatum monasterii Nobiliacensis (manuscrit latin, copie du XVIIe siècle, par Roger de Gaignières, d'après original), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5450), 1701-1800 (lire en ligne), p. 74
  305. ↑ Jean-Hippolyte Michon, Statistique monumentale de la Charente, Paris-Angoulême, (lire en ligne), pl. IV : n°15 bis, p. 76 bis
  306. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°2641 bis : Lusignan (Gui de), Seigneur de Cognac (1309) / Contre-sceau, p. 645
    remplacer "Seigneur de Cognac" par "Seigneur de Couhé"
  307. ↑ Sigillographie de l'Angoumois (éd. Philippe de Bosredon et Joseph Mallat), Périgueux, La Dordogne, (lire en ligne), n°146 bis : Lusignan (Guy de), seigneur de Peyrat. 1308-1309 / Contre-Sceau, p. 63
  308. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , pl. XVI : no 447 bis, p. 224
  309. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : Structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. IX (« Cadets sans postérité / Guy de Lusignan / sceau [1280-1309] »), p. 344-346
  310. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Guy de Lusignan - sceau du secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  311. ↑ a b et c Jean-Hippolyte Michon, Statistique monumentale de la Charente, Paris-Angoulême, (lire en ligne), no 13 & 13 bis, p. 77
  312. ↑ a et b Jean-Hippolyte Michon, Statistique monumentale de la Charente, Paris-Angoulême, (lire en ligne), no 13, pl. IV
  313. ↑ a et b Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 850 : Jeanne de la Marche, Sœur de Guyard, comte de la Marche (1309), p. 400
  314. ↑ a et b Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 453, p. 226 & pl. XVI
  315. ↑ a b et c Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. X (« Filles / Jeanne de Lusignan / sceau [1310] »), p. 348-350
  316. ↑ a et b SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Jeanne de La Marche - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers.
  317. ↑ Jean-Hippolyte Michon, Statistique monumentale de la Charente, Paris-Angoulême, (lire en ligne), no 13 bis, pl. IV
  318. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 850 bis : Jeanne de la Marche, Sœur de Guyard, comte de la Marche (1309) / contre-sceau, p. 400
  319. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Jeanne de La Marche - Contre-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers.
  320. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 454, pl. XVII, p. 226
  321. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. X (« Filles / Marie de Lusignan / sceau [1309-1312] »), p. 350-351
  322. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°440 : Marie, Femme du précédent (1312), p. 332
  323. ↑ René Gandilhon, Inventaire des sceaux du Berry antérieurs à 1515, précédé d’une Étude de sigillographie et de diplomatique, Bourges, (présentation en ligne), n°200
  324. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Marie de la Marche - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  325. ↑ Simon Rousselot, « Chypre, carrefour méditerranéen à l’aune de l’héraldique : Les armoiries du roi Hugues IV de Lusignan (1324-1359) », Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie, no 7,‎ , p. 4 (lire en ligne [PDF])
  326. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Anne de Lusignan - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  327. ↑ Sigilli de principi di Savoia (éd. Luigi Cibrario et Domenico Casimiro Promis), Turin, Stamperia Reale, (lire en ligne), no 110 : Anna di Cipro (1451), p. 187
  328. ↑ Sigilli de principi di Savoia (éd. Luigi Cibrario et Domenico Casimiro Promis), Turin, Stamperia Reale, (lire en ligne), no 110, pl. XX
  329. ↑ Sigilli de principi di Savoia (éd. Luigi Cibrario et Domenico Casimiro Promis), Turin, (lire en ligne), n°111 : Carlotta (1485), p. 188-189
  330. ↑ Sigilli de principi di Savoia (éd. Luigi Cibrario et Domenico Casimiro Promis), Turin, (lire en ligne), pl. XX, n°111
  331. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Charlotte de Lusignan - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  332. ↑ Simon Rousselot, « Chypre, carrefour méditerranéen à l’aune de l’héraldique : Les armoiries du roi Hugues IV de Lusignan (1324-1359) », dans Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie (no 7), (lire en ligne [PDF]), no 17 : Sceau de Léon VI d’Arménie - 1384, p. 11
  333. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Léon - roi d'Arménie - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  334. ↑ Jacques Duguet, « Surgères et ses seigneurs du Xe siècle au XIVe siècle : Les châtelains des comtes de Poitiers au XIe siècle », dans Surgères, (lire en ligne)
  335. ↑ chartularium monasterii Fontis-Ebraldi, in dioecesi Pictaviensi ; quod Rogerius de Gaignieres partim ex chartis, partim ex magno ejusdem abbatiae chartulario describi curavit (manuscrit latin, copie pour Roger de Gaignières), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5480 (1)), (lire en ligne), fol. 205
  336. ↑ Louis Vialart, Histoire généalogique de la maison de Surgères en Poitou, Paris, (lire en ligne), p. 20
  337. ↑ Louis Vialart, Histoire généalogique de la maison de Surgères en Poitou, Paris, (lire en ligne), V. Hugues de Surgères, p. 44
  338. ↑ a et b Dom Fonteneau, Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : VIème série : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin ; français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « manuscrit 538-1 / VIème série », (lire en ligne), n°XI  : 1211, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », p. 6
  339. ↑ a et b Dom Fonteneau, Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : VIème série : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin ; français 538-1), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « manuscrit 538-1 / VIème série », (lire en ligne), n°11 : 1211, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », p. 79-80
  340. ↑ a et b Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , n°211, pl. LV, p. 191
  341. ↑ a et b Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe-XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. XI (« Parents dont les armes présentent une parenté avec celles des Lusignan / Hugues de Surgères / sceau [1211] »), p. 352-353
  342. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 57 (« Le bouclage consanguin Lusignan-Thouars »), p. 216
  343. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°1093 Gui II, p. 440
  344. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Guy II de Thouars - sceau », sur http://www.sigilla.org/, Université de Poitiers
  345. ↑ Victor Martel, Le tournoi de Compiègne de 1238 : reconstitué à l'occasion des fêtes de Jeanne d'Arc les 28 mai et 5 juin 1911, Compiègne, (lire en ligne), n°271 Le Comte de Touare, « Cy sont les Poictevins », p. 29
  346. ↑ a et b Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 38 (« Les Lusignan, les Parthenay et les de La Rochefoucauld »), p. 197
  347. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 56 (« Le bouclage consanguin Lusignan-Parthenay »), p. 215
  348. ↑ chartularium monasterii Fontis-Ebraldi, in diœcesi Pictaviensi ; quod Rogerius de Gaignieres partim ex chartis, partim ex magno ejusdem abbatiæ chartulario describi curavit (manuscrit latin, copie pour Roger de Gaignières), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5480 (1)), (lire en ligne), p. 133
  349. ↑ a et b chartularium monasterii sancti Juliani Turonensis, ordinis sancti Benedicti ; quod confecit idem Rogerius de Gaignieres ex chartis ad illud monasterium pertinentibus, quascumque potuit comperire et describere : historiae regalis abbatiae sancti Juliani Turonensis compendium praemittitur (manuscrit latin), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5443), 1701-1800 (lire en ligne), p. 61
    Ce sceau est appendu à un acte émis en 1218 par lequel Hugues Ier et son fils Guillaume [V] octroient des terres tenues du Château-Bourdin, à l'abbaye Saint-Julien de Tours et à sa dépendance de Château-Bourdin. On constate alors qu'ils portent tous deux les mêmes armes, sans brisure pour Guillaume.
  350. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 533 a, p. 236 & pl. XVIII
  351. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hugues Ier de Parthenay-l'Archevêque - deuxième - sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  352. ↑ chartularium monasterii sancti Juliani Turonensis, ordinis sancti Benedicti ; quod confecit idem Rogerius de Gaignieres ex chartis ad illud monasterium pertinentibus, quascumque potuit comperire et describere : historiæ regalis abbatiæ sancti Juliani Turonensis compendium præmittitur (manuscrit latin), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5443), 1701-1800 (lire en ligne), p. 63
  353. ↑ chartularium monasterii sancti Jovini de Marnis, ordinis sancti Benedicti, in dioecesi Pictaviensi ; quod confecit idem Rogerius de Gaignieres ex chartis ad illud monasterium pertinentibus, quascumque potuit comperire et describere : praemittitur brevis historia ejusdem monasterii (manuscrit latin), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5449), 1701-1800 (lire en ligne), p. 37
  354. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. II, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 3165 bis : Parthenay (Guillaume L'Archevêque, seigneur de) (1225) / revers, p. 20
  355. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 534, p. 236 & pl. XVIII
    F. Eygun désigne Guillaume V sous le nom de Guillaume VI.
  356. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. XI (« Parents dont les armes présentent une parenté avec celles des Lusignan / Guillaume V l'Archevêque / sceau [1225] »), p. 353-354
  357. ↑ Robert A. Maxwell, « Sceaux, monnaie et discours urbain dans l’Aquitaine des Plantagenêt », dans Jean-Luc Chassel et Marc Gil Chassel (dir.), Pourquoi les sceaux ? La sigillographie, nouvel enjeu de l’histoire de l’art, Lille, Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion, coll. « Histoire et littérature du Septentrion » (no 46), (lire en ligne), fig. III. 4 - Dessin du sceau de Guillaume IV [V] Larchevêque (en 1226)
  358. ↑ Clément de Vasselot de Régné (IV. Brisures et hiérarchisation), « Les mécanismes identitaires d’un groupe familial : sigillographie et héraldique des Lusignan en Occident (XIIe – XIVe siècles) », Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie, no 5,‎ , p. 27-28 (lire en ligne)
  359. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Guillaume V de Parthenay-l'Archevêque - revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  360. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. II, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 3171  : Parthenay (Hugues L'Archevêque, seigneur de) (1248), p. 21
  361. ↑ Copies et extraits de pièces relatives au Poitou, par Gaignières (manuscrit latin), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 17147), 1601-1700 (lire en ligne), p. 364-365
  362. ↑ Dom Fonteneau, Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : VIème série : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit français), Poitiers, BM, coll. « Dom Fonteneau / VIème série » (no 538-1), (lire en ligne), no 2, p. 4
  363. ↑ Dom Fonteneau, Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : VIème série : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit français), Poitiers, BM, coll. « Dom Fonteneau / VIème série » (no 538-1), (lire en ligne), no 79, p. 4
  364. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , no 537 a, p. 237 & pl. XIX
  365. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. II, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 3172  : Parthenay (Hugues L'Archevêque, seigneur de) (1269), p. 21
  366. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. II, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 3173  : Parthenay (Hugues L'Archevêque, seigneur de) (1270) / revers, p. 21
  367. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. XI (« Parents dont les armes présentent une parenté avec celles des Lusignan / Hugues II l'Archevêque »), p. 354-355
  368. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. II, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 3166 : Parthenay (Guillaume L'Archevêque, seigneur de) / contre-sceau, p. 20
  369. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. II, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 3168 : Parthenay (Guillaume L'Archevêque, seigneur de) (1274) / contre-sceau, p. 20
  370. ↑ Claes Heynenzoon, Armorial de Beyeren (parchemin, copie vers 1400, d'après original perdu), La Haye, Bibliothèque royale, 1400-1405 (présentation en ligne, lire en ligne), fo 25 vo
  371. ↑ Victor Martel, Le tournoi de Compiègne de 1238 : reconstitué à l'occasion des fêtes de Jeanne d'Arc les 28 mai et 5 juin 1911, Compiègne, (lire en ligne), no 278  : Guillaume Archevesque, « Cy sont les Poictevins », p. 29
  372. ↑ Armorial Le Breton (Original parchemin), Paris, Archives nationales, coll. « Les collections du Musée des Archives nationales » (no AE/I/25/6), xiiie siècle (présentation en ligne, lire en ligne), p. 37 :

    « Le sire de Partenay »
  373. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 5 : Catalogue héraldique, chap. 29 (« v. 1292, Armorial Le Breton »), p. 403 :

    « 662. Le sire de Partenay »
  374. ↑ George W. Watson, « The families of Lacy, Geneva, Joinville and La Marche », The Genealogist, New Series, vol. 21,‎ , p. 242 (lire en ligne [PDF])
  375. ↑ Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), no 2986 : Mortemer (Geoffroi de), Écuyer - Poitou - (1324), p. 691
  376. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Geoffroy de Mortemer - sceau du secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  377. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 4 : Annexes 7 à 10 - Bibliographie (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 10 : Tableaux de filiation et schémas, chap. 4 (« La famille de Rochefort »), p. 163
  378. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), no 81 : 1230, p. 25
  379. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), no 81 : 1230, p. 92
  380. ↑ Recueil de documents historiques, pour la plupart relatifs au Poitou et aux provinces voisines, réunis et copiés par Jean Besly (XIIe – XVIIe siècle), t. I (manuscrit latin, copie du XVIIe siècle), Paris, BnF, coll. « Dupuy » (no 804), 1601-1700 (lire en ligne), fo 105
  381. ↑ Victor Martel, Le tournoi de Compiègne de 1238 : reconstitué à l'occasion des fêtes de Jeanne d'Arc les 28 mai et 5 juin 1911, Compiègne, (lire en ligne), no 275 : Le Sr de Rochefort, « Cy sont les Poictevins », p. 29
  382. ↑ Armorial Le Breton (Original parchemin), Paris, Archives nationales, coll. « Les collections du Musée des Archives nationales » (no AE/I/25/6), xiiie siècle (présentation en ligne, lire en ligne), fo 45 :

    « Li sires de Rochefort »
  383. ↑ Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 5 : Catalogue héraldique, chap. 29 (« v. 1292, Armorial Le Breton »), p. 403-404 :

    « 687. Li sires de Rochefort. »
  384. ↑ Clément de Vasselot de Régné (IV. Brisures et hiérarchisation - fig. 34. Armoiries du seigneur de Rochefort), « Les mécanismes identitaires d’un groupe familial : sigillographie et héraldique des Lusignan en Occident (XIIe – XIVe siècles) », Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie, no 5,‎ , p. 29-30 (lire en ligne [PDF])
  385. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Ebles de Rochefort, chevalier-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  386. ↑ Sigillographie de l'Angoumois (éd. Philippe de Bosredon et Joseph Mallat), Périgueux, La Dordogne, (lire en ligne), n°108 : La Rochefoucauld (Guy de), seigneur du lieu, 1282, p. 46-47
  387. ↑ Clément de Vasselot de Régné (IV. Brisures et hiérarchisation), « Les mécanismes identitaires d’un groupe familial : sigillographie et héraldique des Lusignan en Occident (XIIe-XIVe siècles) », Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie, no 5,‎ , p. 28-29 (lire en ligne [PDF])
  388. ↑ Matteo Ferrari, « Nanteuil-en-Vallée, abbaye Notre-Dame, "Hôtellerie" », Armoirie La Rochefoucauld (armoirie 23), sur armma.saprat.fr
  389. ↑ Clément de Vasselot de Régné, « Les mécanismes identitaires d’un groupe familial : sigillographie et héraldique des Lusignan en Occident (XIIe-XIVe siècles) », Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Paris, Société française d’héraldique et de sigillographie, no 5,‎ , fig. 33. Armoiries des La Rochefoucauld, p. 28-29 (lire en ligne [PDF])
  390. ↑ Étienne Baluze, Histoire généalogique de la maison d'Auvergne : Justifiée par Chartes, Titres, Histoires anciennes, & autres preuves authentiques, Paris, Antoine Dezallier, (lire en ligne), p. 520
  391. ↑ Sigillographie de l'Angoumois (éd. Philippe de Bosredon et Joseph Mallat), Périgueux, La Dordogne, (lire en ligne), n°109 : La Rochefoucauld (Dauphine de la Tour, épouse d'Aimery II de), p. 193
  392. ↑ Étienne Baluze, Histoire généalogique de la maison d'Auvergne : Justifiée par Chartes, Titres, Histoires anciennes, & autres preuves authentiques, Paris, Antoine Dezallier, (lire en ligne), p. 522
  393. ↑ Sigillographie de l'Angoumois (éd. Philippe de Bosredon et Joseph Mallat), Périgueux, La Dordogne, (lire en ligne), n°109 : La Rochefoucauld (Dauphine de la Tour, épouse d'Aimery II de) 1297, p. 47
  394. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Chatellenie de Lusignan », sur http://www.sigilla.org/, Université de Poitiers
  395. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°42 : 1286, p. 14
  396. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°42 : 1286, p. 86
  397. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°57 : 1286, p. 18
  398. ↑ Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°57 : 1286, p. 88
  399. ↑ Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , n°826
  400. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Sénéchaussée de Civray - contre-sceau », sur http://www.sigilla.org/, Université de Poitiers
  401. ↑ a et b Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°41 : 1301, p. 14
  402. ↑ a et b Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », dans Collection de sceaux, vol. 1, t. LXXXII : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau (manuscrit latin, manuscrit français), Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, coll. « Dom Fonteneau / VIe série » (no 538-1), (lire en ligne), n°41 : 1301, p. 86
  403. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Angoulême - sceau aux contrats », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  404. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Angoulême - contre-sceau », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  405. ↑ SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Prévôté d'Angoulême - sceau - 1309 », sur sigilla.org, Université de Poitiers
  406. ↑ « Châtellenie de Couhé »

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]

Sources manuscrites[modifier | modifier le code]

  • Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux. Inventaire des sceaux dessinés », Collection de sceaux, t. LXXXII, vol. 1, VIe série : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau, Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, manuscrit 538-1, 1740. [lire en ligne]
  • Dom Fonteneau, « Recueil de sceaux, dessinés d'après les chartes et titres originaux, pour servir à l'histoire et au nobiliaire du Poitou », Collection de sceaux, t. LXXXII, vol. 1, VIe série : Généalogies. A-B / Dom Fonteneau, Poitiers, Médiathèque François Mitterrand, manuscrit 538-1, 1740. [lire en ligne]
  • Recueil de documents historiques, pour la plupart relatifs au Poitou et aux provinces voisines, réunis et copiés par Jean Besly (XIIe – XVIIe siècle), t. I. Paris, BnF, coll. Dupuy 804, 1601-1700. [lire en ligne]
  • Recueil de documents historiques, pour la plupart relatifs au Poitou et aux provinces voisines, réunis et copiés par Jean Besly (XIIe – XVIIe siècle), t. II. Paris, BnF, coll. Dupuy 805, 1601-1700. [lire en ligne]

Sources héraldiques[modifier | modifier le code]

  • Wapenboek ou Armorial de 1334 à 1372 : contenant les noms et armes des princes chrétiens ecclésiastiques et séculiers, suivis de leurs feudataires selon la constitution de l'Europe et particulièrement de l'empire d'Allemagne, conformément à l'édit de 1356 appelé la Bulle d'or / par Gelre, héraut d'armes, publ. Victor-Nicolas Bouton, t. I : Armorial, Paris-Bruxelles, Victor-Nicolas Bouton, 1897. [lire en ligne]
  • Wapenboek ou Armorial de 1334 à 1372 : contenant les noms et armes des princes chrétiens ecclésiastiques et séculiers, suivis de leurs feudataires selon la constitution de l'Europe et particulièrement de l'empire d'Allemagne, conformément à l'édit de 1356 appelé la Bulle d'or / par Gelre, héraut d'armes, publ. Victor-Nicolas Bouton, t. II : Armorial, Paris, Victor-Nicolas Bouton, 1885. [lire en ligne]
  • Wapenboek ou Armorial de 1334 à 1372 : contenant les noms et armes des princes chrétiens ecclésiastiques et séculiers, suivis de leurs feudataires selon la constitution de l'Europe et particulièrement de l'empire d'Allemagne, conformément à l'édit de 1356 appelé la Bulle d'or / par Gelre, héraut d'armes, publ. Victor-Nicolas Bouton, t. III : Armorial, Paris, Victor-Nicolas Bouton, 1883. [lire en ligne]

Sources sigillographiques[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Étienne Baluze, Histoire généalogique de la maison d'Auvergne : Justifiée par Chartes, Titres, Histoires anciennes, & autres preuves authentiques, t. 2, Paris, Antoine Dezallier, 1708. [lire en ligne]
  • Emmanuel de Boos, Les Armoiries : Lecture et identification, Paris, L’Inventaire, 1994. [lire en ligne]
  • Laurent Hablot, « Le lignage brisé : les armoiries comme signe des conflits familiaux au Moyen Age », Martin Aurell (dir.), La parenté déchiré : les luttes intrafamiliales au Moyen Age, Actes du colloque de Poitiers, 13-14 mars 2009 , Turnhout, Brepols, 2010, p. 401-410. [lire en ligne]
  • Anaïs Lancelot, Les vicomtes de Châtellerault : une puissance discrète (XIIe – XIIIe siècles), Mémoire de Master 2 sous la direction de Martin Aurell, Université de Poitiers, 2 vol., 231 p., 2018. [lire en ligne]
  • Jean-Hippolyte Michon, Statistique monumentale de la Charente, 1844. [lire en ligne]
  • Marie-Adélaïde Nielen, « Du comté de Champagne aux royaumes d’Orient : sceaux et armoiries des comtes de Brienne », dans Damien Coulon, Catherine Otten-Froux, Paule Pagès et Dominique Valérian, Chemins d'outre-mer : Études d'histoire sur la Méditerranée médiévale offertes à Michel Balard, Paris, Publications de la Sorbonne, 2004, p. 589-606. [lire en ligne]
  • Urbain Plancher, Histoire générale et particulière de Bourgogne, t. 2, Dijon, 1741. [lire en ligne]
  • Michel Popoff, Bibliographie héraldique internationale sélective, Paris, Le Léopard d’Or, 2008. [lire en ligne]
  • Simon Rousselot, « Chypre, carrefour méditerranéen à l’aune de l’héraldique. Les armoiries du roi Hugues IV de Lusignan (1324-1359) », Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Société française d’héraldique et de sigillographie, Paris, mai 2021. [lire en ligne]
  • Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell, Université de Nantes, 4 vol., 2 797 p., décembre 2018. [lire en ligne]
  • Clément de Vasselot de Régné, « Les mécanismes identitaires d’un groupe familial : sigillographie et héraldique des Lusignan en Occident (XIIe – XIVe siècles) », Revue française d’héraldique et de sigillographie - Études en ligne, Société française d’héraldique et de sigillographie, Paris, 2021. [lire en ligne]
  • George W. Watson, « The families of Lacy, Geneva, Joinville and La Marche », The Genealogist, New Series, vol. 21, 1905, p. 73-82 ; 163-172 et 234-243. [lire en ligne]

Glossaires[modifier | modifier le code]

  • Au Blason des Armoiries, « Dictionnaire Héraldique : tous les termes du blason », sur blason-armoiries.org. [lire en ligne]
  • Emmanuel de Boos, « Glossaire illustré », Les Armoiries : Lecture et identification, Paris, L’Inventaire, 1994, p. 43-79. [lire en ligne]
  • Hélène Loyau, « Glossaire », Des armoiries et des livres. Les manuscrits de Pierre Lorfèvre, Donatella Nebbiai, Hélène Loyau, P. Barasc, Christine Gadrat, ed., Paris-Orléans, IRHT, 2010. [lire en ligne]
  • Dominique Notteghem, « De la couleur héraldique », sur notteghem.fr, mai 2020. [lire en ligne]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Seigneurs de Lusignan

Seigneurs de Lusignan, comtes de la Marche

Membres de la famille de Vouvant

Branche cadette de Chypre

Membres de la famille d'Exoudun

Frères et sœur d'Hugues XI le Brun

Membres de la famille de Jarnac

Membres de la famille de Valence

Sœurs d'Hugues XIII le Brun

Maison de Poitiers-Lusignan

Parents

Provinces / titres

Listes

Divers

Héraldique

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