Coulaures

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Coulaures
Coulaures
Le bourg de Coulaures dominé par le clocher de l'église et les deux tours du château de Conty.
Image illustrative de l’article Coulaures
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord
Maire
Mandat
Corinne Ducrocq
2020-2026
Code postal 24420
Code commune 24137
Démographie
Gentilé Coulaurois
Population
municipale
731 hab. (2021 en diminution de 2,14 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 18′ 26″ nord, 0° 58′ 50″ est
Altitude Min. 117 m
Max. 275 m
Superficie 28,87 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Isle-Loue-Auvézère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Coulaures
Liens
Site web mairiecoulaures.fr

Coulaures est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située en Périgord central, dans le quart nord-est du département de la Dordogne, la commune de Coulaures est arrosée par l'Isle et la Loue qui y confluent, et bordée par le Ravillou.

Traversé par la route départementale (RD) 705 et établi sur les deux rives de la Loue, un peu en amont de sa confluence avec l'Isle, le bourg de Coulaures se situe, en distances orthodromiques, 5,0 km au sud-ouest d'Excideuil, 13,0 km au sud-sud-est de Thiviers, 22,2 km de l’aéroport Périgueux-Bassillac et 33,3 km du Centre administratif du parc naturel régional Périgord-Limousin[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Coulaures est limitrophe de huit autres communes.


Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Coulaures est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[2]. Elle est à la fois dans le causse de Cubjac et le causse de Savignac, qui, avec le causse de Thenon, forment un ensemble de collines karstifiées dans les calcaires liasiques et jurassiques à l'est de Périgueux jusqu'à Excideuil et Thenon, d'environ 30 km N-S et 15 km O-E, coupé par les vallées de l'Isle, de l'Auvézère et de la Loue.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j3a-b, date du Bathonien inférieur à moyen, une alternance de calcaires micritiques gris cryptocristallins avec des argiles parfois ligniteuses ou des marnes noires (formation d'Ajat). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 759 - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].

Carte géologique de Coulaures.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 117 m[6] dans le sud-ouest, là ou l'Isle quitte le territoire communal et continue sur celui de Mayac, et 275 m[6],[7], dans le sud-est, au nord du lieu-dit le Meynichou, en limite de Saint-Pantaly-d'Excideuil.

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 28,87 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 30,12 km2[4].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par l'Isle, la Loue et le Ravillou, qui constituent un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[15],[Carte 1].

L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[16],[17]. Elle traverse la commune du nord au sud sur près de six kilomètres et demi, servant de limite naturelle sur un kilomètre face à Mayac.

La Loue, d'une longueur totale de 50,87 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Saint-Yrieix-la-Perche et se jette dans l'Isle en rive gauche à Coulaures[18],[19]. Elle traverse la commune de l'est au centre sur trois kilomètres, en passant par le bourg.

Le Ravillou, d'une longueur totale de 13,13 km, prend sa source dans la commune de Dussac et se jette dans la Loue en rive droite, en limite de Coulaures et Saint-Pantaly-d'Excideuil[20]. Il sert de limite à l'est sur 700 mètres avec la commune de Saint-Pantaly-d'Excideuil. Des mesures de restriction des usages des eaux superficielles ont été mises en œuvre en juin 2023 par les services de la Préfecture de la Dordogne[21] ainsi qu’au niveau national pour la surveillance des proliférations des bactéries[22],[23].

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[24]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [25].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[26]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[27].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 943 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[28]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bassillac et Auberoche à 18 km à vol d'oiseau[29], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 480,0 mm[30]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[31].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[32],[33].

La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en et se situe à la fois dans sa « zone tampon » et dans sa « zone de transition »[34].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3].

Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[36].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

En 2022, deux ZNIEFF sont recensées sur la commune d’après l'INPN[37].

Ces ZNIEFF de type 2[Note 4] sont des zones calcaires boisées :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Coulaures est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[43],[44],[45]. La commune est en outre hors attraction des villes[46],[47].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un Carte communale[48] dont la dernière procédure a été approuvée le 15 novembre 2010. L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51 %), zones agricoles hétérogènes (32,4 %), prairies (11,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %), terres arables (2 %)[49]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Outre le bourg de Coulaures proprement dit, le territoire communal se compose de villages ou de hameaux, ainsi que de lieux-dits[50] :

  • Antissac
  • Bas Paleyrac
  • la Berlandie
  • Bois Levé
  • les Brandes
  • les Cagorres
  • Chardeuil
  • la Combe
  • le Coq Rôti
  • la Cousse
  • le Couvent
  • la Croix Dorée
  • la Dénarie
  • la Faurie
  • Fosselandrie
  • les Fournichoux
  • les Gadauds
  • la Giboulie
  • Glane
  • Grandchamp
  • la Grèze
  • le Gué Fourchat
  • Haut Paleyrac
  • Lâge
  • Lalet
  • Lassaugour
  • le Meynichou
  • Panassac
  • la Pinsonnie
  • les Places
  • les Plantes
  • le Pont de Vetz
  • la Reille
  • les Roberts
  • les Rouchades
  • Serveillac
  • la Simeyronie
  • Sous le Raisse
  • le Terrier
  • la Tour
  • la Tourouge
  • Vauriac
  • Verdeney
  • Verneuil
  • Vetz.

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Longeant l'Isle puis la Loue, la route départementale (RD) 705 traverse le territoire communal d'ouest en est sur plus de trois kilomètres, pasant par le bourg. La commune est également desservie par la RD 73, en directions de Négrondes et de Tourtoirac et par la RD 74 menant à Sorges.

Dessertes par autoroute : A89 : (aussi appelée La Transeuropéenne) est une autoroute qui relie Bordeaux (à hauteur de Libourne) à Lyon (Limonest) via Clermont-Ferrand. Échangeurs à Thenon (no 17) et Périgueux est - Aire du Manoire (no 16).

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Lignes ferroviaires[modifier | modifier le code]

La ligne ferroviaire la plus proche est celle de Limoges-Bénédictins à Périgueux, avec les gares de Négrondes et de Thiviers.

De 1887 à 1948, une ligne de chemin de fer secondaire, dite aussi tramway, à voie métrique, avait une halte sur la commune, au niveau de Chardeuil.

Transport aérien[modifier | modifier le code]

Les aéroports les plus proches sont ceux de Périgueux-Bassillac (très peu desservi commercialement depuis 2018) et de Brive-Souillac.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Coulaures est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[51]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[52].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Isle, la Loue et le Ravillou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1997, 1999, 2007 et 2008[53],[51]. Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) « Isle Amont et Auvézère » a été approuvé en 2016 [54] ; pour Coulaures, il concerne l'Isle et la Loue en totalité, ainsi que les 300 derniers mètres du Ravillou, impactant leurs rives, jusqu'à 500 mètres de largeur par endroits[51].

Coulaures est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[55]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[56],[57].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Coulaures.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[58]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[59]. 41,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[60].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1992 et par des mouvements de terrain en 1999[51].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En occitan, la commune porte le nom de Colòures[61], dérivant du latin colubra (« couleuvre »).

Histoire[modifier | modifier le code]

La découverte d’outils préhistoriques dans la grotte de Contie[62] atteste, par leur datation, que le site était déjà occupé par l’homme à l’époque du Mésolithique, c'est-à-dire environ 10 000 ans avant notre ère. Les outils, pointes et micro-burins, découverts dans cette grotte en 1943 et 1947 sont de type « Sauveterrien » (forme triangulaire) et « Tardenoisien » (forme trapézoïdale) Possession de l'abbaye de Tourtoirac, la paroisse de Coulaures dépendait de la châtellenie d'Excideuil et de la Vicomté de Limoges jusqu'au début du XVIe siècle[63].

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, on trouve la graphie Coulaure.

En 1943, l'infirmerie-hôpital du groupement 28 des Chantiers de la jeunesse s'est installée au château de Chardeuil[64].

La commune a été décorée de la croix de guerre 1939-1945 le , distinction également attribuée à dix-huit autres communes de la Dordogne[65]. Hommage aux Justes. La commune d’Excideuil a adhéré au réseau des villes[66] ayant abrité des Justes parmi les nations[67] (Albert Faurel, Directeur de l’école primaire supérieure et du collège de 1937 à 1956)[68] et les communes de Coulaures, Clermont-d’Excideuil[69] et Saint-Raphaël (Pierre Antoine Laboureur, et Marie Madeleine Laboureur Granger[70]) étant dans le même cas, une action a été projetée de créer un mini-réseau en Périgord vert au sein du réseau national.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune de Coulaures a, dès 1790, été rattachée au canton de Savignac qui dépendait du district d'Excideuil jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton de Savignac, renommé en canton de Savignac-les-Églises, est rattaché à l'arrondissement de Périgueux[6].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, le canton de Savignac-les-Églises disparaît aux élections départementales de mars 2015[71]. La commune est alors rattachée électoralement au canton d'Isle-Loue-Auvézère.

En 2017, Coulaures est rattachée à l'arrondissement de Nontron[72],[73].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Fin 2003, Coulaures intègre dès sa création la communauté de communes Causses et Rivières en Périgord. Celle-ci est dissoute le et ses communes — hormis Savignac-les-Églises qui rejoint Le Grand Périgueux — sont rattachées à la communauté de communes du Pays de Lanouaille qui la même année prend le nom de communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[74],[75].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs à partir de 1912[76]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1912 janvier 1918 Achille Lasgrézas[Note 8]    
janvier 1918 décembre 1919 Léonard Dévaux   Adjoint faisant fonctions de maire
décembre 1919 mai 1935 Léonard Dévaux    
mai 1935 décembre 1940 Sylvain Bordas[Note 9],[77]    
décembre 1940 juillet 1965 Albert Feneyrol[Note 7]    
septembre 1965 janvier 1969 Paul Bordas[Note 7]    
janvier 1969 avril 1969 Jean Ferdinand Bordas   Adjoint faisant fonctions de maire
avril 1969 mars 1977 Henri Labarre    
mars 1977 mars 1980 Albert Chaminade[Note 7]    
mai 1980 mars 1989 Paul Magnat    
mars 1989 mars 2008 Alain Guichard PCF  
mars 2008
(réélue en mai 2020[78])
En cours Corinne Ducrocq SE[79]-PS Technicienne, conseillère départementale depuis 2021

Budget et fiscalité 2022[modifier | modifier le code]

Mairie.

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[80] :

  • total des produits de fonctionnement : 680 000 , soit 847  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 521 000 , soit 649  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 186 000 , soit 231  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 269 000 , soit 335  par habitant ;
  • endettement : 23 000 , soit 29  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 9,29 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 42,65 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 87,29 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 420 [81].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée au bourg de Coulaures.

Coulaures fut un temps jumelée avec Taradeau dans le Var puis Delme en Moselle.

Depuis 2015, sur l'initiative de madame la maire, Coulaures parraine également le village tibétain de Darchen.

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 2023, la commune dispose d'une école primaire publique[82].

Le lycée public professionnel des métiers du bâtiment est également présent sur le territoire communal[82].

Selon le classement établi par l'Éducation nationale en 2022, le lycée public Chardeuil-Métiers-du-Bâtiment présente un taux de réussite de 72 % au bac général et technologique[83].

Les collèges les plus proches sont situés à Excideuil (collège Giraut-de-Borneil), Thiviers (collège Léonce-Bourliaguet) et Lanouaille (collège Plaisance)[84].

Outre le lycée professionnel des métiers du bâtiment présent à Coulaures, les lycées les plus proches sont ceux d'Excideuil (lycée Giraut-de-Borneil) et de Thiviers (lycée professionnel Porte-d'Aquitaine)[85].

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Coulaures relève[86] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Coulaures se nomment les Coulaurois[87].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[88]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[89].

En 2021, la commune comptait 731 habitants[Note 10], en diminution de 2,14 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2461 1001 1481 1041 4191 3801 5381 5601 585
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5231 5041 4511 3651 3741 3891 3371 3261 205
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2171 1961 1201 0431 000958923928931
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
822754726696743683733736745
2018 2021 - - - - - - -
722731-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[90].)
Histogramme de l'évolution démographique

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé à proximité[91] :

Cultes[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Depuis des décennies, Coulaures organise une fête patronale le 15 août de chaque année. Depuis 2009, cette dernière met en avant la culture locale mais également les différentes cultures du monde entier. En effet, la « fête de l'oie » voit son animal emblématique voyager de pays en pays au fil des ans : des États-Unis au Brésil en passant par la Polynésie française. En 2015, c'est un voyage de l'Inde à l'Orient à travers la danse qui est proposé[95]. Lors de cette journée sont également organisés un marché gourmand, un vide-greniers et un défilé de chars aquatiques sur la Loue, la fête se terminant par un feu d'artifice[95].

En octobre se tient le Salon du livre régional (14e édition en 2021 avec une quarantaine d'auteurs, dont Michel Testut, parrain de cette édition)[96].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2020[97], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 295 personnes, soit 40,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (36) a diminué par rapport à 2014 (40) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,2 %.

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Cinquante-neuf établissements[Note 11] sont implantés à Gaugeac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[98].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 59 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
9 15,3 % (10,2 %)
Construction 13 22,0 % (14,2 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
11 18,6 % (31,3 %)
Information et communication 1 1,7 % (1,7 %)
Activités financières et d'assurance 0 0.0 % (3,4 %)
Activités immobilières 0 0,0 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
11 18,6 % (14,5 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
8 13,6 % (11,5 %)
Autres activités de services 6 10,2 % (9,1 %)

Sur les neuf secteurs d'activité marchande, trois d'entre eux représentent 60 % des établissements communaux : la construction (treize établissements, soit 22 %), le commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration (onze établissements, soit 18,6 %) et les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien (également onze établissements, soit 18,6 %)[99].

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Culture de céréales (à l'exception du riz), de légumineuses et de graines oléagineuses[100].
  • Culture de fruits à pépins et à noyau.
  • Culture d'autres fruits d'arbres ou d'arbustes et de fruits à coque.
  • Élevage de vaches laitières.
  • Élevage de chevaux et d'autres équidés.
  • Culture et élevage associés.
  • Élevage d'autres bovins et de buffles.
  • Élevage d'ovins et de caprins.

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Gîte de France à Coulaures.
  • Restauration et hébergements à Excideuil, Tourtoirac[101] .
  • Hôtel et camping à Excideuil.

Commerces et services[modifier | modifier le code]

En 2023 : une épicerie à Coulaures, les autres commerces et services de proximité (moins de 10 km) se situant à Corgnac-sur-l'Isle, Excideuil, Mayac, Saint-Germain-des-Prés et Saint-Martial-d'Albarède[102].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil ou militaire[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Pierre de Lestrade de Conti (1901-1977), caricaturiste, illustrateur et peintre. Son arrière-grand-père, le marquis Henri de Lestrade de Conty, était établi au château de Conty, héritage des marquis de Conty depuis 1610[119].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[35].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. a b c d et e Décédé en fonctions.
  8. a et b Démissionnaire.
  9. Révoqué par le régime de Vichy. Source : Michel Pitout, L'hommage à Sylvain Bordas sur sud ouest.com édition Grand Périgueux du 14 décembre 2009. Consulté le 21 décembre 2009
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  • Cartes
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Références[modifier | modifier le code]

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