Neuvicq

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Neuvicq
Neuvicq
Le bourg et son église
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Jonzac
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Saintonge
Maire
Mandat
Michel Masero
2020-2026
Code postal 17270
Code commune 17260
Démographie
Gentilé Neuvicquois
Population
municipale
439 hab. (2021 en augmentation de 4,03 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 42″ nord, 0° 11′ 03″ ouest
Altitude Min. 43 m
Max. 150 m
Superficie 22,72 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Trois Monts
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Neuvicq

Neuvicq est une commune du sud-ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Neuvicquois et les Neuvicquoises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Neuvicq est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,8 %), forêts (33,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,1 %), terres arables (5,7 %), prairies (2,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %)[7]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Neuvicq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[8]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[9].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lary, le Palais et le Mouzon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2010[10],[8].

Neuvicq est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de la Double saintongeaise, un massif classé à risque dans le plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI), élaboré pour la période 2017-2026 et qui fait suite à un plan 2007-2016[11]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’article L.131-1 du code forestier et l’arrêté du règlementent l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions[12]. Un autre arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[11],[13],[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Neuvicq.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[15]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 91,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 238 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 228 sont en aléa moyen ou fort, soit 96 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002, 2003, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[8].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom proviendrait d'un nom gallo-romain novus vicus, le bourg neuf. Le 02 mars 1962, Neuvicq prend le nom de Neuvicq-Montguyon.

Histoire[modifier | modifier le code]

Entre le Xe et XVIIIe siècles, Neuvicq était le siège d'une viguerie, qui rendait la justice localement. Au nombre de six sous les Carolingiens (Neuvicq compris), le comté d'Angoulême comptera une vingtaine de vigueries après son extension au XIe siècle[19].

Antiquité tardive et Haut Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Depuis 1860, des découvertes archéologiques ont été faites autour de l'église de Neuvicq, car implantée sur une ancienne nécropole Mérovingienne.

Pierre mérovingienne réemployée en 1888 pour la construction du transept de l'église de Neuvicq.
Pierre mérovingienne réemployée en 1888 pour la construction du transept de l'église de Neuvicq.
Pierre mérovingienne réemployée en 1888 pour la construction du transept de l'église de Neuvicq.

Plus de 100 sarcophages trapézoïdaux en calcaire, dont 40 inscriptions relatives aux noms des défunts (3/4 gallo-romain, 1/4 germanique). 2 monnaies du IVe siècle en bronze, une fibule, une boucle du VIIe siècle. La collection est archivée au Musée archéologique de Saintes[20]. Parmi les sarcophages exhumés en 1964 avec les noms des défunts inscrits sur le couvercle. Une étude onomastique permet de retrouver des origines ethniques variées parmi les défunts : celtes, latines, mais aussi germaniques et peut-être de tous l'Empire. Parmi ces noms, on trouve celui de Senoca, qui rapproché du nom de saint Sénoch, fait penser à un membre du peuple des Taïfales[21].

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

En 1066, l'évêque Boson de Saintes, donne l'église de Neuvicq à l'abbaye de Baignes.

Entre 1075 et 1109 des dons de terres provenant de Neuvicq sont enregistrés dans le Cartulaire de l'Abbaye de Baignes[22].

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

La terre de Neuvicq appartenait à la seigneurie de Montlieu. On y dénombrait 7 repaires nobles : le petit castel du bourg, le logis du Fief, le logis du Châtaignier, le logis des Quatre-Puits, le logis de Montville, le logis de Douzac et l'ancien fief de Bisac[22].

Le presbytère se situait dans le bourg de Neuvicq. La paroisse de Neuvicq desservait occasionnellement Martron et Révignac.

Les registres paroissiaux de la collection communale commencent en 1623. On y retrouve les traces de la famille Guérin originaire de La Ravaillerie de Montlieu ; dont Charles Guérin dit "Monsieur de Neuvicq", théologien, prieur de Chalais.

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2008 Micheline Collet    
2008 En cours Michel Masero DVG Ouvrier

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 439 habitants[Note 3], en augmentation de 4,03 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
745651678726739718748718716
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
703747695656677706685652618
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
555586537533519530518518518
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
520457406340331306401414409
2017 2021 - - - - - - -
452439-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

La salle des fêtes

Depuis 1970, l'école primaire publique de Neuvicq, située derrière la mairie, est un Regroupement Pédagogique Intercommunal (RPI) qui partage le rassemblement des élèves avec l'école publique de Boresse-et-Martron. Le secteur du collège est Montguyon.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Laurent est d'origine romane, reflétée par sa façade et son portail. Elle possède un mobilier classé monument historique au titre objet : une chappe et un encensoir[27].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le Logis du Châtaignier[modifier | modifier le code]

Le Logis du Châtaignier.

Implanté au Sud de la commune, limitrophe avec Montguyon, certaines parties de ce logis datent du XVIème siècle. Il est actuellement constitué d'un corps de logis rectangulaire avec étage, flanqué de 3 tours, entouré de bâtiments agricoles et d'habitations domestiques qui forment 3 cours. Des Châtaigniers anciens bordent l'allée dont un calvaire.

Allée de vieux châtaigniers menant au Logis du Châtaignier.
Christ sur Croix au bout de l'allée qui mène au Logis du Châtaignier.

Le domaine était une ancienne dépendance du fief de Douzac. En 1713, François du Breuil de Fonréaux le vendit à Elie Brard marchand[28]. Sa descendance féminine rejoignit la noblesse de robe en se mariant successivement avec des notaires, jusqu'à Elie Benjamin Rougier (1777-1844), Maire de Neuvicq de 1830 à 1840[22].

Le Logis du Fief[modifier | modifier le code]

Vue Nord du Logis du Fief à Neuvicq.

Implanté à l'Ouest de la commune, limitrophe avec Orignolles, certaines parties de ce logis datent du XVIe siècle. Il est actuellement constitué d'un corps de logis rectangulaire avec étage, flanqué d'un pavillon carré, d'une tourelle en encorbellement, bordé de bâtiments agricoles et d'habitations domestiques qui forment un L. Sur le cadastre de 1841, tout l'ensemble se refermait autour d'une cour. Longé par la rivière du Lary, le moulin à aube nommé le Grand-Moulin en faisait partie autrefois. Quelques Peupliers bordent l'allée du domaine.

Métairie du Logis du Fief à Neuvicq.

Le logis fut bâti par la famille La Rebuterie qui l'avait acquise en 1530, à la suite d'un échange avec Charles Chabot, seigneur de Montlieu. En 1595, il fut vendu à la famille Marchais qui le revendit à la famille Moncassin en 1755[28]. Isaac Moncassin fut Adjoint au Maire de Neuvicq de 1816 à 1825[22].

Le Logis des Quatre Puits[modifier | modifier le code]

Logis des Quatre Puits

Implanté à l'Est de la commune, limitrophe avec Le Fouilloux, certaines parties de ce logis datent du XVIIe siècle. Il est actuellement constitué d'un corps de logis rectangulaire avec étage, bordé de bâtiments agricoles. Ont survécu quelques Séquoias géants anciens qui formaient une allée avant le passage de la tempête Martin en 1999.

En 1678, François Amoin, écuyer seigneur des Quatre Puits épouse Marie-Anne De Malbec, demoiselle de Douzac. Par la suite, le logis fut propriété d'Alexandre Joseph Rougier (1816-1895), natif du Châtaignier, Juge de Paix de Pessac[22].

Le petit castel du bourg[modifier | modifier le code]

Vue générale du bourg de Neuvicq, avec le petit-castel au premier plan.

Implanté légèrement en contrebas de l'église, ce petit castel forme aujourd'hui une grande maison avec étage. Quelques bâtiments agricoles et habitations domestiques bordent le domaine qui forme un L.

Emplacement de la tour Ragot du petit-Castel de Neuvicq, vue depuis l'église.

Sur le cadastre de 1841, l'ensemble des bâtiments formaient un U, et une tour resserrait la route qui longeait le cimetière. Cette tour était dite de Ragot en référence à ses propriétaires. Décrite comme étant en mauvais état en 1864[29], elle n'existe plus aujourd'hui. Cependant, son emplacement est encore visible car l'angle du bâtiment actuel est biseauté.

La famille Ragot aurait sauvé de la destruction l'église de Neuvicq, à l'époque des guerres de Religion[29]. À l'époque contemporaine, elle était alliée avec les Peychaud du bourg de Boresse, et les Roy du bourg de Neuvicq, dont Charles Jacques Roy, arpenteur et Maire de Neuvicq de 1840 à 1849.

Le Logis de Montville/Monville[modifier | modifier le code]

Implanté au Nord de la commune, limitrophe avec Boresse-et-Martron, ce logis n'a presque plus rien de son état d'origine.

Ancien pavillon carré du logis de Montville, remanié au XIXème siècle.

Sur le cadastre de 1841, Monville forme un long corps de logis rectangulaire, flanqué d'un pavillon carré (dont les bases sont encore visibles aujourd'hui[28]), quelques bâtiments agricoles détachés dans la cour. La petite mare qui borde le chemin conduisant vers Maison-Neuve était déjà représentée en 1841.

La simplicité de ce logis est représentative d'un domaine agricole qui fut anobli.

Dès 1644, le chevalier André De Cérétany (1610-1680) apparait dans les registres paroissiaux de Neuvicq. Qualifié seigneur de Lisledo et de Martron, il était natif du Logis du Breuil d'Arces-sur-Gironde. Il fut inhumé le 30 janvier 1680 dans l'église de Martron[22] en présence des seigneurs de Chaux et de Cressac.

En 1681, l'unique héritière Anne De Cérétany (1667-1701) épouse François Le Roy du Maine-Léonard de Dignac. De cette union naissent 12 enfants, baptisés à Neuvicq, et dont les aînés eurent pour parrain/marraine des membres de la cour du Château de Chaux à Chevanceaux, du Château des Plassons à Bors de Montmoreau, l'abbé François De Cerretani prieur à Saint-Pierre de Royan

La branche des Le Roy Demonville apparait avec Gaston Le Roy Demonville (1685-1740), seigneur de Boresse-et-Martron. À partir de sa petite-fille Jeanne Le Roy Demonville (1746-1792), le logis de Montville se fragmente parmi plusieurs descendants (Geneuil, Chaillot, Rateau de Châteauvert) jusque vers 1862[22].

Le Moulin du Moulinard[modifier | modifier le code]

Moulin du Moulinard, maison d'habitation à gauche, salle des meules à droite.
Vue arrière du moulin du Moulinard avec son canal.

Absent sur la Carte de Cassini en 1783, le moulin du Moulinard semble avoir été bâtit au début du XIXème siècle car présent sur le Cadastre de 1841. Son nom vient du hameau disparu "Le Petit Moulinard" qui était situé juste au-dessus en allant chez Pecquet. En venant de Bisac, il faut traverser à gué la rivière du Mouzon qui alimente le canal (doté d'un pont).

Meule à noix au moulin du Moulinard.

Depuis les années 1980, le moulin a été entièrement rénové par Gilbert Tourneur (1930-2007). Ce moulin est équipé d'une roue à aube horizontale. De l'huile de noix y est extraite occasionnellement.

D'autres moulins étaient implantés sur la commune de Neuvicq (Jallet, Petite-Barde sur le Mouzon[22], Jarry sur le Merceron). Tous ont disparu ou perdu leur fonction.

Le Moulin à vent de Berteau[modifier | modifier le code]

Ce moulin à vent ancien, est représenté sur la Carte de Cassini en 1783. Implanté sur une colline qui domine le Lary, le Cadastre de 1841 en dénombre 4 et nomme le lieu "Les Quatre Moulins".

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  8. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Neuvicq », sur Géorisques (consulté le ).
  9. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  10. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  11. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Réglementation des feux en extérieur. », sur charente-maritime.gouv.fr, (consulté le ).
  13. « Les Obligations Légales de Débroussaillement (OLD). », sur charente-maritime.gouv.fr, (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  16. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Neuvicq », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 88
  20. Louis Maurin, Carte archéologique de la Gaule 17/1 La Charente-Maritime, Paris, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, , 364 p. (ISBN 2-87754-061-8), p. 207, 208, 209, 210
  21. Louis Maurin, « Le cimetière mérovingien de Neuvicq-Montguyon (Charente-Maritime) », Gallia, tome 29, fascicule 1, 1971. p. 176.
  22. a b c d e f g et h Louis David, Le canton de Montguyon et ses environs, Paris, Res Universis, , 400 p. (ISBN 2-87760-586-8), p. 303 à 322
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Neuvicq », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  28. a b et c Association Promotion Patrimoine, Châteaux Manoirs et Logis - La Charente-Maritime, Niort, Patrimoines & Médias, , 542 p. (ISBN 2-910137-04-X), p. 351
  29. a et b Pierre-Damien Rainguet, « Études historiques, littéraires et scientifiques sur l'arrondissement de Jonzac (Charente-Inférieure) » Accès libre, sur Gallica-BnF, .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]