Aller au contenu

Bouddhisme en Occident

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 16 janvier 2022 à 00:29 et modifiée en dernier par 184.162.169.25 (discuter). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Le bouddhisme en Occident est la résultante de flux d'écrits, d'idées, et de personnes qui ont permis à la doctrine du Bouddha Shakyamuni et aux différents courants religieux qui s'en réclament de se diffuser en dehors de leur cadre d'origine qu'est l'Asie.

Bouddhisme est un terme employé initialement par les Occidentaux pour désigner les enseignements du Bouddha et les croyances qui en sont issues. C'est durant le XIXe siècle que le bouddhisme devient connu en Occident, d'abord dans les milieux universitaires, avant d'être progressivement popularisé par des auteurs qui sont souvent des semi-scientifiques, et de s'implanter de façon significative durant la deuxième moitié du XXe siècle, notamment dans plusieurs pays d'Europe, aux États-Unis, et en Australie.

Histoire de la diffusion du bouddhisme en Occident

Bouddha du Gandhara, Ier – IIe siècle, Musée national de Tokyo

Des indianistes s'accordent pour dire que le bouddhisme semble avoir été pratiquement ignoré dans la Grèce antique[1]. Sylvain Lévi écrit : « Malgré les relations ininterrompues du monde hellénique avec l'Inde, puis l'expédition d'Alexandre jusqu'aux derniers temps de l'Empire romain, la littérature grecque a presque ignoré l'existence du bouddhisme, ou du moins l'a fort mal connu ». On peut trouver de rares mentions du Bouddha chez des penseurs chrétiens de l'Antiquité tardive[2]. L'art gréco-bouddhique du Gandhara au début de notre ère provient de la rencontre des formes artistiques d'Asie et d'Europe, et a donné naissance aux premières représentations humaines du Bouddha[3].

L'histoire de saint Josaphat semble être une adaptation chrétienne de la vie du Bouddha, diffusée en latin au XIIIe siècle à travers La Légende dorée de Jacques de Voragine[1].

Le Livre des merveilles de Marco Polo paru en 1298 fait découvrir pour la première fois aux Européens la vie du Bouddha telle qu'elle lui a été racontée par des moines de Ceylan, ainsi que des descriptions de rituels bouddhiques. Cette biographie du Bouddha est restée la plus complète jusqu'au XVIIe siècle[1].

À partir de la Renaissance, des missionnaires s'intéressèrent aux diverses formes asiatiques du bouddhisme, généralement pour les critiquer[2]. Des expéditions au Tibet sont menées au XVIIe siècle, notamment par des jésuites. De par les descriptions qui sont rapportées, le « lamaïsme » du Tibet est rapproché du catholicisme, au point de recevoir fréquemment le nom d'« Église jaune » ou de « catholicisme d'Orient »[1]. Le pape fait parvenir en 1738 une lettre au dalaï-lama dans laquelle il écrit[1] : « Nous avons l'espérance motivée que, par la miséricorde du Dieu infini, vous en arriverez à voir clairement que seule la pratique de la doctrine de l'Évangile, dont votre religion se rapproche beaucoup, peut conduire au bonheur d'une vie éternelle. »

XIXe siècle

L’historien Michel-Jean-François Ozeray[4], évoque le « bouddhisme » pour la première fois en 1817. Ce terme est une invention européenne : les asiatiques parlent du dharma en sanskrit (dhamma en pali) pour qualifier les enseignements et la doctrine du Bouddha. Durant plusieurs décennies, des traités et textes bouddhistes seront traduits, non sans polémiques quant à leur interprétation[2].

Le bouddhisme deviendra l'objet d'un intérêt particulier par le courant romantique dans la première moitié du XIXe siècle, venant en quelque sorte appuyer leur combat contre les idées des Lumières et le matérialisme[2].

C'est avec la publication, en 1844, de l’ouvrage d’Eugène Burnouf, Introduction à l’histoire du buddhisme indien, que les Européens accèdent à une connaissance plus précise du sujet. Ces travaux, ainsi que ceux d’autres pionniers des études bouddhistes, vont susciter en Europe un engouement[2].

En 1850 le père Huc publie son livre Souvenirs d'un voyage dans la Tartarie, le Thibet et la Chine (1845-1846), qui a eu une portée significative en Europe à travers douze traductions. Le récit, bien que qualifiant le lamaïsme de « religion du diable » qui ressemble au catholicisme tout en le dévoyant, témoigne d'une admiration pour les rassemblements quotidiens avec prières et chants produisant « une harmonie immense, solennelle, et qui agit fortement sur l'âme » ainsi que pour l'esprit profondément pacifique des autorités tibétaines[1]. Le Dublin University Magazine (en) publie en 1873 un article expliquant que le bouddhisme est « la plus tolérante des religions », ce qui semble représentatif de l'opinion alors répandue en Occident. Certains intellectuels sont enthousiasmés par l'humanisme bouddhiste, l'universalité de son message, et y voient également une certaine rationalité, tandis que d'autres critiquent durement ses dogmes et son système religieux ; il y a en tout état de cause une comparaison récurrente entre bouddhisme et christianisme[5].

Diverses étiquettes viennent qualifier le bouddhisme, de façon erronée. Celle de pessimisme provient du fait qu'on associe parfois le bouddhisme avec la pensée du philosophe allemand Schopenhauer, ce dernier relevant à la fin de sa vie une « admirable concordance » entre ses écrits et les enseignements du bouddhisme, qu'il découvrira progressivement après la rédaction de son œuvre Le Monde comme volonté et comme représentation parue en 1819 (il y fera des ajouts dans des éditions ultérieures pour exposer ce fait)[5]. Le bouddhisme est aussi qualifié improprement d'athéisme du fait qu'il s'agit d'une religion sans Dieu ; ainsi que de « doctrine du néant » ou d'anéantissement en référence au concept de nirvana mal compris, y compris par Hegel, qui instaure cette vision galvaudée pendant plusieurs dizaines d'années[5]. Nietzsche, d'abord séduit par le bouddhisme en le comparant au christianisme, le qualifiera par la suite de « nihilisme »[5].

Selon Frédéric Lenoir, à partir de 1875, « les théosophes fondèrent le mythe moderne d'un Tibet magique et de lamas aux pouvoirs occultes exceptionnels, dépositaires de la sagesse primordiale de l'humanité, mythe auquel alla s'abreuver toute une littérature populaire de fiction ésotérique »[2].

Les premières conversions connues d'occidentaux au bouddhisme débutent dans les années 1880. Elles ne concernent qu'une poignée d'individus. En , Helena Blavatsky et Henry Steel Olcott se convertissent lors d'une cérémonie de prise de refuge à Ceylan[5]. Ce dernier fondera à Ceylan la Buddhist Theosophical Society qui permet la création de 200 écoles durant sa vie[6]. Le catéchisme bouddhique (1881) qu'il a rédigé afin d'instruire les Cinghalais dans leur propre religion connaîtra une postérité notable[7] et sera traduit dans plus de 20 langues ; il est toujours utilisé dans les écoles au Sri Lanka[6]. D'autres occidentaux se rendent en Asie : Gordon Douglas (en) devient bhikku en 1899, suivi par l'Anglais Allan Bennett ordonné Ananda Metteyya (en) en 1902, et l'Allemand Anton W. F. Gueth, ordonné Nyanatiloka[8].

En 1879, Edwin Arnold publie La Lumière de l'Asie, ouvrage sur la vie et les enseignements du Bouddha qui rencontre un succès durable : « trois décennies après sa publication, il avait connu une cinquantaine d'éditions en Grande-Bretagne, et quatre-vingts aux États-Unis, où sa diffusion a dépassé le million d'exemplaires »[9].

La première édition du Parlement mondial des religions s'est tenue à Chicago en 1893 et a permis de faire mieux connaître diverses traditions religieuses, dont des écoles bouddhistes telles que le Theravada, le Zen, le Nichiren, la Terre pure : « L'accueil favorable qui a été réservé à leurs représentants et le succès qu'a immédiatement rencontré leur message ont ouvert la voie à une prédication massive sur le continent américain : le Cinghalais Anagarika Dharmapala, le Japonais Shaku Soyen et bien d'autres entreprennent alors de multiples voyages qui vont les mener, à la charnière du XXe siècle, à travers l'Europe et l'Amérique »[8].

XXe siècle

Des migrations asiatiques vers l'Occident ont été un facteur prépondérant de propagation du bouddhisme[8].

Selon le sociologue Lionel Obadia : « Le bouddhisme ne prend véritablement corps en Occident qu'avec la fondation de communautés de pratiquants qui sont toutes créées par des sympathisants et des convertis occidentaux. La toute première communauté bouddhiste occidentale naît en Allemagne : la Mission bouddhiste de Leipzig (1903) initiée par l'orientaliste Karl Seindentrücker »[8]. Néanmoins, l'implantation d'un monachisme bouddhiste selon la rigoureuse tradition du theravada est plutôt un échec, car il est trop exigeant pour les Européens[8].

En 1922, l'écrivain allemand Herman Hesse publie son roman Siddharta, qui connaîtra à partir des années 1960 un succès mondial.

En 1924, l'avocat Christmas Humphreys (en) crée la première organisation qui aura un véritable impact dans la diffusion des différentes traditions du bouddhisme en Grande-Bretagne : The London Buddhist Society (qui succédera à The Buddhist Society of Great Britain and Ireland créée en 1907)[10].

Alors que le Tibet est une « cité interdite », Alexandra David-Neel parvient à y pénétrer, se faisant passer pour une mendiante. Elle raconte son périple dans Voyage d'une Parisienne à Lhassa publié en 1927, qui connaît un grand succès en Europe. Selon Lenoir, « plus que toute autre, elle joue en Occident, au XXe siècle, ce rôle de communicateur et de catalyseur de la religion tibétaine[9] ». Elle publiera dans sa vie une quarantaine d'ouvrages, en grande partie sur le bouddhisme tibétain et le Tibet.

A partir des années 1930, le japonais Daisetz Teitaro Suzuki joue un rôle notable dans la propagation des idées du bouddhisme zen chez les intellectuels européens et américains. Ses Essais sur le bouddhisme zen, publiés en trois volumes entre 1930 et 1934, en font le premier interprète de la pensée zen en Occident, bien que son apport ait par la suite été critiqué du fait de son prosélytisme et d'une certaine condescendance[9]. Deux maîtres japonais participèrent ensuite à la diffusion du zen en Occident, venant y fonder des dojos : Shunryu Suzuki aux États-Unis à partir des années 1960, et Taisen Deshimaru en France puis en Europe à partir des années 1970[11].

Le Troisième Œil de Lobsang Rampa, publié en Grande-Bretagne en 1956 et en France en 1957, prétend rapporter la vie d'un maître tibétain ; il eut un impact certain dans l'imaginaire occidental, même s'il a été démontré par la suite qu'il s'agit d'une fiction[9].

A partir des années 1960, un « boum » se produit en Occident, entraînant la popularisation des traditions zen et tibétaine : « la très rapide progression dans le paysage religieux occidental du bouddhisme tibétain [à partir des années 1970] ira jusqu'à rejoindre et parfois dépasser le zen en termes de popularité et de vocations religieuses »[8]. Des maîtres tibétains tels que Kalou Rinpoché et Chögyam Trungpa Rinpoché viendront fonder des écoles. Thích Nhất Hạnh, moine vietnamien dans la tradition thiền, réfugié politique en France, est à l'initiative de l'Église Bouddhique Unifiée (en), a écrit plus d'une centaine d'ouvrages, et sa notoriété est à présent mondiale[12]. Le 14e dalaï-lama, du fait de sa médiatisation, est devenu dans l'esprit populaire occidental le représentant du bouddhisme en général[8], figure emblématique de la non-violence[2].

Durant les années 1970 et 1980, de nombreux temples et centres de méditation sont fondés aux États-Unis et en Europe[8]. Lionel Obadia note : « à la fin des années 1990, un constat s'impose : celui de l'enracinement massif des traditions asiatiques en Occident. Plus encore que l'effervescence que suscitent la doctrine ou les idées du Bouddha, c'est ainsi l'établissement du bouddhisme sous une forme institutionnelle sur le sol occidental qui constitue sans doute un des faits les plus significatifs de ce processus historique »[8].

Comme l'écrit Frédéric Lenoir en 1999 : « Au cours de ces trente dernières années on est passé, dans la plupart des pays occidentaux, de l'intérêt intellectuel d'une élite à un véritable engouement et à une pratique de la méditation qui concerne des centaines de milliers d'individus. Il existe aujourd'hui plusieurs milliers de dôjôs zen et de grands centres ou monastères tibétains en Europe et aux États-Unis, sans compter les nombreux groupes de méditation rattachés à divers courants et écoles. […] Depuis le début des années 90, les émissions de télévision et les dossiers de presse consacrés à la « vague bouddhiste » se sont multipliés, et de nombreux ouvrages touchant au bouddhisme sont devenus des best sellers[2]. » Par ailleurs, plusieurs films occidentaux ont eu pour thème principal le bouddhisme tibétain : Little Buddha de Bertolucci en 1993, Kundun de Scorsese et Sept ans au Tibet d'Annaud en 1997.

L'implantation du bouddhisme en Occident ne s'est toutefois pas faite sans adaptations, avec par exemple l'introduction d'exercices méditatifs « laïcisés »[13]. Selon l'anthropologue Marion Dapsance, il existe des différences de pratique et de pensée entre le bouddhisme d'Orient et celui d'Occident : dans ce dernier, les rituels et les textes doctrinaux ou sacrés peuvent être laissés de côté ou simplifiés, en mettant l'accent sur la méditation, jusqu’à devenir une sorte de « spiritualité laïque », voire une technique de développement personnel pour accroître le bien-être et diminuer le stress[14]. L’historien Bernard Faure distingue cette forme de bouddhisme occidentalisée : « Il se peut que l’attrait du bouddhisme aux yeux des Occidentaux soit plutôt un élan vers la spiritualité qu’un retour au religieux, et que cette spiritualité bouddhique offre une réponse crédible aux angoisses produites par le monde moderne. C’est ce bouddhisme idéalisé, purement « spirituel », que j’appelle « néobouddhisme (en) » pour le distinguer des diverses formes de bouddhisme dont la tradition s’est maintenue, tant bien que mal, en Asie[15]. »

Particularités de l'implantation du bouddhisme selon les pays

En France

Dans les autres pays

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Ouvrages de références

  • Françoise Bonardel, Bouddhisme et philosophie: En quête d'une sagesse commune, Paris, L'Harmattan, , 284 p. (ISBN 978-2-296-05797-5)
  • Henri de Lubac, La Rencontre du bouddhisme et de l'Occident, Aubier-Montaigne, 1952 ; réimpr. Œuvres complètes XXII, Cerf, 2000.
Dans un compte rendu de la réédition en 2000, le philosophe Frédéric Lenoir écrit que l'ouvrage « est déjà passé à la postérité comme un ouvrage pionnier en un domaine, celui de la rencontre Orient/Occident. […] Divisé en cinq grands chapitres, l’ouvrage reconstitue les principales étapes de la découverte du bouddhisme par les Occidentaux. […] Près de cinquante ans après sa publication, on peut constater que ce formidable travail d’érudition n’a pas pris une ride. […] On sera plus critique sur la conclusion de l’auteur, intitulée : « Le bouddhisme et la pensée européenne ». Dans la fin de cette longue conclusion, le savant jésuite change soudainement de ton, quitte ses habits d’historien distancié et porte un regard chrétien assez critique sur le bouddhisme. [...] Outre le caractère polémique et apologétique de ces propos, il apparaît surtout que l’auteur est encore tributaire d’une lecture erronée du bouddhisme, compris comme un culte du vide et du néant. Nul théologien sérieux n’oserait aujourd’hui porter de tels jugements[16]. »
  • Roger-Pol Droit, Le Culte du néant : Les philosophes et le Bouddha, Paris, Seuil, 1997.
  • Frédéric Lenoir, La rencontre du bouddhisme et de l'Occident, Paris, Fayard, . Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Raphaël Liogier, Le bouddhisme mondialisé, Paris, Ellipses, 2004.
  • Raphaël Liogier (dir.), Le bouddhisme et ses normes - traditions-modernités, Strasbourg, Presses Universitaires de Strasbourg, 2006. (Lire en ligne - Consulté le 13 avril 2020)
  • Paul Magnin, Bouddhisme, unité et diversité : Expériences de libération, Paris, Éditions du Cerf, 2003. Compte-rendu de l'ouvrage, publié dans les Archives des Sciences Sociales des Religions, no 138, 2007.
  • Fabrice Midal, Quel bouddhisme pour l'Occident ?, Paris, Le Seuil, 2006.
  • Lionel Obadia, Bouddhisme et Occident : La diffusion du bouddhisme tibétain en France, Paris, L'Harmattan, 1999.
  • Lionel Obadia, Le bouddhisme en Occident, Paris, La Découverte, coll. « Repères », , 128 p. (ISBN 9782707150639, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Articles,

  • Bernard de Give, Un trappiste à la rencontre des moines du Tibet, 1997 [lire en ligne].
  • Lionel Obadia, L'adhésion au bouddhisme en France, in Dennis Gira et Jacques Scheuer (dir.) Vivre plusieurs religions : promesse ou illusion ?, Éditions de l'Atelier, 2000.
  • Lionel Obadia, Transplantation religieuse et aménagement de l'espace : l'exemple du bouddhisme en Occident, in Paul Servais et Roger Hagelstein (dir.) Perception et organisation de l'espace urbain : une confrontation Orient-Occident, Louvain la neuve, Académia-Bruylant, Série « Rencontre Orient-Occident », 2001, p. 301-324.
  • Le bouddhisme. Une religion à la conquête du monde, , L'Histoire, no 250. Dossier de plusieurs articles [lire en ligne].
  • Brigitte Dumortier, Atlas des religions, coll. Atlas-Monde, Paris, Ed. Autrement, 2002, p. 30-31.
  • Jacques Scheuer, « Bouddhismes en Occident, bouddhisme et Occident », Revue théologique de Louvain, vol. 33, no 3,‎ (lire en ligne)
  • Raphaël Liogier, Bouddhisme et normes sociales dans les espaces européens, in Normes et bouddhisme, Presses Universitaires de Strasbourg - CNRS, 2006.
  • Jésus/Bouddha : ce qui les rapproche, ce qui les sépare, Le Monde des religions, no 18, juillet-.

Références

  1. a b c d e et f Lenoir 1999, Première partie
  2. a b c d e f g et h Lenoir 1999, Introduction
  3. Musée Guimet : fiche-parcours à disposition du public intitulée "La première représentation du Bouddha". Décembre 2012.
  4. Recherches sur Buddou ou Bouddou, instituteur religieux de l’Asie orientale
  5. a b c d et e Lenoir 1999, Deuxième partie
  6. a et b (en) Little Buddhas : children and childhoods in Buddhist texts and traditions, Oxford/New York, OUP USA, , 524 p. (ISBN 978-0-19-994561-0, lire en ligne), p. 459
  7. Jean-Pierre Albert et Guillaume Rozenberg, « Des expériences du surnaturel », Archives de sciences sociales des religions [En ligne], 145 | janvier-mars 2009, mis en ligne le 01 janvier 2012, consulté le 19 août 2016. URL : http://assr.revues.org/20977 ; DOI : 10.4000/assr.20977
  8. a b c d e f g h et i Obadia 2007, Chapitre III
  9. a b c et d Lenoir 1999, Troisième partie
  10. (en-GB) « BBC - Religions - Buddhism: History of Buddhism in Britain » (consulté le )
  11. Lenoir 1999, Quatrième partie
  12. (en-GB) « BBC - Religions - Buddhism: Thich Nhat Hanh » (consulté le )
  13. Hamard, Albin. « De shamatha à shamatha, panorama des pratiques de méditation entre Orient et Occident », Corps, vol. 11, no. 1, 2013, p. 171-179. [lire en ligne]
  14. « Le bouddhisme gagnerait à sortir de sa caricature occidentale », sur lemondedesreligions.fr (consulté le )
  15. Bernard Faure, Le bouddhisme, Le Cavalier Bleu, , 124 p. (ISBN 978-2-84670-090-0, lire en ligne), p. 109
  16. Frédéric Lenoir, « Cardinal Henri de Lubac, La Rencontre du bouddhisme et de l’Occident. Paris, Cerf, 2000, 350 p., (traductions, errata, glossaire, index) (in Œuvres complètes, XXII, Sixième section) », Archives de sciences sociales des religions, no 116,‎ (ISSN 0335-5985, lire en ligne, consulté le )

Voir aussi

Articles connexes