Aller au contenu

Bretenoux

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bretenoux
Bretenoux
La maison des Consuls sur la place des Consuls.
Blason de Bretenoux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
Pierre Moles[1]
2020-2026
Code postal 46130
Code commune 46038
Démographie
Gentilé Bretenouvien
Population
municipale
1 389 hab. (2021 en évolution de +0,22 % par rapport à 2015)
Densité 244 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 54″ nord, 1° 50′ 21″ est
Altitude 136 m
Min. 129 m
Max. 245 m
Superficie 5,69 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Biars-sur-Cère
(ville-centre)
Aire d'attraction Biars-sur-Cère - Saint-Céré
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Cère et Ségala
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Bretenoux
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Bretenoux
Géolocalisation sur la carte : Lot
Voir sur la carte topographique du Lot
Bretenoux
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Bretenoux

Bretenoux est une commune française située dans le nord-est du département du Lot, en région Occitanie. Elle est également dans la Limargue, une région naturelle occupant une dépression verdoyante entre les causses du Quercy et le Ségala quercynois.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Cère, le Mamoul et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée de la Cère et tributaires ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Bretenoux est une commune rurale qui compte 1 389 habitants en 2021. Elle est ville-centre de l'agglomération de Biars-sur-Cère et fait partie de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré. Ses habitants sont appelés les Bretenouviens ou Bretenouviennes.

Géographie

[modifier | modifier le code]
La Cère à Bretenoux.

Bastide située au nord du Lot, près de la limite avec le département de la Corrèze, dans la vallée de la Dordogne, Bretenoux est collée à la ville de Biars-sur-Cère. Elle est arrosée par la Cère et le Mamoul, et traversée par les anciennes routes nationales RN 140 et RN 703. Fondée en 1277 par le puissant seigneur de Castelnau, elle a conservé son plan en damier, sa place et ses couverts, des restes de remparts, et deux belles maisons à tourelles devenues l'une l'hôtel de ville, l'autre la gendarmerie.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Bretenoux est limitrophe de six autres communes.

Carte de la commune de Bretenoux et des communes avoisinantes.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 971 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sousceyrac-en-Quercy à 16,14 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 299,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

Espaces protégés

[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9],[10].

La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[11],[12].

Réseau Natura 2000

[modifier | modifier le code]
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de la Cère et tributaires »[14], d'une superficie de 3 031 ha, qui présente un intérêt notable largement lié à la présence de frayères potentielles pour les poissons migrateurs anadromes (Salmo salar, Petromyzon marinus) ainsi que par la présence de la loutre[15].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[16] : la « rivière de la Cère et ruisseau d'Orgues » (737 ha), couvrant 14 communes dont une dans le Cantal, quatre dans la Corrèze et neuf dans le Lot[17] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[16] :

  • le « bassin du Mamoul » (2 278 ha), couvrant 11 communes du département[18] ;
  • la « vallée et gorges de la Cère » (6 777 ha), couvrant 22 communes dont quatre dans le Cantal, six dans la Corrèze et 12 dans le Lot[19].

Au , Bretenoux est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Biars-sur-Cère[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est ville-centre[Note 5],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4],[I 5].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (54,9 %), zones urbanisées (23,2 %), prairies (16,2 %), forêts (5,4 %), cultures permanentes (0,3 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Bretenoux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels

[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Cère et le Mamoul. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1999 et 2018[24],[21].

Bretenoux est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bretenoux.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[26].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 12,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 681 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 65 sont en aléa moyen ou fort, soit 10 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

Risques technologiques

[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval des barrages de Saint-Étienne-Cantalès et de Bort-les-Orgues, des ouvrages de classe A[Note 7] disposant d'une retenue de respectivement 133 millions[30] et 477 millions de mètres cubes[31],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[32]

Le toponyme Bretenoux est issu de Brittanorum villa. Il faut comprendre « le domaine, la propriété, la villa des Bretons »[33].

Villefranche

[modifier | modifier le code]

Le nom de Bretenoux apparaît pour la première fois dans le cartulaire de l'ancienne abbaye bénédictine de Beaulieu-sur-Dordogne publié par Maximin Deloche conservé actuellement à la Bibliothèque nationale de France[réf. nécessaire][34]. Cette information a été reprise par Joseph-Simon Gouzou dans son ouvrage Bretenoux en Haut-Quercy paru en 1955. Le cartulaire permet d'affirmer que Bretenoux existait déjà en l'an 866 sous le nom qu'il porte aujourd'hui. C'était une « villa » c'est-à-dire une réunion de propriétés rurales appartenant à la Centaine d'Excidunum (la centaine était d'une subdivision administrative de la vicomté de Turenne, vicomté qui se situait dans le département actuel de la Corrèze)[réf. nécessaire].

Bretenoux pris de l'importance quand les seigneurs de Castelnau y fondèrent une bastide du nom de « Villa franca ad Orlindam ». Le baron Guérin de Castelnau octroya sa première charte en 1277[réf. nécessaire] presque aussitôt après sa fondation. Cette charte définissait et précisait dans un accord mutuel les droits des seigneurs et les obligations des habitants de la Bastide. Ces « innovations » étaient à l’époque considérées comme libérales, abolissant définitivement le servage. Selon la charte de 1277 la bastide était administrée par quatre consuls élus par les habitants pour un an. Ceux-ci prêtaient serment de défendre les intérêts du seigneur et ceux de la ville. Les quatre consuls étaient assistés de huit conseillers. Tous prêtaient serment au seigneur. Comme marque de leur autorité les consuls étaient chargés de la police de la cité, de lever la taille (corvée peu enviable), de s’assurer du bon état des places, des rues, de veiller sur les foires et marchés, de contrôler les marchands, bouchers, boulangers, tailleurs et autres artisans. Ils assuraient également la garde de jour et de nuit des remparts et des portes de la ville. Ils étaient consultés pour la création des officiers de la baronnie des juges, bayles et sergents.

Le seigneur de Castelnau, ayant à cœur de tenir sa Villefranche bien peuplée, exemptait ses habitants de tout péage dans les terres de la baronnie ainsi que pour la traversée de la Cère et la Dordogne ; ils jouissaient des droits de pêche dans les rivières et ruisseaux. Ils pouvaient vendre à leur gré les denrées dont ils disposaient et acheter celles dont ils avaient besoin. La dite charte fut confirmée et plus ou moins modifiée en 1314 par Manfred[réf. nécessaire] et en 1554 par Jacques[réf. nécessaire] tous deux seigneurs de Castelnau.

Vieille ville

[modifier | modifier le code]

De ce qui reste du vieux Bretenoux dont le nom se substitua quelques années plus tard à Villefranche-d’Orlinde, il nous est facile d’en reconstituer le plan primitif[réf. nécessaire]. La ville était entourée de rempart à créneaux, de fossés destinés à fortifier les défenses, le tout formant un quadrilatère de 140 mètres de côté. Chaque côté dans son milieu était pourvu d’une porte à cintre brisé. De nos jours une de ces portes est toujours visible. Il s’agit de la porte de la Guierle donnant sur la rivière Cère. Dans la partie sud du bourg subsistent encore quelques pans de murailles fortifiées. L’intérieur de la cité était constitué de rues en damier pavées de galets avec caniveau en leur milieu pour l’écoulement des eaux. Les maisons étaient séparées par des venelles ou andrones. La place était entourée de couverts ou porches dont la plus grande partie a été conservée.

Guerre de Cent Ans

[modifier | modifier le code]

Pendant la guerre de Cent Ans, le Quercy fut sous occupation anglaise[réf. nécessaire]. En 1360, le baron de Castelnau protesta avec d’autres seigneurs du pays contre cette occupation déclarant que ses terres dont faisait partie Bretenoux étaient inaliénables et ne pouvaient être séparées de la couronne de France[réf. nécessaire]. Lors des guerres de religion, il semblerait que Bretenoux fut épargné ce qui ne fut pas le cas de communes voisines[réf. nécessaire] grâce en particulier à la diplomatie et au prestige du baron de Castelnau.

Confrérie de pénitents

[modifier | modifier le code]

Il manquerait un chapitre à l'histoire de Bretenoux si l'on passait sous silence l'existence de la confrérie des Pénitents bleus « 1602 - 1875 »[réf. nécessaire]. Les confréries de pénitents abondaient jadis en France comme en Espagne et en Italie. Elles répondaient aux besoins que ressentait la chrétienté de s’unir dans le malheur pour implorer Dieu et mériter sa miséricorde.

Pénétrées de l'esprit de l'Évangile mais laïques et indépendantes (l’évêque n'avait qu’à approuver le statut ou règlement) elles s’administraient ensuite elles-mêmes. Dans la paroisse elles ne seront pas une entrave mais plutôt un auxiliaire puissant pour le clergé qui pourra compter sur leur dévouement. Une chapelle leur fut consacrée. Cette chapelle dont la façade principale donnait sur la place des Consuls fut détruite en 1920.

Accident de 1749

[modifier | modifier le code]

En 1749 la commune fut endeuillée par un accident. À cette époque la liaison rive droite et rive gauche de la rivière Cère était assurée par bac. Des personnes de communes voisines venues assister à l’office du dimanche avaient pris place sur « le plus grand vaisseau du port quand celui-ci par un triste accident coula à fond ». Sept ou huit personnes furent sauvées et près d'une centaine périrent noyées[réf. nécessaire].

De la Révolution à nos jours

[modifier | modifier le code]

Sous la Révolution, Bretenoux devint chef-lieu de canton du district de Saint-Céré puis de l’arrondissement de Figeac. De 1789 à nos jours plusieurs faits plus ou moins importants se rattachent à l’histoire locale. En 1871, le révolutionnaire et socialiste Louis Auguste Blanqui traqué par toutes les polices se réfugia à Bretenoux où grâce à la complicité d’un habitant le docteur Lacambre il réussit à échapper aux gendarmes avant de se faire reprendre[35]. Il est à noter également la venue à Bretenoux de Pierre Loti qui dans son adolescence venait passer ses vacances chez son « oncle du Midi » et dont il relate son séjour dans Le roman d’un enfant[réf. nécessaire]. En 1891 est inaugurée la gare de Bretenoux - Biars sur une portion de la ligne de chemin de fer reliant Aurillac à Saint-Denis près Martel (combinaison des lignes de Souillac à Viescamp-sous-Jallès et de Figeac à Arvant). Ce service de transport fut complété à partir de 1907 par la ligne des Tramways du Quercy, reliant cette gare à la ville de Saint-Céré.

Comme dans les campagnes, lors de la guerre de 1914-1918 de nombreux jeunes hommes de la commune furent tués au cours des combats[réf. nécessaire].

La débâcle de 1940 amena sur son territoire une forte colonie de Lorrains et de Polonais[réf. nécessaire].

Lors de la Seconde Guerre mondiale, la commune subit la répression nazie du « régiment SS Der Führer », appartenant à la 2e division SS Das Reich. Depuis le au matin, 27 maquisards avaient barré le pont sur la Cère avec d'énormes troncs d'arbres. Le , les Allemands attaquent et utilisent leur artillerie[36]. Au cours des combats qui s’ensuivirent 19 maquisards trouvèrent la mort ainsi que 13 victimes civiles.

Contrairement à ce qui est communément admis, cette division quitta ses cantonnements le non pour rejoindre à marche forcée la Normandie, comme la date pourrait le laisser supposer, mais pour mettre fin à l’insécurité qui régnait dans le périmètre de Brive, Clermont-Ferrand et Limoges[réf. nécessaire]. Alors que les maquisards étaient persuadés que leur action avait pour but de freiner la progression de renfort, c’est seulement le que parviendra l’ordre de rejoindre cette région.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
L'hôtel de ville.
Armoiries en relief sur l'hôtel de ville.
Liste des maires depuis 1944[37].
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1947 Pierre Ludovic Chapou    
1947 1952 Paul Boyer    
1952 1955 Roger Mamoul    
1955 1989 Robert Durrieu MRG-PRG Conseiller général du canton de Bretenoux (1976-1988)
1989 2014 Jean Launay PS Inspecteur du Trésor, Député (1998-2017) et
Conseiller général du canton de Bretenoux (1988-1994)
2014 En cours
(au 1 juin 2020)
Pierre Moles[38] DVD  

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].

En 2021, la commune comptait 1 389 habitants[Note 8], en évolution de +0,22 % par rapport à 2015 (Lot : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
676589582647800840852883942
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9689721 011922942932985969892
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
913927841756781862822802826
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
9311 0711 1151 2131 2111 2311 3111 3221 352
2017 2021 - - - - - - -
1 3561 389-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 1691 d'après un Livre de l'estat des Ames et des registres de catholicité la population de la paroisse était de 590 habitants[43].

  • Tennis Club Bretenoux-Biars : Le club compte 109 adhérents pour la saison 2018/2019. L'école de tennis est encadrée par un moniteur professionnel accompagné d'initiateurs. Sont présents 4 courts extérieur en béton poreux et un court intérieur en béton ;
  • Club de rugby à XV : le Club de Rugby Bretenoux-Biars Cére et Dordogne (CRBB) évolue dans le Championnat Honneur territorial de la ligue d'Occitanie, pour la saison 2018-2019 ;
  • Club de basket-ball : le Dynamic Basket Lot Corrèze (ou DYBA) évolue en championnat régional du Limousin ; une grande partie de ses équipes jouent dans le gymnase de Bretenoux-Biars. Les autres équipes jouent sur les sites de Meyssac, Saint-Sozy et Vayrac ;
  • Club Rassemblement Rugby Nord Quercy (RRNQ), regroupant les cadets et juniors de Bretenoux-Biars, Saint-Céré, Beaulieu et Vayrac.

En 2018, la commune compte 625 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 1 289 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 550 [I 6] (20 740  dans le département[I 7]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 5,5 % 8,8 % 9,1 %
Département[I 9] 7,3 % 8,9 % 9,6 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 715 personnes, parmi lesquelles on compte 71,8 % d'actifs (62,7 % ayant un emploi et 9,1 % de chômeurs) et 28,2 % d'inactifs[Note 10],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie du pôle principal de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré[Carte 3],[I 11]. Elle compte 638 emplois en 2018, contre 653 en 2013 et 727 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 454, soit un indicateur de concentration d'emploi de 140,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,3 %[I 12].

Sur ces 454 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 134 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 82,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 13 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture

[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités

[modifier | modifier le code]

138 établissements[Note 11] sont implantés à Bretenoux au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 15].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 138 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
13 9,4 % (14 %)
Construction 17 12,3 % (13,9 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
41 29,7 % (29,9 %)
Information et communication 4 2,9 % (1,8 %)
Activités financières et d'assurance 5 3,6 % (2,8 %)
Activités immobilières 7 5,1 % (3,5 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
11 8 % (13,5 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
28 20,3 % (12 %)
Autres activités de services 12 8,7 % (8,7 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,7 % du nombre total d'établissements de la commune (41 sur les 138 entreprises implantées à Bretenoux), contre 29,9 % au niveau départemental[I 16].

Entreprises et commerces

[modifier | modifier le code]

L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[44] :

  • Adequat 195, activités des agences de travail temporaire (3 772 k€)

Agriculture

[modifier | modifier le code]
1988 2000 2010 2020
Exploitations 25 15 12 7
SAU[Note 13] (ha) 275 262 222 154

La commune est dans la vallée de la Dordogne », une petite région agricole occupant du petite partie (7 communes) du nord du territoire du département du Lot[45]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (25 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 154 ha[47],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • L'église Sainte-Catherine ;
  • La place des Consuls : de forme carrée, entourée de maisons à arcades et de maisons à colombages ;
  • La maison de l'oncle du Midi de Pierre Loti, à l'angle de la rue d'Orlinde et de la rue Pierre-Loti ;
  • La mairie occupe la façade orientale de l'ancienne maison des Consuls ;
  • Le château de Castelnau-Bretenoux est situé sur la commune voisine de Prudhomat.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]
  • Pierre François de Saint-Priest (1801-1851) est un homme politique français, né à Bretenoux ;
  • Louis Auguste Blanqui (1805-1881), révolutionnaire, fut arrêté le à Bretenoux alors que, malade, il se reposait chez un ami médecin ;
  • Adolphe de Lescure (1833-1892), historien et littérateur, attaché au secrétariat du ministère d'État (1865-1868) et chef des secrétaires-rédacteurs du Sénat (1875-1892), est né à Bretenoux ;
  • Pierre Loti (1850-1923), écrivain, passa une partie de son enfance à Bretenoux. Il y séjourna chez son oncle, Pierre Bon, durant les vacances scolaires d’été de 1861 à 1864. Il en garda des souvenirs inoubliables qu’il décrit dans ses derniers ouvrages comme : Le Roman d’un enfant, Prime jeunesse ou Journal intime ;
  • Eugène Sol (1877-1953), chanoine historien du Lot, mourut à Bretenoux ;
  • David Moncoutié (1975-), cycliste professionnel, y a vécu.

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Bretenoux Blason
D'or au château à trois tours crénelées de gueules, celle du milieu plus élevée, ouvert du champ, surmonté et accosté de trois fleurs de lis d'azur 1 et 2.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Chanoine Joseph-Simon Gouzou, Bretenoux en Haut-Quercy, Note d'histoire locale, imprimerie Salingardes, 2e édition 1955.
  • Pierre Laborie, Les Mots de 39-45, Presses universitaires du Mirail, .

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Biars-sur-Cère comprend deux villes-centres (Biars-sur-Cère et Bretenoux) et deux communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[29].
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Biars-sur-Cère », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Bretenoux ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Bretenoux » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bretenoux » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bretenoux » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Bretenoux » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. « Le mot du maire – Mairie de Bretenoux », sur bretenoux.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Bretenoux et Sousceyrac-en-Quercy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Comiac » (commune de Sousceyrac-en-Quercy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Comiac » (commune de Sousceyrac-en-Quercy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  10. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le ).
  12. « Bassin de la Dordogne - zone tampon - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bretenoux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « site Natura 2000 FR7300900 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Bretenoux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF la « rivière de la Cère et ruisseau d'Orgues » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF le « bassin du Mamoul » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF la « vallée et gorges de la Cère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Bretenoux », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  23. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  25. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bretenoux », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  29. Article R214-112 du code de l’environnement
  30. « barrage de Saint-Étienne-Cantalès », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  31. « barrage de Bort-les-Orgues », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  33. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 107.
  34. Maximin Deloche, « Cartulaire de l'abbaye de Beaulieu (en Limousin) », (consulté le )
  35. André Damien, « Thiers et la Commune de Paris : violence contre violence », La Revue administrative, no 361,‎ , p. 8 (lire en ligne) :

    « Ce même jour [17 mars 1871], Thiers prend soin de faire arrêter Auguste Blanqui (républicain révolutionnaire insurectionnaliste surnommé « l'Enfermé » parce qu'il avait passé plus de la moitié de sa vie dans les prisons des rois et de l'Empereur) qui se reposait chez un ami médecin à Bretenoux (Lot). »

  36. Gilbert Lacan, Figeac en Quercy : sous la terreur allemande, Paris, Union Amicale des Enfants de l'Arrondissement de Figeac, , 99 p., p. 77.
  37. a et b « Les maires de Bretenoux », sur francegenweb.org, (consulté le ).
  38. « Bretenoux. Pierre Moles et sa nouvelle équipe au travail pour 6 ans », sur La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Le Lot chapitre Centres d'excursion p. 248 - Armand Viré - Réédition de l'ouvrage de 1907 - (ISBN 2-7455-0049-X).
  44. « Entreprises à Bretenoux », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  45. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  46. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  47. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Bretenoux - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).