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=== Politique coloniale ===
=== Politique coloniale ===
Selon la tradition savoyarde et dans le respect des prérogatives du statut, Victor Emmanuel III exerça une action considérable dans le camp de la politique externe et militaire<ref name=":2" />. Salué par de nombreux observateurs comme "anti-triple alliance", se maintenant dans le sillon de la Triple Alliance, soutient le raprochement des autres Puissances exclut de l'alliance et contre lesquelles elle aurait potentiellement pu être construite: la Russie, qui entravait les projets d'expansion autrichienne, et la France, dont les allemands craignaient le désir de revanche.
Selon la tradition savoyarde et dans le respect des prérogatives du statut, Victor Emmanuel III exerça une action considérable dans le camp de la politique externe et militaire<ref name=":2" />. Salué par de nombreux observateurs comme "anti-triple alliance", se maintenant dans le sillon de la Triple Alliance, soutient le raprochement des autres Puissances exclut de l'alliance et contre lesquelles elle aurait potentiellement pu être construite: la Russie, qui entravait les projets d'expansion autrichienne, et la France, dont les allemands craignaient le désir de revanche.
==== Rapprochement avec la France ====




La normalisation des rapports avec la République française avait commencé quelques années auparavant par l'accession au trône de Victor Emmanuel, avec la signature des trois conventions entre l'Italie et la Tunisie le 30 septembre 1896 et successivement avec l'accord commercial franco-italien le 21 novembre 1898 qui mettait fin à la guerre douanière entre les deux puissances. En décembre 1900 avec les accords Visconti-Venosta- Barrère, le gouvernement italien obtint une première reconnaissance française de son intérêt pour Tripolitaine Cyrénaïque. L'accord eu l'effet de vider la Triple Alliance d'une partie de son contenue, lié au contraste franco-italien en Méditerranée.
Il reprend la politique coloniale de l'[[Italie]] avec le débarquement en [[Libye]] le {{date|29|septembre|1911}} et l'occupation des îles du [[Dodécanèse]] en [[mer Égée]] en mai [[1912]]. Par la [[Traité de Lausanne (1912)|paix de Lausanne]] du {{date|18|octobre|1912}} la [[Turquie]] reconnaît à l'Italie les possessions de la [[Tripolitaine]] et de la [[Cyrénaïque]].
L'accord fut renforcé en juillet 1902 avec les accords Prinetti Barrere, qui engageait les deux puissances à se maintenir neutre dans le cas du conflit avec d'autre puissance Le rapprochement franco-italien fu scellé lors du voyage de Victor Emmanuel à Paris, décoré de la Légion d'honneur, par le président Emile Loubet, en octobre 1903, rendu à Rome en 1904.

Le politique extérieure italienne dessinait un système qui aurait rendu moins rigide la division entre "blocs de puissance" qui aurait amené à la déflagration du conflit mondial. Dans ce contexte, on explique le comportement italien à la Conférence d'Algesiras sur le Maroc en 1906, dans laquelle le représentant italien, Visconti Venosta, fut instruit pour ne pas soutenir l'Allemagne de Guillaume II.

==== Russie et Balkans ====
L'établissement de bons rapports avec la Russie, dont la manifestation la plus évidente de rapprochement avait été à l'époque d'Humbert, le mariage de Victor Emmanuel avec Hélène de Monténégro, était le complément nécessaire des directrices de politique externe dans l'aire balkaniques, lequel statuts quo, qui au moins formellement la Triple Entente s'engageait à maintenir, était menacée par la crise sans fin de l'Empire Ottoman, et par les appétits concurrents autrichiens et russes, parmi lesquels l'Italie voulait s'insérer, en cherchant de limiter les tentatives d'alliance des Habsbourg vouer à changer la situation a ses avantages, en violation de l'article VIII du traité. L'Italie regardait vers les Balkans quelle aire d'influence potentielle, elle était pour son économie. Devant les visées expansionniste de la Serbie, Victor Emmanuelle devint médiateur pour la création d'un état tampo, qui interdisse à Pierre I le blocage de l'Albanie sur l'Adriatique. Le comportement autrichien, qui en 1908 avait annexée sans préavis la Bosnie Herzégovine, suscitant des fortes protestation dans la partie serbe et russe, outre que celle italienne, amena le gouvernement italien à passer accord avec celui russe. le 24 octobre 1909 fut signé entre les deux puissance le traité de Racconigi, qui dans la partie russe mettait fin à la politique des accords exclusifs entre l'Autriche sur les Balkans, pour lesquels on présentait l'actualisation du principe de nationalité et une action diplomatique commune des deux puissances, dans ce sens, en outre, la Russie reconnaissait l’intérêt italien pour la Tripolitaine Cyrénaïque


=== Arbitrage de l'Affaire de Clipperton ===
=== Arbitrage de l'Affaire de Clipperton ===
Les bons rapports traditionnels entre le Royaume Unis et l'estime dans le contexte international du roi d'Italie fut confirmé par le choix de Victor Emmanuel comme arbitre pour stabiliser les frontières entre le Brésil et la Guyane britannique en 1903 1904, et pour les frontières Barotseland entre le Portugal et la Grande Bretagne en 1905. Même la France et le Mexique eurent recours en 1909 à l'arbitrage de Victor Emmanuel III pour définir les possession de l'île de Clipperton<ref>{{Article |prénom1=G. L. |nom1=Verschoyle |prénom2=Gioacchino |nom2=Volpe |titre=Vittorio Emanuele III. |périodique=International Affairs (Royal Institute of International Affairs 1931-1939) |volume=18 |numéro=6 |date=1939-11 |issn=1473-8104 |doi=10.2307/3019602 |lire en ligne=http://dx.doi.org/10.2307/3019602 |consulté le=2021-07-13 |pages=854 }}</ref>.
Le {{date|28 janvier 1898}}, un [[litige]] opposant la [[France]] et le [[Mexique]] sur la souveraineté de l'[[Île Clipperton|Île de Clipperton]] est révélé. Le {{date|2 mars 1909}}, un compromis est proposé par le Mexique à la France, cette dernière l'accepte, et les deux parties le signent le {{date|9 mai 1911}}. {{souverain-|Victor-Emmanuel III}} est choisi pour être l'arbitre de ce litige. Il répond positivement à la requête et ne donne une réponse développée, et mitigée que le {{date|28 janvier 1931}}. Il en conclut que la conquête de l'Île par les [[Second Empire|Français]] le {{date-|17 novembre 1858}} est légitime, et que la revendication de l'Île par le Mexique en [[1897]] est totalement illégitime.

==== Institution internationale pour l'Agriculture ====
«Un Istituto siffatto, organo di solidarietà fra tutti gli agricoltori e perciò elemento poderoso di pace.»(<small>Messaggio di Vittorio Emanuele III a Giolitti, 1905</small>)

Systématiquement avec sa propre pensée humanitaire, en 1905, accueillant la proposition de David Lublin, Victor Emmanuel III fit personnellement la promotion au niveau internationale de la fondation de l'Institut international d'agriculture, qui a évolué dans l'après-guerre dans le FAO, avec l'objectif d'abbatre la plaie de la famine mondiale.

L'organisme était financé au préalable à travers les contributions des états adhérents qui aillent d'un minimum de 12500 lires jusqu’à un maximum de 200 000 lire. Victor Emmanuel III, qui était habitué à soutenir avec ses propres avoir beaucoup institution scientifique et caritative, participait avec la somme annuelle de 300 000 lie qu'on ajoutait au loyer de l'immeuble qui devait servir de siège à institution.<ref>{{Article |prénom1=Valdo |nom1=Spini |titre=PARLARE IN PARLAMENTO. VITTORIO EMANUELE ORLANDO NELLA STORIA D’ITALIA |périodique=Istituto Lombardo - Accademia di Scienze e Lettere - Rendiconti di Lettere |date=2019-09-25 |issn=2384-9150 |doi=10.4081/let.2019.529 |lire en ligne=http://dx.doi.org/10.4081/let.2019.529 |consulté le=2021-07-13 }}</ref>

==== Politique interne: ouverture à gauche et paix sociale ====
"Conviene ora con prudente risolutezza proseguire sulla stra dche la giustizia sociale consiglia [...] In sollieveo delle classi lavoratrici. Son felici portati della civilità nuova l'onorare il lavoro, il confario di equi compensi di preveggente tutela, l'innalzare le sorti degli obliati dalla fortuna. Se a cio Governo e Parlamento provvedano, egualmente solleciti dei dirritti di tutte le classi, farrno opera memoranda di giustizia e di pace sociale." (Disccorso della Corona, 20 febbraio 1902)

L'oeuvre de Victor Emmanuel III en politique interne concerne en premier temps la réalisation de la paix sociale, à travers une législation voué à dépasser "l'ardente contrasto fra capitale e lavoro"<ref>{{Chapitre|prénom1=Savina|nom1=Raynaud|titre chapitre=Lo sguardo della filosofia del linguaggio sul discorso ascoltato e sul discorso proferito|titre ouvrage=Psicologia clinica|éditeur=Springer Milan|isbn=978-88-470-0553-2|lire en ligne=http://dx.doi.org/10.1007/978-88-470-0554-9_24|consulté le=2021-07-13|passage=269–287}}</ref>. La paix sociale et la nécéssité d'oeuvrer avec équité entre les classes sociales sont, en effets, thèmes récurents des discours de la Couronne, normalement rédigé par le roi.

Dans la vision politique du souverain, point clé pour la réalisation de la paix désiré etait de Nella visione politica del sovrano, punto fondamentale per il raggiungimento della desiderata pace sociale era "conseguire una più elevata condizione intellettuale, morale ed economica delle classi popolari",<ref>{{Chapitre|prénom1=Savina|nom1=Raynaud|titre chapitre=Lo sguardo della filosofia del linguaggio sul discorso ascoltato e sul discorso proferito|titre ouvrage=Psicologia clinica|éditeur=Springer Milan|isbn=978-88-470-0553-2|lire en ligne=http://dx.doi.org/10.1007/978-88-470-0554-9_24|consulté le=2021-07-13|passage=269–287}}</ref> en particulier en assurant un devoir complet d'instruction pour tous les citoyens.

Les lois promulgués entre 1900 et 1921 dans le contexte de la législation sociale voulue par Victor Emmanuel III concernent: la tutelle juridique des émigrants (1901), la tutelle du travail des femmes et des mineurs (1902), les mesures contre la malaria et la chinizzazione (1902), l'instruction de l'agence du travail (1902), les logements sociaux (1903), les accidents du travail (1904), l'obligation du repos hebdomadaire (1907) l'institution de la Caisse nationale de la sécurité sociale (1907), la mutuelle scolaire et l’institution de la Caisse nationale pour la maternité (1910), l'assistance en faveur des touché par le chômage involontaire(1917)<ref>{{Chapitre|titre chapitre=Napoli, Biblioteca Nazionale Vittorio Emanuele III, III D 37|titre ouvrage=Tra i libri di Isacco Argiro|éditeur=De Gruyter|date=2020-10-26|isbn=978-3-11-069717-9|lire en ligne=http://dx.doi.org/10.1515/9783110697179-026|consulté le=2021-07-13|passage=190–193}}</ref> Toujours en 1917, fut institué l'Oeuvre Nationale Combattante.

Etant donné l’intérêt que Victor Emmanuel III avait pour la question sociale, certains contemporain le dépeigne comme "Re socialista"<ref>{{Article |prénom1=H. |nom1=Ritter |titre=MARTINO MARIO MORENO, Antologia della Mistica Araba Persiana. - Bari: Gius. Laterza e Figli, 1951. 263 s. |périodique=Oriens |volume=5 |numéro=2 |date=1952-01-01 |issn=0078-6527 |issn2=1877-8372 |doi=10.1163/1877837252x00334 |lire en ligne=http://dx.doi.org/10.1163/1877837252x00334 |consulté le=2021-07-13 |pages=360–360 }}</ref>. Attentif aux exigences du progrès du pays, qu'à la vigilance de la Grande Guerre était devenu la septième puissance industrielle du monde, donna le status de siege morale en 1908 à la Société italienne pour le progrès des sciences fondée en 1839. Contribua financièrement à la fondation à Milan de la première "Clinique de la médecine du travail" d'Europe et une des premières institutions pour l'étude et le soin du cancer.


=== Première Guerre mondiale ===
=== Première Guerre mondiale ===

Version du 14 juillet 2021 à 00:49

Victor-Emmanuel III
Illustration.
Victor-Emmanuel III, roi d'Italie (vers 1930).
Titre
Roi d'Italie

(45 ans, 9 mois et 10 jours)
Président du Conseil Giuseppe Saracco
Giuseppe Zanardelli
Giovanni Giolitti
Alessandro Fortis
Sidney Sonnino
Luigi Luzzatti
Antonio Salandra
Paolo Boselli
Vittorio Emanuele Orlando
Francesco Saverio Nitti
Ivanoe Bonomi
Luigi Facta
Benito Mussolini
Pietro Badoglio
Ferruccio Parri
Alcide De Gasperi
Prédécesseur Humbert Ier
Successeur Humbert II
Empereur d'Éthiopie

(5 ans et 3 jours)
Prédécesseur Haïlé Sélassié Ier
Successeur Haïlé Sélassié Ier
Roi d'Albanie

(4 ans, 4 mois et 18 jours)
Prédécesseur Zog Ier
Successeur Mehdi Frashëri (président du conseil de régence)
Biographie
Dynastie Savoie
Nom de naissance Vittorio Emanuele di Savoia
Date de naissance
Lieu de naissance Naples (Italie)
Date de décès (à 78 ans)
Lieu de décès Alexandrie (Égypte)
Sépulture Sanctuaire de Vicoforte
Père Humbert Ier
Mère Marguerite de Savoie
Conjoint Hélène de Monténégro
Enfants Yolande-Marguerite de Savoie
Mafalda de Savoie
Humbert II
Jeanne de Savoie
Marie-Françoise de Savoie

Signature de Victor-Emmanuel III

Victor-Emmanuel III
Monarques d'Italie

Victor-Emmanuel III (en italien Vittorio Emanuele III), né le à Naples (Italie) et mort en exil le à Alexandrie (Égypte), est roi d'Italie du après l'assassinat de son père Humbert Ier, jusqu'au , date de son abdication en faveur de son fils Humbert II, peu avant la proclamation de la République. Il porte dès sa naissance le titre de prince de Naples. Il est le fils d'Humbert Ier et de Marguerite de Savoie.

Victor-Emmanuel III a également porté les titres d'empereur d'Éthiopie de 1936 à 1941 et de roi d'Albanie de 1939 à 1943.

Biographie

Portrait par les frères d'Alessandri.
Portrait par Luigi Montabone.

Jeunesse et Formation

Victor Emmanuel Ferdinand Marie Gennaro de Savoie fils d'Humbert 1 et Marguerite de Savoie est né le 11 novembre 1869 à Naples: lieu choisie avec l'objectif de susciter consensus dans le royaume des Bourbons. La grossesse ne fut pas facile, Marguerite n'aurait pas eu d'enfant.

De santé plutôt délicate, Victor Emmanuel etait de petite taille[1] et dépourvu de l'affection de ses parents, qui a douze ans le confièrent aux soins du colonel Egidio Osio, qui avait été attaché militaire de l'Ambassade italienne à Berlin.Homme très dur, impérieux et habitué aux commandes, appris au prince une éducation sur le modèle prussien du roi aux armées. Il semble qu’a peine installé il aurait dit à son élève: "On rappelle que le fils d'un roi, comme le fils d'un cordonnier, combien est âne est âne". [2] Certains dirent que la sévérité d'Osio eut des effets nuisibles sur le caractère du futur souverain, le rendant encore plus anxieux et introverti, toutefois ce fait fut démenti aussi dans les rapports d’amitié que le futur souverain continua de garder avec son précepteur, entretenant une correspondance presque journalière et le défendant des accusations posées.

Il eut une éducation soignée[3], comprenant entre autre la fréquence de la prestigieuse Ecole militaire Nunziatella de Naples, qui completa avec des longs voyages à l'étranger. Elevé au rang royal, devint habituel de fréquenter les séances d'inauguration de l'Académie Nationale des Lynceens, ainsi comme d'autre association d'interet scientifique auxquelles ils se rapprochait pour ses intérets. Parmi toutes ses passions, dans le lieu culturel, émergeaient peut-être la numismatique, l’histoire et la géographie: sa conaissance dans ses matière était reconnu à de hauts niveaux , aussi hors du royaume (écrivit un un traité sur la monnaie italienne , le Corpus Nummorum Italicorum). Dans plusieurs occasions Victor Emmanuel fut appelé, en vertu à sa profonde connaissance dans le secteur géographique, comme médiateur dans les traités de paix. et dipute de frontière Il fut reconnu comme un arbitre pour la dispute territoriale de l'ile de Clipperton entre la France et le Mexique. A vingt ans il commença une carrière rapide miltiaire (en 1890 il était déjà colonnel), présentant des capacités officielles et pointilleuse, bon connaisseur des matière militaire, désormais générale, fut critique vers la campagne d'Afrique entre 1895 1896.[1]

à l''âge de vingt ans, Victor Emmanuel pris congé du colonnel Osio; en étant désormais majeur et avait un grade égale à celui de sn précepteur, avec lequel il continua toutefois de maintenir une correspondance presque journalière.Pour le former à l'ordre il fut assigner au premier régiment d'infanterie 'Roi" Naples, où il resta pendant cinq ans, à Naples il noua une amitié avec le prince Nicolas Brancaccio, qui réussit à vaincre la réticence et la timidité du jeune Victor Emmanuel, l'initiant à la vie nocturne napolitaine faite de théâtre non proprement "respectable" et loge des actrice.[1]

Pour le jeune prince la période napoléonienne fut peut-être la plus heureuse de sa vie: il apprit à parler couramment le napolitain et aussi divers amantes, dont la baronne Marie Barracco (il semble que de cette relation soit née une fille), même si sa préférence allait pour les actrices et ballerines[4] Dans son rôle de commandement il montra une rigidité aboutissant à une maniaquerie; tellement qu'il était en train d'écrire ses lettres à Osio, devint une vraie bête noire pour ses soumis; dans une lettre il écrit "mon Peloton d'Eleve officiel a rejoint le nombre de 104 élève; rapidement seront 103. parce que j'en ai chassé un pour avoir volé un compagnon, e suis convaincu de la nécessite de lui faire peur sur ses débuts."

Probablement l'unique personne la plus tatitllone avec lui était le général Joseph Ottolenghi de Sabbineta, qui ne perdait pas l'occasion pour déchirer le principe sur des manques éventuel de forme et cela donne à Victor Emmanuel la fantaisie pour l'affubler de son surnom, (d'origine juive) comme 'Joseph l’Hébreu" ou "Pauvre Macchabée". Toutefois il ne s'agissait pas antisémitisme, de quelque petit dépit personel vers son supérieur[4]

Un fait plus noté est durant sa période de résidence à Naples il entra en conflit avec une personne du même grade qui à l'époque commandait le dixième Régiment des Bersagliers: ce colonel était Louis Cadorna et les deux naquit une empathie féroce que dura toute la vie et qui pourrait avoir des conséquences évidentes vingt ans plus tard, durant la Grande Guerre.

Interrompit la vie de caserne solo avec des voyages qui achevèrent sa formation. Apres un début pénible en société (1888) il connut les premières aventures galantes et inévitablement, la cour (assistée aussi par François Crispi) pris de planifier un mariage aussi pour les résistances du prince au mariage combiné, on 'ne fit pas jusqu'en en 1894. On cherchait, cependant une princesse utile à la diplomatie à l'italienne. Le choix tomba sur Hélène de Monténégro, âgé de vingt trois ans, pas très gracieuse, mais aux traits doux et gentils. A l'insu de Victor Emmanuel, on favorisa les occasions de rencontre qui, au caractère proche, s'entendirent rapidement. Les accords entre les maisons furent simple et les fiançailles brèves. Hélène de Monténégro refusa au credo orthodoxe et le 24 octobre 1836 on célébra les noces. Suivirent les années les plus heureuses pour Victor Emmanuel. Le couple partageait une affection sincère et une vie réservée et presque frugale.Passions comunes: photographie, la pêche, vie à la campagne, voyages pour la mer. Les enfants arrivèrent tard mais nombreux: Yolande Marguerite en 1901, Mafalda en 1902, Humbert II en 1904, Jeanne en 1907 et Marie Françoise en 1914. Dans ces années Victor Emmanuel pensa renoncer au trône en faveur, peut être d'une carrière académique.[5]

Accession au trône

Le régicide changea tout, Quand Humbert I fut assassiné 29 juillet 1900). Victor Emmanuel et Hélène étaient en croisière en Grèce à bord de leur yacht Yela. à partir de là, ils rejoignirent Reggio di Calabria et puis Monza. Victor Emmanuel débuta en s'occupant de "consacrer chaque emploi de roi"[6] aux institutions et à la monarchie. Giuseppe Saracco était à peine sorti de la chambre ardente du roi défunt, quand Victor Emmanuel le convoqua dans son bureau; sans lui donner le temps de présenter ses condoléances, le nouveau roi montra les papiers qui s'amoncelait sur sa table.Il s'agissait de décrets sur lesquels son père n'avait pas eu le temps de les signer, mais selon lui il était peu en accord avec la Constitution. Giuseppe Saracco répondit que la valeur de la constitution n'était pas la compétence du roi, il devait se limiter à signer comme il l'avait fait depuis toujours. Le jeune roi répondit "le roi voulait signer ses erreurs, éventuellement, non celle des autres" [7]. Saracco qui en outre passait pour un grand expert du Droit, se sentit offenser et offrit séance tenant les démissions. Le prince fit semblant de ne pas écouter, mais insista que les décrets avant qu'ils les signent, lui donnèrent à lire. Après quoi, il expliqua au président comment il concevait ses devoirs et ceux des autres. "Je n"ai pas la prétention de remédier avec le soleil mes forces aux difficultés présente. Mais je suis convaincu que ces choses ont une unique cause. En Italie peut de personnes achèvent exactement leur devoir: il a trop de mollesse et de relâchement. Il faut que chacun, sans exceptions, observe exactement ses devoirs je serais d'exemple, en remplissant tout mes devoirs. Les ministres m'aideront, en ne caressant pas de vaines illusions, en ne promettant pas combien je suis certain de pouvoir maintenir" .

Le 2 août 1900, à quelque jour du régicide, dans son premier discours à la Nation le nouveau roi listait les fondements de sa vision politique.

Le 11 août il jura fidélité au Statu dans la salle du Sénat, devant le président Giuseppe Saracco et ales deux branches du Parlement disposé à ses côtés. Dans son discours écrit de sa main, le nouveau roi exposant une politique conciliante et parlementaire:

«Monarchia e Parlamento procedono solidali in quest'opera salutare.»

(Discorso di Vittorio Emanuele III in occasione del suo giuramento, 11 agosto 1900)

Après le couronnement le nouveau roi commanda à Guido Cirilli le projet et la construction d'une chapelle commémorative pour son père qui avait été assassiné, en faisant cela le roi Victor Emmanuel III fit détruire le siège de la Società Ginnastica Monzese Forti et Liberi di Monza et la fit reconstruire de l'autre côte du viale Cesare Battisti de Monza.

Enfin, la réconciliation nationale vout que le souverai pris forme avec le décret du royaume 11 novembre 1900, n°366, dans lequel le roi concédait l’amnistie pour les délits de presse et pour ceux contre la liberté de travail et remettait la moitié des peines infligées pour les mouvements populaires de 1898[8]. En 1901 fut imprimer la première série de timbres qui inaugura les impressions philatélique de son royaume, comme la série dite "Série Floreale"amenait intrinsèquement la nouveauté d'utiliser le nouveau style dit Liberty, qui dans les années à venir fut italianisé en "Floreale"

Politique coloniale

Selon la tradition savoyarde et dans le respect des prérogatives du statut, Victor Emmanuel III exerça une action considérable dans le camp de la politique externe et militaire[6]. Salué par de nombreux observateurs comme "anti-triple alliance", se maintenant dans le sillon de la Triple Alliance, soutient le raprochement des autres Puissances exclut de l'alliance et contre lesquelles elle aurait potentiellement pu être construite: la Russie, qui entravait les projets d'expansion autrichienne, et la France, dont les allemands craignaient le désir de revanche.

Rapprochement avec la France

La normalisation des rapports avec la République française avait commencé quelques années auparavant par l'accession au trône de Victor Emmanuel, avec la signature des trois conventions entre l'Italie et la Tunisie le 30 septembre 1896 et successivement avec l'accord commercial franco-italien le 21 novembre 1898 qui mettait fin à la guerre douanière entre les deux puissances. En décembre 1900 avec les accords Visconti-Venosta- Barrère, le gouvernement italien obtint une première reconnaissance française de son intérêt pour Tripolitaine Cyrénaïque. L'accord eu l'effet de vider la Triple Alliance d'une partie de son contenue, lié au contraste franco-italien en Méditerranée. L'accord fut renforcé en juillet 1902 avec les accords Prinetti Barrere, qui engageait les deux puissances à se maintenir neutre dans le cas du conflit avec d'autre puissance Le rapprochement franco-italien fu scellé lors du voyage de Victor Emmanuel à Paris, décoré de la Légion d'honneur, par le président Emile Loubet, en octobre 1903, rendu à Rome en 1904.

Le politique extérieure italienne dessinait un système qui aurait rendu moins rigide la division entre "blocs de puissance" qui aurait amené à la déflagration du conflit mondial. Dans ce contexte, on explique le comportement italien à la Conférence d'Algesiras sur le Maroc en 1906, dans laquelle le représentant italien, Visconti Venosta, fut instruit pour ne pas soutenir l'Allemagne de Guillaume II.

Russie et Balkans

L'établissement de bons rapports avec la Russie, dont la manifestation la plus évidente de rapprochement avait été à l'époque d'Humbert, le mariage de Victor Emmanuel avec Hélène de Monténégro, était le complément nécessaire des directrices de politique externe dans l'aire balkaniques, lequel statuts quo, qui au moins formellement la Triple Entente s'engageait à maintenir, était menacée par la crise sans fin de l'Empire Ottoman, et par les appétits concurrents autrichiens et russes, parmi lesquels l'Italie voulait s'insérer, en cherchant de limiter les tentatives d'alliance des Habsbourg vouer à changer la situation a ses avantages, en violation de l'article VIII du traité. L'Italie regardait vers les Balkans quelle aire d'influence potentielle, elle était pour son économie. Devant les visées expansionniste de la Serbie, Victor Emmanuelle devint médiateur pour la création d'un état tampo, qui interdisse à Pierre I le blocage de l'Albanie sur l'Adriatique. Le comportement autrichien, qui en 1908 avait annexée sans préavis la Bosnie Herzégovine, suscitant des fortes protestation dans la partie serbe et russe, outre que celle italienne, amena le gouvernement italien à passer accord avec celui russe. le 24 octobre 1909 fut signé entre les deux puissance le traité de Racconigi, qui dans la partie russe mettait fin à la politique des accords exclusifs entre l'Autriche sur les Balkans, pour lesquels on présentait l'actualisation du principe de nationalité et une action diplomatique commune des deux puissances, dans ce sens, en outre, la Russie reconnaissait l’intérêt italien pour la Tripolitaine Cyrénaïque

Arbitrage de l'Affaire de Clipperton

Les bons rapports traditionnels entre le Royaume Unis et l'estime dans le contexte international du roi d'Italie fut confirmé par le choix de Victor Emmanuel comme arbitre pour stabiliser les frontières entre le Brésil et la Guyane britannique en 1903 1904, et pour les frontières Barotseland entre le Portugal et la Grande Bretagne en 1905. Même la France et le Mexique eurent recours en 1909 à l'arbitrage de Victor Emmanuel III pour définir les possession de l'île de Clipperton[9].

Institution internationale pour l'Agriculture

«Un Istituto siffatto, organo di solidarietà fra tutti gli agricoltori e perciò elemento poderoso di pace.»(Messaggio di Vittorio Emanuele III a Giolitti, 1905)

Systématiquement avec sa propre pensée humanitaire, en 1905, accueillant la proposition de David Lublin, Victor Emmanuel III fit personnellement la promotion au niveau internationale de la fondation de l'Institut international d'agriculture, qui a évolué dans l'après-guerre dans le FAO, avec l'objectif d'abbatre la plaie de la famine mondiale.

L'organisme était financé au préalable à travers les contributions des états adhérents qui aillent d'un minimum de 12500 lires jusqu’à un maximum de 200 000 lire. Victor Emmanuel III, qui était habitué à soutenir avec ses propres avoir beaucoup institution scientifique et caritative, participait avec la somme annuelle de 300 000 lie qu'on ajoutait au loyer de l'immeuble qui devait servir de siège à institution.[10]

Politique interne: ouverture à gauche et paix sociale

"Conviene ora con prudente risolutezza proseguire sulla stra dche la giustizia sociale consiglia [...] In sollieveo delle classi lavoratrici. Son felici portati della civilità nuova l'onorare il lavoro, il confario di equi compensi di preveggente tutela, l'innalzare le sorti degli obliati dalla fortuna. Se a cio Governo e Parlamento provvedano, egualmente solleciti dei dirritti di tutte le classi, farrno opera memoranda di giustizia e di pace sociale." (Disccorso della Corona, 20 febbraio 1902)

L'oeuvre de Victor Emmanuel III en politique interne concerne en premier temps la réalisation de la paix sociale, à travers une législation voué à dépasser "l'ardente contrasto fra capitale e lavoro"[11]. La paix sociale et la nécéssité d'oeuvrer avec équité entre les classes sociales sont, en effets, thèmes récurents des discours de la Couronne, normalement rédigé par le roi.

Dans la vision politique du souverain, point clé pour la réalisation de la paix désiré etait de Nella visione politica del sovrano, punto fondamentale per il raggiungimento della desiderata pace sociale era "conseguire una più elevata condizione intellettuale, morale ed economica delle classi popolari",[12] en particulier en assurant un devoir complet d'instruction pour tous les citoyens.

Les lois promulgués entre 1900 et 1921 dans le contexte de la législation sociale voulue par Victor Emmanuel III concernent: la tutelle juridique des émigrants (1901), la tutelle du travail des femmes et des mineurs (1902), les mesures contre la malaria et la chinizzazione (1902), l'instruction de l'agence du travail (1902), les logements sociaux (1903), les accidents du travail (1904), l'obligation du repos hebdomadaire (1907) l'institution de la Caisse nationale de la sécurité sociale (1907), la mutuelle scolaire et l’institution de la Caisse nationale pour la maternité (1910), l'assistance en faveur des touché par le chômage involontaire(1917)[13] Toujours en 1917, fut institué l'Oeuvre Nationale Combattante.

Etant donné l’intérêt que Victor Emmanuel III avait pour la question sociale, certains contemporain le dépeigne comme "Re socialista"[14]. Attentif aux exigences du progrès du pays, qu'à la vigilance de la Grande Guerre était devenu la septième puissance industrielle du monde, donna le status de siege morale en 1908 à la Société italienne pour le progrès des sciences fondée en 1839. Contribua financièrement à la fondation à Milan de la première "Clinique de la médecine du travail" d'Europe et une des premières institutions pour l'étude et le soin du cancer.

Première Guerre mondiale

Lors de la Première Guerre mondiale il soutient la position de neutralité de l'Italie. L'irrédentisme politique concernant les provinces du Trentin, de l'Istrie et la ville de Trieste le décide à abandonner la Triple Alliance pour combattre l'Autriche-Hongrie au côté des alliés. Il vient en France et accompagne Albert Ier, le roi des Belges, dans les casernes et bases militaires. Les deux monarques envisagent également le mariage de leurs enfants le prince héritier Humbert et la princesse Marie-José de Belgique au grand dam de l'ex-reine Marie des Deux-Siciles, grand-tante de la princesse dont les États avaient été annexés en 1860 par l'arrière-grand-père du prince italien.

Victor-Emmanuel III, vers 1915.

La victoire de 1918 permet à l'Italie d'annexer des territoires comme le Trentin, le Haut-Adige, Trieste et l'Istrie mais pas la Dalmatie, ce qui l'empêche de devenir maîtresse de l'Adriatique et rend la paix impopulaire.

Italie fasciste sous Mussolini

Dans le contexte de crise économique et politique d'entre-deux-guerres, le pays connaît une série d'agitations sociales que les différents gouvernements n'arrivent pas à endiguer, portant les fascistes au pouvoir.

Après la marche sur Rome des troupes fascistes de Mussolini le , le roi demande à ce dernier, le , de former un nouveau gouvernement.

En avril 1924, de nouvelles élections ont lieu, avec de nombreuses irrégularités. Le député socialiste Giacomo Matteotti, qui les a dénoncées, est assassiné le suivant. Le , les fascistes revendiquent l'assassinat. C'est le début de la dictature fasciste.

En 1927, le chef du PPI anti-fasciste, Alcide De Gasperi, est arrêté en gare de Florence en compagnie de son épouse et condamné à quatre ans de prison. Il sera libéré quelques mois plus tard sur l'intervention du roi et de l'évêque de Trente.

Empereur d’Éthiopie et roi d'Albanie

Le , les troupes italiennes basées en Érythrée et en Somalie envahissent l'Éthiopie. La guerre se termine le avec la proclamation de l'empire d'Afrique orientale italienne, qui vaut à Victor-Emmanuel III le titre d'empereur. En avril 1939, l'Albanie est occupée et Victor-Emmanuel III accepte le titre de roi d'Albanie.

Seconde Guerre mondiale

L'axe Rome-Berlin est proclamé en octobre 1936 et le Pacte d'acier signé le . En , Hitler se rend en visite en Italie malgré l'opposition du monarque qui n'apprécie guère les Allemands[réf. nécessaire]. Le rapprochement de Mussolini avec Hitler est vécu comme une tragédie par Victor-Emmanuel III.[réf. nécessaire]. Le , l'Italie entre en guerre au côté de l'Allemagne nazie contre la volonté du roi[réf. nécessaire]. L'offensive britannique en Afrique fait perdre aux Italiens leurs possessions sur ce continent.

Avec les multiples défaites, l'opposition démocratique et militaire à la dictature s'organise et peut compter sur le soutien royal[réf. nécessaire].

Défaite militaire de l'Italie fasciste, armistice

Le , le débarquement des Alliés en Sicile entraîne la chute de la dictature fasciste : le , le roi fait arrêter Benito Mussolini et le remplace par un homme de confiance, le maréchal d'Italie Pietro Badoglio. Le souverain lui-même ne voit pas son action comme un coup d'État. Il affirme qu'il a agi par « une application légale de la Constitution »[15].

L'armistice est signé le mais une situation de guerre civile s'instaure dans le Nord du pays du jusqu'au (république de Salò).

Retrait du pouvoir

Le roi, qui après le avait quitté Rome pour se replier dans le Sud occupé par les Alliés, cède les prérogatives royales à son fils Humbert de Savoie le , et se retire de la vie publique.

Abdication et mort en exil

Il abdique en faveur de son fils qui prend le titre d'Humbert II le , mais un référendum met fin à la monarchie en Italie le et la remplace par une république.

Victor-Emmanuel III meurt en exil à Alexandrie en Égypte (accueilli par le roi Farouk) le , entre la promulgation de la Constitution de la République italienne et son entrée en vigueur ; celle-ci dispose que « l'entrée et le séjour sur le territoire national sont interdits aux anciens rois de la maison de Savoie, à leurs épouses et à leurs descendants mâles »[16].

Il est enterré dans la cathédrale Sainte-Catherine d'Alexandrie, où il repose derrière le maître-autel pendant soixante-dix ans. Le , ses restes sont finalement rapatriés à bord d'un appareil de l'armée de l'air italienne et inhumés au sanctuaire de Vicoforte, auprès de ceux de son épouse[17].

La tombe de Victor-Emmanuel III au sanctuaire de Vicoforte.

Famille

Le , Victor-Emmanuel III alors prince héritier, épouse à Rome Hélène de Monténégro, fille du roi Nicolas Ier de Monténégro[18].

De cette union naissent :

Aspect physique

Contrairement à son cousin paternel au second degré, Amédée II de Savoie-Aoste qui était un homme de très grande taille mesurant 1,98 mètre, Victor-Emmanuel était très petit ce qui lui valut le surnom de piccolo re (« petit roi »), même selon les standards du XIXe siècle avec une taille estimée à 1,53 mètre[19].

Hommage

Notes et références

  1. a b et c « Gli editori e il repertorio della letteratura tradotta. », dans Traiettorie, Quodlibet, (ISBN 978-88-229-1021-9, lire en ligne), p. 69–154
  2. « Gli editori e il repertorio della letteratura tradotta. », dans Traiettorie, Quodlibet, (ISBN 978-88-229-1021-9, lire en ligne), p. 69–154
  3. Paolo Grassi, « L’angosciosa resistenza: decostruire la categoria dell’“abbandono istituzionale” nel quartiere di edilizia popolare di San Siro (Milano) », Archivio antropologico mediterraneo, vol. 20, no 2,‎ (ISSN 2038-3215, DOI 10.4000/aam.665, lire en ligne, consulté le )
  4. a et b Spinosa, Antonio., Vittorio Emanuele III : l'astuzia di un re, Mondadori, (ISBN 88-04-33276-X et 978-88-04-33276-3, OCLC 800203621, lire en ligne)
  5. (it) Paolo Puntoni, Parla Vittorio Emanuele III, Il mulino, (ISBN 978-88-15-04131-9, OCLC 797634558, lire en ligne)
  6. a et b « Altre Conferenze tenute presso il Seminario Matematico e Fisico di Milano nel 1990 », Rendiconti del Seminario Matematico e Fisico di Milano, vol. 60, no 1,‎ , p. 261–264 (ISSN 0370-7377, DOI 10.1007/bf02925090, lire en ligne, consulté le )
  7. « Vittorio Emanuele III par BERTOLDI, Silvio,: Molto buono (Very Good) (1971) | Studio Bibliografico Marini », sur www.abebooks.fr (consulté le )
  8. Stefano Giubboni, « Il reddito di cittadinanza tra diritto e politica », CITTADINANZA EUROPEA (LA), no 2,‎ , p. 77–105 (ISSN 2039-2788 et 2039-9383, DOI 10.3280/ceu2019-002003, lire en ligne, consulté le )
  9. G. L. Verschoyle et Gioacchino Volpe, « Vittorio Emanuele III. », International Affairs (Royal Institute of International Affairs 1931-1939), vol. 18, no 6,‎ , p. 854 (ISSN 1473-8104, DOI 10.2307/3019602, lire en ligne, consulté le )
  10. Valdo Spini, « PARLARE IN PARLAMENTO. VITTORIO EMANUELE ORLANDO NELLA STORIA D’ITALIA », Istituto Lombardo - Accademia di Scienze e Lettere - Rendiconti di Lettere,‎ (ISSN 2384-9150, DOI 10.4081/let.2019.529, lire en ligne, consulté le )
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  12. Savina Raynaud, « Lo sguardo della filosofia del linguaggio sul discorso ascoltato e sul discorso proferito », dans Psicologia clinica, Springer Milan (ISBN 978-88-470-0553-2, lire en ligne), p. 269–287
  13. « Napoli, Biblioteca Nazionale Vittorio Emanuele III, III D 37 », dans Tra i libri di Isacco Argiro, De Gruyter, (ISBN 978-3-11-069717-9, lire en ligne), p. 190–193
  14. H. Ritter, « MARTINO MARIO MORENO, Antologia della Mistica Araba Persiana. - Bari: Gius. Laterza e Figli, 1951. 263 s. », Oriens, vol. 5, no 2,‎ , p. 360–360 (ISSN 0078-6527 et 1877-8372, DOI 10.1163/1877837252x00334, lire en ligne, consulté le )
  15. « Victor-Emmanuel III La biographie du roi d'Italie de Frédéric Le Moal », sur cosmopolis.ch, .
  16. Joseph Valynseele, Les Prétendants aux trônes d'Europe, , 459 p. (lire en ligne), p. 278..
  17. « Italie : la dépouille du roi Victor-Emmanuel III est de retour, les fantômes du passé aussi », sur Courrier international, .
  18. Mariage Rome catalogue-lumière.com
  19. (en) « King Victor Emmanuel III Biography », sur imdb.com.

Annexes

Bibliographie

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Liens externes