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Bujaleuf

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Bujaleuf
Bujaleuf
Vue du lac artificiel Sainte-Hélène.
Blason de Bujaleuf
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes des Portes de Vassivière
Maire
Mandat
Jean-Michel Bidaud
2020-2026
Code postal 87460
Code commune 87024
Démographie
Population
municipale
853 hab. (2021 en évolution de +0,83 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 47′ 51″ nord, 1° 37′ 50″ est
Altitude Min. 290 m
Max. 536 m
Superficie 41,17 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Eymoutiers
Législatives Première circonscription
Localisation
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Bujaleuf
Liens
Site web bujaleuf.fr

Bujaleuf (Bujaleu en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, au cœur de la région historique du Limousin.

Géographie

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Situation de la commune de Bujaleuf en Haute-Vienne.

La commune est située en région de basse montagne, classée par la Loi montagne de 1985. Elle fait partie du Parc naturel régional de Millevaches en Limousin. Ses points culminants sont aux Perrières (536 m. d'altitude) et au Puy de Breix (522 m.)[2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 205 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Eymoutiers à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 170,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Bujaleuf est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,3 %), prairies (32,1 %), zones agricoles hétérogènes (23,6 %), eaux continentales[Note 2] (3 %), zones urbanisées (2,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %), terres arables (0,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Bujaleuf est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bujaleuf.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. 18,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque technologique

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La commune est en outre située en aval du barrage de Vassivière, un ouvrage de classe A[Note 4] situé dans le département de la Creuse, sur la Maulde. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[20].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Bujaleuf est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].

Selon Guy Royer et Jean-Louis Dutreix, le nom de Bujaleuf désignerait un « village de défricheurs » de l'époque gauloise : Bugialo, « le champ de Bugius »[22]. Pour Yves Lavalade, l'origine du toponyme est incertaine : peut-être un nom d'homme gaulois dérivé de Bugius, ou un nom d'homme gaulois Boduos[23].

Bernard Cortes de Bujaleuf (Bernardus Cortes de Bujalou) est cité comme témoin dans un acte de 1140 des cartulaires d'Aureil et de l'Artige[24]. Autre témoin, Audoin de Bujaleuf est mentionné vers 1150[25].

Sous l'Ancien Régime, la paroisse de Bujaleuf, plus étendue que la commune actuelle, abritait trois grandes seigneuries : le Chalard, Bujaleuf et Bellabre, et deux plus petites, le Mazeau et Boisvert. Les titulaires des deux premières seigneuries étaient les familles de La Regondie puis de Maulmont[26].

En 1880, Bujaleuf est desservi par le train (ligne de Limoges à Eymoutiers). La gare se trouve entre Bujaleuf et Châteauneuf, sur la commune de Neuvic-Entier[27].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1896 1918 Henri Gorceix   Géologue et minéralogiste
1947 Mars 1989 Jean Biron PS Enseignant, résistant, artiste
Mars 1989 Juin 1995 André Poutissou PS Retraité de l’Éducation Nationale, ancien député du Rhône (1976-1978)
Juin 1995 Mars 2001 Bernard Thuiller    
Nov. 2002 Mai 2020 Alain Dolley[29] PS  
Mai 2020 En cours Jean-Michel Bidaud PS  

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 853 habitants[Note 5], en évolution de +0,83 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5751 4081 4191 8721 9361 9681 9722 1502 130
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1512 0002 0862 1152 1592 2262 3842 4902 513
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 3881 7641 7311 5741 5201 3841 4041 3661 305
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 3001 1041 0591 079999927906867840
2021 - - - - - - - -
853--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

L'importante différence entre 1901 et 1906 (- 624 hab) ne résulte pas d'un recensement erroné. En 1903 fut créée la commune de Cheissoux, qui fut alors distraite de la population de Bujaleuf. On peut donc considérer qu'en 1901, le territoire communal actuel devait avoir environ 1800 habitants.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Lac Sainte-Hélène (lac artificiel sur la Maulde).
  • Fontaine (dite miraculeuse) de Saint-Martin.
  • Église de l'Ordination-de-Saint-Martin, du XIIIe siècle, inscrite au titre des monuments historiques en 1926[34].
  • Château du Chalard, édifié sur un éperon qui domine un méandre de la Vienne[35].
  • Château de Bujaleuf, identifié par Guy Royer et Jean-Louis Dutreix, à quinze mètres de l'angle sud-ouest de l'église[36].

Personnalités liées à la commune

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  • Henri Gorceix (1842-1919), minéralogiste français fondateur en 1875 de l'École des Mines d'Ouro Preto (État de Minas Gerais), berceau des activités minières et sidérurgiques au Brésil.
  • Robert Vergnaud (1918-2015), Haut Fonctionnaire - Membre du Conseil économique et social, P.D.G d'Air Inter durant 12 ans et ancien Maire de Rivedoux-Plage 17, y résidait.

Héraldique

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Blason de Bujaleuf Blason
Tiercé en pairle: au 1er d'hermine plain, au 2e de sinople au cheval contourné d'argent au 3e d'azur au poisson d'argent; à l'écusson de gueules, mouvant de la pointe, brochant sur la partition et chargé des lettres gothiques s et m minuscules d'or, rangées en pal.
Détails

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Guy Royer et Jean-Louis Dutreix, Bujaleuf. Au cœur du Pays Monts et Barrages en Limousin, Association culturelle du Limousin, Limoges, 2010, 114 p.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[19].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Guy Royer et Jean-Louis Dutreix, Bujaleuf. Au cœur du Pays Monts et Barrages en Limousin, Association culturelle du Limousin, , p. 4-5, 15-16.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Bujaleuf et Eymoutiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Eymoutiers » (commune d'Eymoutiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Eymoutiers » (commune d'Eymoutiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bujaleuf ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bujaleuf », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  19. Article R214-112 du code de l’environnement
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  21. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  22. Guy Royer et Jean-Louis Dutreix, op. cit., p. 14.
  23. Yves Lavalade, Dictionnaire toponymique de la Haute-Vienne, Lucien Souny, (ISBN 2-911551-40-0), p. 67.
  24. Senneville, Gaston Denis de (éd.), Cartulaires des prieurés d'Aureil et de l'Artige, Limoges, 1900, n° LXXXIV-LXXXV-LXXVI (avant 1140) : Testes hujus rei sunt Stephanus Bajulus canonicus, Guilelmus Guido, Bernardus Cortes de Bujalou.
  25. Cartulaires des prieurés d'Aureil et de l'Artige, n° III (vers 1150) : Audoinus de Bujalou.
  26. Guy Royer et Jean-Louis Dutreix, op. cit., p. 38-41.
  27. Guy Royer et Jean-Louis Dutreix, op. cit., p. 87-88.
  28. (fr) « Les maires de la commune sur francegenweb.org » (consulté le ).
  29. (fr)[PDF]Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Eglise de l'Ordination de Saint-Martin », notice no PA00100259, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Guy Royer et Jean-Louis Dutreix, op. cit., p. 49-54.
  36. Guy Royer et Jean-Louis Dutreix, op. cit., p. 42-43.