Maissemy

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Maissemy
Maissemy
La mairie et l'ancienne école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité Communauté de communes du Pays du Vermandois
Maire
Mandat
Régine Michaut
2020-2026
Code postal 02490
Code commune 02452
Démographie
Gentilé Maissemiacois
Population
municipale
234 hab. (2021 en diminution de 4,49 % par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 53′ 39″ nord, 3° 11′ 18″ est
Altitude Min. 71 m
Max. 123 m
Superficie 8,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Quentin-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Maissemy
Géolocalisation sur la carte : France
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Maissemy
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Maissemy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Maissemy

Maissemy est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
Vue du village
Vue du village
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes ; 5 : vue du village.

La commune est traversée au niveau du hameau de Vadancourt par l'Omignon, qui prend sa source à Pontru, et se jette 30 km plus loin dans la Somme à Saint-Christ-Briost.

Le hameau de Vadancourt est situé au nord-ouest de Maissemy.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Maissemy
Vendelles Le Verguier Pontru
Vermand Maissemy Gricourt
Holnon

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est traversé du nord-est au sud-ouest par l'Omignon, rivière qui prend sa source à Pontru et qui va se jeter dans la Somme à Brie.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 701 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Maissemy est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,9 %), forêts (10,7 %), zones urbanisées (3,9 %), eaux continentales[Note 3] (1,4 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village apparaît pour la première fois en 1241 sous le nom de Maissemi puis Territorium de Maissimi en 1247 dans un cartulaire de l'Abbaye de Fervaques puis Messemi-emprès-Saint-Quentin et enfin l'orthographe actuelle Maissemy sur la Carte de Cassini XVIIIe siècle [13].

Le hameau de Vadancourt est cité en 1145 sous le nom de Windicurtis, puis Vaudencourt en 1168 dans un cartulaire de l'Abbaye d'Homblières, Wadencourt, Waudencourt, Vuadencourt sur la Carte de Cassini XVIIIe siècle, Vadancourt-sur-Aumignon et enfin l'orthographe actuelle Vadancourt [14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini du secteur vers 1750.

La carte de Cassini ci-dessus montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Maissemy était une paroisse située sur la rive gauche de la rivière l'Omignon. La crosse tournée vers la gauche indique que le village possédait une abbaye de filles.
Des étangs étaient créés grâce à des barrages pour permettre la pêche, importante source de nourriture à l'époque.

Au sud-est, un moulin à vent en bois, aujourd'hui disparu, était en fonction vers 1750 sur les hauteurs vers Gricourt.

Le château de Vadancourt (écrit Vuadancourt) est représenté au nord-est.

La guerre 1914-1918[modifier | modifier le code]

Comme d'autres villages de la région, Maissemy est sorti meurtrie de la Grande Guerre car le village a été entièrement rasé en 1917 par les Allemands.
Le , soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands arrivent à Maissemy[15]. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en . Le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest vers Péronne, l'activité des occupants consistait principalement à assurer le logement des combattants et l'approvisionnement en nourriture. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien. Voici des extraits d'un arrêté de la kommandantur d'Holnon valable pour 25 communes de la région : " Holnon le . Tous les ouvriers et les femmes et les enfants de 15 ans sont obligés de faire travaux des champs tous les jours aussi dimanche de quatre heure du matin jusque huit heure du soir... Après la récolte les fainéants seront emprisonnés 6 mois... Les femmes fainéantes seront exilées à Holnon pour travailler. Après la récolte, les femmes seront emprisonnées 6 mois... Les enfants fainéants seront punis de coups de bâton. De plus le commandant réserve de punir les ouvriers fainéants de 20 coups de bâton tous les jours... Les ouvriers de la commune Vendelles sont punis sévèrement".(voir le document entier sur Gallica en cliquant sur le lien ci-après[16]).
En , le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Dès le les habitants furent évacués, emmenés à Saint-Quentin et dispersés dans des lieux occupés, jusqu'en Belgique. En , avant du retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, les maisons sont pillées et incendiées, le village est systématiquement détruit. L'église, la mairie, les écoles et toutes les maisons sont dynamitées et les arbres sciés à 1 m de hauteur[17].
Le village, vidé de ses habitants, reste occupé par les Allemands ; il est repris le après de durs combats par les troupes britanniques[18],[19]
Les ruines du village seront plusieurs fois reprises par chaque camp et n'est que les 17 et , lors de la bataille de la ligne Hindenburg que Maissemy sera définitivement libérée par la 24e division britannique[20].
Dans le Cimetière militaire de Maissemy-Vadancourt reposent les corps de 760 soldats, essentiellement britanniques, tués lors des combats de 1917 et 1918[21]. Après l'Armistice, de nombreux habitants ne revinrent pas s'installer dans la commune et, avec les dommages de guerre, commencèrent une nouvelle vie dans d'autres lieux. Pour ceux qui furent de retour commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. De 376 habitants habitants avant la guerre, Maissemy n'en comptait plus que 171 en 1921, soit moins de la moitié.
Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le [22]. Sur le monument aux morts, inauguré en 1921, sont inscrits les noms des dix-neuf soldats de Maissemy morts pour la France[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Maissemy est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Bellicourt. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[24].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Quentin, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[25]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Quentin-1 pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[25], et de la deuxième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[26].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1876 après 1877 M. Burgue[27]    
1914 1919 Lucien Antoine Arbel   Docteur en médecine
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1973   Edmond Trépant Mvt.réf.  
juin 1995 avril 2014[28] M. Dominique Trepant   Agent immobilier
avril 2014[29] mai 2020 Raphaël Trepant SE Agriculteur
mai 2020[30] En cours
(au 23 mai 2020)
Régine Michaut    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 234 habitants[Note 4], en diminution de 4,49 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
423415412421530550555564605
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
637667672597610544539502474
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
435403376171234214221197235
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
212213203174157194225234245
2015 2020 2021 - - - - - -
245235234------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Pierre de Maissemy, reconstruite après la guerre de 1914-1918. Le clocher est équipé de deux horloges. L'une, sur la face avant, est installée dans un orifice bordé de pierre. L'autre, sur le côté sud, est simplement entourée de briques. Sur le côté nord, l'orifice symétrique est muni d'abat-sons. Le haut des baies de la « chambre des cloches » est décoré, sur chaque face, par des lambrequins. Quatre marches menant à un portail perpendiculaire à la rue donnent accès au cimetière, qui s'étend au pied de l'église.
  • Château de Vadancourt, dans le hameau de Vadancourt.
  • Monument aux morts.
  • Cimetière militaire allemand de Maissemy[35].
  • Vadencourt British Cemetery, le cimetière militaire britannique de la Commonwealth War Graves Commission au hameau de Vadancourt[36],[37],[38],[39] (le nom gravé dans la pierre à l'entrée de la nécropole est Vadancourt et non Vadancourt).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Maissemy et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes », sur Gallica, (consulté le ).
  14. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes », sur Gallica, (consulté le ).
  15. (en) « Cartographie 1914-1918 - Carte des positions au 28 aout 1914 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  16. « Nouvelles de France : chronique hebdomadaire de la presse française », sur Gallica, (consulté le ).
  17. « Carte des positions 16 mars 1917 », sur carto1418.fr (consulté le ).
  18. « La Guerre mondiale : bulletin quotidien illustré », sur Gallica, (consulté le ).
  19. « La Guerre mondiale : bulletin quotidien illustré », sur Gallica, (consulté le ).
  20. « Journal des débats politiques et littéraires », sur Gallica, (consulté le ).
  21. « British cemetery - Vadencourt », sur Picardie 14-18 (consulté le ).
  22. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
  23. « Rechercher dans le fonds iconographique », sur geneanet.org (consulté le ).
  24. « communauté de communes du Pays du Vermandois - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  25. a et b « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Maissemy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  26. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  27. Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1877, p214.
  28. Michel Lobjois, « Le maire tire sa révérence : Premier magistrat de la commune depuis 1995, Dominique Trépant a annoncé qu'il prenait « sa retraite ». Son premier adjoint renonce lui aussi », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Avide d'apprendre la décision de celui qui est leur maire depuis le 24 juin 1995, précédé de deux mandats de conseiller municipal, le public est venu en nombre assister aux derniers vœux de l'édile ».
  29. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
  30. « Régine Michaut est la nouvelle maire de Maissemy », sur aisnenouvelle.fr, L'Aisne nouvelle, (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Site de l'association généalogique Généalogie-Aisne
  36. Site de l'association généalogique Généalogie-Aisne
  37. (en) [1]
  38. (en) [2]
  39. (en) [3]

Liens externes[modifier | modifier le code]