Anglès
Anglès | |||||
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption et un monument de la croix de la crucifixion de Jésus | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn | ||||
Arrondissement | Castres | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Monts de Lacaune et de la Montagne du Haut Languedoc | ||||
Maire Mandat |
Alain Barthes 2020-2026 |
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Code postal | 81260 | ||||
Code commune | 81014 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Anglésiens | ||||
Population municipale |
512 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 6 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 33′ 52″ nord, 2° 33′ 42″ est | ||||
Altitude | 750 m Min. 358 m Max. 967 m |
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Superficie | 85,62 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Hautes Terres d'Oc | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Anglès ['an.glɛs], connu sous la Révolution sous le nom de Belle-Montagne[1], est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.
Ses habitants sont appelés les Anglésiens.
Géographie
Localisation
La commune est située dans l'est du département du Tarn. Elle est limitrophe de l'Hérault.
Commune du Massif central située dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc.
Entre la Montagne Noire et les Monts de Lacaune se trouve le vaste plateau d'Anglès, ce plateau est compris entre le cours du Thoré et celui de l'Agout. Plus loin, avec les monts de l'Espinouse, les Cévennes commencent[2].
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par l'Agout, le Thoré, l'Arn, le ruisseau de Nègeurieu, la Sème, le ruisseau de Banès de Cors, le ruisseau de Peyroux, le ruisseau Rieupeyroux, Rec de Douze, Rec del Mouli, le ruisseau de Camblades, le ruisseau de Campans, le ruisseau de la Souque et du Banès, le ruisseau de Maurès, et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 100 km de longueur totale[5],[Carte 1].
L'Agout, d'une longueur totale de 194,4 km, prend sa source dans la commune de Cambon-et-Salvergues et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Saint-Sulpice-la-Pointe, après avoir traversé 35 communes[6].
Le Thoré, d'une longueur totale de 61,6 km, prend sa source dans la commune de Rieussec et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout à Navès, après avoir traversé 20 communes[7].
L'Arn, d'une longueur totale de 55,7 km, prend sa source dans la commune de Fraisse-sur-Agout et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Thoré à Bout-du-Pont-de-Larn, après avoir traversé 9 communes[8].
Le Ruisseau de Nègeurieu, d'une longueur totale de 14 km, prend sa source dans la commune, aux abords du hameau du Lautier, et s'écoule vers le sud-ouest. Il se jette dans l'Arn aux abords du hameau du Moulin de Bonnet[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[10].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouairoux », sur la commune de Rouairoux, mise en service en 1992[15] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 1 561,5 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 43 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[19], à 14,1 °C pour 1981-2010[20], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[22],[23].
La commune fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[24]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[25],
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[27] :
- la « vallée de l'Arn », d'une superficie de 1 456 ha, dont le site est réduit au lit mineur du cours d'eau, concerne trois espèces aquatiques : Loutre, Moule perlière et Écrevisse à pattes blanches[28] ;
- Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[29].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatorze ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[30] :
- le « cours moyen de l'Arn » (216 ha)[31] ;
- les « prairies marécageuses du Nègrerieu des Sires » (8 ha)[32] ;
- la « rivière Agoût entre le barrage de Ponviel et Brassac » (80 ha), couvrant 4 communes du département[33] ;
- la « sagne de la Crouste » (8 ha)[34] ;
- la « sagne de la Rambergue » (7 ha)[35] ;
- les « sagnes de la Gante » (36 ha), couvrant 2 communes du département[36] ;
- les « sagnes de la Pastrié et de Lescarrassou » (23 ha), couvrant 2 communes du département[37] ;
- les « sagnes de Ségade » (19 ha)[38] ;
- les « sagnes des Calmettes » (15 ha)[39] ;
- les « sagnes du Rodier » (29 ha), couvrant 2 communes du département[40] ;
- les « sagnes du ruisseau de Banès de Cors » (91 ha)[41] ;
- les « sagnes du ruisseau de Maurès » (118 ha)[42] ;
- les « sagnes du ruisseau de Nègrerieu » (281 ha)[43] ;
- la « vallée de l'Arn (et tourbière de Baïssescure et du Bourdelet) » (461 ha), couvrant 5 communes dont quatre dans l'Hérault et une dans le Tarn[44] ;
et trois ZNIEFF de type 2[Note 6],[30] :
- le « massif du Somail » (23 004 ha), couvrant 11 communes dont dix dans l'Hérault et une dans le Tarn[45] ;
- les « sagnes du plateau d'Anglès et bassin versant de l'Arn » (9 725 ha), couvrant 10 communes dont deux dans l'Hérault et huit dans le Tarn[46] ;
- les « zones humides des Monts de Lacaune » (10 888 ha), couvrant 9 communes dont une dans l'Hérault et huit dans le Tarn[47].
-
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Anglès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[48],[I 1],[49]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (65,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,3 %), prairies (27,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), eaux continentales[Note 8] (2,3 %), zones urbanisées (0,7 %)[50].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Histoire
Le Moyen Âge
Vers 1260 apparaît dans des documents royaux Anglès, ou plus précisément un certain "castrum de Angulis", littéralement le "village fortifié des angles", du fait de la forme de son enceinte peut-être. Anglès ne semble pas avoir souffert de la terrible croisade contre les Albigeois, protégé par son isolement. Toutefois, il n'est pas dit que son histoire fut un long fleuve tranquille.
Du fait de son isolement, et de même qu'Arfons dans la Montagne Noire tarnaise, Anglès dut payer un lourd tribut aux grandes Compagnies, ces bandes de soldats transformés en bandits après la guerre de Cent Ans. En 1362, ce sont les troupes d'Henri de Trastamare qui prennent et incendient le village. Henri de Trastamare, qui devint roi de Castille à la force de l'épée en tuant son frère[2].
Rattachement à la couronne
Au cours du XIIIe siècle, Anglès est rattaché au royaume de France. Il dépend désormais du représentant du roi, le sénéchal de Carcassonne. Un juge est également envoyé sur place pour juger les affaires courantes. La ville élit par ailleurs deux consuls qui représentent l'autorités municipale.
Pour le spirituel, la paroisse d'Anglès dépendait du diocèse de Saint-Pons, partie de l'archevêché de Narbonne créé en 1318 par le pape lotois Jean XXII.
Lors de la Révolution française, des citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société populaire républicaine » en an II[51].
La commune faisait partie du diocèse de Saint-Pons-de-Thomières. En 1789, lors de la création des départements, elle était intégrée à l'Hérault. La loi de pluviose an V (1797) a échangé le canton de Saint-Gervais-sur-Mare (initialement dans le Tarn) avec le canton d'Anglès.
Héraldique
Son blasonnement est : D'azur au soleil d'or, au chef d'argent chargé d'une fleur de lys du champ accostée de deux roses de gueules. |
Politique et administration
Démographie
Au dernier recensement, la commune comptait 512 habitants.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[53]. En 2021, la commune comptait 512 habitants[Note 9], en évolution de −0,39 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 215 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 433 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 490 €[I 4] (20 400 € dans le département[I 5]).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 6] | 6,1 % | 4,8 % | 6,4 % |
Département[I 7] | 8,2 % | 9,9 % | 10 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 280 personnes, parmi lesquelles on compte 72,6 % d'actifs (66,2 % ayant un emploi et 6,4 % de chômeurs) et 27,4 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 165 emplois en 2018, contre 179 en 2013 et 167 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 193, soit un indicateur de concentration d'emploi de 85,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,2 %[I 10].
Sur ces 193 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 118 travaillent dans la commune, soit 61 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 72,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 9,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 17,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Anglès.
- Église Saint-Martin d'Anglès. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[56].
- Temple protestant d'Anglès.
- L'ancienne porte de la ville dite le Portail Bas, construite au XVIIe siècle a été inscrite monument historique le [57].
- Le château de Campan dont la fondation date du XIe siècle. Il présente une façade sud embellie au XVIIe siècle. Il est inscrit au monument historique par arrêté du [58].
- Le menhir de la Crosse, petit menhir présentant la marque de l'évêque de Saint-Pons.
- La statue-menhir des Jouclas.
- Deux plans d'eau se trouvent à proximité : le lac de la Raviège et le lac des Saints-Peyres.
- Le , sous le haut patronage de l'Académie d'agriculture de France, une plaque, apposée sur la façade de la mairie d'Anglès, a été inaugurée pour commémorer un patrimoine biologique important de la commune : “En 1946 sur la commune d’Anglès, fut recueilli l’échantillon de graines de maïs base de la population dite “Lacaune”. À partir de cette ressource génétique, l’INRA sélectionne les lignées précoces F2 et F7. Ces lignées sont à l’origine de nombreux hybrides qui ont permis d’étendre la culture du maïs au-delà de sa zone traditionnelle d’adaptation jusqu’aux pays du Nord de l’Europe."
Personnalités liées à la commune
- Jean-Henri Dissiton de Gazel-Larambergue, botaniste français.
- Jean Jacques de La Roque d'Olès d'Ornac (1729-1806), général des armées de la Révolution, né et décédé dans la commune.
- Jean-Louis de La Roque (1754-1794), général des armées de la Révolution, né dans la commune, guillotiné à Paris sous la Terreur.
- Marc David Lasource, né Marc David Alba à Anglés le 22 janvier 1763, guillotiné à Paris le 31 octobre 1793.
- Philippe Sebe, évêque (1991-1996).
Bibliographie
- Jean Aymeric, Anglès et son terroir, Ed. de Poliphile, 1988, 978-2-86888-021-5
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Anglès » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- Note de type "Carte"
Références
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Anglès » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Anglès » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Anglès » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Roger de Figuères, Les noms révolutionnaires des communes de France : listes par départements et liste générale alphabétique, Paris, Société de l'histoire de la Révolution française, (BNF 35460306), p. 66
- Abellion, « Charme et histoire d'Anglès en Haut-Languedoc (Tarn) », sur Lieux secrets du Pays Cathare- Secrets places of Cathar Land (consulté le )
- Carte IGN sous Géoportail
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale d'Anglès », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « l'Agout »
- Sandre, « le Thoré »
- Sandre, « l'Arn »
- Sandre, « le Ruisseau de Nègeurieu »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
- [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Anglès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7300942 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Église paroissiale Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Portail Bas », notice no PA00095487, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « château de Campan », notice no PA00095486, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- histoire d'Anglès
- Anglès sur le site de l'Insee