Hem-Lenglet

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Hem-Lenglet
Hem-Lenglet
L'église Saint-Géry en 2018.
Blason de Hem-Lenglet
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Cambrai
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Cambrai
Maire
Mandat
Yvette Blanchard Roussez
2020-2026
Code postal 59247
Code commune 59300
Démographie
Population
municipale
549 hab. (2021 en diminution de 4,19 % par rapport à 2015)
Densité 111 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 15′ 31″ nord, 3° 13′ 45″ est
Altitude Min. 32 m
Max. 60 m
Superficie 4,94 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Féchain
(banlieue)
Aire d'attraction Cambrai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cambrai
Législatives Dix-huitième circonscription
Localisation
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Hem-Lenglet

Hem-Lenglet est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Photographie montrant le canal de la Sensée à Hem-Lenglet.
Le canal de la Sensée à Hem-Lenglet.

Commune située sur le canal de la Sensée, Hem-lenglet se situe au nord-ouest du Cambrésis. Au nord du village, au-delà de la Sensée commence l'Ostrevent. À l'ouest se trouvent les collines de l'Artois et les plateaux de Picardie. La commune fait partie de la région agricole de l'Artois-Cambrésis, de l'arrondissement de Cambrai, du canton de Cambrai Ouest. Elle se trouve à une dizaine de kilomètres de Cambrai. Les communes riveraines sont Féchain, Fressies, Wasnes-au-Bac, Paillencourt, Abancourt, Bantigny. La superficie d'Hem-Lenglet est de 494 ha.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Hem-Lenglet
Féchain Wasnes-au-Bac
Fressies Hem-Lenglet Paillencourt
Abancourt Bantigny

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 698 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 16 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Hem-Lenglet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Féchain, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[10] et 2 882 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cambrai dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,4 %), zones humides intérieures (10 %), zones urbanisées (6,4 %), eaux continentales[Note 3] (4,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est reliée aux villages voisins par des routes départementales secondaires : CD 402, 71. Le canal de la Sensée traverse le nord du territoire. La route nationale 43, reliant Cambrai à Douai, est à 5 km d'Hem-Lenglet.

La rivière de la Sensée, au nord du village, prend sa source à Rémy-Haulcourt, à l'altitude 47.00 (NGF), dans le Pas-de-Calais et se jette dans l'Escaut à Bouchain. La Sensée forme une frontière entre Hem-Lenglet et Féchain. Elle est mitoyenne entre les arrondissements de Douai, de Valenciennes et de Cambrai.

À l'époque de Jules César, en 57 av. J.-C., il y avait un gué à l'emplacement actuel du petit pont de la Sensée. Un chemin reliait Cambrai à Tournai : c'est la voie romaine q, cette voie fut mise à jour lors de la construction de l'usine « la Salviam » et lors de la mise en place du pont, elle est actuellement remplacée par la D 402 entre le grand pont (canal de la Sensée) et le petit pont (rivière de la Sensée).

La commune est desservie par le réseau de transports urbains de la Communauté d'agglomération de Cambrai appelé TUC (Transports Urbains du Cambrésis), par la ligne 17[16],[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village est mentionné dès 640, et à nouveau en 1307, sous le nom de Ham. On trouve également les noms Villa de Ham, Ham-en-Langlet ou Ham-en-Langlée, Hem-Lenglée, Hem-l'Engle, Enlangle[18]. Le mot germanique hem ou ham désigne une habitation. Lenglet viendrait selon Boniface[18] d'anglée, un « lieu terminé en pointe », une « portion de terre » (ou selon Mannier[19] un « lieu resserré et étroit », angulosus locus) et explique ce nom par la situation du village dans un méandre de la Sensée. Mannier y voit plutôt le nom d'un homme. Des seigneurs de L'Anglée sont mentionnés dans les annales du Cambrésis.

Histoire[modifier | modifier le code]

1161 l'évêque Nicolas confirma un accord au sujet de la pêcherie, entre l'abbaye St-Aubert et le chapitre St Géry de Cambrai. Cet acte mentionne Gaubert, chevalier et maire d'Hem. La seigneurie appartint jusqu'à la Révolution au chapitre St Géry.

Au XIIe siècle une partie de Féchain appartenait à Hem.

1280 la pêcherie d'Hem-Lenglet est vendue par Mathieu, seigneur de Marque, à l'Abbaye de St Aubert. Le prévost de St Géry, Pierre de Neuvireuil, vend un domaine à l'Abbaye St Aubert. Ce domaine se serait nommé La Cense et aurait été situé à l'emplacement du vieux pont, alors qu'il n'y avait pas de canal. Mais là encore il n'y a pas de certitude. Ce domaine, La Cense, aurait été en bail à Claude Voisin, dit le Capitaine Lamour.

1518 le village s'appelait Hem-En-Langhelee émergeant du mot germanique : ham, terre ou prairie le long d'une rivière.

1596 Diégo Delcamp, nommé abbé de St Aubert par le pape Clément VIII, en opposition au vote des religieuses, vient prendre possession à l'autel d'Hem-En-Langhelee, n'ayant osé le faire dans l'Abbaye même (selon le manuscrit de la bibliothèque municipale de Cambrai).

1789 la seigneurie appartenait au chapitre St Géry.

Vers 1810 le canal de la Sensée fut creusé, il semblerait que des prisonniers anglais aient pris part à cette réalisation. À cette époque on remontait les terres à l'aide d'un panier porté sur le dos. Un pont fut construit en face de la source Jules César, il permettait aux habitants du marais Billoir et des Pintes de la Nation de rejoindre le village.

1908 les anciens élèves d'Hem-Lenglet se réunirent pour lancer la fanfare dont le seul survivant à ce jour demeure Monsieur Léon Décarpigny (drapeau de la musique en 1908). La bicyclette faisant son apparition, les ouvriers l'utilisèrent pour aller à la verrerie d'Aniche et à Usinor.

Depuis 1905 les salariés jouissaient du repos hebdomadaire, mais ils travaillaient encore 10 heures par jour et devenus vieux, ne touchaient qu'une très maigre retraite (à partir de 1911).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Hem-Lenglet se blasonnent ainsi : D'azur à un écusson d'argent en abîme, et une bande engrêlé de gueules brochant en bande sur le tout.

Les Armoiries d'Hem-Lenglet sont celles de "la famille de Wingles qui tenait la mairie héréditaire du village, possession du chapitre de St Géry de Cambrai". Elles sont d'azur à un écusson d'argent en abîme, et un bâton engrêlé de gueules brochant en bande sur le tout.

abîme = centre, cœur de l'écu bâton = bande, barre engrêlé = bordé de petites dentelures dont les côtés s'arrondissent légèrement brochant = passant sur bande = diagonale

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Maire de 1802 à 1807 : Ch. J. Dupire[20],[21].

Tombe de Joseph Sallée dans le cimetière communal.
Titulaires de la fonction de maire de Hem-LengletVoir et modifier les données sur Wikidata
IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
DébutFin
Hugues Verriez (d)[22]7 ans
Yvette Blanchard-Roussez (d)[23]
(née le )
En cours16 ans et 1 mois
Joseph Sallée (d)

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2021, la commune comptait 549 habitants[Note 4], en diminution de 4,19 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
541571678675682738773752704
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
700734800782731747760727702
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
685642634496505487470509520
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
555577556466462470505509560
2014 2019 2021 - - - - - -
576548549------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 281 hommes pour 276 femmes, soit un taux de 50,45 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,8 
5,8 
75-89 ans
5,9 
21,4 
60-74 ans
20,6 
21,4 
45-59 ans
22,4 
16,3 
30-44 ans
19,5 
18,1 
15-29 ans
14,7 
16,7 
0-14 ans
15,1 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Pigeonnier sur porche de la cense (ferme) du Marais, dit aussi cense du cabaret.

La ferme du Marais apparaît pour la 1re fois sur le plan cadastral de 1825, on l'appelait également à cette époque ferme du "Cabaret" car il y avait autrefois un cabaret devant la ferme (plan cadastral de 1825). Elle est aussi imposante qu'une ferme picarde ; elle en diffère cependant par le fait qu'un des côtés est ouvert. Hem-Lenglet est à la limite de l'aire d'extension de la ferme picarde. Elle fut achetée en 1839 par la famille Tribou au comte Baudouin d'Alsace.

Lieudit la "Fontaine Jules César". Selon la légende, le sabot du cheval de Jules César aurait fait jaillir une source.

Un monastère se trouvait à l'Anglet, l'évangélisation du village fut prêchée par les moines.

L'église d'Hem-Lenglet fut bâtie en 1601, rénovée en 1752 et réparée en 1813. La partie la plus ancienne est constituée par les fonts baptismaux en pierre noire qui datent de 1601. Elle fut placée sous la protection de saint Géry.

Le clocher : En août 1858 la réparation du clocher est à l'ordre du jour au conseil municipal. En 1907, le 7 avril, la foudre tomba sur le clocher et le détruisit complètement. Une photographie de l'église avant 1914 ou peut-être même 1907 montre un clocher élancé à six ou huit faces. Le cimetière qui daterait de 1794, était attenant à l'église, il fut également endommagé par la foudre ; son portail se trouvait au milieu, il paraît étroit et haut. Le clocher fut reconstruit entre 1914 et 1916. Une série de photographies allemandes de 1916 le montrent également modifié, avec 4 facettes, il est plus massif et moins élancé que par le passé. Chacune des facettes comporte une lucarne avec vitraux appelée clocheton. Une autre photographie de 1915 indique le nouveau clocher.

Le cimetière : il existe à l'emplacement actuel depuis au moins 1916 : photos allemandes 1916 : Französischer-Leichenzug → Funérailles de Melle Catherine Dufour. Sa création daterait de 1902 avec Melle Massin comme 1re enterrée. C’est lors de son inauguration qu’un cortège fut organisé dans les rues du village : des groupes d’hommes déguisés sur des chevaux (2 photos ont pu être retrouvées : des Gaulois et des Allemands avec le casque pointu, on a parlé de 1907).

Pendant l'occupation allemande l'église servait d'infirmerie, un document montre une croix sur le toit de l'édifice versant nord. Les opérations chirurgicales étaient réalisées dans l'école des filles.

En 1918 l'église fut bombardée lors du recul des armées allemandes ; les dégâts furent importants comme le témoignent les photos prises à l'époque. Les reliques furent égarées.

Après la Première Guerre mondiale l'église a été reconstruite dans le même style. Les cloches furent remplacées après la tourmente:

  • la première du poids de douze cents kilos s'appelle Flora-Gustave- Joseph ;
  • la seconde: Marie-Josèphe-Albertine-Françoise.
  • la troisième du poids de deux cents kilos fut offerte par les Anglais à Mr Lebbe alors curé de la paroisse. Par ce cadeau, ils ont voulu payer leur dette de reconnaissance à notre ancien pasteur qui avait sauvé sept soldats anglais. Venant de Craydon-London, elle n'a jamais pu être accordée avec les autres.

Entre les deux guerres le cimetière autour de l'église laisse place à une sorte de jardin, la grille est plus massive et a changé de place. La croix a été remplacée au sommet du clocher par une girouette.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne).
  • Eugène Mannier, Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Paris, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, (lire en ligne).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Hem-Lenglet et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Féchain », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cambrai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Horaires lignes de bus TUC », sur tuc-cambresis.fr (consulté le ).
  17. « Plan du réseau TUC » [PDF], sur tuc-cambresis.fr, (consulté le ).
  18. a et b Boniface 1866, p. 164.
  19. Mannier 1861, p. 286.
  20. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 275, lire en ligne.
  21. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », p. 134-135 (images 164-165)..
  22. Bérangère Flament, « Hem-Lenglet : « J’ai heureusement une très bonne équipe pour m’épauler » », La Voix du Nord,  : « Lorsqu’en 2001, le maire d’alors, Hugues Verriez, lui a demandé de figurer sur sa liste, Yvette Blanchard a accepté. Et, de première adjointe pendant un mandat, c’est tout aussi naturellement qu’elle est devenue, depuis deux mandats, maire. »
  23. « Hem-Lenglet : Yvette blanchard, maire d’Hem-Lenglet a présenté ses vœux à la population », La Voix du Nord,  : « Yvette Blanchard, maire, déclara pour sa part  : « C’est avec infiniment de plaisir que je vous présente mes vœux les plus chaleureux ». »
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Hem-Lenglet (59300) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).