Tricot (Oise)

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Tricot
Tricot (Oise)
La mairie et le monument aux morts.
Blason de Tricot
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau Picard
Maire
Mandat
Francis Soetaert
2020-2026
Code postal 60420
Code commune 60643
Démographie
Gentilé Tricotois, Tricotoises
Population
municipale
1 365 hab. (2021 en diminution de 9,24 % par rapport à 2015)
Densité 115 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 33′ 42″ nord, 2° 35′ 23″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 132 m
Superficie 11,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Tricot
Géolocalisation sur la carte : France
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Tricot
Géolocalisation sur la carte : Oise
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Tricot
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Tricot

Tricot est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Tricotois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Vue aérienne de Tricot.
Vue aérienne de Tricot.

Tricot est située sur le plateau picard à 5 km de Maignelay-Montigny, 10 km de Montdidier, 12 km de Ressons-sur-Matz et à 13 km de Saint-Just-en-Chaussée[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 677 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Statistiques 1991-2020 et records GODENVILLERS (60) - alt : 92m, lat : 49°35'10"N, lon : 2°33'15"E
Records établis sur la période du 01-11-1937 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1 2,6 4,3 7,7 10,6 12,5 12,4 9,8 7,3 4 1,7 6,3
Température moyenne (°C) 3,9 4,5 7,4 10,2 13,7 16,8 19 18,9 15,6 11,7 7,3 4,4 11,1
Température maximale moyenne (°C) 6,6 8 12,2 16,2 19,8 22,9 25,4 25,5 21,5 16,1 10,5 7 16
Record de froid (°C)
date du record
−21,5
17.01.1985
−13,1
18.02.1969
−11
08.03.1971
−4,5
07.04.13
−2
03.05.1967
−0,5
01.06.1975
3,3
05.07.1964
2
28.08.1974
−2
25.09.1972
−5
29.10.03
−9,5
23.11.1998
−15
31.12.1970
−21,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,1
09.01.15
19,9
27.02.19
26,5
31.03.21
29
20.04.18
32
28.05.17
37,6
27.06.11
43
25.07.19
40,4
06.08.03
36,5
15.09.20
30
01.10.11
21,4
01.11.14
16,5
17.12.15
43
2019
Précipitations (mm) 59 49,5 49,3 45,9 61,3 59,9 60,5 64 50,2 63,2 60,4 78,7 701,9
Source : « Fiche 60276001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Tricot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,7 %), zones urbanisées (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Tricot se situe près de l'autoroute du Nord et peut être rejointe par le biais de l'ex-RN 38 (actuelle RD 938). Toujours par le biais de cette route, la ville peut être rejointe par l'ancienne RN 17.

La gare de Tricot, qui est une halte de la ligne d'Ormoy-Villers à Boves, est desservie par des trains TER Hauts-de-France qui assure la liaison entre les gares de Compiègne et d'Amiens.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6304, 6309 et 6328 du réseau interurbain de l'Oise[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Petri de triecoc (1138) ; Triecoc (1138) ; Triechoc (1190) ; Triecort (1190) ; Tricoc (1200) ; Triecoq (1225) ; Triecot (1229) ; Triecoch (1229) ; Triecok (1231) ; Tricquot (1252) ; « Gila domina de Triecok » (1264) ; « Je Gile dame de Triechoc » (1265) ; « Jehan sire de Triecoc » (1272) ; Triechot (1295) ; Petrus de Triecoc (XIIIe) ; Triquot (vers 1380) ; Tricot (1518)[17].

Du germanique thresk ou threosk (lande) et Kot (cabane). « (La) cabane dans la lande »[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité

La commune se trouve sur une ancienne voie romaine[19], et des traces d'habitat mérovingien ou carolingien ont été retrouvées[20].

Selon la tradition, le carrefour des sept chemins, au croisement de deux anciennes voies romaines était connu comme un lieu de sabbat pour les sorciers de la région[21].

XIXe siècle

La commune est desservie par le chemin de fer en 1882, avec la mise en service de la gare de Tricot, favorisant son développement économique et les déplacements des habitants.

Première Guerre mondiale

La gare de Tricot a accueilli des canons de l'artillerie lourde sur voie ferrée (ALVF) française en 1916, sans doute dans le cadre de la bataille de la Somme[22],[23],[24].

Un camp de prisonniers allemands de l'armée française existait entre Coivrel et Tricot, notamment en [25],[26],[27],[28].

Le village, qui avait été occupé par l'armée allemande, est repris par les Français le [29]. Il a subi d'importantes destructions pendant la guerre[30],[31],[32],[33],[34],[35] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [36].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la première circonscription de l'Oise.

Après avoir été fugacement le chef-lieu d'un canton de Tricot, de 1793 à 1801, elle faisait partie depuis cette date du canton de Maignelay-Montigny[37]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton d'Estrées-Saint-Denis.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes du Plateau Picard, créée fin 1999.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[38]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 mars 2001 François Fontaine    
mars 2001 En cours
(au 7 août 2018[39])
Jacques Bocquet EXD Réélu pour le mandat 2014-2020[40]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].

En 2021, la commune comptait 1 365 habitants[Note 2], en diminution de 9,24 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2421 3071 3591 3091 1861 1041 0451 001991
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
995950891874930965918910881
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9579589779761 0499379361 001976
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0011 0471 1021 2651 2941 4671 4401 4331 483
2018 2021 - - - - - - -
1 3811 365-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 694 hommes pour 687 femmes, soit un taux de 50,25 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,3 
6,6 
75-89 ans
8,7 
14,8 
60-74 ans
16,0 
23,2 
45-59 ans
24,3 
17,1 
30-44 ans
15,3 
18,4 
15-29 ans
16,9 
19,2 
0-14 ans
17,5 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[45]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Dans cette ville se pratique chaque année, selon la tradition ancestrale, la dernière véritable partie de choule. Il s'agit de la « choule », un jeu très local qui est l'ancêtre du rugby. Le « choulet » est une sorte de « poire » en cuir, ancêtre du ballon de rugby, qu'il faut pouvoir attraper dans des mêlées très rudes et jeter entre deux cheminées du village. Les Anglais, au cours de la guerre de Cent Ans, ont « volé » l'idée de ce jeu en y établissant des règles avec un terrain délimité et des équipes. La choule, encore dénommée « soule » ou « sioule » dans d'autres régions de France, était un sport très pratiqué en France dès le Moyen Âge. Si dans le reste de la France, ce sport n'existe plus en l'état, Tricot l'a cependant conservé[46],[47],[48].

Un tournoi de choule a lieu chaque année le jour de mardi gras et, en cas de match nul, le lundi de Pâques suivant[49].

On note également la fête patronale, le week-end après le [50]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune compte en 2018 plusieurs entreprises : trois sociétés de menuiserie, une usine de transport de céréales, une compagnie de séchoirs à grains et une entreprise de ressorts à matelas.

Elle compte de nombreux commerçants (restauration, épicerie, boulanger, pharmacien), artisans (coiffeur), un médecin et un cabinet infirmier.

Au total, 550 emplois sont ainsi pourvus dans la commune en 2018, auxquels devraient s'ajouter une vingtaine avec l'installation d'une nouvelle usine dans la zone artisanale du Hardissel. Une zone industrielle, située de l’autre côté de la RD 938 est également à signaler. Elles sont toutes deux gérées et aménagées par l'intercommunalité[51],[52].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Notre-Dame.
Le monument aux morts d'Albert Roze.

Tricot compte un monument historique sur son territoire, l'église Notre-Dame, du XIXe siècle, comprenant des parties de la nef du XVIe siècle[19] (Le chœur et le transept sont classés monument historique en 1922[53]). Elle contient un retable sculpté[54].

On peut également noter :

  • Commanderie de Tricot.
Ce beau bâtiment en brique et pierre est utilisé comme exploitation agricole depuis le début du XIXe siècle, mais la tradition orale indique que son nom viendrait d'un établissement des Templiers[55]
  • Fort de Tricot
Au XXIe siècle, il subsiste peu de traces[55] de cet édifice militaire, qui était ainsi décrit en 1886 :« Cette fortification consiste en une motte de forme ronde, entourée d'un fossé de même configuration
La motte est élevée de 1 mètre 80 au-dessus des terres ambiantes. Son diamètre est de 46 mètres. La largeur du fossé est de 18 mètres 60. Le talus de la motte descendant vers le fossé a une étendue à sa base de 9 mètres ; le fond du fossé de 1 mètre 60 ; le talus descendant des terres vers ce fond, de 8 mètres. La profondeur du fossé vis-à-vis du terrain naturel environnant est de 4 mètres 80.
Cette motte communique avec le plateau environnant au moyen d'un terre-plein situé à l'Est.
Au-dessous de la motte, est un souterrain d'une profondeur de 10 mètres où l'on descend par un escalier. La longueur du souterrain est de 9 mètres ; sa hauteur et sa largeur sont de 2 mètres. A droite et à gauche de son parcours s'ouvrent des cellules : il communique avec le sommet de la motte par un soupirail.
Dans le fond Ouest du fossé se trouve l'entrée d'un autre souterrain.
Tout à l'entour de la forteresse, excepté dans la partie Est, bordant la droite du chemin 146, le terrain est déclive, et cette déclivité semble indiquer une seconde circonvallation passant par le Prié, la Grange des Dimes, côtoyant l'église, et se continuant vers les rues du Pressoir, des Obstinés, Mouillard, de la Croix du Parc.(...)
Là fortification décrite ci-dessus dut être en conséquence le donjon du château dont certaines dépendances subsistent encore : un bâtiment de forme quadrilatère flanqué de contreforts(...) et une chapelle, dite de Saint-Jean (...)
 »
, et qui pourrait remonter à l'époque gallo-romaine[56].
  • Monument aux morts, édifié en 1922, avec une sculpture d’Albert Roze[57].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Tricot

Les armes de Tricot se blasonnent ainsi :
D’or à trois coqs de gueules

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Nom des habitants de Tricot », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Distance orthodromique entre Tricot et... », sur lion1906.com (consulté le ).
  3. « Communes limitrophes de Tricot » sur Géoportail..
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Tricot et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. « Transports en commun à Tricot », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
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  18. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 57.
  19. a et b Daniel Delattre, L'Oise : Les 693 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 316 p., p. 285.
  20. Marc Durand, « Premiere partie : Cimetières et habitats du Sud-Est de l'Oise », Revue archéologique de Picardie, no spécial 6 « Archéologie du cimetière médiéval au sud-est de l'Oise du VIIe au XVIe siècle - Relations avec l'habitat, évolution des rites et des pratiques funéraires, paléodémographie »,‎ , p. 15 (ISSN 2104-3914, lire en ligne, consulté le ).
  21. Jacques de Wailly, Maurice Crampon, Le folklore de Picardie (Somme, Oise, Aisne), Musée de Picardie, , 414 pages (lire en ligne), p. 331 (49° 33′ 11″ N, 2° 36′ 13″ E)
  22. Cliché Jean Hubert, Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. ALVF. Canon de 320 », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  23. Cliché Jean Hubert, Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. ALVF. Canon de 320 », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  24. Cliché Jean Hubert, Section photographique de l'armée, « Photo : Gare de Tricot (Oise). 32 sur truck : L'Africaine en déplacement », Fonds des Albums Valois - Albums thématiques, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  25. Section photographique de l'armée, « Photo : Coivrel (entre Tricot et). Camp de prisonniers allemands : une tente », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  26. Section photographique de l'armée, « Photo : Coivrel (entre Tricot et). Camp de prisonniers allemands : corvée d'eau », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  27. Section photographique de l'armée, « Photo : Coivrel (entre Tricot et). Près du camp de prisonniers allemands : chasseurs d'Afrique », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  28. Section photographique de l'armée, « Photo : Coivrel (entre Tricot et). Camp de prisonniers allemands : arrivée d'un convoi de prisonniers », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 29, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  29. Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. Après la reprise du village, le 19 juin : général Jacquot, commandant le 33e CA », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  30. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  31. Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. Après la reprise du village, le 19 juin. La Mairie-école », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  32. Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. Après la reprise du village, le 19 juin : la grande rue », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  33. Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. La sucrerie », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  34. Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. L'église : intérieur », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  35. Section photographique de l'armée, « Photo : Tricot. L'église, le clocher », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 28, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  36. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
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  51. Armand Prin, « Le grand lancement pour la zone artisanale ? : Une entreprise serait sur le point de s’installer sur la zone d’activités du Hardissel. Des possibilités s’offrent également pour la zone industrielle », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3480,‎ , p. 17.
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