Aller au contenu

Montreuil-en-Touraine

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Montreuil-en-Touraine
Montreuil-en-Touraine
Mairie.
Blason de Montreuil-en-Touraine
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes du Val d'Amboise
Maire
Mandat
Claude Cicutti
2020-2026
Code postal 37530
Code commune 37158
Démographie
Gentilé Montreuillois
Population
municipale
759 hab. (2021 en évolution de −9,21 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 29′ 16″ nord, 0° 56′ 52″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 113 m
Superficie 25,1 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Amboise
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Montreuil-en-Touraine
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Montreuil-en-Touraine
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Voir sur la carte topographique d'Indre-et-Loire
Montreuil-en-Touraine
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Montreuil-en-Touraine
Liens
Site web montreuil-touraine.fr

Montreuil-en-Touraine (prononcé /mɔ̃tʁœj ɑ̃ tuʁɛn/) est une commune française du département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire. Elle est rattachée à la communauté de communes du Val d'Amboise.

Son territoire semble habité dès le Paléolithique mais les indices de cette occupation sont rares et fragiles. Au milieu du IXe siècle, Monasteriolus est rattaché à l'abbaye de Marmoutier. Couvert par la forêt de Gastines jusqu'au Moyen Âge, il est alors progressivement défriché, sans doute à l'initiative des moines, mais la qualité agronomique des sols n'est pas optimale même si la commune conserve, au XXIe siècle encore, une activité agricole non négligeable. Après une lente érosion depuis le début du XXe siècle, la population communale est en constante augmentation depuis les années 1970 et atteint 827 habitants en 2021 en évolution de −9,21 % par rapport à 2015. Cependant, moins de 20 % des actifs résidant à Montreuil-en-Touraine trouvent un emploi dans la commune, qui par ailleurs n'abrite plus aucun commerce. Un projet de fusion avec la commune limitrophe de Saint-Ouen-les-Vignes est en discussion depuis 2016.

Son château du XVe siècle, dont la charpente et la toiture sont ruinées, est partiellement inscrit à l'inventaire des monuments historiques. Son église est moderne mais accueille des pierres sculptées provenant probablement d'un monument funéraire dans un édifice plus ancien.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation et communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Située dans le quadrant nord-est de l'Indre-et-Loire, Montreuil-en-Touraine fait partie du canton d'Amboise ; les deux chefs-lieux communaux sont distants de 9,4 km ; la commune fait partie de l'arrondissement de Loches[1],[2], ces distances étant exprimées « à vol d'oiseau ». La commune fait partie du bassin de vie, de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Tours[Insee 1].

Les frontières de Montreuil, commune dont le territoire se développe sur une superficie totale de 25,1 km2[Insee 2], sont délimitées, dans le « sens des aiguilles d'une montre », par Neuillé-le-Lierre, ville distante de 4,1 km en direction du nord-ouest ; par Autrèche, localisée à 5,5 km, en direction du nord-est ; par Saint-Ouen-les-Vignes, située à 4,2 km, en direction du sud-est ; par Nazelles-Négron, placée à 6,2 km, en direction du sud ; et enfin par Reugny, distante de 4,9 km, en direction de l'est — toutes ces données kilométriques sont exprimées « à vol d'oiseau » —[3]. En outre, hormis ces cinq localités limitrophes de la commune, les deux autres villes tourangelles les plus proches sont Pocé-sur-Cisse au sud-est et Auzouer-en-Touraine au nord-nord-est, respectivement éloignées de 5,9 et 6,4 km du centre-bourg de Montreuil[4].

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs montrant le zonage géologique d'un territoire.
Carte géologique simplifiée de Montreuil-en-Touraine[5].
  • Bourg et limites communales
  • Calcaire sénonien (C4-6V)
  • Formations résiduelles à silex (Rs)
  • Marnes éocènes lacustres (e6-7)
  • Marnes de l'Oligocène (g1)
  • Sables de Montreuil (m4-p)
  • Limons des plateaux quaternaires (LP)
  • Alluvions récentes (Fz)

La commune de Montreuil-en-Touraine est située au sud de la petite région naturelle de la gâtine tourangelle[6],[7],[8]. Les strates calcaires du Sénonien (C4-6V) n'affleurent qu'au fond de la vallée de la Ramberge. Partout ailleurs, elles sont recouvertes par d'épaisses couches de marne de l'Éocène (e6-7) ou de l'Oligocène (g1). S'y superposent les sables de Montreuil (m4-p), déposés à l'Helvétien (Miocène) et qui affleurent au nord et à l'est de la commune. Des limons de couleur brune, recouvrant des reliefs quaternaires (LP) et qui ont été apportés par des phénomènes de type éolien au cours de la glaciation würmienne, masquent les couches précédentes sur la plus grande partie du plateau[9],[10], alors que des alluvions récentes (Fz) ont été déposées au fond des vallées des cours d'eau[11],[12].

Le territoire communal, bordé au nord-ouest et à l'est par les vallées de deux cours d'eau, Ramberge et ru de Madelon, constitue un plateau dont l'altitude varie de 100 à 113 mètres. Cependant, l'altitude minimale de la commune, 76 m, se rencontre là où la Ramberge quitte le territoire communal, au niveau de Saint-Ouen-les-Vignes[12].

Montreuil-en-Touraine est une commune de grande taille puisque sa superficie s'élève à 2 509 ha quand la surface moyenne d'une commune française est de 1 488 ha[13].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée au nord par le ru de Madelon, affluent de la Brenne et au sud par la Ramberge, affluent de la Cisse[14],[15]. Ces deux rivières marquent les limites communales de Montreuil-en-Touraine. Aucun cours d'eau permanent ne parcourt le plateau, traversé seulement par quelques ruisseaux ou fossés temporaires. Un ancien étang, le « Grand Étang », est asséché dans la seconde moitié du XXe siècle ; il est depuis en culture. Le « Petit Étang » (ou « Étang de la Filaudière »), toujours en eau, est une retenue artificielle formée par le barrage du vallon du ru de Montreuil[14]. Plusieurs mares, creusées à l'origine pour permettre aux animaux de s'abreuver, parsèment le territoire[16].

Photographie en couleurs d'une plan d'eau naturel.
Le « Petit Étang » de Montreuil.

Le régime de la Cisse est relevé à la station de Nazelles-Négron[17]. Sur une période d'étude de 20 ans (1998 à 2017), la rivière, dont la surface totale de drainage se déploie sur une étendue de 790 km2, observe un débit moyen mensuel variant entre 4,270 m3/s au mois de janvier et 1,330 m3/s au mois d'août[17]. Son débit moyen inter-annuel, allant d'un minimum de 1,400 m3/s en période quinquennale sèche jusqu'à un maximum de 3,400 m3/s en quinquennale humide, présente une valeur médiane de 2,450 m3/s[17].

Les données hydrologiques concernant le régime de la Ramberge, sont, quant à elles, relevées à la station de Pocé-sur-Cisse[18]. Pour la période considérée de 1971 à 1994, le cours d'eau, dont le bassin versant s'étend sur 62,8 km2, possède un module (ou débit moyen interannuel) médian calculé à 0,229 m3/s, valeur comprise entre 0,150 m3/s en saison sèche et 0,310 m3/s pour les mois humides[18]. Le débit moyen mensuel de la Ramberge, dont les relevés ont été estimés peu ou pas assez fiables sur cette même période d'étude, fluctuerait entre un minimum de 0,130 m3/s au mois de septembre et un maximum de 0,432 m3/s au mois de février[18].

Enfin, le ru de Madelon, petit cours d'eau délimitant le territoire communal au nord-ouest et dont le parcours se développe sur une longueur totale d'environ 4 km, observe un écoulement moyen annuel de 0,106 m3/s[15]. En outre, son débit à l'étiage, c'est-à-dire à son niveau le plus bas (valeur régulièrement relevée en saison estivale), est considéré comme étant « passable »[15].

Paysages naturels

[modifier | modifier le code]

Le plateau de Montreuil-en-Touraine, autrefois couvert de bois[Note 1] mais progressivement défriché depuis le Moyen Âge[Note 2], offre un paysage de champs ouverts, où alternent de grandes parcelles vouées à la culture (céréalière principalement) et des prairies naturelles ou artificielles[20] consacrées au pacage des troupeaux, bovins essentiellement. Quelques bosquets subsistent toutefois. Les qualités agronomiques de ces sols, lourds et froids, sont assez médiocres[14],[8]. À l'instar de ceux situés dans son environnement proche, les sols de Montreuil, « légèrement lessivés » et recouvrant des couches sédimentaires à dominante sablonneuse, ont fait l'objet de remaniements agricoles au cours du XVIIIe siècle[8]. Ces derniers ont laissé des traces toujours visibles sous forme de puits et de fosses desquels étaient extraites des roches marnières à des fins d'amendement des terres agricoles[8].

À l'inverse, les franges du territoire communal sont toujours largement boisées, notamment les pentes des vallons de la Ramberge et du ru de Madelon[12]. En 1987, les bois représentaient encore près du quart de la surface communale[14],[Note 3],[8].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[21]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[22].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 690 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[21]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Limeray à 8 km à vol d'oiseau[23], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 670,2 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]
Photographie d'un abribus au bord d'une rue.
Arrêt de bus du réseau Touraine Fil vert à proximité de Montreuil.

La commune est traversée par les routes départementales RD 55 (d'Autrèche à Reugny) et RD 75 (de Neuillé-le-Lierre à Nazelles-Négron) qui se croisent au centre du bourg. L'autoroute A 10 est accessible à la sortie Château-Renault (no 18).

Les lignes A (Château-Renault – Tours) et TA (Château-Renault – Amboise) du réseau de transports en commun routiers Touraine Fil vert, géré par le Conseil départemental d'Indre-et-Loire, sont accessibles aux Montreuillois à partir des communes voisines de Neuillé-le-Lierre ou Reugny pour la ligne A, et Autrèche ou Saint-Ouen-les-Vignes pour la ligne TA[27].

La gare SNCF la plus proche est celle d'Amboise (7 km environ), desservie par la ligne de Paris-Austerlitz à Bordeaux-Saint-Jean[28],[29]. La ligne ferroviaire à grande vitesse Atlantique (de Tours à Paris Montparnasse) traverse la commune, sur laquelle aucune halte n'est toutefois aménagée[29],[30].

Au , Montreuil-en-Touraine est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[31]. Elle est située hors unité urbaine[Insee 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[Insee 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[32],[33].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74 %), forêts (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), zones urbanisées (1,3 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

[modifier | modifier le code]
Vue d'une carte en couleur représentant les étapes de développement du bâti d'un bourg.
Développement urbain de Montreuil-en-Touraine[35].
  • « Vieux bourg »
  • Extensions modernes
Photographie en couleurs d'une rue bordée de maisons.
Rue du Bourg.

Le centre-bourg s'est construit autour de l'église et le long des deux départementales qui en constituent les rues principales, notamment vers l'est. À l'inverse, le développement moderne de l'agglomération se fait surtout en direction de l'ouest, sous forme de lotissements, le long de la D 55 comme à « la Ménagerie », « les Pièces du Grand Étang » ou « la Garenne »[35], ou de manière plus isolée le long des axes de communication, comme la route départementale no 75[14]. Les habitants de ces quartiers se trouvent ainsi éloignés des services globalement regroupés autour de l'église et de la mairie. Ces nouvelles constructions n'ont, par ailleurs, souvent pas bénéficié d'une « intégration paysagère satisfaisante », selon les termes du plan d'aménagement et de développement durable communal[36].

En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 333, alors qu'il était de 297 en 2008[Insee 4]. Parmi ces logements, 90,3 % étaient des résidences principales, 4,2 % des résidences secondaires et 5,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,2 % des appartements. La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants, était de 86,0 %. 13,3 % sont locataires de leur résidence principale. La part de logements HLM loués vides (appartements ou maisons individuelles) était de 3,9 % et concernait 24 personnes[Insee 4].

De 1971 à 2010, 34 nouvelles résidences principales sont construites, soit 29,3 % du parc total à cette dernière date[Insee 4].

Lieux-dits et hameaux

[modifier | modifier le code]
  • l'Abîme (extraction de marbre)
  • les Balivières
  • la Bertrie (ferme)
  • la Bisauderie (hameau)
  • les Buissonnets (ferme)
  • la Bouchetterie (ferme)
  • le Bourg (quartier le plus habité)
  • la Chaînée (ancienne ferme)
  • la Championnerie : la Grande Championnerie (ancienne ferme) et la Petite Championnerie (quartier du Vieux Joué)
  • la Chauvinière (lieu-dit)
  • la Chevalerie (lieu-dit)
  • les Chintres (lieu-dit)
  • la Cossais (lieu-dit)
  • la Filaudière (hameau)
  • la Fontenelle (hameau)
  • la Garenne (lotissement)
  • la Genetière (impasse)
  • les Gâts (lieu-dit)
  • la Guêtrie (ancienne ferme et quartier)
  • Guignefolle (ferme)
  • la Hardonnière (ancienne ferme)
  • la Ménagerie (quartier)
  • Moulin de Villagou (ancien moulin à eau, lieu-dit)
  • la Perchais (ancienne ferme, centre équestre)
  • Pierre Bise
  • Pinson
  • Roucheux
  • Salé : le Grand Salé (hameau) et le Petit Salé (ferme)
  • les Trois cheminées (lieu-dit)
  • la Varenne (lieu-dit, actuellement dans le Bourg)
  • les Vallées (hameau)
  • le Vieux Joué (hameau principal de Montreuil)
  • les Villepins (hameau) : les Grands Villepins et les Petits Villepins

Aménagements récents et en projet

[modifier | modifier le code]

Le centre-bourg a été rénové en septembre et , avec enfouissement du réseau électrique, reprise de l'évacuation des eaux pluviales puis réfection de la voirie et des espaces verts[37].

Pour rééquilibrer le tissu urbain, le projet d'aménagement et de développement durable prévoit que les nouvelles constructions dans le bourg se feront au nord-ouest du cœur traditionnel, option préférée à la poursuite d'une urbanisation par digitation le long des voies traversant le chef-lieu[38].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

La presque totalité du territoire communal de Montreuil-en-Touraine est exposée à un aléa moyen face à un risque lié au gonflement-retrait des argiles. Sur les versants de la vallée du ru de Madelon, toutefois, cet aléa est considéré comme « élevé ». À l'inverse, au fond de la vallée de la Ramberge ainsi que sur une étroite bande passant par le bourg, ce risque est « faible » ou « a priori nul »[39]. Ce risque, lié à la nature argilo-siliceuse des sols, expose les fondations des bâtiments à une fragilisation après des périodes de sécheresse prolongée[40].

Montreuil-en-Touraine est située en zone de sismicité très faible de niveau 1 sur une échelle de 1 à 5, selon la cartographie établie par le bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[41]. De fait, les chroniques historiques locales ne mentionnent aucun séisme pour cette partie de la Touraine[42].

Formes successives attestées de la dénomination de la paroisse puis de la commune[Note 5] :


Représentation en couleurs d'un extrait d'une carte ancienne.
Toponymie et topographie, d'après la carte de Cassini, 1760.

La première mention de Montreuil, sous la forme Monasteriolus, se trouve dans un acte de Charles le Chauve daté de 852[43]. Par ailleurs, la linguiste Marie-Thérèse Morlet relève également le terme Monasteriolum, mot dérivant du substantif Monasterium (« monastère »)[47]. De fait, le nom même de Monasteriolus semble illustrer le rattachement de Montreuil à l'abbaye de Marmoutier et non indiquer obligatoirement la présence d'un petit monastère (traduction littérale) à Montreuil[43]. En 1961, l'ajout de la terminologie « -en-Touraine » au toponyme « Montreuil » permet de différencier cette commune des autres localités françaises portant le même nom[43]. Les archives départementales d'Indre-et-Loire conservent les témoignages de ces évolutions[44].

Le toponyme du « Vieux Joué » est interprété comme l'évolution de Gaudiacus, domaine de Gaudius, anthroponyme latin[48].

Enfin, l'analyse micro-toponymique de la commune révèle l'existence du terme latin Puriacum, peut-être dérivé de Purius avec le suffixe -acum (« domaine de »), pour le lieu-dit du « Puray » (ou « Puré »), terme utilisé à l'époque gallo-romaine, mais dont la date de mention n'est toutefois pas précisée[49].

De la Préhistoire à l'Antiquité

[modifier | modifier le code]

Des outils préhistoriques (bifaces, hache, houe) datés du Paléolithique au Néolithique moyen ont été découverts sur différents sites, au nord-est du territoire communal[50] et les premières populations installées à Montreuil semblent avoir suivi le cours de la Ramberge[14].

Des gisements de minerai de fer ont été identifiés sur le territoire communal[51] et ont probablement fait l'objet d'une exploitation très ancienne comme en témoignerait le toponyme « la Fosse Noire » mais cette activité est difficile à dater en l'absence d'indices archéologiques[52].

Bien qu'elle ait laissé peu de traces dans le paysage contemporain, une voie antique, venant de Vendôme et se dirigeant vers Poitiers via Amboise, traverse l'est du territoire de la commune du nord au sud[Note 6],[53]. Elle passe à Bruyères, au Vieux Joué et à la Puvinerie avant d'entrer sur la commune de Pocé-sur-Cisse. Cet itinéraire est conservé jusqu'au Moyen Âge où il est emprunté par les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle[54]. Cette même voie aurait été parcourue également vers la fin du VIIe siècle apr. J.-C. par des fidèles ayant porté la dépouille de saint Léger, ce qui atteste sa pérennité sur plusieurs siècles[55].

En 852, un acte de Charles le Chauve confirme le rattachement de Monasteriolus (Montreuil) à l'abbaye de Marmoutier[43]. En 984, une manse dénommée Gaudiacum est donnée aux moines de l'abbaye de Saint-Julien de Tours. Il pourrait s'agir du lieu-dit « le Vieux Joué »[56].

La forêt de Gastines, ou forêt de Gâtine, qui couvrait le territoire, ne commence à être défrichée qu'au Moyen Âge, au niveau du bourg, probablement à l'initiative de moines. D'autres clairières, de la même manière, morcellent progressivement le boisement sur le reste du territoire. À cette époque, Montreuil, érigé en fief, est rattaché à la baronnie de Vernou[14].

Au début du XIIIe siècle, comme l'indique l'extrait d'un cartulaire, le fief montreuillois, à l'instar de celui d'Autrèche, appartenait à Guillaume de Montléon (ou Montlion), un chevalier et homme-lige de l'archevêque de Tours[57]. Dans la seconde moitié du XIIIe siècle, dans les années 1250-1260, le domaine de Montreuil relève de l'autorité du seigneur de Gervais[58].

Au cours des XIIIe et XIVe siècles, alors que l'archiprêtré de Tours est composé de 76 paroisses, celle de Montreuil, qui en fait partie, est connue sous le nom de Parochia Sancti Martini de Monsteriolo[Note 7],[59]. Un document manuscrit met en évidence qu'au cours de cette période du Moyen Âge tardif, plus précisément dans les années 1330, les terres montreuilloises se révèlent alors dépendantes de l'autorité du seigneur Guillaume de La Rajace par droit de prééminence[58].

Époque moderne

[modifier | modifier le code]

Jusqu'à la Révolution, Montreuil était du ressort de l'élection de Tours et faisait partie de l'archidiaconé d'outre-Loire et du doyenné de Château-Renault. Les cahiers de doléances de Montreuil-en-Touraine, rédigés à l'occasion des états généraux de 1789, font ressortir que le principal souhait des habitants est l'établissement de « lois et coutumes uniformes en France »[60]. En dehors de ces considérations générales, les paroissiens de Montreuil attirent l'attention sur la surévaluation de la qualité de leurs terres agricoles pour le calcul de l'impôt au vingtième et sur la situation précaire de la paroisse après une très mauvaise récolte de blé en 1788 et un gel grave des vignes qui compromet la production pour trois ans au moins[61]. En 1793, la commune dépend du district d'Amboise[62].

Époque contemporaine

[modifier | modifier le code]

En 1838, le cimetière, jusqu'alors situé près de l'église (« place de l'Église »), est déplacé au lieu-dit « le Paradis »[63] en application du décret du [64]. En , lors du second plébiscite qui permet à Napoléon III d'asseoir sa légitimité et qui fait suite au Coup d'État du 2 décembre 1851, l'ancien président, devenu empereur, recueille l'unanimité des suffrages de la cité tourangelle : les 136 votants, sur 155 inscrits, se prononcent favorablement[65]. L'école de Montreuil-en-Touraine, composée à l'origine d'une seule classe, est construite entre 1851 et 1853. Une seconde classe, adjacente à la mairie, est édifiée en 1884[16].

Extrait d'une ancienne carte en couleurs.
Plan cadastral napoléonien révisé de Montreuil[66].
Photographie en couleurs d'une stèle commémorative.
Monument aux morts.

Au tout début des années 1930, en raison de problèmes techniques et d'un manque de subventions, la commune montreuilloise ne bénéficiait pas encore d'un réseau électrique[67]. Pour remédier à cette situation, un rapport délibératif du conseil général, datant de 1931, signale la programmation d'une distribution électrique pour la petite cité tourangelle, un projet qui, à cette époque, est mis en place par le service de génie rural[67]. Toutefois, aucune date précise concernant l'aménagement d'infrastructures électriques n'est alors arrêtée[67]. L'année suivante, en 1932, le territoire de Montreuil fait l'objet d'une rénovation cadastrale[68]. Ce remaniement parcellaire devient effectif à partir de 1934[66]. La Première Guerre mondiale a fait 19 morts parmi la population masculine de Montreuil-en-Touraine, trois autres disparaissent durant la Seconde Guerre mondiale[69] ; un monument aux morts est élevé à la mémoire de ces victimes. Dans les années 1970 et 1980, le territoire communal, alors largement constitué de surfaces agricoles — la surface agricole utile occupe 64,9 % du territoire en 1988 —, fait l'objet de nombreux remaniements et remembrements parcellaires et cadastraux[68].

En 2016, le conseil municipal présente un projet de fusion avec la commune voisine de Saint-Ouen-les-Vignes. Durant l'été 2016, les conseils municipaux des deux communes votent pour établir une étude sur cette fusion potentielle. Toutefois, des habitants des deux communes s'y opposent lors de réunions publiques et réclament une consultation citoyenne[70] ; les élus promettent qu'elle se déroulera en 2017[71].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Élection présidentielle de 2017

[modifier | modifier le code]

En 2017, au deuxième tour des élections présidentielles, Emmanuel Macron (En marche !), élu, a obtenu 51,18 % des voix et Marine Le Pen (FN), 48,82 %. Le taux de participation, pour cette élection, s'est élevé à 82,57 % sur l'ensemble des 591 habitants de la commune inscrits[72].

Élection municipale de 2014

[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2010 étant compris entre 500 et 1 500, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de 15[73].

Lors des élections municipales de 2014, les 15 conseillers municipaux ont été élus dès le premier tour ; le taux de participation était de 59,46 %[74].

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs depuis 1945[75].
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1947 Eugène Reboussin   agriculteur
1947 1964 Daniel Delaine   commerçant
1964 1977 Maurice Levieuge   agriculteur
1977 1984 André Chiaroni   instituteur
1984 1990 Gérard Roques   cadre d'entreprise
1990 2001 Louis Gohier DVD agriculteur
2001 2008 Gilbert Lepetitcorps   chef d'entreprise
2008 2009 Christian Hoflack   cadre d'entreprise
2009 mai 2020 Jean-Luc Padiolleau SE Enseignant à l'IUT de Tours[76]
mai 2020 En cours Claude Cicutti SE Retraité de la SNCF

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]
Photographie en couleurs d'un bâtiment à étage portant l'inscription « MAIRIE ».
Mairie.

La commune est rattachée en 1790 au canton de Saint-Ouen puis en 1801 à celui d'Amboise[62] dépendant de l'arrondissement de Tours[77]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton s'agrandit, passant de 16 à 36 communes[78]. À l'occasion de la réorganisation des territoires survenue le , la commune est rattachée à l'arrondissement de Loches[79].

Pour les élections législatives, la commune fait partie de la 2e circonscription d'Indre-et-Loire.

Jusqu'à la fin 2009, Montreuil-en-Touraine se trouvait dans la juridiction du tribunal d'instance de Tours, maintenu dans le cadre de la réforme de la carte judiciaire mise en place le . Montreuil-en-Touraine relève donc en 2016[80] : du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Tours ; de la cour d'assises d'Indre-et-Loire, également à Tours ; du tribunal paritaire des baux ruraux de Saumur ; de la cour d'appel et du tribunal administratif d'Orléans ; de la cour administrative d'appel de Nantes.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

La commune de Montreuil-en-Touraine était rattachée à la communauté de communes des Deux Rives intégrée le à la communauté de communes du Val d'Amboise, elle-même reconduite dans ses limites territoriales le .

Le syndicat intercommunal d'énergie d'Indre-et-Loire (SIEIL) assure le contrôle et la coordination de l'ensemble des concessionnaires opérant sur l'Indre-et-Loire dans le domaine de la distribution de gaz et d'électricité[81]. Toutes les communes d'Indre-et-Loire, Tours exceptée, adhèrent au SIEIL à titre individuel par arrêté préfectoral en date du pour ce qui est de sa « compétence Électricité ». La commune de Montreuil-en-Touraine n'adhère pas à la « compétence Gaz », disposition facultative[82].

Le syndicat mixte Touraine propre, regroupant plusieurs communautés de communes ou syndicats mixtes intercommunaux d'Indre-et-Loire, a pour vocation de favoriser et fédérer les actions en matière de réduction et de valorisation des déchets ménagers. La communauté de communes du Val d'Amboise en est adhérente à titre collectif au nom des quatorze communes qu'elle regroupe[83].

Politique environnementale

[modifier | modifier le code]

Eau potable et assainissement

[modifier | modifier le code]

Huit communes de la communauté de communes du Val d'Amboise, dont Montreuil-en-Touraine, partagent les mêmes ressources en eau potable. Huit captages exploitent différentes nappes phréatiques ; aucun d'entre eux n'est situé sur le territoire de Montreuil-en-Touraine. Le réseau de distribution est mutualisé[84]. En 2017, le service est affermé auprès de Veolia Eau.

La communauté de communes prend en charge l'assainissement des eaux usées à titre collectif. À Montreuil-en-Touraine, ce sont trois stations d'épuration (deux par filtrage sur sable et une par lagunage) d'une capacité totale de 490 EH (Équivalent-habitant) qui sont installées ; les eaux épurées sont dirigées vers la Ramberge[85]. Le Satese assure le contrôle des équipements d'assainissement individuel pour les foyers non reliés au réseau collectif[86].

Déchets ménagers

[modifier | modifier le code]

La communauté de communes assure la collecte en porte-à-porte des déchets ménagers recyclables ou non, ainsi que leur traitement. Les autres déchets sont déposés par les habitants à la déchèterie de Neuillé-le-Lierre[87].

Finances locales

[modifier | modifier le code]

Pour l'exercice 2015, le compte administratif du budget municipal de Montreuil-en-Touraine s'établit à 673 000 euros en dépenses et 707 000 euros en recettes[88] :

  • les dépenses se répartissent en 567 000 euros de charges de fonctionnement et 106 000 euros d'emplois d'investissement ;
  • les recettes proviennent des 479 000 euros de produits de fonctionnement et de 228 000 euros de ressources d'investissement.

En 2015, la taxe d'habitation votée par le conseil municipal s'élève à 14,76 % de la valeur locative, rapportant environ 103 000 euros à la commune, soit en moyenne 131 euros par habitant[89]. La même année, la dette de la ville s'établit à 151 000 euros, soit 194 euros par habitant, en baisse graduelle sur les dernières années. En 2005, elle était à 348 000 euros (536 euros par habitant)[90].

Le tableau ci-dessous présente l'évolution de la capacité d'autofinancement, un des indicateurs des finances locales de Montreuil, sur une période de onze ans[91] :

Capacité d'autofinancement (CAF) à Montreuil-en-Touraine de 2005 à 2015
Résultats exprimés en €/habitant.
Strate : communes de 500 à 2 000 habitants appartenant à un groupement fiscalisé.
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015
Montreuil-en-Touraine 95 77 72 83 206 63 126 64 74 118 -109
Moyenne de la strate 142 151 152 151 147 150 168 169 156 149 149

CAF de Montreuil-en-Touraine CAF moyenne de la strate
Ordonnées du graphique : valeurs de la CAF exprimées en €/habitant.

Au cours des dix dernières années, la capacité d'autofinancement de la commune[Note 8], à une exception près, a toujours évolué nettement en dessous de la moyenne de la strate des communes de taille comparable ; pour l'exercice 2015, elle est même strictement négative. Le résultat comptable observe une évolution comparable[Note 9].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Les habitants de Montreuil-en-Touraine sont dénommés Montreuillois[43].

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

Avant la Révolution française, les populations communales sont exprimées en nombre de feux. À Montreuil, où les premiers registres paroissiaux datent de 1549, la population évolue entre 100 et 120 feux de 1687 à 1787, avec cependant un minimum en 1720 (93 feux) et un maximum en 1772 (137 feux)[62].

Puis la démographie de la commune est relativement stable pendant plus d'un siècle et demi, avec une population d'environ 500 personnes. La population fait l'objet d'une chute importante en 1975 (-20%) pour remonter dès 1982 avec la construction de nouveaux logements[16]. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[93]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[94].

En 2021, la commune comptait 759 habitants[Note 10], en évolution de −9,21 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
500555517555552533531514548
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
551501513531493529530532518
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
525491506459440455453452441
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
431433343521632642671682768
2015 2020 2021 - - - - - -
836766759------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[77] puis Insee à partir de 2006[95].)
Histogramme de l'évolution démographique
Soldes de variation annuelle de la population de Montreuil-en-Touraine
exprimés en pourcentages[Insee 5].
1968 - 1975 1975 - 1982 1982 - 1990 1990 - 1999 1999 - 2008 2008 - 2013
Taux de variation annuel de la population Baisse - 3,3 % Augmentation + 6,1 % Augmentation + 2,4 % Augmentation + 0,2 % Augmentation + 1,2 % Augmentation + 2,6 %
Solde naturel 0,0 % + 0,3 % + 0,2 % + 0,1 % + 0,3 % + 0,5 %
Solde migratoire - 3,3 % + 5,8 % + 2,3 % + 0,1 % + 0,9 % + 2,1 %

Depuis les années 1980, la population est en constante augmentation, sous l'effet conjoint d'un solde naturel et d'un solde migratoire positifs.

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (34,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,0 % la même année, alors qu'il est de 27,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 398 hommes pour 388 femmes, soit un taux de 50,64 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,09 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[96]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,5 
4,9 
75-89 ans
5,3 
18,3 
60-74 ans
18,5 
17,8 
45-59 ans
20,1 
21,4 
30-44 ans
22,8 
13,9 
15-29 ans
14,8 
23,2 
0-14 ans
18,0 
Pyramide des âges du département d'Indre-et-Loire en 2021 en pourcentage[97]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,2 
7,9 
75-89 ans
10,2 
17,3 
60-74 ans
18,1 
19,8 
45-59 ans
19,1 
17,9 
30-44 ans
17,2 
18,5 
15-29 ans
17,5 
17,6 
0-14 ans
15,6 

Enseignement

[modifier | modifier le code]
Photographie en couleurs d'une cour avec des dessins sur le sol goudronné.
Cour de l'école.

Montreuil-en-Touraine et Neuillé-le-Lierre ont mutualisé leurs ressources en matière d'enseignement primaire au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI), qui compte 75 élèves en 2016. Les classes de maternelle et de CP se trouvent à Montreuil-en-Touraine[98]. Les classes de cours élémentaire et cours moyen sont situées à Neuillé-le-Lierre. Un service de ramassage scolaire en car est organisé entre les deux communes.

La carte scolaire pour la rentrée 2016 prévoit la scolarisation des élèves du second degré de Montreuil-en-Touraine dans un collège et un lycée d'Amboise[99].

La commune ne compte plus aucun médecin. Il y a un médecin à Reugny (6 kilomètres) et un cabinet médical à Pocé-sur-Cisse (6 kilomètres). L'hôpital est à Amboise (10 kilomètres).

Photographie en couleurs de la façade ouest d'une église avec son portail.
Église Saint-Martin.

Pour l'exercice du culte catholique, le territoire de la commune dépend de la paroisse de Saint-Martin-Val-d'Amboise[100] au sein du doyenné d'Amboise, lui-même partie de l'archidiocèse de Tours mais, en 2016, l'église Saint-Martin de Montreuil-en-Touraine n'accueille pas d'offices religieux réguliers. Des messes occasionnelles sont toutefois célébrées, ainsi que les baptêmes, les mariages ou les enterrements.

Le quotidien régional La Nouvelle République du Centre-Ouest consacre une page de l'une de ses éditions aux actualités et informations intéressant Amboise et son canton[101].

Dans le cadre de ses programmes, France 3 Centre-Val de Loire diffuse l'émission régionale Vues sur Loire le dimanche à 12 h 55.

France Bleu Touraine, Radio Béton, radio associative à Tours, Radio Active, radio associative à Amboise et Montlouis-sur-Loire[102], ainsi que d'autres radios FM peuvent être captées à Montreuil-en-Touraine.

Activités sportives et culturelles

[modifier | modifier le code]

Équipements collectifs

[modifier | modifier le code]
Photographie en couleurs d'un bâtiment allongé.
Salle polyvalente.
Photographie en couleurs d'un terrain engazonné avec plusieurs équipements sportifs.
Stade Sonia-Bompastor.

Une salle polyvalente a été aménagée au début des années 2000, dans une ancienne grange agricole, à proximité immédiate du château de Montreuil-en-Touraine dont elle constituait une dépendance.

Le stade du Football club de Montreuil, inauguré le , porte le nom de Sonia Bompastor, qui a elle-même participé à la cérémonie d'inauguration[103].

Vie associative

[modifier | modifier le code]

En 2016, dix associations ont leur siège à Montreuil-en-Touraine. Elles interviennent dans des domaines d'activité divers : sport, défense de l'environnement et du cadre de vie, culture et patrimoine (telles que « L'association pour la sauvegarde du château »)[104]... Plusieurs ont un périmètre d'action dépassant le cadre communal, l'une d'entre elles rayonnant sur l'ensemble de la région[105].

Festivals, spectacles et manifestations

[modifier | modifier le code]

La commune n'abrite actuellement aucun marché[106]. De même, bien que des évènements ou manifestations sporadiques ou non-reconduites aient antérieurement été organisés[107],[108], aucune foire se déroulant de manière régulière (ou annuelle) et propre à la localité[Note 11], n'est actuellement recensée au sein de la cité montreuilloise[106].

Photographie d'une épaisse porte en métal dans un mur de briques.
Four à pain dans le château.

Toutefois, quelques évènements à caractère culturel sont parfois coordonnés dans la ville tourangelle. En , un concert, donné par un trio de joueurs d'instrument à vent à anche, a été organisé dans l'enceinte de l'église communale[110]. Une première édition du Forum des associations locales s'est tenue en [107]. Un marché médiéval, dont les installations ont été placées dans le parc du château, a été également organisé en par l'association montreuilloise « La Ferdasse »[111]. Par ailleurs, la « Fête du pain », organisée en septembre par le comité municipal des fêtes, s'est réalisée jusqu'au milieu des années 2010[112]. Ce rendez-vous culturel était lié à la restauration et remise en fonction de l'ancien four à pain, installé au sein du pressoir du château de Montreuil, au début des années 1990[104]. Enfin, la douzième et dernière édition de la « Fête de la courge », manifestation traditionnellement fixée au mois de septembre, depuis le début des années 2000 et coordonnée par les associations « Construir'éco », « Roucheux Développement » et « Les Jardins de Contrat », s'est déroulée en 2013[108].

Revenus et fiscalité

[modifier | modifier le code]

En 2015, le revenu fiscal médian par ménage est de 35 236 , alors que la moyenne départementale s'établit à 32 011  et que celle de la France métropolitaine est de 32 409 [Insee 6]. Le revenu médian net déclaré par foyer fiscal est de 20 753 euros en 2012[Insee 7].

En 2008, le taux de chômage dans la commune s'élève à 8,3 %, contre 8,0 % en 2013, soit bien inférieur à la moyenne nationale et régionale. En revanche, le taux d'activité a baissé, passant de 67,3 % à 65,3 % sur la même période. Environ 15,5 % des actifs montreuillois pourvus d'un emploi travaillent dans la commune. Les retraités représentent, quant à eux, 10,6 % de la population[Insee 8].

Tissu économique

[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Montreuil-en-Touraine selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[Insee 8] :

Établissements actifs par secteur d'activité au .
Total % 0
salarié
1 à 9
salariés
10 à 19
salariés
20 salariés
ou plus
Ensemble 60 100 49 10 1 0
Agriculture, sylviculture et pêche 16 26,7 13 3 0 0
Industrie 5 8,3 4 1 0 0
Construction 6 10,0 5 1 0 0
Commerce, transports, services divers 30 50 26 4 0 0
dont commerce et réparation automobile 9 15 8 1 0 0
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 3 5 1 1 1 0
Champ : ensemble des activités.

En 2015, six nouvelles entreprises sont créées, toutes dans les domaines du commerce, des transports et des services divers[Insee 9].

Fin 2014, la grande majorité (78,6 %) des emplois proposés dans les établissements de Montreuil-en-Touraine appartiennent à la « sphère présentielle », c'est-à-dire que les biens et services qu'ils produisent sont destinés à satisfaire les besoins locaux, des habitants ou des touristes ; pour autant, ces postes salariés sont concentrés dans 40 % des entreprises de la commune[Insee 10],[Insee 11].

Agriculture

[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Montreuil-en-Touraine, observées sur une période de 22 ans[113],[114] :

Évolution de l’agriculture à Montreuil-en-Touraine (37)
entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Nombre d’exploitations 31 21 18
Équivalent Unité de travail annuel 45 29 25
Surface agricole utile (SAU) (ha) 1 629 1 551 1 633
Cheptel (nombre de têtes) 632 663 551
Cultures permanentes (ha) 21 9 6
Surfaces toujours en herbe (ha) 85 59 26
Superficie moyenne d’une exploitation (ha) 52,5 73,9 90,7

Malgré la baisse du nombre d'exploitations, compensée par l'augmentation de leur taille, Montreuil-en-Touraine reste une commune agricole à dominante céréalière qui conserve toutefois une activité notable dans le domaine de l'élevage bovin, comme en témoigne le maintien d'un cheptel important ; trois exploitations sont d'ailleurs consacrées à la production laitière[115],[114]. Montreuil est également l'une des dix communes viticoles de l'aire d'appellation d'origine contrôlée (AOC) « touraine-amboise »[115], mais les surfaces consacrées à la vigne ont fortement diminué, passant de 38 hectares en 1979 à neuf hectares en 2000[116].

Industrie et artisanat

[modifier | modifier le code]

Le secteur industriel est significativement peu représenté sur le territoire communal[117]. En revanche, plusieurs établissements de type artisanal sont implantés au sein de la ville montreuilloise[118]. Ce tissu d'entreprises à faible structure salariale (moins de 10 salariés) est entre autres composé d'un plombier-chauffagiste, d'un maçon, d'un garagiste, d'un artisan tailleur de pierre[119], d'un paysagiste, et de charpentiers-couvreurs[120].

Activités de service

[modifier | modifier le code]
Photographie en couleurs de la vitrine d'un commerce fermé.
L'ancien « Bar Bouille », dans le centre-bourg.

Le dernier commerce de la commune a fermé en . Le « bar Bouille » proposait également un point Poste, une épicerie, un dépôt de pain et un dépôt de presse[121]. Pour pallier cette fermeture, un point Poste-dépôt de pain a été ouvert dans les locaux municipaux[122].

Toutefois, en parallèle de ce constat et selon les données du Kompass, deux établissements spécialisés dans le domaine de l'ingénierie informatique sont installés sur le territoire communal[123]. En outre, la ville est pourvue de quelques structures entreprenariales appartenant à la sphère des services aux entreprises de la filière agroalimentaire[124].

« Les Jardins de contrat » sont une association d'insertion professionnelle[125] (cultures légumières en production biologique et confection de « paniers paysans », écoconstruction, ferme pédagogique). Avec une quarantaine de salariés temporaires encadrés par une dizaine de permanents en 2015, c'est le plus gros employeur de main-d'œuvre de la commune[126].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

L'église, dédiée à saint Martin, évêque de Tours au IVe siècle, a été reconstruite à partir de 1875[127] dans le style néo-gothique et l'ensemble du mobilier est du même style, à l'exception de deux pierres sculptées datant du début du XVIe siècle trouvées lors de la démolition de l'ancienne église[Note 12] et classées monuments historiques le [129]. Ces sculptures, qui se présentent sous forme de bas-relief, portent des amoiries[130]. Les vitraux dédiés à sainte Françoise, saint Joseph et saint Martin datent de 1891 et sont signés J. Fournier à Tours. L'église fait partie du Chemin de Trèves[131], itinéraire de 138 kilomètres entre Vendôme et Tours lié à la vie de saint Martin.

Le château date du XVe siècle. Les façades, les toitures et les deux cheminées intérieures sont inscrites au titre des monuments historiques depuis le [132]. Une association de sauvegarde a été créée en 1990, à la suite de l'effondrement de la charpente[133],[104].

Un moulin à vent du type moulin-tour dit « moulin de Villagou », dépourvu de ses ailes, est situé dans la vallée de la Ramberge près du hameau des Vallées, au lieu-dit la Fourellerie. Les vestiges d'un moulin à eau peuvent être observés au bord de la Ramberge dans le hameau de Villagou. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, ce moulin dépendait de l'abbaye cistercienne de Fontaine-les-Blanches[134].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Patrimoine gastronomique

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'aire d'appellation touraine-amboise et quatorze types de vins pouvant être produits sur la commune — notamment sur le coteau bordant le fleuve ligérien —, bénéficient d'une AOP/AOC[104],[136]. Montreuil-en-Touraine est également dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage des fromages Sainte-Maure de Touraine[136].

Bœufs du Maine, Rillettes de Tours et 119 types de vins tranquilles ou effervescents bénéficient d'une indication géographique protégée (IGP) s'ils sont produits sur le territoire de Montreuil-en-Touraine[136].

Culture populaire

[modifier | modifier le code]

Une partie de la mini-série Le Bal des secrets y est tournée en 2012 et 2013[137],[138].

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Montreuil-en-Touraine

Les armes de Montreuil-en-Touraine se blasonnent ainsi :

D'or au mont de sinople, surmonté de trois arbres en fuseau arrachés du même mal ordonnés[139].

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Anciennement, ces massifs boisés appartenaient à la forêt de Blémars[8].
  2. À cet égard, au début du XIXe siècle, dans les années 1810, des terrains boisés appartenant à la forêt des Fontaines-Blanches et au massif des Daines sont encore soumis à des procédures de parcellisation à la demande de particuliers ou des autorités communales de Montreuil[19].
  3. À ce titre, la surface du domaine forestier de Montreuil n'a que peu évolué entre le début des années 1960 et le milieu des années 1980[8]. À cet effet, une étude statistique réalisée en 1963 et ayant entre autres pour objet l'étude du taux de boisement de l'ensemble naturel de la Gâtines tourangelles, révèle que la cité d'Indre-et-Loire possédait une surface arborifère totale équivalente à 22.9 % de son territoire[8].
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Cette liste, non exhaustive, vise à illustrer l'évolution toponymique et les premières mentions attestées par les sources écrites.
  6. Cette voie, construite à l'époque gallo-romaine, relie Limonum (Poitiers) à Autricum (ancienne ville de Chartres) en passant par Cæsarodunum (actuelle ville de Tours)[53]. À son entrée en Touraine, la via romana suit un tracé d'axe nord-est/sud-ouest et chemine par les communes de Cravant-les-Coteaux (domaine de Sonnay), d'Autrèche, puis de Montreuil et de Nazelles-Négron, étape à partir de laquelle elle se raccorde à un second itinéraire transversal allant d'Orléans à Angers[53].
  7. À cette même époque, pour désigner la paroisse rurale de Montreuil, certains registres mentionnent deux variantes finales : Musteriolo et Mosteriolo[59].
  8. La « capacité d'autofinancement » (CAF) est l’excédent dégagé en fonctionnement ; cet excédent permet de payer les remboursements de dettes. Le surplus (CAF - remboursements de dettes) s’ajoute aux recettes d’investissement (dotations, subventions, plus-values de cession) pour financer les dépenses d’équipement. Ce montant représente le financement disponible de la commune[92].
  9. Ces remarques ne résultent pas d'une analyse statistique des données présentées ; elles n'ont qu'une valeur strictement indicative.
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  11. Seuls sont maintenus des évènements ou manifestations qui se déroulent à l'échelle nationale telles que le bal du 14 Juillet ou de la Fête de la musique[109].
  12. Plusieurs documents manuscrits rédigés en langue latine, registres à caractère liturgique et qui ont été conservés et inventoriés aux archives départementales d'Indre-et-Loire, mettent en évidence les différents évènements — baptêmes, inhumations, et audenciæ — associés à cette précédente église ainsi qu'à la paroisse de Montreuil au cours des XIe siècle, XVe et XVIe siècle[128].
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  • Site de l'Insee :
  • Autres références :
  1. « Orthodromie entre « Montreuil-en-Touraine » et « Amboise » », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. « Orthodromie entre « Montreuil-en-Touraine » et « Tours » », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  3. « Montreuil-en-Touraine », sur le site lion 1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  4. « Montreuil-en-Touraine : recherche par proximité -Coordonnées », sur le site lion 1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  5. « Carte géologique de Montreuil-en-Touraine », sur Géoportail (consulté le ).
  6. Daniel Schweitz, « Du pays traditionnel au pays d'accueil : l'identité de la gâtine tourangelle depuis 1850 », Norois, no 163,‎ , p. 399-418 (lire en ligne).
  7. « Géologie et pédologie d'Indre-et-Loire » [PDF], sur donnees.centre.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ), p. 10.
  8. a b c d e f g et h Jean-Mary Couderc, « Aperçus statistiques sur les landes et les boisements de la Gâtine tourangelle. », Norois, Rennes, no 74,‎ , pages 243 et 255 (DOI 10.3406/noroi.1972.3818).
  9. Pierre Leveel, Histoire de Touraine et d'Indre-et-Loire, Chambray-lès-Tours, CLD, , 991 p. (ISBN 978-2-85443-157-5), p. 24.
  10. Jean-Claude Yvard, « Formations éoliennes des plateaux de la région de Tours. », Bulletin de l'Association française pour l'étude du quaternaire, vol. 5, no 2,‎ , pages 102, 108 et 109 (DOI 10.3406/quate.1968.1080).
  11. « Carte géologique de la France au 1/50 000 - notice géologique Château-Renault » [PDF], sur le site Ficheinfoterre du BRGM (consulté le ), p. 12-21.
  12. a b et c Couderc 1987, p. 552.
  13. Christophe Meunier, Géographie : Professeur des écoles : Oral, admission - CRPE 2017, Dunod, , 256 p. (ISBN 978-2-10-075579-0, lire en ligne), p. 73.
  14. a b c d e f et g Couderc 1987, p. 553.
  15. a b et c Thierry Moreau, « Présentation de la zone d’étude », dans Thierry Moreau et Jack Champion, Étude globale de la Brenne et de ses affluents., Auzouer-en-Touraine, Comité Départemental de Protection de la Nature et de l’Environnement - Syndicat intercommunal pour l’entretien et l’aménagement de la Brenne et de ses affluents, , 88 p. (lire en ligne [PDF]), pages 3, 8, 5, 6, 9, 10, 12, 13, 14 et 23.
  16. a b et c Jean-Luc Flohic (dir.), Patrimoine des communes de France, t. 1, Flohic, , 704 p. (ISBN 2-84234-115-5), p. 67.
  17. a b et c « Station hydrologique K4853000 : La Cisse à Nazelles-Négron », sur le site de la banque Hydro eaufrance, (consulté le ).
  18. a b et c « Station hydrologique K4856020 : La Ramberge à Pocé-sur-Cisse », sur le site de la banque Hydro eaufrance, (consulté le ).
  19. Georges-François Pottier, Régine Malveau (dir.) et Luc Forlivesi, Répertoire numérique des sous-séries 7M, 8M, 9M Archives départementales Tours 2010 : Agriculture, commerce et industrie 1800–1940, Tours, Archives départementales d'Indre-et-Loire, , 207 p. (lire en ligne [PDF]), page 111 ; note 102.
  20. Nicolas Poirier, « Géographie et géomorphologie régionales », dans Élizabeth Zadora-Rio (dir.), Atlas Archéologique de Touraine : 53e supplément à la Revue archéologique du centre de la France, Tours, FERACF, (lire en ligne [PDF]).
  21. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  22. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  23. « Orthodromie entre Montreuil-en-Touraine et Limeray », sur fr.distance.to (consulté le ).
  24. « Station Météo-France « Limeray », sur la commune de Limeray - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  25. « Station Météo-France « Limeray », sur la commune de Limeray - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  26. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  27. « Carte réseau et horaire », sur le site de Touraine Fil vert (consulté le ).
  28. « Ligne Intercités Paris-Austeriltz - Orléans - Tours », sur le site de la SNCF (consulté le ).
  29. a et b « Liste des gares : M », sur le site de la SNCF (consulté le ).
  30. « Montreuil-en-Touraine : carte des transports », sur le site Openstreetmap (consulté le ).
  31. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  32. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tours », sur insee.fr (consulté le ).
  33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  35. a et b PADD, p. 6.
  36. PADD, p. 2.
  37. « Lettre d'informations municipales - octobre 2016 » [PDF], sur le site de Montreuil-en-Touraine (consulté le ).
  38. PADD, p. 3.
  39. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Carte d'aléa pour le secteur de Montreuil-en-Touraine », sur le site « Géorisques » du ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie (consulté le ).
  40. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Description du phénomène », sur le site « Géorisques » du ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie (consulté le ).
  41. « Nouveau zonage sismique en Indre-et-Loire » [PDF], sur le site des services de l'État en Indre-et-Loire (consulté le ).
  42. Jean-Mary Couderc, La Touraine insolite : série 3, Chambray-lès-Tours, CLD, , 237 p. (ISBN 2-85443-287-8), p. 11-17.
  43. a b c d e f g et h Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 157.
  44. a b c d e et f Bulletin du Conseil municipal de Montreuil-en-Touraine, édition du 20 janvier 2010.
  45. « Canton d'Amboise : Montreuil-en-Touraine », sur Site Trésor des régions de France (consulté le ).
  46. « Intérieur ; Direction générale des collectivités locales ; sous-direction des compétences et institutions locales ; bureau des structures territoriales (1884-1966) : Répertoire (19770141/1-19770141/13) », publications des Archives nationales, Pierrefitte-sur-Seine,‎ , page 19 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  47. Marie-Thérèse Morlet, « Noms de lieux en Touraine », dans Marie-Thérèse Morlet et al., Bulletin philologique et historique (jusqu'à 1610) du Comité des Travaux Historiques et Scientifiques - Année 1968 : Actes du 93e Congrès des sociétés savantes tenu à Tours, vol. II, Paris, Bibliothèque nationale, , 984 p. (lire en ligne), page 488.
  48. Gendron 1998, p. 55.
  49. Raymond Mauny, « Topopnymie de la Touraine », Bulletin de la société archéologique de Touraine, Tours, Société archéologique de Touraine, t. 30,‎ , pages 160 (lire en ligne, consulté le ).
  50. Gilbert Bastien, « Glanes préhistoriques », Les Amis du musée préhistorique du Grand-Pressigny, nos 20 à 30,‎ 1969 à 1979.
  51. a et b Carré de Busserolle 1882, p. 329.
  52. Gérard Cordier, « Toponymie paléosidérurgique de la Touraine », Norois, no 119,‎ , p. 432 (DOI 10.3406/noroi.1983.4132).
  53. a b et c Émile Mabille, « Notice sur les divisions territoriales et la topographie de l'ancienne province de Touraine (deuxième article). », Bibliothèque de l'École des chartes, t. 24,‎ , pages 420 et 424 (DOI 10.3406/bec.1863.445880, lire en ligne).
  54. Pierre Audin, « La voie Vendôme-Poitiers en Touraine (de Saint-Nicolas-des-Motets à Port-de-Piles) », bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. LVII,‎ , p. 100 et 120.
  55. Émile Mabille, « Notice sur les divisions territoriales et la topographie de la Touraine : III Routes romaines ; 4 - Route de Cæsarodunum à Limonum », dans Émile Mabille et al., Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 4, 24 et 29, Paris, Librairie Droz, (lire en ligne), page 420.
  56. Pierre Audin, Mémoire de la Société archéologique de Touraine : La Touraine autour de l'an mil : inventaire des sources historiques et archéologiques, t. LXIX, , 151 p., p. 106.
  57. Jean-Jacques Bourassé (dir.) et al., « Chevaliers bannerets. », dans Jean-Jacques Bourassé (directeur d'ouvrage) et al., La Touraine, son histoire et ses monuments., A. Mame, , 610 p. (lire en ligne), page 361.
  58. a et b Charles Loizeau de Grandmaison, Archives ecclésiastiques antérieures à 1790 : inventaire sommaire de la série H - Clergé régulier - H1 987, Archives départementales de Tours, , 358 p. (lire en ligne [PDF]), pages 71 à 79, 103, 199 et 292.
  59. a et b Émile Mabille, « Notice sur les divisions territoriales et la topographie de l'ancienne province de Touraine (cinquième et dernier article). », Bibliothèque de l'École des chartes, t. 27,‎ , pages 346, 360 et 373 (DOI 10.3406/bec.1866.446064, lire en ligne, consulté le ).
  60. Jean-Michel Gorry, « L'opinion du Tiers état d'Indre-et-Loire en 1789 d'après les cahiers de doléances », bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. XLII,‎ , p. 239 (lire en ligne).
  61. Jean-Michel Gorry et Denis Jeanson, Cahiers de doléances en Indre-et-Loire, t. 2, Denis Jeanson, , 632 p. (ISBN 2-908904-02-0), p. 426-427.
  62. a b et c Jean-Michel Gorry, Paroisses et communes de France. Dictionnaire d'histoire administrative et démographique. Indre-et-Loire, Paris, CNRS, , 480 p. (ISBN 978-2-222-03681-4), p. 236.
  63. Jean-Luc Flohic (dir.), Patrimoine des communes de France, t. 1, Flohic, , 704 p. (ISBN 2-84234-115-5), p. 68.
  64. Alexandre Ledru-Rollin, Répertoire général contenant la jurisprudence de 1791 à 1845 : l'histoire du droit, la législation et la doctrine des auteurs, t. III, Bureau du Journal du Palais, , 956 p. (lire en ligne), p. 516.
  65. Pierre Rouillé-Courbe, « Canton d'Amboise », dans Pierre Rouillé-Courbe,  : réception de S.A.I. Le prince Louis-Napoléon dans le département d'Indre-et-Loire., (lire en ligne), page 47.
  66. a et b « Plan cadastral - Montreuil-en-Touraine (cadastre rénové en 1934) », sur le site des archives départementales d'Indre-et-Loire (consulté le ).
  67. a b et c Marcel Grégoire (dir.) et al., « Rapport de l'ingénieur ordinaire sur l'électrification rurale (marché des travaux) : Travaux à entreprendre », dans Marcel Grégoire - Collectif - Conseil départemental d'Indre-et-Loire, Rapport et délibérations du Conseil Général d'Indre-et-Loire : première session ordinaire, vol. 3, Imprimerie Arrault, , 284 p. (lire en ligne), pages 58 et 59.
  68. a et b Romain Le Gendre, « Cadastre rénové : Documentation cadastrale par arrondissements », dans Fonds des services du cadastre 1930–2008 Répertoire méthodique des versements relatifs au cadastre rénové, Chambray-lès-Tours, Archives départementales d'Indre-et-Loire, , 475 p. (lire en ligne [PDF]), pages 69 à 99.
  69. Gérard Tardivo, « Montreuil-en-Touraine : monument aux morts (relevé no 33982) », sur MemorialGenWeb.org, (consulté le ).
  70. « Commune nouvelle : Un pari sur l'avenir », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne).
  71. « Fusion de communes : une consultation en 2017 », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne).
  72. « Commune de Montreuil-en-Touraine - Résultats de la commune au 2d tour », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  73. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  74. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  75. Liste des maires de Montreuil-en-Touraine, Archives municipales de Montreuil-en-Touraine, consultées le .
  76. « Trois élèves de Vaucanson à la finale du concours C. Génial », sur le site du lycée Vaucanson (consulté le ).
  77. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  78. Décret no 2014-179 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département d'Indre-et-Loire.
  79. « Les nouveaux arrondissements », sur le site des services de l'État en Indre-et-Loire (consulté le ).
  80. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  81. « Activités », sur le site du syndicat intercommunal d'énergie d'Indre-et-Loire (consulté le ).
  82. « Le SIEIL et le gaz », sur le site du syndicat intercommunal d'énergie d'Indre-et-Loire (consulté le ).
  83. « Périmètre géographique », sur le site de Touraine Propre (consulté le ).
  84. « Communauté de communes du Val d'Amboise / eau potable : Territoire principal AEP », sur Services Eau France (consulté le ).
  85. « Communauté de communes du Val d'Amboise / assainissement collectif : Principal (régie) », sur Services Eau France (consulté le ).
  86. « Service : SATESE / assainissement non collectif : Contrôle des installations », sur Services Eau France (consulté le ).
  87. « Collecte des ordures ménagères », sur le site de Montreuil-en-Touraine (consulté le ).
  88. « Les comptes des communes - Montreuil-en-Touraine : opérations d'investissement » (consulté le ).
  89. « Les comptes des communes - Montreuil-en-Touraine : Éléments de Fiscalité » (consulté le ).
  90. « Les comptes des communes - Montreuil-en-Touraine : Endettement » (consulté le ).
  91. « Comptes de la commune de Montreuil-en-Touraine », sur le site du ministère des Finances (consulté le ).
  92. « Mémento financier et fiscal du maire » [PDF], sur ministère du Budget, , p. 34.
  93. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  94. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  95. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  96. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montreuil-en-Touraine (37158) », (consulté le ).
  97. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département d'Indre-et-Loire (37) », (consulté le ).
  98. « École maternelle publique de Montreuil-en-Touraine », sur education.gouv.fr (consulté le ).
  99. « Zones de recrutement des collèges et des lycées - département d'Indre-et-Loire » [PDF], sur le site de l'académie d'Orléans-Tours (consulté le ), p. 22.
  100. « Paroisse Saint Martin Val d'Amboise », sur le site d'ÉgliseInfo (consulté le ).
  101. Site internet de la Nouvelle République.
  102. « Qui sommes-nous », sur Radio active (consulté le ).
  103. « Une star du football inaugure le stade », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
  104. a b c et d Claude Courgeau et al., Pour un pays d'art et d'histoire : Loire-Touraine - Dossier de candidature novembre 2008, Conseil général d'Indre-et-Loire, , 164 p. (lire en ligne [PDF]), pages 25, 104, 105, 124, 135 et 142.
  105. « Associations de la ville de Montreuil-en-Touraine », sur Net 1901.org (consulté le ).
  106. a et b « L'officiel des foires et marchés en Indre-et-Loire : 92 marchés réguliers », sur site de l'Officiel des foires et marchés (consulté le ).
  107. a et b « Un forum pour mieux se faire connaître », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
  108. a et b « C'est la Fête de la courge ! », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  109. « Fête de la musique à Montreuil-en-Touraine : Concert, Festivités Montreuil-en-Touraine », sur Tous Voisins, (consulté le ).
  110. « Remarquable trio d'anches », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  111. « C'est nouveau : La Ferdasse, pour animer », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  112. « Fête du pain 2015 », sur site de la commune de Montreuil-en-Touraine (consulté le ).
  113. « Recensement agricole 2010 - Principaux résultats par commune », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
  114. a et b « Données générales des exploitations ayant leur siège dans Montreuil-en-Touraine commune », sur site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du Ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt (consulté le ).
  115. a et b « Touraine-Amboise : aire géographique », sur le site de l'Inao (consulté le ).
  116. « Recensements agricoles par commune - Indre-et-Loire » [xls], sur le site d'Agreste (consulté le ).
  117. « Entreprises - Métallurgie, mécanique et sous-traitance - Montreuil-en-Touraine (Indre-et-Loire) », sur site du Kompass (consulté le ).
  118. « Entreprises - Construction, Bâtiment, Bois, Habitat - Montreuil-en-Touraine (Indre-et-Loire) », sur site de la base de données Kompass (consulté le ).
  119. « Montreuil-en-Touraine - SARL Breussin », sur site de la base de données Kompass (consulté le ).
  120. « Entreprises - Montreuil-en-Touraine (Indre-et-Loire) », sur site de la base de données Kompass (consulté le ).
  121. « Commerce : vital au village », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
  122. « Agence postale et dépôt de pain », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
  123. « Entreprises - Informatique, Internet, R&D : Montreuil-en-Touraine (Indre-et-Loire) », sur site de la base de données Kompass (consulté le ).
  124. « Entreprises - Agroalimentaire : Montreuil-en-Touraine (Indre-et-Loire) », sur site de la base de données Kompass (consulté le ).
  125. « Jardins de contrat », sur Infogreffe (consulté le ).
  126. « Jardins de contrat : ici pousse aussi la solidarité », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne).
  127. Jean-Luc Flohic (dir.), Patrimoine des communes de France, t. 1, Flohic, , 704 p. (ISBN 2-84234-115-5), p. 69.
  128. Yves Le Sage de La Haye, « I - Feuillets et fragments de manuscrits rédigés en latin », dans Yves Le Sage de La Haye, Répertoire numérique de la Série I : Inventaire des fragments et feuillets et de manuscrits liturgiques avec ou sans annotation musicale (IXe – XVIe siècle)., vol. I, Tours, Archives départementales d'Indre-et-Loire - Conseil général d'Indre-et-Loire, , 454 p. (lire en ligne [PDF]), pages 65, 169 et 191.
  129. Guillaume Métayer, « Montreuil, l'église », sur Reugny-Neuillé, (consulté le ).
  130. Notice no PM37000317, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  131. « Le Chemin de Trèves », sur le site du centre culturel européen Saint Martin de Tours (consulté le ).
  132. Notice no PA00097881, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  133. Guillaume Métayer, « Sauvegarde du château de Montreuil en Touraine », (consulté le ).
  134. Jacques-Xavier Carré de Busserolle, Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine, t. III, Société archéologique de Touraine, , 419 p. (lire en ligne), p. 91.
  135. Délibération du , Conseil municipal, Montreuil-en-Touraine.
  136. a b et c « Liste des produits - Commune : Montreuil-en-Touraine (37) », sur le site de l'Inao (consulté le ).
  137. « Les principaux tournages de l'année », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
  138. « La campagne tourangelle pour décor d'un téléfilm », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
  139. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.