Saint-Vincent-d'Olargues

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Saint-Vincent-d'Olargues
Saint-Vincent-d'Olargues
Blason de Saint-Vincent-d'Olargues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes du Minervois au Caroux
Maire
Mandat
Bernard Fontes
2020-2026
Code postal 34390
Code commune 34291
Démographie
Gentilé Vincentinois
Population
municipale
356 hab. (2021 en augmentation de 4,4 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 33′ 41″ nord, 2° 52′ 48″ est
Altitude Min. 180 m
Max. 1 085 m
Superficie 15,84 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Olargues
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Pons-de-Thomières
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Vincent-d'Olargues (Sant Vincenç d'Olargues en occitan) est une commune française située dans l'ouest du département de l'Hérault en région Occitanie. La commune est membre du Parc naturel régional du Haut-Languedoc. Elle adhère également à la communauté de communes Orb et Jaur.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Jaur, le ruisseau de Mauroul, le ruisseau de Rautely, le ruisseau de Saillens, le ruisseau du Cros et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « grotte de Julio ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Vincent-d'Olargues est une commune rurale qui compte 356 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 604 habitants en 1831. Elle est ville-centre de l'unité urbaine d'Olargues.

Ses habitants sont appelés les Vincentinois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte

Saint-Vincent-d'Olargues se situe au nord ouest du département de l'Hérault, à 5 km d'Olargues, à 30 km de Bédarieux et à 50 km de Béziers. La commune est traversée par deux routes départementales ; la RD 908 reliant Saint-Pons-de-Thomières à Bédarieux via Olargues et la RD 14 rejoignant le col de Fontfroide. Saint-Vincent est accroché au flanc de l'Espinouse formant les premiers contreforts du Massif central au-dessus du village d'Olargues. La commune est baignée par le Jaur au niveau de Galhergues et de Julio ainsi que par de nombreux ruisseaux dont le plus important est le ruisseau de Coustorgues.

  • La commune a la particularité d'être composée de douze hameaux dispersés, depuis les bords du Jaur jusqu'au flanc de l'Espinouse, autour du bourg centre qu'est Saint-Vincent.

Il s'agit des hameaux de:

  • Camproger
  • Cros de Saint Vincent (le)
  • Fontésié (la)
  • Gallergues
  • Gourlaury
  • Julio
  • Mas du Gua (le)
  • Mazarié (la)
  • Pestous
  • Pradels
  • Raspalhac
  • Violgues

Communes limitrophes[1][modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 291 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 3,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cambon-et-Salvergues à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 580,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].

Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[10]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[11],[12].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « grotte de Julio »[14], d'une superficie de 17,44 ha, un lieu de présence et/ou de mise-bas pour de nombreuses espèces de chauve-souris mentionnées dans l'annexe II de la Directive, en particulier, le Minioptère de Schreibers, le grand Murin, le petit Murin, le Vespertilion de Capaccini, le Rhinolophe eutyale,et le Rhinolophe de Mehely[15].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[16] : la « grotte de Julio » (58 ha), couvrant 2 communes du département[17] et trois ZNIEFF de type 2[Note 3],[16] :

  • le « massif de l'Espinouse » (20 035 ha), couvrant 19 communes du département[18] ;
  • le « massif du Somail » (23 004 ha), couvrant 11 communes dont dix dans l'Hérault et une dans le Tarn[19] ;
  • la « montagne noire centrale » (34 724 ha), couvrant 27 communes du département[20].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Vincent-d'Olargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[21],[I 1],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Olargues, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[I 2] et 2 458 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3],[I 4]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 5],[I 6].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,4 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Vincent-d'Olargues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers : le risque minier et le risque de radon[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Saint-Vincent-d'Olargues est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 5],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Vincent-d'Olargues.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[27]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 36 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 321 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 205 sont en aléa moyen ou fort, soit 64 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1996, 2003, 2014 et 2018.

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains[31]. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[32].

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Vincent-d'Olargues est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[33].

Histoire[modifier | modifier le code]

Plan cadastral napoléonien (1831).

L'occupation du site de Saint-Vincent remonte à l'époque préhistorique comme le prouve le dolmen de Raspailhac dont les vestiges sont exposés au musée d'Olargues.

Au cours de la Révolution française, la commune porte les noms de Collines-et-Rochers et de Vincent-de-Collines-et-Rochers[34].

Au XIXe et au XXe siècle, le village s'est spécialisé dans la production castanéicole, de prunes et de cerises.

Ce n'est que le [35] que l'appellation Saint-Vincent-d'Olargues fut adoptée en remplacement de Saint-Vincent.

Depuis 2014, à la suite de la disparition de l'ancien canton d'Olargues, la commune appartient au canton de Saint-Pons-de-Thomières.

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Saint-Vincent est une ancienne commanderie hospitalière de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem attestée depuis au moins 1174[36] devenue après 1345 un membre de la commanderie de Narbonne du grand prieuré de Saint-Gilles au sein de la langue de Provence[37],[38],[39].

L'église de Saint-Vincent est mentionnée dès 1157 lorsque Pons d'Olargues en fait don aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[40].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Vincent-d'Olargues

Les armes de Saint-Vincent-d'Olargues se blasonnent ainsi : parti, au premier d'azur à deux pots d'or rangés en pal, au deuxième de sable à une croix de Malte d'argent bordée d'or[41].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1953 Eloi Caunac    
1953 2001 Jean Sèbe    
2001 2007 Gilbert Fontes    
2007 2014 Jacques Lepape DVD  
2014 en cours Bernard Fontes SE Retraité[42]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44]. En 2021, la commune comptait 356 habitants[Note 6], en augmentation de 4,4 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4721 3291 5411 5601 6041 5761 5501 5151 568
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4941 4341 3721 305928836929781740
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
758703634603567552546520498
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
438372340335301323318323351
2021 - - - - - - - -
356--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie locale[modifier | modifier le code]

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

25 établissements[Note 7] sont implantés à Saint-Vincent-d'Olargues au [I 7]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32 % du nombre total d'établissements de la commune (8 sur les 25 entreprises implantées à Saint-Vincent-d'Olargues), contre 14,1 % au niveau départemental[I 8].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est de 7 lors du recensement agricole de 2020[Note 8] et la surface agricole utilisée de 38 ha[Carte 3],[Carte 4].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 189 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 347 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 740 [I 9] (20 330  dans le département[I 10]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 11] 10,9 % 11,9 % 12,7 %
Département[I 12] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 13] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 202 personnes, parmi lesquelles on compte 73,2 % d'actifs (60,5 % ayant un emploi et 12,7 % de chômeurs) et 26,8 % d'inactifs[Note 10],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 5],[I 14]. Elle compte 48 emplois en 2018, contre 38 en 2013 et 31 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 127, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,2 %[I 15].

Sur ces 127 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 41 travaillent dans la commune, soit 32 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 91,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 1,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Rémi Azemar, « Les roches à cupules de Malaret (commune de Saint-Vincent d'Olargues, 34) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 16,‎ , p. 25-31
  • Rémi Azemar, « Les gravures rupestres des dolmens des Cévennes occidentales », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 16,‎ , p. 17-24
  • Robert Guiraud et Marcel Soulier, « Les plaques-boucles de Saint-Vincent d'Olargues », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 4,‎ , p. 43-49
  • Robert Guiraud, « Vestiges d'époque gallo-romaine dans la commune de Saint-Vincent-d'Olargues », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 5,‎ , p. 19-23
  • Robert Guiraud, « Les dolmens de la commune de St-Vincent d'Olargues », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 1,‎ , p. 18-26
  • Florence Journot, « La tour de Gaillergues (commune de Saint-Vincent d'Olargues) et la Tour du Pin (commune de Vieussan) : Saint-Vincent d'Olargues et Cébazan (Hérault) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 7,‎ , p. 61-70
  • Joseph Sahuc, « Deux croix cimétériales », Revue historique du diocèse de Montpellier, no 1,‎ , p. 41-48

Fonds d'archives[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 d'Olargues » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Vincent-d'Olargues » (consulté le ).
  8. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Vincent-d'Olargues » (consulté le ).
  10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  11. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Vincent-d'Olargues » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  15. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Vincent-d'Olargues » (consulté le ).
  16. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  17. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. IGN, Géoportail, consultation à l’échelle Ville + 1/4, le 12 décembre 2008
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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    La commanderie de Narbonne faisait partie du grand prieuré de Saint-Gilles mais une partie des archives des commanderies de ce prieuré se trouvaient à Toulouse.
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