Saint-Laurent-les-Tours

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Saint-Laurent-les-Tours
Saint-Laurent-les-Tours
Château de Saint-Laurent-les-Tours de nuit.
Image illustrative de l’article Saint-Laurent-les-Tours
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne[1]
Maire
Mandat
Stéphanie Roussies
2020-2026
Code postal 46400
Code commune 46273
Démographie
Population
municipale
847 hab. (2021 en diminution de 7,13 % par rapport à 2015)
Densité 78 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 32″ nord, 1° 53′ 59″ est
Altitude 250 m
Min. 152 m
Max. 465 m
Superficie 10,84 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Céré
(banlieue)
Aire d'attraction Biars-sur-Cère - Saint-Céré
(commune d'un pôle secondaire)
Élections
Départementales Canton de Saint-Céré
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

Saint-Laurent-les-Tours est une commune française, située dans le nord-est du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans la Limargue, une région naturelle occupant une dépression verdoyante entre les causses du Quercy et le Ségala quercynois.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Mamoul, le ruisseau d'aygue vieille, le ruisseau des Calmettes et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Laurent-les-Tours est une commune rurale qui compte 847 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Saint-Céré et fait partie de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré. Ses habitants sont appelés les Saint-Laurentais ou Saint-Laurentaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Saint-Laurent-les-Tours est une commune du Quercy située dans l'unité urbaine de Saint-Céré en Limargue. Elle est bordée par deux affluents de la Dordogne : au nord le Mamoul, et au sud la Bave.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Saint-Laurent-les-Tours[2]
Belmont-Bretenoux Cornac
Saint-Laurent-les-Tours[2] Frayssinhes
Saint-Jean-Lespinasse
(par un quadripoint)
Saint-Céré

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 097 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sousceyrac-en-Quercy à 10,7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 299,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9],[10].

La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[11],[12].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 1] est recensée sur la commune[13] : le « bassin du Mamoul » (2 278 ha), couvrant 11 communes du département[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Laurent-les-Tours est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[15],[I 1],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Céré, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[I 2] et 4 544 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré, dont elle est une commune d'un pôle secondaire[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5],[I 6].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33,7 %), forêts (29,8 %), zones agricoles hétérogènes (26,6 %), zones urbanisées (5,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Laurent-les-Tours est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Mamoul. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[20]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 1999 et 2001[21],[18].

Saint-Laurent-les-Tours est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Laurent-les-Tours.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[23].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 15,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 477 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 93 sont en aléa moyen ou fort, soit 19 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1992 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Laurent-les-Tours est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Saint-Laurent-les-Tours, en occitan Sent Laurenç, est basé sur l'hagiotoponyme chrétien Laurent de Rome (Laurentius) : martyr sur un gril en 258. La préposition lès vient de lez issu du latin de basse époque latus signifiant à côté de. Pendant la révolution, la commune s'appelait Sen-Laurent. La dénomination les-Tours a été ajoutée en 1848[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1793 Pierre Lescure    
1793 1795 Jean Louis Delroux    
1796 1805 Guillaume Vernejoul    
1806 1807 Jean Louis Souilhac    
1808 1809 Antoine Cabanes    
1810 1813 Guillaume Vernejoul    
1813 1831 Jacques Henry Lavaur De Laboisse (de)    
1832 1877 Louis François Théodore Lavaur De Laboisse (de)    
1878 1900 Marie Xavier Ernest Lavaur De Laboisse    
1900 1903 Raymond Lavaur De Laboisse    
mars 1971 mars 2001 Fernand Larribe PS  
mars 2001 mars 2008 Danielle Comte PS bibliothécaire, conseillère régionale
mars 2008 30 mars 2014 Michel Janicot Sans étiquette Ingénieur
30 mars 2014 31 Mai 2020 Pascal Lagarrigue - Comptable
31 Mai 2020 En cours Stéphanie Roussies - Attachée Parlementaire, suppléante du sénateur Jean-Marc Vayssouze-Faure
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30]. En 2021, la commune comptait 847 habitants[Note 4], en diminution de 7,13 % par rapport à 2015 (Lot : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
484532552580554541570572547
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
548539534535516519529505478
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
479501484386380332332324299
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
353394531747835900911907918
2014 2019 2021 - - - - - -
914846847------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 429 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 908 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 490 [I 7] (20 740  dans le département[I 8]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 3,1 % 4,5 % 5,3 %
Département[I 10] 7,3 % 8,9 % 9,6 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 464 personnes, parmi lesquelles on compte 78,8 % d'actifs (73,5 % ayant un emploi et 5,3 % de chômeurs) et 21,2 % d'inactifs[Note 6],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie d'un pôle secondaire de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré[Carte 3],[I 12]. Elle compte 372 emplois en 2018, contre 404 en 2013 et 411 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 344, soit un indicateur de concentration d'emploi de 108,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49 %[I 13].

Sur ces 344 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 85 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 89 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,9 % les transports en commun, 6,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

88 établissements[Note 7] sont implantés à Saint-Laurent-les-Tours au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 88
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
11 12,5 % (14 %)
Construction 22 25 % (13,9 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
29 33 % (29,9 %)
Activités financières et d'assurance 5 5,7 % (2,8 %)
Activités immobilières 2 2,3 % (3,5 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
11 12,5 % (13,5 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
4 4,5 % (12 %)
Autres activités de services 4 4,5 % (8,7 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33 % du nombre total d'établissements de la commune (29 sur les 88 entreprises implantées à Saint-Laurent-les-Tours), contre 29,9 % au niveau départemental[I 17].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les quatre entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[33] :

  • Grimen SA, supermarchés (25 623 k€)
  • ETS Mazars, travaux de charpente (478 k€)
  • Ste Materiels Travaux Explosifs - Mte, commerce de gros (commerce interentreprises) de machines pour l'extraction, la construction et le génie civil (415 k€)
  • Cedanco, activités des sociétés holding (0 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le Segala », une petite région agricole occupant la frange est du département du Lot[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 34 25 11 10
SAU[Note 10] (ha) 495 517 495 488

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 25 en 2000 puis à 11 en 2010[36] et enfin à 10 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 71 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[37],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 495 ha en 1988 à 488 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 15 à 49 ha[36].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Saint-Céré » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Laurent-les-Tours » (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Laurent-les-Tours » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Laurent-les-Tours » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Laurent-les-Tours » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Préfecture du Lot, « Intercommunalité : Création de Causses et vallée de la Dordogne », sur Préfecture du Lot, (consulté le ).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Saint-Laurent-les-Tours et Sousceyrac-en-Quercy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Comiac » (commune de Sousceyrac-en-Quercy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Comiac » (commune de Sousceyrac-en-Quercy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  10. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le ).
  12. « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Laurent-les-Tours », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF le « bassin du Mamoul » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Laurent-les-Tours », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Laurent-les-Tours », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  27. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 122.
  28. « Les maires de Saint-Laurent-les-Tours », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Entreprises à Saint-Laurent-les-Tours », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  34. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  35. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  36. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Laurent-les-Tours - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  37. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).
  38. « Église paroissiale Saint-Laurent », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  39. « Château des Tours-Saint-Laurent », notice no PA00095244, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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